Secrets révélés

Un mystérieux ésotérisme géométrique

Extrait du livre : Le secret des envahisseurs de Peter Knight - Le Testament d’Andrew J. McIntyre

Un mystérieux ésotérisme géométrique est encodé dans la série télévisée. La technologie des envahisseurs, c’est-à-dire leurs armes et les différentes machines (nouvelles presque à chaque épisode), présente une géométrie pentagonale assimilable à leur marque de fabrique.

McIntyre semblait très au fait de toute une technologie qui implique la géométrie sacrée au nombre d’or (hexagone, octogone, pentagone) et nous montre le secret du voyage dans l’espace, dans les dimensions et dans le temps.

Le pentagone est utilisé comme une porte libérant des champs magnétiques qui interpénètrent toutes les autres dimensions.

Les cinq boules placées sous la soucoupe des envahisseurs sont placées de manière à former un pentagone générant aussi un superchamp magnétique et annulant la gravité, comme si les êtres à l’intérieur se déplaçaient dans un univers au nombre d’or ouvrant des passages multidimensionnels de temps et d’espace. Tous les appareils et les mystérieuses armes des envahisseurs ont cette forme pentagonale. Cette géométrie permet de démultiplier le potentiel énergétique des armes.


La grande pyramide pentagonale de Mars, photographiée en 1976, renfermait sans doute des machines à énergie libre en des temps anciens. Et nous pouvons penser que la pyramide de Gizeh fonctionnait avec de la haute technologie pour les vimanas.

De nos jours, l’armée s’empare de tous les sites sacrés, dont l’énergie dégage une lueur bleue, pour intensifier la puissance d’un armement à hautes et basses fréquences.

Les mini-communicateurs en forme de demi-œuf, dont les diodes lumineuses placées en pentagone, sont d’une sobriété futuriste et permettent même de contacter un vaisseau spatial dans l’espace. Par leur forme ovoïde, ils rappellent le dessous de la soucoupe dont les cinq sphères lumineuses sont placées en pentagone tout autour d’un cercle lumineux. Le micro du communicateur placé au centre des cinq points géométriques, montre que la communication a lieu au moyen du pentagone. Les communicateurs aux diodes pentagonales montrent qu’ils communiquent entre eux à travers d’autres espaces et d’autres temps.

Les envahisseurs utilisent des mini-communicateurs, préfigurant le téléphone cellulaire, aux diodes placées en forme de pentagone. Le code Adamski montre que ces êtres aryens communiquent par le biais du Pentagone et de ses bases secrètes aux États-Unis.

En 1967, la série montre une technologie de téléphonie mobile miniaturisée, encore plus sophistiquée que nos téléphones cellulaires.


Le pistolet désintégrateur vu de face est de forme cubique avec au centre le canon laser ; au-dessus, la partie triangulaire du viseur forme un pentagone.

Chaque extrémité conique de l’ hypnotic crystal [186 ], objet en forme de sablier utilisé pour fasciner l’esprit humain, le manipuler et le conditionner, présente les cinq pointes de l’étoile de David placées au centre d’un pentagone.

Dans « L’astronaute », David Vincent examine un cristal hypnotiseur. Plusieurs armes de la série sont basées sur le cristal, comme au temps de l’Atlantide, la technologie que recherchaient les nazis. Comme beaucoup de ces armes, les extrémités de l’hypnotiseur sont de forme pentagonale.

Le killer disk [187 ] semi-sphérique possède cinq diodes lumineuses placées en pentagone. Appliqué sur la nuque, il crée une crise cardiaque. Il est fait d’un métal inconnu qui, au contact de la peau, devient « chaud, très chaud » et « vibre » ; « une minute suffit pour simuler une hémorragie cérébrale » (épisode Genèse). La forme pentagonale multiplierait la capacité destructrice de l’arme.

Dans le second épisode, L’expérience, les envahisseurs enferment David Vincent, allongé, dans un sarcophage pentagonal ; ils veulent modifier la structure de son cerveau. Les ondes pentatoniques pourraient reconfigurer son cerveau afin que David Vincent devienne leur esclave.

Cet homme va mourir d’une crise cardiaque déclenchée par le disque tueur à cinq diodes placées en pentagone. (« À l’aube du dernier jour »)
Dans « L’expérience », on place David Vincent dans une machine en forme de sarcophage pentagonal, pour conditionner son cerveau comme on l’avait fait avec le fils du Dr Lindstrom. Dans la réalité, la longueur d’onde utilisée pour l’asservissement du cerveau est celle du chercheur russe Kogan, auquel il était fait allusion au premier épisode.

Le générateur antimatière, fabriqué par les envahisseurs pour faire basculer la Terre dans l’épisode À l’aube du dernier jour, est conçu selon le même schéma pentagonal : une base cubique sur laquelle repose une pyramide à cinq branches ajourées.

Dans l’épisode Les sangsues, des savants, prisonniers dans une mine désaffectée, sont installés dans un fauteuilsurmonté d’un casque qui va explorer les profondeurs de leur cerveau pour en extraire toutes les informations scientifiques nécessaires aux envahisseurs. Le dossier avec le casque placé au-dessus présente une forme pentagonale ainsi que les cadrans sur les machines où clignote de la lumière. Plus tard, l’électronicien Warren Doneghan est confronté à un envahisseur de type aryen, qui le cible avec un étrange appareil rotatif de forme pentagonale, avec une pointe au milieu du pentagone qui, en tournant, émet une étrange fréquence, sorte d’ultrafréquence, pour le conditionner avant de le placer sur le fauteuil pentagonal.

Cette arme secrète de forme pentagonale libère des fréquences de type HAARP pour conditionner le cerveau (dans « Les sangsues »).

L’appareil, sorte de canon Donai, placé sous la soucoupe dans La mutation et censé désintégrer David Vincent, devenu un témoin gênant des activités des envahisseurs, présente autour de l’écran de contrôle trois boutons de commande à cinq faces, de forme pentagonale.

Cette forme utilisée avec persistance et dessinée pour représenter l’étrange technologie des envahisseurs livre un message puissant. Il semble que le directeur de la photographie Andrew McIntyre, en collaboration avec Quinn Martin, ait codé intégralement la série, dans les moindres détails. Pilote de bombardier pendant la Seconde Guerre mondiale, il travaillait au département de la Défense des États-Unis, autrement dit il relevait du Pentagone. Ayant observé (selon ses propres confidences) des soucoupes volantes au-dessus de l’Europe en 1939-1945, il a également pu être amené à travailler dans les services secrets américains. On peut imaginer qu’il y ait découvert une vérité terrible : une invasion imminente par un nouvel ordre aryen de type nazi. Si l’on s’en tient à ce scénario, du fait de sa situation dans les services secrets,

McIntyre aurait pu aisément placer sa fille auprès de George Adamski dans le but d’apprendre tous les détails des relations que le contacté entretenait avec des agents de type nazi. Les messages de paix transmis par des grands blonds à Adamski pouvaient être directement liés à cette invasion, dont la tête de pont se situerait au Pentagone, selon McIntyre.

Rappelons la date de construction de l’imposant édifice qui abrite le département de la Défense américain, dans lequel travaillent plus de 26000 personnes : le 11 septembre 1941, 60 ans jour pour jour avant les attentats à New York.

Le Pentagone, en 1941, semble avoir été créé en fonction de cette guerre secrète.

C’est pour cette raison que les armes et appareils des envahisseurs dans la série reprennent la forme pentagonale comme une marque de fabrique.

Le Pentagone

Le professeur Roland Bennewitz, physicien qui étudiait les mutilations d’animaux [NDÉ : formé à Fribourg-en-Brisgau et à Berlin, maintenant attaché en nanotechnologie à une chaire de recherche de l’Université McGill], a visité en 1980 la base de Dulce, longue de 1,2 km et existant depuis 1948, où des hélicoptères vont et viennent sans interruption. Nous verrons que ces mutilations font partie des expérimentations des Allemands lors de la Seconde Guerre mondiale sur les organismes vivants.

« Après avoir confié ses trouvailles à des représentants officiels de l’armée de l’air, le professeur Bennewitz fut invité à visiter la base 232 située à 4 km au nord-ouest de Dulce qu’elle surplombe légèrement. Elle est accessible par une autoroute gouvernementale large d’une dizaine de mètres et construite à la surface du sol. On peut y voir des caravanes pourvues d’équipement télémétrique ainsi que des immeubles pentagonaux surmontés d’une coupole, près desquels sont postées des limousines noires, des véhicules de la CIA qui vous prendront en chasse si vous essayez de pénétrer cette zone.

Plus au nord s’étend une aire de lancement où sont rivées au sol les épaves de deux aéronefs larges de dix à onze mètres et mus à l’énergie nucléaire à partir de grains de plutonium dont le ravitaillement était effectué à Los Alamos. Il comportait des ailes ainsi que des réservoirs d’oxygène et d’hydrogène (certains appareils en forme de disque seraient pilotés par les membres de la NSA [Agence de sécurité nationale]). Le jour où l’on apprit que Bennewitz était au courant de leurs activités, les mutilations cessèrent dans la région[188 ]. »

Toute cette description nous fait penser que des êtres humains parcourent le ciel dans des soucoupes créées sur terre, certainement le type de soucoupe que nous montre la série Les Envahisseurs. La forme pentagonale des bâtiments de cette base semble liée à la forme pentagonale des machines et armes des envahisseurs de la série. Cette forme semble liée à une puissance d’énergie dont ils se servent, car le nombre d’or régit la structure de la matière même la plus infime.

Le pentagone semble, d’après sa structure, posséder des caractéristiques pour émettre certaines longueurs d’ondes pentatoniques sous la terre.

Grâce au code Adamski, nous apprenons que des êtres étranges sont placés aux postes clés des gouvernements pour préparer la venue imminente et massive du reste du peuple des envahisseurs. David Vincent le découvre dans Le condamné, alors qu’une liste contient les 11 noms d’envahisseurs sur la Terre, aux États-Unis, en Angleterre, en France, en Allemagne et en Russie. Le laboratoire de télécommunications dont ils se sont emparés est devenu le centre de transmissions entre leur planète et ces chefs. Dans L’innocent, David Vincent est manipulé par des envahisseurs qui ont infiltré des postes importants du gouvernement américain. Ils le convient à un voyage en soucoupe volante. À l’intérieur, leur chef, Magnus, est adossé à un pentagone étiré.

Magnus (Michael Rennie), l’envahisseur qui a enlevé David Vincent (Roy Thinnes), est adossé à un tableau de commande de forme pentagonale. (« L’innocent »)

La pyramide pentagonale de Mars

L’étrange ésotérisme du Pentagone, qui est la projection d’une étoile à cinq branches, nous indique la position d’une étoile dans l’espace et, d’après ce que deux êtres aryens ont dit à Howard Menger [189 ], ils voyageaient jusqu’à la planète Mars. Après son 19e essai en vol, un vaisseau spatial discoïdal, le Haunebu III, se serait envolé vers Mars, le 20 avril 1945, depuis une base secrète située au Pôle Sud, la base de Neuschwabenland [190 ].

Nous venons de souligner le design pentagonal des machines et des armes des envahisseurs. Justement, des chercheurs de l’ancienne direction de la NASA, tels Richard Hoagland, Erol Torun puis Mark J. Carlotto, Vincent DiPetrio et Gregory Molenaar (qui ont tous travaillé sur les images de Mars et notamment sur le site de Cydonia Mensae, un relief martien), ont découvert une pyramide à cinq faces appelée D&M,

[NDÉ : pour DiPetrio et Molenaar] localisée à 40,868° de latitude nord, photographiée par la sonde Viking 1 en 1976. Cette pyramide située au sud-ouest, non loin de l’énorme sculpture du visage du Sphinx, est immense et ressemble, du ciel, à une étoile à cinq branches au centre d’un pentagone.
Le Pentagone américain serait la projection de la base de cette pyramide sur notre planète. Sur le même site de Cydonia, un immense « Tolus » correspond à la projection de la base Edwards située dans le désert des Mojaves en Californie.

Au début des années 50, le Pentagone commanda à Walt Disney une série de petits films sur la conquête de l’espace. Son ami Wernher “von Braun fournira tous les détails techniques de ses plans”. Ainsi, le film Tom Corbett Space Cadet montre la découverte, par des astronautes ayant atterri sur la planète Mars, d’une immense pyramide de 300 mètres de haut en ruine et d’un visage sculpté disposé en sphinx comme la sonde Viking photographiera, en 1976, des pyramides, dont la pyramide pentagonale, et un immense visage sur le site martien de Cydonia. Le design des décors et des costumes est semblable à celui du film culte Planète interdite (Forbidden Planet) réalisé par Fred McLeod Wilcox en 1956, dont les effets spéciaux ont été réalisés et produits dans les studios Disney.

Nous verrons dans le tome 2 que Planète interdite raconte un atterrissage, codé, en soucoupe volante sur Mars.

Donc, dès les années 50, Hollywood a commencé à coder les films de Sciencefiction avec Von Braun. L’Allemand Heinz Haber, conseiller scientifique en chef des productions Disney, est arrivé aux États–Unis via l’Opération Paperclip. Il « travailla durant la Seconde Guerre mondiale au sein de la médecine aéronautique pour l’Institut de la Lutwaffe [afin] d’évaluer les risques encourus par les pilotes allemands dans la perspective de vols à très hautes vitesses et très hautes altitudes[ 191 ] […] »

Pyramide D&M sur Mars. Non loin du visage martien, un Tolus, artefact qui ressemble étonnamment à la base Edwards en Californie. Cela donne à penser qu’une seconde base Edwards a été construite sur Mars. (photos dans Top Secret no 7, hors série, juil-août 2009)

Le programme Apollo de von Braun serait un écran de fumée dissimulant la construction de disques volants magnétiques allemands dans des bases secrètes américaines dès la fin de la Deuxième Guerre mondiale, ce qui explique les crashs des premiers essais en 1947.

D’après Clark C. McClelland, von Braun était présent sur le site du crash de Roswell (http://www.ovni.ch/bricbroc/von-braun.html). Von Braun et son équipe semblaient détenir un dossier secret sur les découvertes concrètes de ruines sur Mars et sur la Lune laissées par une civilisation empreinte d’un haut degré ésotérique que la NASA reprendra à son compte (cf. Zecharia Sitchin, Mike Bara et Richard Hoagland, ancien consultant de la NASA).

Cela explique l’affiche commémorative réalisée par Boeing et la NASA en 1989 : un astronaute découvre des ruines de visages et d’édifices dans les sables de Mars. Pourtant, la NASA a toujours nié la présence depuis 1976 des pyramides et du visage sur le site de Cydonia. Mais ne nous y trompons pas, cette affiche renvoie au film Tom Corbett Space Cadet de Walt Disney et Wernher von Braun des années 50.

Derrière tout ceci on retrouve l’obsession typiquement nazie issue des loges tibétaines érigées par les nazis après leur visite au Tibet avec Hitler. Les nazis ont certainement couvert le projet de la race aryenne grâce à l’opération Paperclip afin de devenir les dieux grands blonds aux yeux bleus voyageant de planète à planète.

Ce commando de Paperclip a voulu intervertir la réalité en fiction et pour son propre compte, a projeté la fiction dans la réalité grâce aux machines volantes à énergie libre de type Tesla virtualisant ainsi notre esprit à tout jamais dans un monde de fiction dans le cadre d’une guerre psychologique internationale empêchant ainsi toute l’humanité de réaliser qu’une caste secrète a défié l’espace par la découverte de l’antigravité et s’est posé sur la Lune et sur Mars à bord de disques RFZ allemands.

Le fait que l’histoire nie l’existence des soucoupes volantes nazies et ce, en dépit des nombreux témoignages et rapports, paraît hautement suspect. Aussi nous pouvons penser que la pyramide pentagonale de Mars recèle une technologie que possèdent les hommes du Pentagone sur la Terre. (C’est pourquoi sur terre, ce qui rapporte le plus d’argent est la guerre et la vente d’armes et, depuis des millénaires, le pouvoir est donné aux militaires).

Selon le code Adamski, on peut imaginer que sous le Pentagone, dans les profondeurs de la terre, s’organisent des échanges avec une caste d’hommes nazis liée à un groupe d’anciens Hyperboréens et des hybrides mi-hommes mi-singes ou mi-poissons ou serpents, pour une guerre secrète non déclarée contre le genre humain.

Pour ces grands blonds, c’est la garantie d’une prise de contrôle en douceur, avec en contrepartie un transfert technologique (avec pour récompense des dons technologiques) pour l’armée des États–Unis. Le Pentagone, étoile à cinq branches, placé à Washington, représente ainsi leur monde sur le nôtre. Mars est leur étoile ou du moins une tête de pont dans le système solaire.

Par sa forme, le Pentagone, bâtiment du département de la Défense américain, diffuse des ondes d’une gamme souterraine en provenance des « enfers », non pour l’ascension, puisque le Pentagone fait la guerre depuis toujours pour des raisons d’hégémonie et des intérêts matérialistes (pétrole, or, diamants…), mais contre le genre humain.

Orthon et Adamski
Homme en noir tuant avec un disque. Ce genre d’arme se retrouve dans les anciens écrits sacrés de l’Inde et sur la photo d’Orthon le Vénusien qu’a rencontré Adamski.

Ainsi, tant que l’humanité n’utilisera pas contre l’ennemi invisible la puissance de l’étoile à cinq branches et de ses lignes géométriques, il sera toujours assujetti à la force inversée de l’étoile, celle diffusée par le Pentagone qui maîtrise et répand sur la terre, depuis les profondeurs, sa grille d’ultra-hautes fréquences pentatoniques.

Pour sortir de cette emprise, l’humanité doit se lancer dans une quête placée sous le signe de l’alliance, de l’anneau, de l’union de la Table Ronde. C’est à cette condition que du cœur de l’homme, le « royaume » pourra régner sur les quatre éléments et devenir le cinquième.

Ce schéma pentagonal correspond au schéma du corps humain, le tracé rejoignant les cinq pointes de l’étoile. En déclenchant des guerres, et en détruisant les peuples pour l’or et le pétrole, les créatures du Pentagone annulent le lien de lumière qui existe entre les êtres humains et l’étoile. Je pense en fait que ce sont ces mêmes êtres qui, dès le 11 septembre 1941, ont édifié le Pentagone, car la géométrie de cet édifice correspond aux lignes géométriques reliant chaque pointe d’une étoile à cinq branches que l’on retrouve sur le site martien de Cydonia sous la forme d’une pyramide géante pentagonale située non loin du fameux visage gigantesque que la nouvelle direction de Michael C. Malin affirme être faux. Mais de nombreux indices montrent qu’en réalité il n’en est rien.

Une ancienne race de grands blonds hyperboréens liée à des nazis réside sur Mars et l’on peut supposer qu’ils ont projeté d’envahir le monde. La date de 1947 ne serait que la surface émergée du commencement de cette invasion du XXe siècle pour le retour d’une sorte de Reich cosmique au cours du XXIe siècle.

Des technologies mythologiques

Ces êtres tenaient aussi dans leurs mains les fameux disques destructeurs que l’on voit dans la série Les Envahisseurs et qui sont décrits dans les livres sacrés de l’Inde. Le Vénusien Orthon, sur une photo où l’on voit Adamski (plus haut), tient un disque à la main, comme les dieux des légendes indo-européennes tels que Krisna et sa vimana.

Dans le Livre de Krishna, une peinture représente Sri Krishna tuant son cousin Sisupâla à l’aide d’un disque qu’il tient dans sa main [192 ]. Un rayon laser semble jaillir du disque qui sépare dans l’instant la tête de l’homme du reste de son corps. « Un fragment de poésie lyrique (conservé au British Museum), dont l’origine se perd dans les millénaires, est rédigé sur une tablette d’argile avec une traduction interlinéaire en assyrien. Il s’agit du chant d’un guerrier fier de posséder l’arme la plus redoutable.

“Dans ma main droite, je tiens le disque du courage, le soleil aux cinquante faces, l’arme élevée de ma divinité. Je la tiens ! Le vaillant qui brise les montagnes, le soleil dont l’action ne cesse pas, je le tiens ! L’arme qui, comme l’ogre, dévore complètement, je la tiens ! Celui qui courbe les montagnes, le poisson aux sept nageoires, je le tiens ! La littu (lahat) de la bataille qui dévaste et désole le pays, je la tiens ! La trombe de la bataille, l’arme aux cinquante têtes, je la tiens ! Dévastatrice dans la violence des batailles, dominatrice du ciel et de la terre, l’arme aux sept têtes, je la tiens ! Faisant jaillir son éclat comme celui du jour. Le Dieu qui échauffe l’Orient, je le tiens ! L’arme qui remplit le pays de sa force immense, dans ma main droite puissamment, le projectile d’or et d’onyx, je le tiens[193 ] !” »

Selon toute vraisemblance, il s’agit d’une arme aux effets dévastateurs qui présente une certaine ressemblance avec la ceinture des « Vénusiens » que le Colombien V. M. Rabolú [Joaquín Amórtegui Valbuena] a rencontrés. « Ces derniers portent une combinaison munie d’un large ceinturon. Celui-ci serait équipé d’un dispositif permettant, d’une simple pression du doigt, de générer autour de l’astronaute un bouclier électromagnétique capable de désintégrer une balle ou tout autre projectile et même de faire voler en éclats un objet gigantesque de la taille d’une colline [194 ]. »

L e Mahābhārata relate le récit d’une bataille en vimana par la bouche de son héros Krishna :

« Le cruel Salva arriva sur le chariot volant Saubha qui peut aller partout, du haut duquel il tua beaucoup de jeunes Vrishni et dévasta férocement tous les parcs urbains. » Et tandis que Krishna s’élance dans le ciel à la poursuite de Salva : « Son Saubha s’accrochait au ciel avec une bonne longueur d’avance […] Il me lança des roquettes, des missiles, des sabres, des épées, des haches de guerre, des javelots à trois lames, des lance-flammes, sans répit… Le ciel semblait porter cent soleils, cent lunes et cent myriades d’étoiles. Il n’y avait plus ni jour, ni nuit, et on ne pouvait plus faire le point à la boussole… L’avion de Salva était très mystérieux, poursuit Krishna. Il était si extraordinaire qu’il semblait parfois se multiplier dans tous les points du ciel, et d’autres fois il n’était plus nulle part. L’avion était parfois visible et parfois invisible [NDA : ils’agit de lumière réfractée], et les guerriers de la dynastie Yadu étaient décontenancés devant les performances de cet appareil. Parfois ils voyaient l’avion au sol, parfois en haut du ciel, parfois posé au sommet d’une colline et parfois flottant sur l’eau. L’avion merveilleux volait dans le ciel comme un feu d’artifice – il ne tenait pas en place un seul instant [195 ]. »

Le Livre de Krishna révèle des détails de combats aériens et décrit le fameux disque :

« […] Retrouvant sa juste conscience, le Seigneur [Kr.s.n.a] put voir qu’il n’y avait nul messager, […] mais simplement que Sâlva avait quitté les lieux dans son aéronef, voguant dans les cieux […] Sri Kr.s.n.a crible Sâlva de Ses traits [rayons laser ?], lancés avec une force incommensurable, et le blesse ; l’armure, l’arc et le casque incrusté de joyaux de l’asura (être ténébreux) volent en pièces[196 ]. » Krishna utilisa encore un disque pour détruire l’astronef de Sâlva. Ces disques, déjà utilisés dans l’Antiquité, avaient donc plusieurs fonctions associées à la destruction. « […] Puis d’un coup écrasant de sa masse, Kr.s.n.a fait éclater en mille morceaux le merveilleux vaisseau de Sâlva, qui sombre aussitôt dans l’océan. Mais Sâlva, fort prudent, au lieu de s’écraser avec son aéronef saute sur la terre ferme […] décidant d’en finir une fois pour toutes avec Sâlva, Kr.s.n.a se saisit de son disque merveilleux, brillant comme le soleil irradiant au moment de la dissolution de la création matérielle. Debout là, Son disque à la main, Kr.s.n.a apparaît tel le soleil rougeoyant se levant au-dessus d’une montagne. Il lui tranche la tête, laquelle roule au sol avec ses pendants d’oreilles. Sâlva meurt de la même manière que jadis Vrtrâsura aux mains d’Indra, le roi des planètes édéniques. » (p.191)

De tels disques sont présents dans la série.

Les envahisseurs les tiennent dans la paume de la main avant de les appliquer sur la nuque de leurs victimes, provoquant alors une hémorragie cérébrale mortelle. Dans L’innocent, David Vincent recherche l’un de ces disques que possède un certain Nat Greely. Lorsqu’il trouve le pêcheur, il lui dit :

« Ce disque est une arme. Ils veulent le récupérer. C’est pour cela qu’ils veulent vous tuer.
– Qui ça ils ? demande Nat Greely.
– Vous avez vu leur vaisseau. À votre avis ?
– Ce sont des hommes comme moi.
– Ils ressemblent à des hommes… »

David Vincent demande à voir le disque et dit :

« Il nous faut ce disque pour convaincre le gouvernement. Maintenant, aujourd’hui. Si on ne les arrête pas, ce n’est pas seulement vous qui êtes en danger, mais le monde entier. »

Auparavant, le héros a rencontré le capitaine Mitchell Ross (campé par Dabney Coleman) de l’USAF, responsable du projet Faucon. Ce militaire a tiré sur un envahisseur qui s’est désintégré sous ses yeux et il souhaiterait que David Vincent témoigne devant la commission Peterson chargée d’enquêter sur les affaires d’ovnis.

Appliqué sur la nuque, le disque tueur semble créer une puissante déviation de l’énergie de la Kundalini (le serpent vril de lumière remontant le long de la colonne vertébrale décrite dans les anciens écrits de l’Inde), entraînant la mort.

Les armements des anciens dieux, rayons laser et disques de mort, se retrouvent dans la série. Pouvons-nous penser que les événements décrits dans la mythologie grecque et les étranges guerres relatées dans les récits hindous ont un rapport avec la série télévisée qui nous avertit que nous vivons toujours ces événements issus d’une ancienne guerre hyperboréenne?

Cette guerre a pu avoir lieu en même temps à cheval sur deux époques depuis un passé mythique. Si les grands blonds étaient des guerriers, ils ont détruit des cités entières dans les grandes batailles de la guerre des mondes. L’Éden, censé être le paradis, était-il l’objet de guerres à ces époques ? On peut s’étonner de n’avoir pas trouvé d’explications aussi claires dans l’Ancien Testament.

La Bible serait donc codée et on en aurait retranché certaines parties, qui décriraient des technologies électromagnétiques de type Tesla telles que l’Arche d’alliance et le bâton de Moïse. Le Deutéronome 32, 41-42 indique une technologie extraordinaire dépassant l’homme :

« J’affûterai mon glaive fulgurant. […] Mon épée dévorera de la chair […] » Dans le livre du combat d’Adam, il est dit : « Et l’épée que le Kéroubim tenait en sa main jetait au loin des flammes. » Et dans un autre texte légendaire : « Salomon dit : Mon père frappe le diable avec des traits enflammés, la foudre le brûlera et le marquera. Dans la main droite de mon père est l’apparence d’une épée différente de toutes les autres armes : son éclat est plus brillant et plus clair que toutes les constellations. »)

« L’arme la plus ancienne connue et citée est le trident lance-foudre de Jupiter, avec lequel il foudroya son pseudo-fils Phaéton, amoureux d’Aphrodite. D’après Ovide, Phaéton meurt, consumé par la flamme aux trois dards [197 ]. Ce trident ressemble étonnamment à des antennes faisant jaillir la foudre comme Tesla le faisait dans son laboratoire.

Ainsi un lointain passé nous informe de l’existence d’une supertechnologie terrible que des hommes-dieux manipulaient en des temps immémoriaux.

Grâce au code Adamski, nous savons qu’une guerre secrète a lieu à l’heure actuelle sur la Terre et sur les autres planètes du système solaire.

Les textes anciens nous apprennent que cette guerre n’est absolument pas récente. Une gigantesque manipulation de la race humaine nous fait penser à celle exercée par les dieux de l’Olympe.

Dans les années 30, Tesla a mis au point un pistolet à « rayon », qui était en réalité un accélérateur de faisceau de particules. Cette arme avait la capacité d’abattre un avion à 320 km de distance. Elle est un exemple de la recherche nazie effectuée d’après les travaux de Tesla que l’on retrouve dans Les Envahisseurs. Des pistolets similaires de grande dimension sont entre les mains de grands blonds dans La mutation. À la fin de l’épisode Le mur de cristal (Wall of Crystal), un pistolet miniaturisé désintègre une voiture par l’action d’un faisceau de particules et dans L’ennemi (The Enemy), cette arme peut détruire une soucoupe volante. Des exemples d’armes miniaturisés, présents dans la série, comme la bague paralysant le cerveau dans Alerte rouge et le disque tueur, se retrouvent dans l’armement HAARP. Les grands blonds disposent même d’un mini-désintégrateur.

Désormais, sur la Terre se déroule une guerre d’espionnage pour le contrôle du genre humain. Des êtres parmi nous possèdent dans leurs poches des armes miniaturisées pouvant paralyser, voire désintégrer et provoquer des crises cardiaques ou des hémorragies cérébrales. Il se peut que ce genre d’armes ait déclenché des combustions spontanées simplement en vue de tests.

Qui étaient les bâtisseurs de ces formidables machines, ces êtres supérieurs utilisant une technologie bien trop en avance pour une époque où la science de l’ingénierie n’en était qu’à ses balbutiements?

Les écritures sacrées hindoues mentionnent différentes races d’entités, d’aspect similaire aux êtres humains, en tant que pilotes de vimanas. Quelques chercheurs avancent alors les hypothèses atlantéennes et lémuriennes, spéculant que l’Inde ancienne avait sans doute largement bénéficié de l’incroyable avance scientifique de ces peuples hautement évolués de l’âge d’or, ayant dû quitter leur continent d’origine après sa destruction.

Jules Duhem, dans Histoire de l’armée aérienne avant le moteur [198 ], nous en dit plus sur les relations présumées entre l’Inde ancienne, Mû et les Atlantes. Lui aussi estime que les vimanas de guerre disposaient d’une puissance de feu au moins aussi importante que celle dégagée par nos armes modernes :

« Les chroniques de l’Inde parlent d’aéronefs montés par des hommes du continent Mû, englouti depuis treize mille ans au moins dans les abîmes du Pacifique. […] En 1954, remettant en cause la validité de nos connaissances sur la matière et sur l’être humain, Leslie et Adamski ont relevé dans les hauts écrits de l’Inde des descriptions explicites d’aéronefs atlantéens, doués de merveilleux pouvoirs pour la paix et la guerre. […] Les textes védiques décrivent longuement sa construction, mais en marquant que des secrets essentiels demeuraient cachés, afin qu’ils ne se vulgarisent pour le mal. […] À la fin de l’âge d’or atlantéen, les querelles et les conflits se multipliant, le ciel est sillonné de vimanas de guerre, qui portent jusqu’à cent combattants. Quand ces machines, enfin, lâchent l’Agneya fulgurante sur une armée, celle-ci est détruite. Il y a dans le Mahābhārata, écrit il y a trois mille ans, des scènes quifont penser à l’arme que l’Amérique a ressuscitée avec un pareil succès sur la population de deux grandes cités. »

Alain Moreau imagine également un lien avec Mû et l’Atlantide, dont les rescapés auraient rapporté leur technologie au peuple de Rama, avant qu’un conflit entre les peuples ne sème la destruction et le chaos :

« À l’origine, les populations du pourtour de Mû (ou Lémurie) – le continent disparu de l’océan Pacifique – se seraient divisées, avec le temps, en deux groupes et auraient émigré, l’un vers l’Atlantide, l’autre vers l’Inde (empire de Rama). Les premiers étaient les tenants du temporel, alors que les autres étaient les tenants du spirituel. Il semble que l’Atlantide ait voulu imposer sa suzeraineté à l’empire de Rama. Il en résulta les guerres atroces rapportées par les anciennes épopées indiennes […] »

Même son de cloche chez l’auteur américain David Hatcher Childress :

« Le Mahābhārata […] relate des guerres effroyables survenues très longtemps avant l’époque où l’ouvrage fut composé – d’abord en dravidien ancien, puis en sanscrit. L’empire de Rama, que décrivent le Mahābhārata et le Rāmāyana […] étaient apparemment contemporains des grandes cultures occidentales atlante et osirienne.

L’Atlantide, que l’on connaît par les écrits de Platon et d’anciennes sources égyptiennes, semble avoir existé au milieu de l’Atlantique et avoir été une civilisation patriarcale de haute technologie. Quant à la civilisation osirienne, les doctrines ésotériques et les témoignages archéologiques en situent la zone de diffusion […] dans le bassin méditerranéen et l’Afrique du Nord ; qualifiée aussi de civilisation égyptienne pré-dynastique, elle aurait été ravagée par les inondations au moment où s’abîma l’Atlantide et où la Méditerranée commença à se remplir d’eau. L’empire de Rama se serait évanoui au cours du millénaire quisuivit la destruction du continent atlante. »

Les vimanas-OVNI de l’Inde ancienne ne seraient donc pas, dans cette hypothèse, issus d’une technologie extraterrestre, mais bel et bien des engins volants issus des fabuleuses connaissances des Atlantes, cette race d’hommes originelle détentrice de précieux savoirs […] « […] La propulsion de ces machines atlantéennes est un problème qui intéresse aujourd’hui des ingénieurs. Sur la source de leur puissance illimitée, dont l’exercice n’a d’autres bornes que la résistance des métaux, on a pensé à une énergie magnétique tirée du champ magnétique de la Terre, au pouvoir de contrôler certaines forces cosmiques, et au gouvernement de celles de la matière par une science des vibrations […] », s’enthousiasmait Jules Duhem [ 199 ] […]

À la fin des années 70, la physicienne de l’université du Punjab, Ruth Reyna, a soumis à la NASA une hypothèse fondée sur d’anciens textes sacrés de l’hindouisme selon laquelle des autochtones de la vallée de l’Indus, prévenus de l’imminence d’un cataclysme se seraient embarqués à bord de machines volantes pour se rendre sur Vénus 3 000 ans av. J.-C. « […] des initiés hindous seraient allés chercher des cieux plus cléments sur la face froide de Vesper, qu’ils ont réchauffé artificiellement [200 ]. »

« Selon le docteur Ruth Reyna [201 ], lorsque les Chinois découvrirent des textes sanscrits au Tibet et les expédièrent pour traduction à cette université située à Chandigarh en Inde, ils découvrirent des renseignements destinés à assembler des vaisseaux spatiaux interstellaires. Pourtant, ces textes remontaient à quelque deux mille ans ! Le docteur Reyna révéla que ces vaisseaux étaient appelés astras car ils servaient à naviguer vers d’autres planètes. Certains textes racontent un voyage sur la Lune.

Le troisième chant du Srimad-Bhagavatam nous dit : « Ainsi, malgré l’incapacité de nos sens grossiers à les percevoir, il existe bien des êtres sur la Lune, supérieurs même à ceux qui habitent la Terre. » ( La Bhagavad-Gītā VIII, 25)

On y trouve tous les détails sur l’assemblage de l’engin, le mode de navigation, le décollage et l’alunissage. On dit que les Chinois se fondèrent sur quelques-uns de ces textes pour établir leur programme de conquête spatiale.

Ces engins volants participèrent aux nombreuses guerres des dieux ou des titans dont parlent les anciens manuscrits. Ces récits se sont déroulés avant les cataclysmes qui virent s’engloutir l’Atlantide et la Lémurie par suite d’une guerre technologique ayant mené à la catastrophe.

« Des manuscrits dits des lamentations parlent d’une calamité qui s’est abattue sur Sumer, « inconnue à l’homme, semblable à nulle autre pareille ». Il y eut un vent mauvais, une tempête rageuse et une chaleur insupportable. Une sorte de nuage couvrit le Soleil en plein jour et les étoiles la nuit. Le texte se poursuit ainsi : « Le peuple terrifié, pouvait à peine respirer ; le vent mauvais les retenait sans leur accorder un autre jour […] leurs visages étaient blanchis par le vent mauvais […] les rivières de Sumer portaient en leurs lits de l’eau amère ; les champs se couvrirent de mauvaises herbes et les herbes flétrirent dans les pâturages. » Même les dieux durent évacuer ces terres, dit-on, et toutes les villes sumériennes furent touchées au même moment. De même que la catastrophe nucléaire dans la vallée de l’Indus est survenue au moment où le vent mauvais a soufflé sur Sumer, ainsi, en fut-il de la destruction de Sodome et Gomorrhe. De nombreux auteurs soulignent que ces villes situées à l’extrémité sud de la mer Morte sont encore marquées par un taux de radioactivité particulièrement élevé [ 202 ]. »

*La péninsule du Sinaï est rayée d’une énorme cicatrice artificielle qui couvre une surface d’environ 112 miles carrés. On trouve dans une large zone du versant est du Sinaï des pierres noircies en surface dont la présence demeure une énigme pour les archéologues et les historiens, qui refusent d’admettre l’existence d’un arsenal très évolué en des temps aussi reculés. Toutefois, les lieux de ces explosions nucléaires apparentes se trouvent à l’ouest de Sumer et le texte des Lamentations sumériennes nous apprend que le vent mauvais qui empoisonna l’eau et l’atmosphère, et qui mit une fin abrupte à la civilisation, fut engendré dans un éclair et se déplaça vers l’ouest. Le mystère de la fin soudaine de Sumer peut-il être éclairci ? […]

Autour de 1450 avant notre ère, la culture crétoise fut détruite par un autre désastre soudain que les archéologues ne peuvent expliquer. À nouveau, toutes ces villes furent détruites au même moment par un holocauste. » ( id.)

Dans Le livre des anciens astronautes, Jacques Bergier et Georges Hilaire Gallet expliquent ceci :

« En 1400 av. J.-C. en Crète, la destruction soudaine de Cnossos est attribuée, [dit-on], à l’explosion volcanique de l’île de Santorin (Théra), relativement peu éloignée. L’histoire de Dédale montre que les Crétois se livraient à des expériences de vol. Cnossos aurait-elle été détruite par des Célestes qui, à la même époque, se battaient au-dessus de l’Inde, comme le raconte le Mahābhārata [ 203 ] ? »

Le Mahābhārata parle à ces époques antédiluviennes d’une terrible technologie d’armement :

« “… Un seul projectile chargé de toute la puissance de l’univers… Une colonne de fumée et de flammes incandescentes aussi vives que mille soleils s’éleva dans toute sa splendeur […] ce fut une arme inconnue, un coup de tonnerre de fer, un gigantesque messager de la mort qui réduisit en cendres une race entière”. Le texte parle de corps brûlés à tel point qu’il fut impossible de les identifier. Ils perdirent leurs cheveux et leurs ongles, les objets de céramique et d’argile se fracassèrent sans raison, les oiseaux devinrent blancs. En quelques heures, les aliments furent contaminés. N’est-ce pas la description d’une catastrophe nucléaire [204 ] ? »

Cette guerre s’est étendue secrètement jusqu’à nos jours et c’est ce que relate d’une manière codée la série Les Envahisseurs.

Arthur Gordon

Dans Première preuve, David Vincent, juste après sa rencontre avec le couple de grands blonds, se réveille dans une clinique. Il remarque à son poignet un bracelet où le nom « Arthur Gordon » a été inscrit. C’est son ami Alan Landers (son associé dans son cabinet d’architecte) qui a donné ce nom, afin d’éviter que les journalistes n’importunent le héros.

Notons que le nom landers signifie, en anglais, « atterrisseurs », et en allemand, « des États »… comme si le code Adamski voulait signifier qu’un État nazi, celui du Reich, possédait des soucoupes qui atterrissaient partout dans le monde.

Arthur Gordon est le nom du personnage créé par Edgar Allan Poe dans son roman autobiographique Aventures d’Arthur Gordon Pym. C’est l’histoire d’un aventurier qui découvre en Antarctique une terre inconnue avant de disparaître dans un gouffre au pôle.

Jacques Bergier, dans sa préface d’un livre du baron EdwardGeorge Bulwer-Lytton [205 ], écrit ceci:

« […] Le gros des sources d’Edgar Poe nous reste obscur et nous ne savons pas pourquoi Pym trouve gravée sur un roc antarctique l’inscription en hébreu Tsahal, ce qui veut dire “forces armées” [206 ]. » Bergier poursuit : « Les sources insoupçonnées et interdites de Poe ont fait partie de la documentation de certaines sociétés secrètes dont faisait également partie E. G. BulwerLytton (1803-1873). »

Les Aventures d’Arthur Gordon Pym ont été publiées en anglais en 1838 [207 ]. Or, fait extraordinaire, le mot hébreu Tsahal, signifiant « forces armées », pourrait se rapporter à la première grande bataille faisant partie d’une guerre non déclarée en 1947, dirigée par l’amiral Byrd à la tête de 4600 hommes ; une opération militaire d’envergure… contre des Allemands installés dans la base secrète du Neuschwabenland dans une opération du Pentagone du nom de Highjump [ 208 ].

La lecture sous-jacente des Envahisseurs nous indique qu’une caste d’hommes nazis possédant l’énergie libre a découvert en Antarctique une terre blanche inconnue et y a disparu jusqu’au centre de la terre. Une guerre a eu lieu au Pôle Sud avec des armes étranges et terrifiantes ressemblant en tout point à celles de la série. N’est-ce pas l’histoire de l’amiral Byrd qui découvre en Antarctique une terre inconnue ?

L’opération Highjump

La version officielle prétend qu’en 1947, Byrd venait tracer des cartes topographiques de plus de 1,3 million de km de l’Antarctique. Son expédition a garanti la découverte de l’oasis de Bunger, dépourvue de glace (déjà visitée par l’exploration nazie de 1938), par le commandant de l’hydravion, David EliBunger : la présence d’une vaste zone de terres, au milieu des glaces éternelles de l’Antarctique, aux températures plus clémentes qu’au Pôle Nord, ainsi que de la végétation et des lacs contenant de l’eau non gelée.

Mais une autre version relate un désastre militaire consécutif aux opérations des nazis présents sur la base souterraine et secrète « New Berlin – Base 211 », la revue allemande Brisant en fit le compte rendu dans ses pages, comme l’écrivain irlandais William Allen Harbinson.

« […] le corps expéditionnaire de Byrd, à peine débarqué dans la région de l’Antarctique appelée Neu-Schwabenland, a été attaqué et presque détruit par des avions sophistiqués [discoïdaux], de type Haunebu, équipés d’armes à rayons meurtriers, semblables à ceux de Tesla [209 ].

La flotte, composée « de deux brise-glaces, le Burton Island et le North Wind, des transports de troupes Pine Island et Curritruck, des destroyers Brownson et Henderson, du porte-avions Philippine Sea et de quatre autres navires, le Cannistead, le Capacan, le 3 Yancey et le Merrick. Une expédition comportant 4 000 marines et 200 avions embarqués, six hélicoptères avec toute une logistique de guerre prévue pour une opération de plusieurs mois » [210 ] avec aussi le navire amiral appelé justement et mystérieusement le Mount Olympus, a été décimée et s’est retirée en mars, après seulement trois semaines passées sur le continent Antarctique.

Le navire de l’amiral Byrd, le Mount Olympus, montre le caractère particulier de l’opération Highjump. L’amiral Byrd et sa flotte ne se rendaient pas nulle part, ils avaient rendez-vous avec des dieux. Le commandant était parti à la conquête du Pôle Sud avec une armada imposante qui fut décimée, semble-t-il en quelques semaines, par un armement inconnu de type V allemand. L’amiral ressemble à Ulysse combattant les dieux de l’Olympe sur un vaisseau portant le nom du plus grand volcan de Mars, l’Olympus Mons (Mont Olympe en latin), comme Ulysse lutta contre Poséidon dans l’Odyssée d’Homère. Les Allemands pouvaient incarner le dieu Poséidon quant aux expériences d’hybridation mutant l’homme en poisson. Les commandos sous-marins nazis nommés « Chevaliers de Poséidon » représentaient les fils de ce dieu des Mers.

Cela rend possible que cette guerre ait été l’extension de la guerre de l’Atlantide. L’amiral a dû très certainement rechercher des centaines de U-Boots nazis et leurs bases jusqu’aux pôles. La réalité de cette guerre a été tenue secrète par les gouvernements car alors nous aurions pu prendre conscience que les nazis avaient certainement aménagé un vaste territoire avec l’aide de machines à rayonnement à hautes fréquences pour adoucir le climat polaire, créant une sorte de paradis caché. Curieusement, il a été dit qu’après la découverte de cette oasis par les Américains, elle fut de nouveau recouverte de glaces.

Lors d’une interview, le 5 mars 1947, après son retour de l’opération Highjump, l’amiral Byrd a dit :

« Il est impératif que les ÉtatsUnis adoptent des mesures de protection contre la possibilité d’une invasion du pays par des avions hostiles provenant des régions polaires […] En cas de nouvelle guerre, le territoire des États-Unis pourrait être attaqué par des objets volants susceptibles de se déplacer d’un pôle à l’autre, à des vitesses incroyables. »

Cette déclaration à propos d’une aviation volant d’un pôle à l’autre fait écho à celle de Ronald Reagan, plusieurs années après. Après une réunion avec Mikhaïl Gorbatchev à Genève, il a déclaré : « Comme sa tâche et la mienne seraient faciles dans ces rencontres s’il y avait soudain une menace pour ce monde provenant de quelque autre espèce issue d’une autre planète »… Plus tard, il alla plus loin, ajoutant : « comme nos différences s’évanouiraient rapidement si nous devions faire face à une menace extraterrestre ».

La série Les Envahisseurs ne représente-t-elle pas ce dont ont parlé l’amiral Byrd et le président Reagan sous l’apparence d’une guerre « extraterrestre » ?

On retrouve ce genre de déclaration en 1957, lorsque le National Investigations Committee on Aerial Phenomena, ou NICAP (qui a remplacé l’Air Technical Intelligence Center, ou ATIC, après la dissolution de ce service de renseignements de l’USAF créé le 21 mai 1951), a affirmé que « des vaisseaux aériens d’origine inconnue conduits par des êtres intelligents et se déplaçant à des vitesses extrêmement rapides pénètrent dans notre atmosphère après avoir franchi les espaces interplanétaires » (Washington, 6 janvier 1957). Ces paroles coïncident étrangement avec celles qu’a prononcées, le 18 octobre 1957, le docteur Zonshain, membre de l’Académie des sciences de Russie (à Moscou) :

« Actuellement le ciel est traversé par des objets qui, à première vue, n’ont rien de commun avec les avions que nous connaissons. »

« Qu’avaient donc découvert les Russes ? Pourquoi se décidaient-ils brusquement à publier une déclaration aussi différente de la thèse officielle soutenue jusqu’alors ? Les paroles du savant soviétique n’apportaient aucun élément nouveau, mais elles étaient surprenantes parce que, pour la première fois, les Russes, premiers explorateurs de l’espace, admettaient l’existence d’une énigme après avoir manifesté pendant si longtemps l’opposition la plus intransigeante à l’égard de tout ce qui était écrit ou dit sur les OVNI dans les pays occidentaux […]

Auparavant, en novembre 1954, par exemple, le journal l’Étoile Rouge, organe de l’armée soviétique, avait affirmé que les OVNI étaient des « armes de la guerre froide ». En février 1955, après avoir admis pour la première fois qu’un « objet volant de la forme d’un fuseau » était apparu dans le ciel de Moscou, la revue Sovetskaya Belorussiya déclarait que les apparitions célestes inexpliquées étaient en réalité des phénomènes atmosphériques ou des produits de l’imagination humaine [211 ] ».

Toutes ces contradictions montrent en fait que depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, une manipulation psychologique cherche à cacher au peuple l’emploi d’une énergie cosmique et gratuite.

Si nous pensons que l’opération Highjump était une guerre de haute technologie, cet événement caché de l’Histoire a dû paraître fantastique à l’amiral Byrd et à ses hommes du Pentagone. Ils ont dû observer des toupies volantes d’où jaillissaient des rayons au milieu de lumières passant par toutes les couleurs de l’arc-en-ciel, des engins surgissant du néant et disparaissant aussitôt après pour réapparaître de nouveau, tout comme ces êtres grands et blonds saturés d’énergie pouvaient devenir lumineux ou se désintégrer lorsqu’ils étaient tués. C’est comme si le nom du navire de Byrd, le Mount Olympus, en référence aux dieux grecs et à l’Atlantide, nous entraînait à nouveau dans l’ancienne guerre des vimanas.

La véritable guerre de l’Atlantide se poursuit secrètement de nos jours. La déclaration de Byrd au Pentagone au sujet d’une aviation mystérieuse ennemie volant d’un pôle à l’autre, dévoile qu’une guerre secrète mondiale continuait avec des Allemands ayant installé leurs bases aux extrémités des deux pôles et à l’intérieur desquels ils élaboraient les plans de machines aériennes capables de léviter. Le véritable secret de la guerre froide serait la continuité de la Seconde Guerre mondiale pour établir un ordre mondial du Reich grâce à des armes exotiques laser et électromagnétiques.

Autrement dit, les envahisseurs allemands, tout comme dans la série télévisée, se sont infiltrés dans notre système politique et social, en se plaçant aux postes clés des gouvernements et des services de renseignements pour s’infiltrer dans tous les domaines de la société et se fondre dans le paysage de notre civilisation contemporaine.

Cette guerre est devenue peu à peu psychologique et grâce à cette stratégie, ils ont choisi d’apparaître avec leurs machines électromagnétiques tels des «extraterrestres » à certaines périodes clés pour imprimer dans l’inconscient collectif une « genèse galactique ».

Les plans qu’ils choisiraient pour organiser une psychose extraterrestre seraient ainsi couverts, dissimulant les termes de cette guerre, c’est-à-dire la conquête de l’énergie libre liée à un commando hyperboréen de type nazi voulant à tout prix instaurer un nouvel ordre mondial. Profitant du réchauffement planétaire d’ordre cosmique, ils détruisent certaines parties du monde avec leurs armes HAARP.

Il y a 15 ans, mon amie Androméda et un groupe d’amis dans l’est de la France m’avaient averti que des gens très riches et très puissants, pour ordonner leur monde à leur façon, voulaient effacer la moitié de la population mondiale. Cette femme a été kidnappée.


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