Secrets révélés

Qui sont les bureaucrates qui dirigent la France en sous-main?

En France, des apostats livrés aux ayatollahs comme on livrait des Juifs aux nazis...

Notre pays ruiné, envahi, saccagé, si complaisant envers les égorgeurs, est encore monté d’un cran dans l’ignominie. Les collabos au pouvoir renvoient froidement des apostats dans une dictature islamique où ils seront assassinés. Comme le Coran et la charia l’ordonnent.

Une histoire lamentable, illustrant l’abjection française

Réfugiés en France depuis plus de cinq ans, deux apostats sont sur le point d’être livrés à l’Iran. Le mari et son épouse travaillaient tous les deux. On ne leur a jamais reproché le moindre délit, pas la plus petite atteinte à l’ordre public. Ils ne dealent pas de la drogue, ne rackettent pas leurs voisins, ne participent pas à des émeutes, ne brandissent pas des couteaux pour saigner les kouffars. C’est suspect.

En outre, triste ironie de l’histoire, ils sont tous les deux infirmiers. « Un métier en tension » dont les médias aux ordres nous rebattent les oreilles pour justifier l’accueil de toujours plus de « chances pour la France». Oui mais… Là on parle d’une famille d’apostats. Ils ont eu l’impudence de renier la religion du pédo-prophète. C’est intolérable.


En fuyant l’Iran, ils espéraient trouver en France une terre d’asile.

Ils auraient dû mieux s’informer avant. La ripouxblique islamique du Francistan ne saurait accueillir des apostats. Encore heureux que les caciques de la caste politico-médiatique ne les aient pas sournoisement désignés aux égorgeurs, en diffusant leurs photos et leurs coordonnées sur les réseaux asociaux. Afin de faire un exemple pour dissuader les mauvais esprits tentés de rejeter la merveilleuse religion d’amour, de tolérance et de paix.

Les apostats et leurs familles sont partout en danger de mort

Un petit nombre de personnes nées et élevées dans la culture islamique essaient régulièrement d’échapper à la pression omniprésente de cette dictature qui prétend contrôler leurs comportements et leurs pensées. En Occident c’est difficile mais faisable. Il leur faut couper les ponts avec la famille et les amis pour se construire une nouvelle vie, dans une autre ville, souvent avec un métier différent, parfois après un changement d’identité.

En Orient, c’est autrement plus compliqué et surtout plus risqué.


En 2017, alors âgé de 36 ans, Ata Fathimaharlooei, originaire de Shiraz, au Sud de l’Iran, commet le crime le plus abominable qui soit dans une république islamique. Il choisit de se convertir au christianisme après de longues discussions théologiques avec un Arménien dont il soignait le fils, à l’hôpital de Shiraz.

Lorsque ses supérieurs l’apprennent, il est immédiatement licencié. Son beau-père, cadre local des Pasdaran, ces nervis connus sous le nom de « gardiens de la Révolution » menace de le dénoncer à la police religieuse, à la fois juge et bourreau pour ce « crime »… lui laissant quand même un court répit pour fuir si sa fille Somayeh, enceinte de 3 mois, avorte. Car un enfant né d’un chrétien est considéré comme le fruit d’un adultère. Ata et Somayeh décident alors de quitter leur pays.

Cette relative indulgence tient peut-être au fait que Shiraz est une ville à part dans l’enfer des ayatollahs. Comptant naguère d’importantes communautés juives et chrétiennes, c’est un centre culturel qui a préservé un peu de la littérature et de la poésie persane. Et se singularise par la production de répliques des miniatures persanes, tolérées bien que les portraits soient tenus pour blasphématoires, parce que ça rapporte des devises. À condition de ne les vendre qu’aux étrangers.

Nos collabos ne veulent que des immigrés mahométans

Depuis leur arrivée dans l’Hexagone, nos apostats ont essuyé quatre refus à leurs demandes d’asile. Deux de la Cour nationale du droit d’asile (CNDA) et deux de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA). Pour ce motif surréaliste que la sincérité de leur conversion ne pouvait être prouvée !

En termes clairs, s’ils avaient été de bons musulmans, la ripouxblique islamique du Francistan les aurait accueillis à bras ouverts comme des millions d’autres déracinés. Racailles et terroristes inclus. Mais leur crime impardonnable d’apostasie interdit toute mesure de bienveillance.

La bureaucratie sourde, lourde et gourde, toujours semblable à elle-même, ne répugne jamais à servir les occupants. Ils sont toujours là, fidèles au poste, les Papon et les Adolfo Ramirez qui les résument tous.

Le 15 décembre, Ata a reçu un courrier de la préfecture des Pyrénées-Orientales lui signifiant une « obligation de quitter le territoire français (OQTF) vers son pays d’origine dans un délai d’un mois ». La mesure d’éloignement prise après le rejet définitif de sa demande d’asile, notifiée le 15 décembre, a été confirmée par le tribunal administratif de Montpellier et est devenue pleinement exécutoire, explique le même service de l’État qui accueille chaleureusement les mahométans.

Triste parodie d’application des règles de droit quand on sait que, pour des islamistes fanatiques prêchant le djihad, ce genre de mesure une fois prononcée n’est pratiquement jamais appliquée. Mais pas de cadeau pour les apostats ! Moussa Ouakid doit être furieux que la religion de ses ancêtres (et peut-être toujours la sienne ?) soit à ce point bafouée.

Comment peut-on prouver sa foi à des psychorigides obtus ?

La pierre d’achoppement reste la conversion de cette famille au christianisme. Quand on a la chance d’appartenir, de naissance, à la belle religion des nouveaux maîtres, les collabos reconnaissent explicitement qu’il est impensable de renier le Coran et son pédo-prophète. Cette crise de foi ne peut que cacher mensonge et fourberie.

De fait, depuis son arrivée en France, le couple est harcelé par des bureaucrates (de la diversité ou islamo-gauchistes ?

Il y en a beaucoup dans les services publics !) qui exigent que les apostats apportent la double preuve de leur conversion, et des menaces qui pèseraient sur eux s’ils rentraient en Iran. Pays très respectueux des droits humains et de la liberté religieuse, comme chacun sait.

Il est possible qu’ils aient aggravé leur cas en fréquentant l’église évangélique de Perpignan, où Somayeh et les enfants ont reçu le baptême. Chaque dimanche, les petits participent aux animations tandis que les parents assistent au culte. Pourtant, à chaque rendez-vous avec la Sainte Inquisition bureaucratique, des gratte-papiers malveillants n’ont cessé de leur demander de justifier la sincérité de leur foi.

Il se trouve que les prêcheurs de leur confession sont en conflit permanent avec les mahométans en Afrique et en Asie. Et force est de reconnaître que leurs discours bien structurés parviennent à ouvrir des brèches dans la carapace de l’islam. Provoquant des condamnations à mort et des égorgements en série.

« Il y a une difficulté particulière pour ces gens qui sont chrétiens. Les personnes chargées de leur dossier ne comprennent pas (Ou ne veulent pas le comprendre ?) pourquoi ils ont changé de religion » déplore Jacques Bertrand Cali, membre du centre évangélique et soutien de la famille iranienne.

Lui-même témoigne avoir assisté à une réunion entre Ata et une personne de l’OFPRA où son interlocutrice lui demandait de « décrire son parcours spirituel » et s’étonnait (s’indignait ?) qu’il ait des convictions contraires à la religion de son pays ! Elle ne comprenait pas (refusait de comprendre ?) sa démarche. Mais demande-t-on à un mahométan pourquoi il se met le cul en l’air cinq fois par jour ?

Paria en Iran, paria dans la France islamisée

En Iran, sa carte d’identité a été confisquée, son compte bancaire bloqué et l’appartement qui lui appartenait mis sous séquestre. Avec le sadisme cruel qui caractérise les islamistes, un mollah pas ramollo a dit à sa mère, longuement interrogée par la police religieuse, que si son fils voulait récupérer ses papiers et ses biens, il n’avait qu’à revenir.

On le jugera « honnêtement » selon la charia pour apostasie, mais aussi pour activités impies contre l’islam sur les réseaux sociaux et les journaux étrangers. La sentence est connue d’avance.

Application de la nouvelle jurisprudence : « Moins pour les dhimmis, et rien du tout pour les apostats ! »

Le Francistan l’a privé de son travail dans un « métier en tension».

Quelle bande d’hypocrites !

Et on les a radiés de l’AME, l’Aide médicale de l’État accordée à leur descente de bateau ou d’avion à tous les étrangers en situation irrégulière, terroristes compris, leur permettant de bénéficier d’un accès gratuit aux soins de santé… À condition qu’ils aient la bonne religion.

De son côté le préfet s’enferre dans ses arguties : Ata a été débouté de toutes ses demandes d’asile depuis 2020 par l’OFPRA et la CNDA. « Des organismes indépendants seuls habilités à juger des risques encourus en cas de retour dans le pays d’origine. »

Des fonctionnaires aussi dociles méritent une promotion.

Christian Navis

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