Secrets révélés

Qui a construit la Lune ? (9) Le message potentiel

Traduction du livre de Christopher Knight et Alan Butler

Knight et Butler ont découvert que la Lune possède peu ou pas de métaux lourds et n’a pas de noyau, ce qui ne devrait pas être possible. Leur conclusion convaincante : si la vie supérieure ne s’est développée sur Terre que parce que la Lune est exactement ce qu’elle est et où elle se trouve, il devient déraisonnable de s’accrocher à l’idée que la Lune est un objet naturel.

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Chapitre 9 : Le message potentiel

Au début, il n’y avait ni existence ni non-existence ; il n’y avait ni atmosphère, ni ciel, ni royaume au-delà du ciel. Quel pouvoir y avait-il ? Où était ce pouvoir ? Qui était ce pouvoir ? – Rig Veda 10:129.1-7 (environ 4000 avant J.-C.)

A ce stade, nous avions décidé que nous ne pouvions pas continuer à rassembler d’autres faits sans avoir un plan en place. La voie à suivre semblait être de développer une hypothèse afin de pouvoir voir comment les pièces du puzzle peuvent s’assembler. Nous avons convenu de suspendre tous les commentaires négatifs pour un moment, afin de ne pas passer à côté d’un point en en rejetant quelque chose qui remettait en cause nos idées préconçues. Ce n’est que lorsque nous aurons un modèle complet pour notre hypothèse, que nous l’évaluerons de manière critique et le comparerons à d’autres possibles.

Donc, nous entrons maintenant dans le monde de la modélisation en acceptant temporairement les trois concepts suivants comme réels :


  • 1. La Lune a été conçue par une espèce inconnue, il y a environ 4,6 milliards d’années, pour agir comme un incubateur afin de promouvoir la vie intelligente sur Terre.
  • 2. L’espèce inconnue savait que les humanoïdes seraient le résultat de l’évolution.
  • 3. Cette espèce inconnue voulait que les humanoïdes résultants sachent ce qui avait été fait et ils ont laissé un message indiqué par la dynamique de la Lune.

Nous étions bien conscients qu’il y avait quelques problèmes avec ces hypothèses, qui, si nous nous forcions à les réconcilier simultanément, inhiberaient la pensée latérale. L’un de ces problèmes était la question de la motivation : Pourquoi une espèce voudrait-elle un grand plan qui s’étend sur une période qui était égale à environ cinquante pour cent de l’âge de l’Univers à cette époque astronomiquement lointaine? Ce serait un plan à long terme au-delà de toute compréhension. Même dans ce cas, comment une telle espèce savait que la forme de vie résultante aurait dix doigts et fonctionnerait en base dix? Nous essayons de traiter ces questions mais il pourrait être nécessaire de les aborder à un stade ultérieur.

Un autre problème qui devait être mis de côté pour le moment, était la question de savoir comment les bâtisseurs de l’âge de pierre en sont venus à utiliser  les unités de mesure qui sont la clé pour décoder le message. Ces questions, parmi d’autres, devront être  traitées en temps voulu, mais nous allons maintenant examiner la base du message.

A la base de notre hypothèse, il y a l’idée que les dimensions et les mouvements de la Lune sont conçus pour nous alerter sur le fait qu’il ne s’agit pas d’un corps naturel. Nous devons donc retourner au début du système solaire lui-même. Personne ne sait avec certitude comment le système solaire a vu le jour mais, malgré toutes les idées sur la Lune ayant été fabriquée à partir de la Terre, tout le monde s’accorde à dire que le Soleil, la Terre et la Lune se sont tous formés il y a environ 4,6 milliards d’années. On pense que la Terre et la Lune se sont formées très peu de temps après que le Soleil soit devenu une étoile.

Les théories vont et viennent, mais il est probable que tout a commencé quand un vaste nuage de poussière et de gaz dans une région vide de notre galaxie a été compressé par la lumière des étoiles et les forces gravitationnelles, provoquant ainsi un processus d’accumulation.


Otto Schmidt a présenté pour la première fois la théorie de l’accrétion en 1944 et comme de plus en plus de preuves sont devenues disponibles, les théories concurrentes se sont estompées.

D’une certaine manière, que les astronomes ne comprennent pas encore, le Soleil s’est formé et a produit de la lumière et de la chaleur comme il le fait aujourd’hui. Le nuage de poussière et de gaz qui tournait autour de la nouvelle étoile, a continué à se refroidir, à rétrécir et tourbillonner de plus en plus vite avant de se séparer en anneaux. Chacun de ces anneaux a aussi continué à se refroidir et à rétrécir et on pense qu’ils se sont progressivement rassemblés en une sphère de gaz enflammée, dans le cas de planètes terrestres,  et de se refroidir au point que la partie principale devienne liquide et, finalement, solide.

Jusqu’à très récemment, il existait deux théories principales pour expliquer l’existence de la Lune. La première était qu’elle était un objet qui s’est formé ailleurs et a été d’une manière ou d’une autre pris dans l’orbite de la Terre ; et l’autre était une théorie appelée « coacrétion » ou l’hypothèse de la « double planète ». Cette seconde théorie supposait que la Terre et la Lune ont simplement grandi ensemble comme des jumelles, nées de l’essaim primordial de petits « planétésimaux ». Cependant, quand les roches lunaires ont été ramenées sur Terre, on a réalisé que la Lune n’avait pas de noyau métallique substantiel en fer et que ses roches ont des rapports isotopiques d’oxygène qui sont identiques à ceux de la Terre.

La théorie selon laquelle la Lune  provenait d’ailleurs est morte instantanément parce qu’il était évident que les roches s’étaient formées dans exactement la même région du système solaire que celles de la Terre. Mais le point inquiétant était que la seule théorie alternative était aussi efficace que l’hypothèse de la « capture ». La « co-accrétion » ne pouvait pas être correcte parce que le type et la proportion de matériaux devraient être à peu près les mêmes  pour les deux corps s’ils étaient des planètes  jumelles. Soudainement, plus aucune théorie de l’origine de la Lune n’existait.

Les scientifiques nous disent que la nature a horreur du vide – mais les scientifiques abhorrent le vide encore plus que la nature elle-même. Quelque chose devait être trouvé pour expliquer l’inexplicable. Cela a pris quelques années, mais en 1984 une idée qui semblait expliquer les faits a été avancée. La théorie originale du Big Whack était une tentative d’expliquer comment la Lune pouvait être faite de certains matériaux terrestres sélectionnés. Pour des raisons déjà évoquées, c’est une théorie qui ne fonctionne pas et nous sommes toujours dans une position où il n’y a pas d’explication étanche de la présence de la Lune là où elle est.

Donc retournons à ce qui est généralement considéré comme vrai à propos des débuts du système solaire. Le processus de fabrication de la Terre n’a pas été particulièrement rapide, comme le dit Stein B Jacobsen, un professeur de géochimie à l’Université de Harvard :

« Dans les 100 000 ans après la formation du Soleil, les premiers embryons des planètes Mercure, Vénus, la Terre, et Mars se sont formés… Certains ont grandi plus rapidement que d’autres, et en dix millions d’années, environ soixante-cinq pour cent de la Terre s’était formée.

Considérons maintenant une théorie du système Terre-Lune qui fonctionne. L’idée maîtresse est que c’est le résultat d’un dessein intelligent. Nous ne savons pas qui ou ce que cette intelligence hypothétique était, donc nous la désignerons UCA (Unknown Creative Agency) pour le moment.

Au commencement

La jeune étoile brillait, et les nuages de matière qui avaient récemment tournés autour d’elle dans une série d’anneaux avaient commencé le processus d’accrétion en sphères à différentes distances de l’étoile. Une de ces proto-planètes était à environ 150,000 kilomètres de l’étoile mère, et l’UCA a réalisé qu’elle avait le potentiel de produire de l’intelligence.

L’UCA peut croire que l’Univers est destiné à mourir, peut-être en devenant une soupe lisse et statique de matière incroyablement finement dispersée, juste une minuscule fraction au-dessus du zéro absolu. Le néant qui serait essentiellement la fin de tout – même du temps. Le but de l’UCA était de semer la vie partout où cela était possible, de créer des êtres intelligents qui pourraient s’épanouir, sortir et semer plus de vie eux-mêmes. De cette façon, le tissu même de l’Univers serait transformé en une matière consciente d’elle-même qui pourrait lentement inverser la spirale insensée vers l’entropie et le chaos éternel. Ils avaient un modèle à utiliser pour cet endroit – un modèle qui produirait un type spécifique de créature intelligente, basée sur le carbone et rendu possible par de l’eau liquide. Mais cela prendrait plusieurs milliards d’années pour que la sphère en mouvement se stabilise et passe par un processus d’évolution des formes de vie qui aboutirait à une espèce avec l’intelligence et, plus important, l’imagination pour comprendre leur rôle dans le cosmos, et ainsi  ils durent façonner et former la poussière d’étoile tourbillonnante – et ensuite lui donner l’étincelle de vie.

Il était important que lorsque cette planète naissante ait engendré sa pensée et soit technologiquement capable, les créatures comprennent exactement ce qui s’est passé pour les amener à l’existence, afin qu’elles puissent éventuellement répéter le processus elles-mêmes.  Ainsi, un Univers conscient de lui-même continuerait à se répliquer à travers l’immense étendue de l’espace et du temps.

L’exigence technique était importante. La proto-planète était complètement instable et elle était destinée à développer une surface qui serait bien trop rigide pour créer les conditions nécessaires pour que la vie commence et se développe. Elle avait besoin d’un régulateur – une présence gravitationnelle proche qui la ferait basculer juste assez pour que la surface ait une minuscule gamme de température qui oscillerait doucement pour distribuer uniformément l’énergie rayonnée par son étoile mère. Cela devait aussi être un régulateur qui initialement utilise sa gravité pour labourer la surface afin que les minéraux essentiels puissent être libérés pour que le processus de développement de la vie se poursuive.

Il était clair que la planète devait avoir une surface ameublie et la conclusion évidente était de fabriquer le régulateur à partir du matériau de surface. Cela réduirait la tendance de la surface à former une croûte continue et permettrait le mouvement à l’intérieur de la croûte elle-même. En jugeant de la masse requise, la taille et les caractéristiques orbitales du régulateur était un calcul stupéfiant de complexité, car il ne devait pas seulement avoir une relation changeante avec la planète dans le temps – il devait aussi contenir le message adressé à la forme de vie intelligente.

Le point d’équilibre a été calculé et il a été constaté que soixante-quatorze quintillions de tonnes devraient être retirées de la planète pour fabriquer le régulateur. Pour répondre à toutes les exigences, il aurait fallu une masse de seulement 1,234% de la planète révisée, mais sa taille physique devait être relativement grande, étant de 27,322 pour cent de sa mère. Elle devait donc être fabriquée avec le minimum d’éléments lourds comme le le fer et, même dans ce cas, elle devrait être partiellement creuse ou avoir la la consistance d’une éponge.

Des mécanismes ont ensuite été mis en place pour retirer un flux de matière de la jeune planète, qui serait transformée en une nouvelle planète en orbite de la Terre. La conception était telle que le régulateur augmenterait lentement sa distance orbitale jusqu’à ce qu’il atteigne une distance moyenne d’environ 384 500 kilomètres au moment prévu pour l’arrivée de la vie intelligente. Cela signifierait que pour les créatures à la surface de la planète, le disque du régulateur semblerait, à l’oeil nu, avoir la même taille que l’étoile au centre du système – ce qui serait la première ligne du message pour que les créatures terrestres en développement deviennent curieuses à propos du régulateur.

La réalisation que le facteur pour chacun était précisément 400 indiquerait aussi que le message serait délivré en arithmétique de base.

Peut-être que l’UCA a utilisé quelque chose comme la technologie des trous noirs pour soigneusement extraire seulement les éléments les plus légers de la petite planète. Un trou noir est une entité super dense avec tellement de gravité que même la lumière est aspirée à l’intérieur, comme la poussière dans un aspirateur. Un trou noir avec la masse du Mont Everest aurait un rayon minuscule – approximativement la taille d’un noyau atomique – et la pensée actuelle est qu’il serait difficile pour un tel trou noir d’avaler quoi que ce soit, bien qu’il attirerait certainement la matière comme un aimant géant. Une telle idée pourrait expliquer les mascons (les régions de haute gravité) que l’on trouve encore sur la Lune.

Quelle que soit la façon dont le travail d’ingénierie a été entrepris, le plus grand défi était de communiquer le message que les créatures intelligentes endémiques de la Terre puissent le repérer, car la simple familiarité de voir le régulateur dans le ciel nocturne les amènerait à le prendre pour acquis. Et l’UCA savait que l’intelligence conduit parfois à un émoussement de l’imagination, ce qui entraîne une confusion entre « décrire » et « comprendre ». Contrairement à ce que certains individus intelligents pensent, la capacité  à décrire quelque chose n’équivaut pas à sa compréhension.

Les niveaux suivants du message devaient être plus difficiles à ignorer. La décision a été prise de créer des modèles de chiffres qui ressortent comme très étranges.

L’UCA a réalisé qu’elle devait attirer l’attention sur la nature artificielle du régulateur en se basant sur un nombre vraiment fondamental qui représentait la planète. Le nombre qui a été choisi était le taux de rotation de la planète par orbite de l’étoile, qui devait être instantanément reconnaissable comme une valeur unique à la planète – un PIN (numéro d’identification personnel)  pour un monde entier. Donc, dans ce cas, c’est ce numéro d’identification planétaire qui était requis.

Dans la fenêtre temporelle requise, la planète tournerait à un rythme de 366 révolutions pour chaque orbite autour de son étoile mère, et l’utilisation du nombre 366 serait donc facilement  repérée comme numéro d’identification planétaire. Les créatures intelligentes reconnaîtraient le code PIN très tôt, car il suffit d’un minimum d’astronomie de base pour comprendre que ce nombre à trois chiffres est le plus fondamental de tous les nombres qui sont uniques à la planète.

Il est certain que ces créatures terrestres seraient très surprises quand elles auront calculé la taille relative de leur planète et du régulateur en orbite et pour découvrir que l’une est 366 pour cent plus grand que l’autre.

Le régulateur a également été conçu avec un numéro PIN qui était significatif pour les créatures intelligentes intelligentes. Ce numéro serait la réciproque du code PIN de la planète – l’image miroir de 366.

Les mathématiques étaient simples en soi. Le code PIN du régulateur de l’autorité de régulation est obtenu en considérant sa sa taille à 100 % et en le divisant par la taille relative de la planète, à savoir 366 pour cent. En travaillant avec cinq décimales le résultat est :

100/366 = 0.27322

Le régulateur a ensuite été soigneusement conçu pour qu’au moment clé il soit en orbite autour de la planète à une fréquence une fois tous les 27,322 jours planétaires. Les créatures auraient sûrement remarqué cela. Et comme une couche supplémentaire, si elles regardaient le problème dans l’autre sens, la taille du régulateur par rapport à la planète a précisément la même valeur numérique – étant 27,322 pour cent de son parent.

Il est certain que les créatures intelligentes de la Terre ne pouvaient pas manquer d’être alertées par une telle incroyablement improbable correspondance de nombres. Il n’y a absolument aucune raison pour que la période orbitale du régulateur en jours planétaires  fasse numériquement écho à la relation de taille relative qu’il entretenait aussi avec la Terre.

La conséquence de ces arrangements ne seraient pas perdus pour les nouvelles formes de vie parce qu’elles auraient facilement réalisé que pour chaque 10.000 de leurs jours planétaires, le régulateur accomplit exactement 366 orbites de la planète. Ils repéreraient sûrement l’utilisation de chiffres ronds en base dix et le PIN 366 étant répercuté par le régulateur.

Ensuite, s’ils ne reconnaissaient pas ces modèles de messages, cela signifierait qu’ils n’avaient toujours pas l’intelligence ou l’imagination, pour être considérés comme matures.

Intégration de la Lune dans le modèle Terre-Soleil

Il nous a semblé extrêmement probable que l’UCA devait avoir un certain contrôle sur le taux de rotation de la Terre et sa vitesse orbitale, afin qu’ils puissent s’assurer qu’elle atteigne les 366 rotations magiques au temps requis. D’après tout ce que l’on sait de la Terre, sa vitesse orbitale a diminué régulièrement depuis longtemps, mais à l’étonnement des scientifiques du National Institute for Science et Technologie à Boulder, Colorado, elle a soudainement arrêté cette décélération en 1999.

CNN a rapporté cette histoire le 2 janvier 2004 en disant :

« Les experts s’accordent à dire que la vitesse à laquelle la Terre voyage dans l’espace a ralenti de plus en plus légèrement depuis des millénaires. Pour que l’heure officielle du monde corresponde à là où la Terre se trouve réellement dans l’espace, les scientifiques en 1972 ont commencé à ajouter une  « seconde intercalaire » supplémentaire le dernier jour de l’année.

Pendant vingt-huit ans, les scientifiques ont répété la procédure. Mais en 1999, ils ont découvert que la Terre n’était plus à la traîne.

Au National Institute for Science and Technology de Boulder, le porte-parole Fred McGehan a déclaré que la plupart des scientifiques sont d’accord sur le fait que l’orbite de la Terre autour du soleil a ralentit progressivement depuis des millénaires. Mais il a dit qu’ils n’ont pas une bonne explication de la raison pour laquelle il est soudainement revenu dans le calendrier.

Cela nous a amené à chercher la vitesse réelle à laquelle la Terre s’est installée dans son orbite autour du Soleil, et nous avons été surpris de constater que sa  vitesse orbitale moyenne est presque exactement un dix millième de la vitesse de la lumière en un an.  A 29,780 mètres par seconde, la variance est inférieure à deux tiers de un pour cent. Nous avons pensé que c’était probablement une coïncidence – mais nous ne pouvions pas choisir quels facteurs sont, ou ne sont pas significatifs. Et nous devions nous rappeler que la valeur 10.000 était déjà apparue dans le nombre de jours terrestres pour chaque 366 orbites lunaires.

Nous avons ensuite porté notre attention sur le Soleil. Le diamètre du Soleil est estimé à 1,392,000km et comme le diamètre moyen de la Terre est de 12.742km, il s’ensuit que 109.245 Terres pourraient être placées côte à côte le long du diamètre du Soleil. Ce chiffre est un nombre qui ne se démarque pas pour une quelconque raison – du moins pas immédiatement. Mais quand nous avons regardé le nombre du diamètre du Soleil dans l’aphélie de la Terre (sa plus grande distance au Soleil) nous avons trouvé qu’il y en a 109,267, ce qui est effectivement une valeur identique parce que l’estimation du diamètre du Soleil se situe dans cette minuscule marge.

C’est étrange. Il y a le même nombre de diamètres de la Terre dans le diamètre du Soleil que de diamètres du Soleil entre la Terre et le Soleil. C’est un écho presque parfait qui ne fonctionne pour aucune autre planète du système solaire. Ces nombres sont des ratios et sont donc réels et indépendants des unités de mesure. Mais ce nombre  se démarque aussi parce qu’il y a 10 920,8 km dans la circonférence équatoriale de la Lune. Au moment où nous l’avons remarqué, nous avons considéré qu’il devait vraiment s’agir d’une coïncidence, car le nombre de kilomètres dans quelque chose ne pouvait pas être pertinent puisque le mètre est une unité qui est une convention humaine inventée.

Mais ensuite nous avons réalisé que la Lune tourne à une vitesse de précisément un kilomètre chaque seconde à son équateur et cela nous a paru très étrange. Peut-être avions-nous été trop hâtifs en rejetant le rôle du du système métrique. Nos observations sur les modèles inhérents à la taille et au mouvement de la Lune, en termes de ratios, sont au-delà du simple accident. Bien que nous acceptions que les modèles apparents qui reposent sur des unités de  mesure, comme les kilomètres, sont beaucoup plus difficiles à accepter sans une explication de comment cela a pu se produire. Toute personne « raisonnable rejetterait immédiatement de tels facteurs comme dénués de sens – mais alors nous pensons qu’il y a beaucoup de choses dans le vieil adage selon lequel  « tout progrès dépend d’une personne déraisonnable ».

Et certaines personnes n’arriveraient même pas à reconnaître les modèles dans les rapports au sein du système Soleil-Terre-Lune. Une personne scientifiquement formée regardant l’un de ces
points répondrait presque certainement en disant que « tous les nombres sont également valables ». Une valeur telle que 100 ou ou 40 000 est tout aussi probable que n’importe quel autre nombre. Nous sommes tout à fait d’accord avec ce point de vue et nous ignorerions de tels résultats s’ils ne se produisaient qu’une fois ou même deux, mais nous sommes confrontés à toute une liste de valeurs non aléatoires qui s’additionnent pour créer ce qui serait autrement la plus improbable série d’événements fortuits dans l’histoire du cosmos. Et, selon notre point de vue, toute personne qui rejette tous ces points comme des coïncidences est soit très illogique, soit carrément malhonnête.

Il est absolument vrai que si quelqu’un lance une pièce de monnaie 100 fois et qu’il en ressort à chaque fois, la probabilité que le prochain lancer donne  exactement 50/50, c’est perturbant. Si cela vous arrive dans le monde réel, nous suggérons qu’avant de les laisser lancer la pièce de monnaie vous vérifiez que la pièce n’est pas truquée. Seul un idiot ne serait pas méfiant.

La découverte scientifique a toujours été un processus d’identification de modèles qui se démarquent du chaos des événements aléatoires. Par exemple, l’identification des zones où il y a plus de cas d’une maladie spécifique est susceptible d’indiquer un facteur local tel que des roches radioactives, une fuite de d’effluents industriels nocifs ou une usine alimentaire contaminée. Lorsque quelque chose s’écarte nettement de la norme, il y a généralement une raison.

Si nous examinons les informations disponibles de manière logique, et sans idées préconçues de ce qui est et n’est pas possible, la Lune semble avoir été insérée dans la relation Soleil-Terre  avec la précision proverbiale d’un horloger suisse !

Une interaction récente

Il semble que personne n’ait auparavant découvert ce message et nous ne l’avons  rencontré à cause de nos découvertes concernant les unités mégalithiques. Nous soupçonnons que le problème est celui d’une trop grande connaissance et d’une perte de capacité des experts, dans notre monde super-technologique, à penser simplement. Peut-être que si Galilée ou Isaac Newton avaient eu accès à l’information que nous avons aujourd’hui, ils auraient remarqué ces problèmes concernant la Lune, mais, hélas, ils n’avaient pas les mesures précises que nous avons et donc ils ne pouvaient pas observer les modèles. Aujourd’hui nous avons les informations nécessaires, mais les astronomes sont naturellement plus intéressés par les quasars, les pulsars et toutes sortes d’objets de l’espace  lointain plutôt que par les fondamentaux de la relation Terre-Lune.

Nous devions maintenant envisager un scénario qui expliquerait comment le Yard mégalithique a pu être impliqué dans ce message ultra longue distance.

Peut-être que l’UCA était conscient du problème potentiel  de manquer la nature du message à cause d’une trop grande sophistication et a pris des mesures pour injecter des informations supplémentaires près du moment clé  où le message devait être interprété. Peut-être, avons-nous pensé, que l’UCA était intervenue à un certain nombre de points clés tout au long du processus de développement humain.

Ces réflexions étaient plus complexes que le scénario du « tout et n’importe quoi » d’une espèce inconnue construisant un régulateur planétaire qui était, en fait, un incubateur pour la vie. L’idée qu’une entité, probablement une espèce avancée d’une autre galaxie, a établi un mécanisme pour favoriser la vie et ensuite est passée à autre chose, semblait raisonnable face à de telles preuves. Mais la pensée d’une espèce qui a maintenu un engagement périodique avec l’humanité à travers plusieurs milliards d’années est beaucoup plus difficile à concilier.

Cependant, nous avons décidé de nous en tenir à notre méthodologie consistant à examiner les raisons de « pourquoi » avant de traiter les raisons de « pourquoi pas ». Nous devions revoir le matériel de l’histoire ancienne et de la préhistoire qui nous a amené à regarder précisement la Lune.

Tout d’abord, nous devions nous rappeler que c’était parce que les structures en pierre du quatrième millénaire avant J.-C. ont été apparemment créées pour étudier la Lune, qu’Alexander Thom a passé sa vie à les étudier. Est-ce que ces grandes pierres debout pouvaient être dirigées
délibérément vers la Lune et le Soleil? L’orientation des structures mégalithiques l’a certainement conduit à identifier le Yard mégalithique comme étant une unité de 82,96656 cm – à 0,61 cm près. Et cela nous a conduit aux conclusions exposées dans ce livre.

Comme indiqué précédemment, nous avons découvert que le Yard mégalithique était simplement le point de départ d’un système de mesure holistique qui traitait de la distance linéaire, la masse, le volume et le temps. C’était un système tout à fait brillant et nous avons découvert que de nombreuses unités modernes en sont issues comme la pinte impériale et la livre.. Nous avons été incapables d’imaginer comment la livre et la pinte ont pu survivre à travers tant de millénaires, mais c’est un fait des mathématiques qu’elles sont directement liées, soit par dessein, soit par une incroyable série de coïncidences.

Pour résumer, le fait le plus intriguant à propos du Yard mégalithique réside dans la façon dont il a été ingénieusement conçu pour s’adapter avec précision à la circonférence de la Terre. La géométrie mégalithique était légèrement différente de la géométrie à 360 degrés inventée par les Sumériens, qui est toujours utilisée plus de quatre mille ans plus tard. Elle était basée sur 366 degrés, apparemment (et très logiquement) parce que la Terre tourne une fois sur son axe pendant qu’elle voyage dans son grand cercle orbital autour du Soleil.

Sous ce système de géométrie de l’âge de pierre, chacun des 366 degrés était divisé en soixante minutes d’arc et chaque minute d’arc en six secondes d’arc.

L’incroyable beauté de ce système est que lorsque le globe de la Terre a été traité comme un immense cercle, la circonférence polaire de la Terre est exactement de 366 mètres mégalithiques à une seconde d’arc polaire. Nous avons été très surpris de la façon dont le Yard mégalithique divisait en deux la  circonférence de la Terre, mais ce que nous ne nous attendions pas à découvrir, c’est un lien direct entre le Yard mégalithique et d’autres corps dans notre système solaire. Et il n’y en a pas – à part celui de la Lune et du Soleil.

La Lune a un magnifique 100 mètres mégalithiques à chaque seconde d’arc, ce qui pourrait être une très étrange coïncidence si ce n’était pas  tous les autres faits que nous avons découverts et qui indiquent toute une série de nombres ronds. Et bien sûr, le Soleil a une distance incroyable de 40,000 mètres mégalithiques pour chaque seconde d’arc mégalithique. Quelle parfaite manière d’annoncer que la Lune est exactement 400 fois plus petite que le Soleil.

Nous avons également noté que tandis que le Soleil a 40,000 mètres mégalithiques pour une
seconde d’arc mégalithique, le système métrique a été conçu pour que la circonférence polaire de la Terre soit de 40 000 kilomètres. Il nous a semblé assez étonnant que quelqu’un, il y a plus de 5.000 ans ait pu créer une unité de mesure qui fonctionne comme un entier parfait de la planète dans un système si élégant de géométrie – en commençant et en finissant par le code PIN de la Terre, 366.

Alors que cela était impressionnant, nous étions perplexes devant l’impossibilité apparente de créer une unité et une géométrie qui produisait des nombres entiers joliment ronds sur la Terre, la Lune et le Soleil. Faire cela devrait être aussi proche de l’impossible que possible.

Les unités qui sont entières, dans la même géométrie, pour deux corps célestes serait très difficile – mais trois ? C’est ridicule ! Et pourtant, les sommes parlent d’elles-mêmes. Le fait que l’approche ne fonctionnait pour aucun autre corps dans le système solaire indiquait une relation très spéciale pour la Terre, la Lune et le Soleil.

L’impossibilité apparente que les habitants du Néolithique aient eu les compétences pour développer un tel merveilleux système est maintenant résolue lorsque nous introduisons l’espèce créatrice inconnue, car si elle a commencé avec la connaissance des dimensions des deux corps originaux (le Soleil et la Terre), elle aurait pu avoir modifié la Lune pour qu’elle réponde aux mêmes règles. Notre hypothèse était, donc, de supposer que l’UCA a d’une manière ou d’une autre demandé aux constructeurs de l’âge de pierre d’adopter le système que nous appelons géométrie mégalithique.

Dans notre précédent livre, Civilization One, nous avons émis l’hypothèse que les plus anciens enregistrements des Sumériens et des Égyptiens antiques étaient en fait corrects quand ils ont affirmé que leurs propres civilisations avaient été instruites dans les arts et les sciences par une espèce externe.

Dans ces documents, il est fait référence à des personnes appelées « les gardiens » qui enseignaient la géométrie, les mathématiques, l’astronomie, l’agriculture et d’autres sciences. La population indigène ne savait pas d’où venaient ces personnes et ils les décrivaient comme ayant des pouvoirs surhumains, bien qu’ils étaient clairement des êtres humains et non des dieux.

Vers 3100 avant J.-C., l’Égypte antique est devenue un royaume uni et sa période d’histoire enregistrée a commencé. Dans le même temps, les Sumériens construisaient leurs grandes villes et développaient des techniques sophistiquées de  travail du métal, de fabrication du verre et de l’agriculture. Dans la vallée de l’Indus du sous-continent indien, les civilisations de Harappa et de Mohenjodaro construisaient également d’immenses villes et dans les îles britanniques, de superbes structures mégalithiques comme Newgrange, Maes Howe et l’Anneau de Brodgar étaient construites. N’est-il pas très étrange, en effet, que dans une période de temps aussi précise, le  monde entier ait soudainement décidé de passer à la vitesse supérieure et d’entrer dans une période de véritable civilisation?

Nous avons trouvé plus qu’étrange que ces peuples sans lien entre eux  fassent un tel pas en avant exactement au même moment. Et nous avons récemment trouvé de nouvelles informations qui ont rendu nos soupçons encore plus grands. Le 23  décembre 2004, de nouvelles découvertes ont été publiées qui révisent de manière significative la datation des premières civilisations américaines. Il a été rapporté que les preuves montrent maintenant que la plus ancienne civilisation des Amériques remonte à bien plus tôt que ce que l’on pensait auparavant – en fait, elle remonte à 3100 avant J.-C., époque à laquelle des sociétés complexes et les constructions communales sont soudainement apparues au Pérou. Cette culture émergente était la première dans les Amériques à développer une prise de décision, une religion formalisée, des hiérarchies sociales et une économie mixte basée sur l’agriculture et la pêche.

Un membre de l’équipe qui a rapporté ces résultats dans la revue scientifique de référence, Nature, est Jonathan Haas, du département d’anthropologie du du Field Museum de Chicago. Il a déclaré :

« L’échelle et la sophistication de ces sites sont sans précédent nulle part dans le Nouveau Monde à cette époque, et à presque n’importe quelle époque. Ces dates repoussent les origines de la civilisation dans les Amériques à quelque chose de plus parallèle à celles des  autres grandes civilisations anciennes ».

Certaines des colonies  qui auraient compté au moins 3 000 habitants comprenaient des monticules de plates-formes, que l’on pense être des pyramides, des places centrales, des temples et des habitations. La plus grande pyramide de Caral, connue sous le nom de Primade Mayor, est contemporaine des premières pyramides égyptiennes, datant de de 2627 av. A partir de ces données, les archéologues ont conclu qu’il y avait une construction communale à grande échelle et une concentration de population à travers toute la région.

Le Dr José Oliver, maître de conférences en archéologie latino-américaine à l’Institut d’archéologie de l’University College de Londres, a déclaré :

« Cela confirme que vers 3100 avant J.-C., les constructions monumentales étaient déjà en cours, pas seulement sur un site isolé, mais dans toute une région ».

Comme nous l’avons déjà dit, la science consiste à reconnaître des modèles. Les humains n’ont pas changé physiquement ou intellectuellement au cours des cent milliers d’années, mais soudainement, il y a un peu plus de 5 000 ans, des personnes non reliées entre elles dans le monde entier ont commencé à construire de grandes structures et des villes importantes ; mais à part une certaine interaction entre Sumériens et Égyptiens, ces groupes semblent s’être développésbde façon tout à fait indépendante.

L’archéologie n’a n’a pas trouvé d’artefacts interculturels évidents, on suppose donc qu’ils  se sont épanouis en même temps par  pure coïncidence. Mais s’ils sont apparus dans le monde entier parce qu’ils ont tous bénéficié de l’enseignement d’une espèce créatrice inconnue, on ne doit pas nécessairement s’attendre à une exacte communauté d’interprétation de ces idées. Néanmoins, il est clairbqu’il existe des connexions culturelles significatives, comme la construction de pyramides et le culte de Vénus.

Il y a, semble-t-il, des preuves très  puissantes, bien que circonstancielles. d’une intervention d’un groupe hautement avancé, il y a plus de 5 000 ans. Nous devons admettre, cependant, que nous ne pouvons pas concevoir comment une espèce aurait pu maintenir un contact avec le développement de la Terre sur plusieurs milliards d’années. Néanmoins, nous ne considérons pas qu’il est de notre devoir de rejeter une information simplement parce que nous ne pouvons pas l’expliquer.

Tout dépend des règles de base de l’observateur : si quelqu’un refuse de regarder des modèles évidents parce qu’il considère qu’un modèle ne devrait pas être là, alors il ne verra rien d’autre que le reflet de ses propres préjugés.

Les nombres réciproques

Alors que nous réfléchissions à ce que nous avons trouvé, le jeu des nombres impliqué dans le système Terre-Lune-Soleil n’était rien de moins que stupéfiant. Nous étions amusés par le charme de cette machine virtuelle, surtout lorsqu’on utilise le système métrique. Nous avons
regardé cette petite équation en utilisant les kilomètres : (Lune x Terre)/100 = Soleil

Cela signifie que si nous multiplions la circonférence de la Lune par celle de la Terre, le résultat est de 436 669 140 km. Si l’on divise ensuite ce chiffre par 100, on obtient  436 669 km, ce qui correspond à la circonférence du Soleil, avec une précision de 99,9 pour cent. Comme c’est bizarre !

Bien sûr, si nous divisons la circonférence du Soleil par celle de la Lune et qu’on la multiplie par 100, on obtient la circonférence polaire de la Terre. Et, comme nous l’avons souligné, si nous divisons la taille du Soleil par la taille de la Terre et que nous la multiplions par 100, nous obtenons la taille de la Lune.

Rien de tout cela n’est magique ou de la simple numérologie. Il se peut que ce ne soit rien de plus
qu’une coïncidence amusante mais, étant donné tous les modèles de rapports que nous avons observés, il serait stupide de l’ignorer.

Cependant, l’idée que les kilomètres peuvent être significatifs pour les questions concernant la Lune est difficile à avaler. Tout lecteur sera pardonné de douter de ce qu’il lit ici. Néanmoins, si
quelqu’un choisit de vérifier les chiffres – tout fonctionne. Et si vous n’êtes toujours pas sûrs de l’idée, jetez un coup d’œil à ce fait ; il nous a certainement stupéfié lorsque nous l’avons découvert.

La Lune a une période de rotation sidérale de 655,728 heures, ce qui signifie qu’elle effectue une rotation tous les 27,322 jours terrestres. Étant donné que la Lune a une circonférence équatoriale
de 10 920,8 kilomètres, cela signifie que la Lune tourne à 400 kilomètres par jour terrestre !

Considérez simplement ces faits  incontestables dans leur ensemble : La Lune est le 400ème de la taille du Soleil. La Lune est 400 fois plus proche de la Terre que le Soleil. La Lune en rotation a une vitesse de 400 km par jour terrestre. Une coïncidence ? Eh bien, peut-être – ou peut-être pas.

La Terre tourne à 40 000 kilomètres par jour et la Lune tourne à une vitesse plutôt précise de 100 fois moins. La Lune fait toujours face à la Terre alors qu’elle voyage sur son orbite autour de notre planète et pourtant la distance moyenne est telle que la vitesse de rotation équatoriale est précisément de un pour cent d’un jour terrestre.

Ces chiffres sont tout à fait vérifiables et indiscutables. Comment tout cela pourrait-il être accidentel? Assurément, seul un imbécile ne souhaiterait pas examiner cette situation plus avant. Pourtant, nous devons être réalistes quant à la façon dont certaines personnes verront notre décision de considérer l’apparemment impossible. Nous sommes bien conscients que beaucoup, et peut-être la plupart, des experts fermeront les yeux.

Terence Kealey, un biochimiste clinique et vice-chancelier de l’Université de Buckingham, a écrit un article dans le Times (Londres) du 15 novembre 2004 sous le titre « Qui a dit que la science était une question de faits ? Ils ne font qu’entraver le chemin d’une bonne théorie« .  Il s’en souvient comme suit :

« Quand Charles Moore était rédacteur en chef de The Spectator, il m’a demandé un jour pourquoi, parmi ses collaborateurs, c’était ceux qui étaient formés en sciences qui étaient les moins honnêtes… Charles Moore avait supposé que les scientifiques révèrent les faits, mais cette supposition est un mythe : les scientifiques traitent en réalité les faits de la même manière que les avocats traitent les témoins hostiles – avec suspicion.

Le créateur du mythe était Karl Popper. Popper n’était pas un scientifique mais un politique qui proposait que la science fonctionne par la « faisabilité » : les scientifiques découvrent des faits ; ils créent une théorie pour les expliquer ; et la théorie est acceptée jusqu’à ce qu’elle soit réfutée par la découverte de faits incompatibles qui inspirent alors une nouvelle théorie… Pourtant, c’est un mythe que les scientifiques en activité respectent toujours, la faisabilité. Souvent, les scientifiques ignorent les preuves dérangeantes.

Nous ne pourrions pas être plus d’accord, et donc nous ne serons pas surpris si les gens ignorent la possibilité que le système métrique pourrait être (aussi fou que cela puisse paraître) fondamental d’une certaine manière pour le Soleil, la Lune, ainsi que la Terre. Le fait est que, pour une raison quelconque, le kilomètre démontre l’essence de la relation entre le Soleil, la Lune et la Terre, à la fois en termes de taille et de caractéristiques orbitales.

Comme si tout cela n’était pas assez incroyable nous devons aussi aborder le fait que la Lune a une orbite qui en fait un « miroir du temps ». Comme nous l’avons observé plus tôt, la Lune imite le Soleil à des moments clés de l’année. Par exemple, alors que le Soleil se couche au nord au moment du solstice d’été, la Lune se couche au sud et quand le Soleil se couche au sud au moment du solstice d’hiver, la Lune se couche infailliblement au nord. C’est un aspect des associations Soleil-Lune qui semblait sans doute être de la magie pour nos anciens ancêtres et c’est encore un autre reflet de la  position et des caractéristiques orbitales de la Lune.

Les raisons du « Pourquoi pas »

Nous avons construit un scénario qui correspond à tous les faits, mais qui a délibérément ignoré certaines des conséquences qui ont surgi. Nous devons maintenant examiner les raisons pour lesquelles ce scénario pourrait être erroné. Sans  l’attache intellectuelle d’avoir à se conformer à des idées qui sont dans les limites de ce qui est déjà accepté, nous avons argumenté qu’une espèce intelligente a construit la Lune pour permettre à la vie de se développer sur la planète que nous appelons Terre.

Nous avons pris une vue d’ensemble et nous n’avons pas ignoré les faits que nous ne souhaitons pas avoir dans notre image de ce qui aurait pu être. Le premier problème auquel nous pensions être confronté, celui de la motivation, a été potentiellement résolu dans la mesure où il pourrait faire partie d’une grande quête pour convertir l’Univers en une entité intelligente, et consciente d’elle-même à la fin des temps. Une telle idée semblerait certainement s’accorder avec les principes de certains systèmes de croyance orientaux tels que l’hindouisme.

La Lune était déjà outrageusement impossible avant  d’introduire le problème de l’intrication de valeurs interdépendantes, dont nous avons fait valoir qu’il s’agit d’un message délibéré. Avec les valeurs numériques qui existent dans les ratios, nous ne comprenons pas comment quiconque pourrait sérieusement prétendre qu’il s’agit de coïncidences. Mais le plus grand défi que nous devons relever est la question de savoir comment le Yard mégalithique et le système métrique ont été impliqués avec une Lune artificielle construite comme un système de survie pour la Terre.

Nous ne pouvons pas nous cacher du problème que, si nos déductions sont exactes, notre
espèce créatrice non identifiée a eu contact avec nous au moins une fois au cours des 6 000 dernières années. Si cette espèce souhaitait que les humains sachent ce qu’ils ont fait – et qu’ils (ou elles) sont capables de prendre contact si récemment – alors pourquoi ne se pointent-ils pas maintenant pour nous dire ce qui a été fait dans un passé lointain, au lieu de laisser des messages sur la Lune?

Nous étions perplexes. Cela ne semblait pas avoir de sens. Alors que nous débattions de ce point délicat, nous avons envisagé un scénario alternatif qui ne nécessiterait pas de contact direct de la part de l’UCA. Peut-être, avons-nous pensé, que la montée du système Mégalithique et même du système métrique ont été programmés sur notre planète, au point que les humains répondent à ces valeurs tout naturellement et sans savoir pourquoi. Peut-être que les effets gravitationnels du Soleil et de la Lune interagissent avec la propre gravité de la Terre et les effets de sa rotation dans l’espace.

Il est connu que l’orbite tournante de la Terre cause une perturbation dans l’espace-temps, donc peut-être que la valeur que nous avons appelé le code PIN, la valeur 366, est en fait le battement de coeur de notre planète. Peut-être que nous ne pouvons pas nous empêcher de suivre certains modèles numériques?

Nous soulevions des questions plus rapidement que nous ne résolvions les problèmes, mais il y avait une forte logique à cette notion. Nous savions que les anciens Sumériens avaient utilisé un système virtuellement identique au système métrique au milieu du troisième millénaire avant J.-C., avec un double kush qui correspondait à 99,88 % d’un mètre. Cette unité était accompagnée d’autres qui étaient pratiquement un litre et un kilo.

Nous avions déjà noté que la seconde de temps semblait être réelle d’une certaine manière, plutôt qu’une convention abstraite. Sur Terre, un pendule qui se balance au rythme d’une fois par seconde aura une longueur d’un mètre, avec d’infimes variations dépendant de la distance précise de l’utilisateur par rapport au noyau de la planète.

Peut-être que les valeurs programmées dans la Terre par l’UCA étaient si fondamentales que toute forme de vie intelligente évoluant sur la Terre y répondrait. La découverte relativement récente que les pendules semblent se détraquer pendant une éclipse totale pourrait indiquer de brèves interruptions de  l’harmonie terrestre. Nous étions conscients que nous mettions de la spéculation sur la spéculation mais ça avait du sens. Et nous devons nous rappeler que nous n’essayons pas de remplacer toute théorie bien raisonnée qui existe déjà, donc ces possibilités ont l’avantage d’être les seules à correspondre à tous les faits connus.

La conclusion de tout ceci est qu’une espèce créatrice inconnue a fait la Lune à partir de parties de la Terre  pour qu’elle puisse agir comme un incubateur pour la vie. La prochaine question à se poser est la suivante : Qu’a-t-on mis dans la couveuse pour qu’elle devienne éventuellement une forme de vie intelligente? La mise en place du matériel était assez impressionnant mais quel logiciel a été utilisé?

A suivre …


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