« Beaucoup d’anciens nazis arabes ont rejoint le FLN pour participer à la guerre d’indépendance. » – Boualem Sansal
Au printemps 2017, quelques semaines avant l’élection présidentielle, Macron avait décrit la colonisation française comme un crime contre l’humanité, et il l’avait fait au côté de membres du FLN algérien, sur le sol algérien.
Cela avait été une insulte à la France et à l’armée française, et un crachat au visage de tous ceux qui ont donné naissance à l’Algérie, car avant la colonisation française, l’Algérie n’existait pas (et ce doit être dit, la France a créé l’Algérie et a bâti tout ce qui en a fait un pays).
Cela avait été un signe de lâche complicité avec le FLN, une ancienne organisation terroriste à laquelle la France a cédé le pouvoir en 1962 et qui, depuis, a dirigé le pays qu’elle était censée gouverner, vers le naufrage et le sous-développement.
La guerre d’Algérie a été déclenchée par le FLN, qui a été une organisation terroriste particulièrement barbare, et qui, elle, s’est rendue coupable d’actes méritant vraiment d’être qualifiés de crimes contre l’humanité.
C’est une organisation dont la “branche militaire” a été dirigée par un homme qui s’est engagé dans la Wehrmacht au temps d’Adolf Hitler et qui a appris la haine et l’ignominie chez les nationaux-socialistes, Said Mohammedi.
https://youtu.be/obfBc7NNsY0?si=29WZLke8Gcl4rHtv
C’est une organisation qui traite comme un héros, jusqu’à ce jour, Mohammed al Maadi, qui dirigea la “brigade nord-africaine” de la Gestapo française au temps de la collaboration, “brigade” qui a commis des massacres sur le sol français à la fin de la Deuxième guerre mondiale.
Mohamed El Maadi, ultranationaliste, collaborationniste pro-nazi et déclencheur de pogroms…
Mohamed El Maadi est le personnage central d’un récit détaillé sur des événements troubles et volontairement troublés dans l’Algérie des années Trente. Du 3 au 5 août 1934, la ville de Constantine vécut trois jours d’émeutes qui opposèrent communautés juive et musulmane, ces journées occasionnèrent vingt-huit morts (dont vingt-cinq de confession juive).
La plus jeune avait trois ans, et fut égorgée. Il s’agit là des violences antisémites les plus meurtrières dans l’histoire contemporaine de la France en temps de paix. Ces meurtres constitueront un tournant dans une histoire qui aboutira au départ des Juifs d’Algérie en 1962.
Mohammed al Maadi tentera de trouver refuge en Allemagne dans les derniers mois de la guerre auprès de Amin al Husseini, l’ancien mufti antisémite de Jérusalem, l’un des responsables de la Shoah, l’oncle du chef de bande terroriste islamique Yasser Arafat, alias Abou Ammar.
Ce qui est certain, c’est que le FLN est une organisation à laquelle la France n’aurait jamais dû céder le pouvoir, et le fait que la France l’ait fait a couté la vie à des milliers d’innocents, pieds noirs et harkis, et a ruiné et ravagé ce que la France et des Français avaient créé.
C’est une organisation que les dirigeants français, s’ils avaient un sens minimal de l’honneur, devraient traiter comme un ennemi répugnant, sans jamais lui céder quoi que ce soit, verbalement ou matériellement.
C’est une organisation vis-à-vis de laquelle la soumission n’est vraiment pas de mise.
Or, Macron vient de reconnaitre la “responsabilité de la France” dans la disparition d’un avocat algérien en 1957, Ali Boumendjel, et il dit que cet avocat a été “torturé et assassiné par l’armée française” à l’époque. C’est censé être, dit-on, un geste d’“apaisement” vis-à-vis de l’Algérie. C’est plutôt un geste de soumission et de falsification de l’histoire.
Ali Boumendjel était du côté du FLN, donc du côté des atrocités commises par le FLN. L’armée française à l’époque faisait la guerre à des terroristes qui commettaient des atrocités, et il a été dès lors complice. Un complice de terroristes atroce ne mérite aucune pitié.
L’armée française à l’époque avait des vies à sauver, celles des victimes d’attentats terroristes à venir. Un Président français qui se conduit comme Emmanuel Macron est indigne d’être Président.
Dans un contexte où nombre d’Algériens vivent en France et sont, pour un certain nombre d’entre eux, devenus français, Emmanuel Macron envoie un signal effroyable et délétère qui ne peut qu’aggraver une situation déjà marquée par la violence et le refus de la France et de la civilisation occidentale par de nombreux immigrés et Français de papier.
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