Secrets révélés

Qui a construit la Lune ? (19) Le monde à partir d’une graine d’orge

Traduction du livre de Christopher Knight et Alan Butler

Knight et Butler ont découvert que la Lune possède peu ou pas de métaux lourds et n’a pas de noyau, ce qui ne devrait pas être possible. Leur conclusion convaincante : si la vie supérieure ne s’est développée sur Terre que parce que la Lune est exactement ce qu’elle est et où elle se trouve, il devient déraisonnable de s’accrocher à l’idée que la Lune est un objet naturel.

Lire tous les chapitres du livre Qui a construit la Lune ?

Appendice 5 : Le monde à partir d’une graine d’orge

Le travail précédent que nous avions entrepris pour notre livre Civilization One avait présenté un certain nombre d’anciens systèmes de mesure antiques. Aucun d’entre eux ne nous a surpris plus que celui créé par les Sumériens, une culture qui a pris naissance dans ce qui est actuellement connu comme l’Irak à peu près au même moment où la culture mégalithique s’épanouissait en Grande-Bretagne et en France.

Notre travail en cours pour le présent ouvrage nous a fait réexaminer certains aspects du système de mesure sumérien. Il se pourrait qu’une autre partie du message qui nous a été laissé, indiquant une intervention délibérée dans l’origine et le progrès de l’humanité, est encapsulée dans les méthodes que les Sumériens utilisaient pour mesurer leur monde.


Parmi une pléthore de différentes longueurs linéaires, de poids et de mesures, il était possible pour nous de reconstruire l’ensemble du système sumérien tel que nous sommes sûrs qu’il était censé être à l’origine. Nous avons démontré comment les Sumériens utilisaient un pendule et la planète Vénus afin d’établir l’unité de base de la longueur linéaire, qui était connue sous le nom de double kush.

Les statues existantes du roi sumérien Gudea démontrent que le double kush devait mesurer 99,88 cm. Les unités de volume et de poids ont été dérivées du double kush en créant un cube avec des côtés de 1/10 d’un double kush. La quantité d’eau pure contenue dans un tel cube représentait le sila, qui était l’unité sumérienne pour mesurer le volume. Le poids de cette eau était connu sous le nom de mana ou mina et était l’unité sumérienne pour mesurer la masse.

Comment nous avons démêlé tout cela à partir des documents sumériens est expliqué en détail dans notre livre Civilisation One.

Il ne semblait y avoir aucun doute que le double kush avait en effet été créé par le biais d’un pendule et des observations de la planète Vénus, mais ce n’était pas  la seule façon dont le système sumérien pouvait être recréé. Tout dans le système reposait également sur la taille, la forme et le poids d’une humble graine d’orge.


Pour les Sumériens, une graine d’orge était connue sous le nom de se. Jusqu’à nos propres enquêtes, de nombreux experts  croyaient que l’utilisation de la graine d’orge par les Sumériens pour mesurer était probablement une abstraction. Il était généralement considéré que les Sumériens auraient à l’origine utilisé de telles graines (comme c’était le cas dans l’ancienne Europe occidentale), mais que, comme dans le cas de l’Europe, les graines sont finalement devenues des mots représentant des tailles et des poids qui n’avaient plus rien à voir avec les graines d’orge.

Les Sumériens prétendaient que 360 graines d’orge était la mesure du double kush, ce que les experts de la culture sumérienne nient activement ou au mieux, l’ont totalement ignoré. Nos enquêtes approfondies ont montré de façon concluante pourquoi cet état de fait. Les experts avaient sans doute supposé que si les Sumériens avaient utilisé des graines d’orge comme de minuscules unités de longueur, ils devaient les avoir posé  bout à bout. C’est probablement la raison pour laquelle il est maintenant généralement considéré que les graines elles-mêmes ont fini par perdre tout contact avec les unités de mesure, car lorsqu’elles sont mises bout à bout, elles n’ont aucun sens.

Cependant, nous avons découvert que si les graines étaient posées sur le côté et de l’avant vers le dos (comme elles auraient pu être soigneusement enfilées sur un collier), elles se conformaient absolument au système sumérien.

Nous avons ensuite démontré, par une expérience pratique, que les Sumériens avaient également été tout à fait corrects dans leur estimation du « poids » d’une graine d’orge moyenne et nous avons été stupéfaits de découvrir que même les graines d’orge modernes ont presque exactement les mêmes dimensions et le même poids que leurs homologues sumériens.

Il a été possible de montrer qu’en termes de mesure de la masse, l’ensemble du système sumérien était irrévocablement et apparemment délibérément lié à la masse globale de la Terre elle-même. Nous comprenons que cela semble absolument absurde pour une culture aussi ancienne mais quand on voit les chiffres impliqués, il n’y a  aucun doute là-dessus.

Selon les textes sumériens, il était considéré qu’il y avait 10 800 graines d’orge pour l’unité de poids connue sous le nom de mana ». Le poids de l’eau contenue dans le double mana, en supposant un double kush de 99,88 cm et un cube dont les côtés sont de 1/10 de cette taille, aurait été de 996,4 grammes.

La masse de la Terre est estimée à 5.976 x 10<sup>24</sup> kg. Si nous divisons ce chiffre par .9964 afin de déterminer combien de double mana il y a à la masse de la la Terre, nous arrivons à 5,99759 x 10<sup>24</sup> double mana. Ce nombre est si proche de 6 x 10<sup>24</sup>(99,99 pour cent) que ce nombre doit sûrement être le nombre voulu.

Puisqu’il y a 10.800 graines d’orge d’orge dans le mana et donc 21.600 graines pour le double mana, il est possible de montrer que la masse de la Terre est égale à celle de 1,296 x 10 <sup>29</sup> grains d’orge. Ce ne semble pas être un chiffre particulièrement impressionnant, mais il a des propriétés très importantes.

Si nous devions segmenter la Terre, comme une orange, nous découvririons que chaque 1/360e
segment de la Terre a une masse égale à 3,6 x 10 <sup>26</sup> graines d’orge. Une nouvelle division par soixante nous amène à 6 x 10<sup>24</sup> grains d’orge et encore une autre division de soixante donne 1 x 10<sup>23</sup> graines d’orge, ce qui peut être exprimé de manière complète par 100,000,000,000,000,000, 000,000.

Le point de départ de cet exercice était une masse terrestre de 6 10<sup>24</sup> double mana pour la masse de la Terre, qui aurait été très significatif en termes sumériens puisqu’il y avait un système sexagésimal (base soixante).

Pour toutes les raisons expliquées dans Civilisation One, nous ne pouvons pas accepter que
cet état de fait soit une coïncidence. Ce que nous avons avec le système sumérien est un moyen entièrement intégré de mesurer la longueur, le volume, la masse, la surface et le temps, en utilisant les mêmes bases numériques dans chaque cas. L’ensemble du système peut être construit à partir d’un pendule réglé par les mouvements de Vénus sur un degré d’arc de l’horizon ou encore à partir d’un degré d’arc de l’horizon, ou encore de la base vers le haut, avec rien de plus compliqué que des graines d’orge.

La vraie question est de savoir si oui ou non les Sumériens auraient pu savoir à quel point leur système de mesure était précis. Nous avons l’impression que le système aurait été très utile sur le marché et à la ferme  afin d’assurer l’équité des mesures dans toute la société sumérienne, mais qu’il est très peu probable que les prêtres sumériens aient pu connaître les dimensions de la Terre, et encore moins sa masse. Il est plus probable que les deux concepts auraient été absolument étrangers pour eux.

Cela semble être encore un autre exemple d’intervention directe et délibérée dans le développement de l’humanité. En d’autres termes, comme leur propre mythologie le démontre, quelqu’un a « enseigné » aux Sumériens les poids et mesures, et leur a dit les nombres à utiliser. Ce faisant, ils ont fourni aux Sumériens l’une des marques d’une véritable civilisation, à savoir un système de mesure intégré et reproductible.

En même temps, l’utilisation des graines d’orge a ajouté à une série significative de messages sur ces événements de la préhistoire qui étaient destinés à notre consommation. Comme il semble peu probable qu’une céréale aussi répandue et utile que l’orge puisse, par hasard, se comporter comme elle le fait en termes de taille et de son poids, il nous semble très probable que cette culture ait été génétiquement modifiée. Elle était utilisée par les Sumériens pour le pain, mais aussi brassée en une bière qui a été bue pendant de nombreux siècles à travers l’ensemble de la civilisation.

FIN


Que pensez-vous de cet article ? Partagez autant que possible. L'info doit circuler.



Aidez Elishean à survivre. Merci


ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde

(Vu 167 fois, 1 visites aujourd'hui)

Laisser un commentaire

Bouton retour en haut de la page