Secrets révélés

Que penser de la dernière vidéo du « Project Veritas » sur Pfizer?

Jordan Walker, qui travaille avec Pfizer révèle que le produit d'ARNm de Pfizer deviendrait plus rentable car la société accélérerait artificiellement les mutations afin de pouvoir vendre de nouvelles itérations de son "vaccin".

Depuis quelques jours, une vidéo du « Project Veritas » tourne massivement sur les réseaux sociaux. En caméra cachée, un homme qui serait directeur de la recherche et du développement chez Pfizer passe aux aveux devant la caméra : son entreprise serait en train de créer des mutations du Covid-19 pour pouvoir développer de nouveaux vaccins. Ce n’est pas la première vidéo de la sorte publiée par cette ONG ultra-conservatrice et ceci pose quelques questions.

Edit du lundi 30 janvier 2023 à 11h30 : Ajout du communiqué de presse de Pfizer

Depuis mercredi, une nouvelle vidéo du « Project Veritas » tourne massivement sur les réseaux sociaux. Sur Twiter, elle a été aimée plus de 134.000 fois et retweetée 70.000 fois à l’heure où nous écrivons ces lignes. D’après le fondateur du « Project Veritas », la vidéo est désormais l’une des plus vues de leur site.


https://twitter.com/Project_Veritas/status/1618405890612420609?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1618405890612420609%7Ctwgr%5E38b545d6e79805d87709f1af38522e2b09dbc14d%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.20minutes.fr%2Fsociete%2F4020635-20230128-covid-19-quatre-questions-comprendre-derniere-video-project-veritas-pfizer

L’image donne l’impression d’une caméra cachée. L’homme filmé s’appellerait Jordon Trishton Walker et serait directeur en recherche et développement chez Pfizer. L’ambiance est intimiste et l’heure est à la confession. Le prétendu salarié de Pfizer avoue au cours de la discussion que l’entreprise serait en train de fabriquer une mutation du Covid-19. « Ne le dis à personne, tu dois me promettre de ne le dire à personne, souligne l’homme. Ce n’est pas dit au public ».

Lors de la discussion, Jordon Trishton Walker explique également le but de cette mutation. L’idée serait pour Pfizer de créer de nouveaux virus pour, à terme, pouvoir développer de nouveaux vaccins. Le prétendu salarié rappelle également le danger derrière : laisser le virus s’échapper du laboratoire. « Je suspecte que c’est ce qu’il s’est passé à Wuhan », avoue-t-il enfin.

Que sait-on sur les mutations de virus ?

La dernière vidéo publiée par « Project Veritas » concerne cette fois la mutation du virus. Jordon Walker avoue que c’est Pfizer qui cherche à créer cette mutation pour développer de nouveaux vaccins. Une pratique dangereuse, selon le salarié filmé secrètement, qui entraînerait la fuite de certains virus. « Je suspecte que c’est ce qu’il s’est passé à Wuhan », avoue-t-il encore.


Une théorie née aux premières heures du Covid-19. Selon de nombreuses rumeurs, le Covid-19 aurait été fabriqué en laboratoire, à Wuhan. Dans un article publié en juin 2021 dans la revue Nature, des scientifiques se sont interrogés sur les connaissances et les inconnus au sujet de cette fuite d’un laboratoire. Ils y expliquent que la majorité des scientifiques optent pour son origine naturelle transmise de l’animal vers l’humain. Mais ils ajoutent que des caractéristiques du virus ont interpellé les scientifiques car elles étaient utilisées par les chercheurs lors de manipulations génétiques. Aucune des deux thèses n’est écartée à ce jour. Toutefois, la participation de l’entreprise Pfizer n’a jamais été démontrée.

Qui plus est, l’expérience décrite par le prétendu salarié s’appelle « un gain de fonction ». Il s’agit d’une pratique consistant à modifier génétiquement des virus pour les rendre soit plus transmissibles soit plus virulents. D’après un article du magazine Québec science, les recherches restent très controversées. Certains chercheurs estiment que cela permettrait de comprendre l’émergence de nouveaux pathogènes et donc de mieux s’y préparer. D’autres estiment que c’est un risque trop important et peu sécurisé. Toutefois, ces pratiques restent hautement contrôlées.

Dans la soirée de vendredi, l’entreprise a finalement publié un communiqué de presse pour répondre aux questions posées sur la recherche menée au sein de l’entreprise, en particulier au sujet du « gain de fonction ».

« Dans le développement en cours du vaccin Pfizer-BioNTech Covid-19, Pfizer n’a pas mené de recherche sur le gain de fonction ou l’évolution dirigée. En collaboration avec des collaborateurs, nous avons mené des recherches où le virus SARS-CoV-2 original a été utilisé pour exprimer la protéine de pointe à partir de nouvelles variantes préoccupantes ».

Pfizer ajoute que ces recherches permettent d’évaluer la capacité d’un vaccin face à l’arrivée d’un nouveau variant. Des données par ailleurs diffusées dans les revues scientifiques, explique l’entreprise.

Depuis quelque temps, nous cumulons les révélations …

Avec la publication des Twitter Files, nous avons eu la démonstration à la fois de la collusion de l’État et des BigTech et à la fois celle de l’État avec la presse traditionnelle tant son mutisme fut complet au sujet des révélations de Twitter.

Une première bordée de révélations montrait ainsi toutes les manœuvres en coulisse de Twitter pour réduire à néant certaines informations très défavorables à Joe Biden alors en campagne présidentielle. La suite de ces révélations a permis d’établir que les faits révélés dans la première salve de documents ne sont pas accidentels mais font partie d’une véritable « politique maison » de la part des hauts responsables de Twitter afin de pousser clairement un ordre du jour politique clairement ultra-favorable aux Démocrates, aux progressistes voire aux collectivistes de tous poils, et diamétralement défavorable aux Républicains américains en particulier et aux Conservateurs en général.

Au fil des éléments présentés, on a découvert que les salariés de Twitter employés à la modération ont directement eu accès à toute une panoplie d’outils destinés à espionner les activités d’un compte et à minimiser l’impact et la visibilité de certains messages jugés contraires aux tendances politiques des dirigeants du réseau social américain.

Depuis le shadow banning (appelé Visibility Filtering chez Twitter) – technique qui autorise l’utilisateur à continuer à publier des informations mais qui cache totalement ou presque sa diffusion – jusqu’aux techniques algorithmiques visant à diminuer l’impact des messages en passant par le marquage de certains comptes pour des déclenchements d’alertes directes auprès de la direction de Twitter, tout a été mis en place pour ne laisser qu’une place symbolique aux messages dissidents de la tendance woke et progressiste, dans une opacité complète et fort loin des politiques d’usages officielles.

Ces révélations sont indéniables, et Google peut démonétiser jusqu’à demain ces articles qui informent le public, la réalité ne changera pas… L’information est biaisée et c’est une technique de propagande déjà utilisée à l’ère du misérable Troisième Reich… La répétition de ce genre de tactiques, fait mal aux tripes !!! C’est dur à digérer…

ALORS… les expériences de gain de fonction utilisées par PFIZER ? VRAI ou FAUX..?

PFIZER a-t-il oeuvré à modifier génétiquement des virus pour les rendre plus transmissibles ou plus virulents?

En pratique, plusieurs techniques sont employées pour fabriquer de « super » virus :

  • Il est possible d’introduire directement de nouveaux gènes dans un génome viral. « Le plus souvent, on cible des gènes qui codent pour les protéines de l’enveloppe virale, car ce sont elles qui permettent au virus de s’accrocher aux récepteurs de la cellule hôte », indique Benoît Barbeau, qui précise que cibler un gène précis est devenu plus simple ces dernières années grâce aux ciseaux génétiques CRISPR-Cas9.
  • On peut également cultiver le virus en laboratoire et le forcer à évoluer en le mettant en présence d’anticorps ou de médicaments antiviraux.
  • Enfin, on peut simplement infecter des cellules humaines ou des animaux (souris, furets…) les uns après les autres, en faisant ce qu’on appelle des « passages ». « On regarde quels sont les animaux qui ont le plus de symptômes et on récupère le virus chez ces derniers. On l’utilise pour en infecter d’autres, et ainsi de suite. À chaque fois, on sélectionne donc les virus les mieux adaptés », précise le spécialiste.

Les premières expériences de gain de fonction ayant fait du bruit dans la sphère publique sont celles des équipes de Ron Fouchier (aux Pays-Bas) et de Yoshihiro Kawaoka (aux États-Unis) sur le virus de la grippe aviaire H5N1, en 2011. Ils avaient introduit différentes mutations susceptibles d’accroître la transmissibilité du virus, jusqu’à ce que celui-ci puisse se propager entre furets par aérosols. Mais leurs travaux n’avaient pas été publiés intégralement (pas de détails méthodologiques divulgués) à la demande du gouvernement américain, qui craignait que ceux-ci soient exploités par des bioterroristes.

Plus récemment, en 2017, des chercheurs de l’Institut de virologie de Wuhan, en partie financés par des fonds américains, ont greffé artificiellement sur une souche de coronavirus des protéines S issues de huit coronavirus différents (ces protéines  permettent au pathogène d’entrer dans les cellules cibles), afin de voir l’effet sur leur capacité à infecter des cellules humaines. Ce sont ces travaux qui ont alerté les experts sur la possibilité d’une fuite de laboratoire.

Dans un texte paru en 2018, l’épidémiologiste américain Marc Lipsitch, professeur à l’École de santé publique de Harvard, mettait en garde « contre les expériences de gain de fonction exceptionnellement dangereuses, conçues pour créer des souches de grippe potentiellement pandémiques et nouvelles, par exemple en améliorant la transmissibilité par voie aérienne chez les mammifères de souches de grippe aviaire. Cette question a fait l’objet d’un débat intense au cours des cinq dernières années, bien que l’histoire de ces expériences remonte au moins à la synthèse de la grippe A H1N1 à partir de matériel conservé de la pandémie de 1918 [en 2005]. »

En effet, grâce à des prélèvements sur la dépouille d’une victime conservée dans le pergélisol en Alaska, des chercheurs américains avaient alors reconstitué le code génétique du virus de 1918 et l’avait recréé in vitro. Et Marc Lipsitch d’ajouter : « S’il est indiscutable que certaines questions ne peuvent trouver de réponse que dans des expériences de gain de fonction sur des souches hautement pathogènes, ces questions sont étroites et peu susceptibles de faire progresser de manière significative les objectifs de santé publique tels que la production de vaccins et la prévision des pandémies. » L’histoire récente semble pour l’instant lui donner raison.

Québec Science

BREF…

Ils sont mignons tous ces gens là, vous ne trouvez pas? On se croirait dans un film d’horreur. Une fiction… Mais c’est la réalité… Alors PFIZER coupable ou non, ça change quoi ???


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