Secrets révélés

On veut se débarrasser de SAURON euh… Soros

Quand on parle d'ingérence, on devrait en premier lieu regarder ce que fait SOROS !

George Soros, via sa fondation Open Society Foundations (OSF), a soutenu plusieurs organisations islamistes. Voici quelques exemples basés sur des informations disponibles :

En 2012 et 2014, l’OSF a financé le Collectif Contre l’Islamophobie en France (CCIF) pendant que celui faisait campagne contre Charlie Hebdo. La tuerie met fin à la collaboration. L’organisation est interdite après la décapitation de Samuel Paty

Alliance Citoyenne association a reçu 80 000 $ de l’OSF. Elle est notamment connue pour son rôle dans l’affaire du burkini à Grenoble.


L’association Lallab également bénéficié de financements de l’Open Society Foundation. Son objectif affiché : promouvoir le voile islamique.

Trouvez-vous normal que des élus comme Nathalie Loiseau travaillent pour cette organisation ?

– Alliance Citoyenne a reçu 3 subventions de OSF :
– $ 135.000 en 2021
– $ 90.000 en 2018
– $ 80.000 en 2016

La branche belge du CCIF, poste avancé du projet islamiste en Europe, touchait encore 150k€ en 2023 ! 575k€ en tout. Délirant. Nathalie Loiseau doit s’expliquer.


L’échec des ingérences de la fondation Soros en Hongrie

Alexander Soros, qui a pris la succession de son père, George, a annoncé son intention de concentrer les actions du réseau aux Etats-Unis. Une décision lourde de conséquences pour les ONG hongroises, privées de tout financement public.

Alexander Soros, lors du Forum économique mondial, à Davos (Suisse)

La décision va concerner quasiment toutes les organisations non gouvernementales (ONG) hongroises indépendantes du pouvoir.

George Soros, a annoncé l’adoption d’« un nouveau modèle opérationnel » qui se traduira par « le retrait et la cessation d’une grande partie de nos activités actuelles au sein de l’Union européenne [UE] », selon un courriel interne daté de fin juillet et cité par l’agence Associated Press.

Cette décision concerne les ONG dans la totalité des vingt-sept pays membres, mais elle préoccupe plus particulièrement les associations de ce pays d’Europe centrale où les financements publics se sont complètement taris depuis que Viktor Orban est au pouvoir.

Cette pression sur la Hongrie a fait sont effet : Budapest a fait du financier-philanthrope l’ennemi public numéro un du pays.

Orban l’accuse tout bonnement de fomenter un complot contre sa Hongrie natale et d’œuvrer, avec le soutien de la Commission européenne, à un plan destiné à accueillir sur le Vieux Continent un million de réfugiés par an et de les installer d’autorité dans les pays de l’Union européenne.

Viktor Orban

La fondation du milliardaire George Soros porte plainte contre la Hongrie de Viktor Orban.

En juin 2018, un ensemble de lois, au nom explicite de « Stop Soros », avait été adopté pour imposer aux ONG d’aides aux migrants une taxe de 25 % sur leurs revenus et prévoyant une peine d’un an de prison pour l’assistance à l’entrée illégale en Hongrie.

En janvier 2025, l’UE retire définitivement 1 milliard d’euros de subventions à la Hongrie de Viktor Orbán, en raison de manquements à l’Etat de droit reprochés à Budapest, selon la Commission européenne….

La majorité des français ne veulent plus de politiciens, d’enseignement, ni de media liés de près ou de loin à Soros.

Nous sommes pris en otages et nos enfants se font laver le cerveau dès l’école avec en appui la majorité des programmes tv inféodés à une sombre idéologie.

Depuis plus de trente ans, les principaux responsables économiques et politiques de la planète se retrouvent fin janvier à Davos pour la réunion annuelle du Forum économique mondial (WEF selon l’acronyme anglais en vigueur). Le pouvoir incarné par cette grande messe informelle donne lieu à des analyses qui varient du tout au tout.

L’emprise accrue des acteurs non étatiques sur la scène mondiale a conduit à appréhender le pouvoir informel comme un enjeu crucial des relations internationales.

QUI GOUVERNE ? 

85% des Français se disent favorables à une transformation des institutions politiques, parfois de manière radicale. Par ailleurs, ils sont 52% à vouloir empêcher le chef de l’Etat de réaliser plus d’un seul mandat.

George Soros a financé plusieurs organisations à l’origine de manifestations propalestiniennes aux États-Unis.

Depuis 2016, l’Open Society Foundations de George Soros a accordé plus de 15 millions de dollars à des organisations dénonçant « l’occupation israélienne », selon le « New York Post ».

En 2020, la fondation OPEN SOCIETY de George Soros a financé l’organisation des Frères musulmans américaine pour un montant de 100 000 $.

D’après les informations du New York Post, l’homme d’affaires et investisseur George Soros a versé plus de 15 millions de dollars à diverses organisations hostiles à Israël, et ce, depuis 2016.

Selon les archives de l’Open Society Foundations (OSF), le réseau philanthropique de George Soros a notamment alloué 13,7 millions de dollars de subventions à certains bénéficiaires ayant justifié les attaques sanglantes du Hamas.

Le tout, par l’intermédiaire du Tides Center, un organisme qui aide les « petites » associations progressistes à se développer. Parmi les bénéficiaires du Tides Center, l’on retrouve notamment Adalah Justice Project. Basée dans l’Illinois, cette association se targue, sur son site, de faire converger « la lutte pour les droits des Palestiniens » avec les « mouvements progressistes de justice sociale aux États-Unis ».

En outre, l’Open Society Foundations a accordé 60 000 dollars de subventions à l’Arab American Association of New York, en 2018. Cet organisme à but non lucratif a notamment été à l’initiative d’un rassemblement à Brooklyn le 21 octobre dernier, au cours duquel certains manifestants ont appelé à l’éradication de l’État hébreu. D’autres associations propalestiniennes auraient reçu des subventions.

« Nous avons demandé à George Soros de retirer ce financement, mais il semble très déterminé à continuer de soutenir les organisations antisémites qui veulent bouleverser la civilisation occidentale », a déploré le président du groupe de surveillance conservateur Media Research Center, Brent Bozell, auprès du New York Post.

Les fondations de Soros et Rockefeller financent des étudiants soutiens du Hamas, en Europe.

L’occupation de Sciences Po et de la Sorbonne à Paris, par des militants anti-israéliens, n’est pas un phénomène unique. Depuis l’attaque terroriste du 7 octobre, de nombreux campus américains ont été pris d’assaut par les militants les plus radicaux de la « cause » palestinienne.

Mais comment ces protestations peuvent-elles tenir sur une telle durée ? Chacun le sait, l’argent est le nerf de la guerre.

Derrière les organisations des Étudiants pour la justice en Palestine (SJP, en anglais) ou de la Campagne américaine pour les droits des Palestiniens (USCPR, en anglais) se cachent l’Open Society et la fondation des frères Rockefeller.

L’Open Society a donc distribué des centaines de milliers de dollars – et ce n’est pas la seule – à des fonds qui s’occupent eux-mêmes de la redistribution vers les associations anti-israéliennes, comme le révèlent nos confrères du  New York Post.

D’après les analyses du New York Post, l’argent de ces fonds philanthropiques progressistes transitent en premier lieu vers d’autres associations qui s’occupent de les redistribuer afin de mieux camoufler ces soutiens.

En effet, l’Open Society a donné plus de 20 millions de dollars à la Tides Foundation, qui « distribue de l’argent de donateurs à d’autres organisations progressistes ». D’autres fondations ont également servi d’intermédiaires, comme la White Plains, motivées par les mêmes valeurs, ou encore la Sparkplug Foundation.

L’idée de progrès a bon dos lorsqu’il s’agit de défendre les pires opinions.

Et en la matière, les plus farouches opposants à l’État hébreu ont multiplié les propos outrageux. Se répandant dans les campus des plus prestigieuses universités américaines (Yale, Harvard, Massachussetts Institute of Technology…), c’est à l’université Columbia de New York, 12e université du pays, que les protestations anti-israéliennes ont été les plus féroces.

Sur les tracts distribués des membres de la SJP, financée par l’Open society, sur les campus, une phrase a choqué : 

« L’attaque du 7 octobre est une victoire historique pour la résistance palestinienne. »

Plus récemment, un des leaders des manifestations anti-Israël de l’université de Columbia, Khymani James, a déclaré, dans une vidéo publiée sur YouTube, que les « sionistes ne méritent pas de vivre ». Charmant, n’est-ce pas ?

Le jeune homme ne s’arrête pas là : « Leur existence et les projets qu’ils ont construits [les sionistes], c’est-à-dire Israël, tout cela est contraire à la paix. Alors oui, je me sens très à l’aise – très à l’aise – pour appeler à la mort de ces gens. » Et de conclure : « Soyez heureux, soyez reconnaissants que je ne me contente pas d’assassiner des sionistes. » Exclu depuis, l’étudiant a largement été soutenu par les associations « pro-palestiniennes » de son campus.

Certainement toutes de sympathiques organisations progressistes qui méritent qu’on finance leur antisémitisme à peine voilé.

George Soros a étendu son influence sur les Nations unies.

Un rapport démontre qu’un petit nombre d’ONG et de fondations a pris la main sur le Conseil des droits de l’homme de l’Onu, transformé en outil d’influence au service de leur idéologie.

En février 2020, quelques semaines avant que le coronavirus débarque sur le vieux continent et bouleverse durablement les équilibres de notre société, Valeurs actuelles consacrait un dossier au « scandale Soros ». Cette enquête, fondée sur un rapport de Grégor Puppinck, directeur du European Centre for Law and Justice (ECLJ), montrait qu’une grande proportion de juges de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) est issue du réseau d’ONG de l’Open Society Foundations.

Ces révélations n’ont jamais été démenties. La mise en lumière de l’influence croissante de certaines ONG et fondations dans les organisations internationales, démontre, preuves à l’appui, comment des intérêts privés ont infiltré l’échelon le plus élevé de protection des droits de l’homme à l’échelle mondiale : le Conseil des droits de l’homme des Nations unies.

« À l’ère de la globalisation, écrit Grégor Puppinck, les centres de décision se déplacent loin des peuples et de leurs capitales historiques pour se concentrer en quelques nouvelles capitales de la gouvernance mondiale. […]

En se déplaçant , le pouvoir change de nature : il se veut rationnel et global et se détache par conséquent de l’expression de la volonté (supposée irrationnelle) des peuples particuliers. »

Dans ce contexte mondialisé, la plupart des États ne sont que des acteurs locaux, limités par essence et sans grands moyens ; certaines entreprises et fondations privées sont à l’inverse des acteurs globaux aux ressources considérables, débarrassés des lourdeurs administratives et démocratiques. Ces ONG et les organisations internationales sont complémentaires :

« Les ONG permettent à des organisations internationales “hors sol” d’étendre leur action “sur le terrain” ; en retour, les organisations internationales traduisent en termes politiques et institutionnels les messages des ONG. »

Où se situe la limite entre complémentarité et dépendance ? Elle est souvent franchie sur la question du financement des organisations internationales par les acteurs privés.

Ces derniers ont versé 1,4 milliard de dollars à l’Unicef en 2020, plus de 1 milliard de dollars à l’OMS en 2017, 540 millions de dollars au Haut-Commissariat pour les réfugiés en 2020, 77,5 millions de dollars au Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) en 2019, ou encore 69 millions de dollars à l’Unesco en 2020.

Aucune organisation internationale n’échappe à ces financements, qui viennent d’un nombre restreint de fondations (Gates, Ford, Open Society, McArthur, Oak…) et d’entreprises (notamment Microsoft).

Sur les cinq années disséquées par Grégor Puppinck, plus de 10 millions de dollars américains ont été versés directement à un nombre restreint de rapporteurs spéciaux de l’ONU (37 rapporteurs sur 121).

Plus de la moitié de ces 10 millions a été versée par des fondations privées, au premier rang desquelles la Fondation Ford (2,2 millions de dollars) et l’Open Society Foundations (OSF), le réseau d’ONG de George Soros (1,5 million de dollars).

Pourquoi l’Onu tolère-t-elle ces manquements au règlement ?

Le problème est que cette situation n’est pas propre aux procédures spéciales mais concerne plus largement le Haut-Commissariat aux droits de l’homme, dont 63 % du budget en 2019 provenait de contributions volontaires, très souvent pré-affectées à un programme précis…

Il y a “ rapporteur spécial ” et “ rapporteur spécial ”. Ainsi, le rapporteur spécial sur les personnes touchées par la lèpre, qui n’intéresse personne, n’a pas perçu un centime hors budget entre 2015 et 2019. Celui qui paie l’orchestre choisit la musique !

L’organisation de George Soros assume tellement de vouloir contrôler la mécanique des droits de l’homme qu’elle l’écrit noir sur blanc dans ses documents de travail. 

Ce rapport est une illustration, appliquée aux procédures spéciales du Conseil des droits de l’homme des Nations unies, de la manière dont certaines ONG sont parvenues à exercer une influence mondiale en marge des États en infiltrant les organisations internationales. Basé sur des faits, des chiffres, des sources, des dates, des noms, il propose une matière parfois aride mais toujours édifiante.

A lire en totalité sur ce lien : source

Sauron est un personnage de fiction, mais Soros existe bien…

George Soros n’est bien évidemment pas Sauron et son œil qui voit tout.

MAIS… George Soros travaille étroitement avec les services de renseignement américains. Donc, on peut parler d’œil qui voit tout.

Entre la CIA et le WEF, SOROS and co, car ils sont plusieurs milliardaires… C’est bien l’état profond qui gouverne au niveau international et de plus en plus au niveau national…


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