Secrets révélés

Réponse aux affirmations sans fondement de Radio-Québec

L’atroce témoignage des équipes médico-légales.

Radio-Québec s’est permis de parler des faux morts, et des faux enterrements soit-disant organisés par l’état d’israël, car selon Alexis Cossette qui dirige ce webjournal, le Hamas dément avoir organisé le massacre de civils.. Et il semble qu’Alexis Cossette accorde une importance capitale aux déclarations du Hamas…

Manque de chance pour Radio-Québec, les journalistes du monde entier étaient sur place pour témoigner de l’horreur et nous donner des détails…

par Cyrille Louis 


Des fragments de corps arrivent encore chaque jour sur la base de Shura, transformée en morgue géante depuis l’attaque du Hamas, le 7 octobre dernier. Plus de 1300 cadavres, souvent méconnaissables, y sont entreposés.

La nuit vient de tomber sur la base de Shura, dans le centre d’Israël, mais des projecteurs surpuissants éclairent la rangée de civières et de tentes blanches comme en plein jour. Des soldats, comme bercés par le vrombissement monotone du système de réfrigération, s’activent près de conteneurs métalliques. Chacun d’entre eux, précise le colonel Haïm Weissberg, peut contenir jusqu’à cinquante cadavres.

Lorsque deux de ses hommes, le visage recouvert d’un masque, écartent les lourds battants d’une de ces chambres froides improvisées, on est aussitôt saisi par l’épouvantable odeur de mort. À l’intérieur, une quinzaine de sacs mortuaires attendent d’être vidés.

“Aujourd’hui encore, treize jours après le massacre, nous avons reçu 73 fragments de corps”, explique le colonel Weissberg, rabbin en chef de l’armée israélienne, qui dirige l’opération d’identification des victimes ainsi que la préparation des corps en vue de leurs funérailles.

Depuis le carnage du 7 octobre, cette morgue géante aménagée sur la base du rabbinat militaire a reçu plus de 1300 cadavres, souvent méconnaissables. Ces derniers jours, l’armée en a ouvert les portes à la presse afin de faire connaître l’ampleur des sévices infligés aux victimes.


“Parce que vous êtes journalistes, prévient le colonel Weissberg, vous savez qu’en temps de guerre chaque camp s’efforce d’imposer sa vérité aux dépens de l’adversaire. Mais dans ces circonstances exceptionnelles, vous avez le devoir de me croire. De toute façon, toutes les horreurs dont nous allons vous parler ont été filmées par les terroristes puis diffusées sur les réseaux sociaux. Et je peux vous assurer qu’on n’avait pas vu de telles images depuis le régime nazi”.

Que dire lorsque vous découvrez le corps d’une femme enceinte tuée par un terroriste qui lui a ouvert le ventre, puis en a extrait le fœtus avant de leur couper la tête à tous les deux?

Et que dire encore face aux corps de mères ou de grand-mères qui ont été violées sauvagement?

Le colonel Weissberg, rabbin en chef de l’armée israélienne, qui dirige l’opération d’identification des victimes ainsi que la préparation des corps en vue de leurs funérailles

L’officier, petites lunettes rectangulaires, barbiche grisonnante et kippa tricotée de couleur bleu et blanc, peine à contenir ses larmes lorsqu’il décrit son quotidien depuis la tuerie.

Dans de nombreux cas, précise le colonel Weissberg, les dépouilles arrivent ici dans un état tel que seul un test ADN permet de les identifier. Organisée en équipes qui travaillent par roulements de huit heures, son unité est opérationnelle 24 heures sur 24.

“L’armée et la police poursuivent leurs recherches, assure-t-il, et continuent de nous apporter chaque jour des dizaines de dépouilles”.

Confrontés à une abomination

En temps normal, les militaires racontent que le quotidien de cette base est des plus ennuyeux. On y trouve le siège du rabbinat, où sont conservés 400 rouleaux de la Torah dont certains datent de plus de sept siècles, ainsi qu’une réserve logistique et un bâtiment destiné à l’accueil des dépouilles de militaires tués au combat.

“Depuis quelques années, on s’entraînait en prévision d’une tuerie de masse en se disant qu’on devrait ce jour-là être capables d’accueillir des dizaines de dépouilles à la fois, sourit tristement Shery, une volontaire qui a rejoint l’unité pour s’occuper spécifiquement des femmes soldats. Mais jamais on n’aurait imaginé être confrontés à une telle abomination”.

La sexagénaire, originaire du New Jersey, témoigne d’une voix qui se brise parfois, sans pour autant se démonter.

“Je suis ici, dit-elle, pour vous raconter ce qu’on a vu de nos propres yeux, touché de nos propres mains. Nous avons reçu des cadavres décapités et des corps de soldates qui, encore en pyjama, ont été exécutées dans leur sommeil. Nous avons vu des victimes criblées d’un si grand nombre de balles que leurs assassins ont sans doute continué de tirer alors qu’elles étaient déjà mortes. Nous avons vu des visages horriblement mutilés et des têtes pulvérisées au point que la cervelle s’écoulait à l’extérieur. Des corps tellement carbonisés qu’il n’y avait plus rien sous leur tronc. Des dépouilles de femmes violées avec une violence telle qu’on leur avait cassé les os du pubis. Et croyez-moi, il faut y aller vraiment fort pour briser un pubis…”

Notre travail est de préparer ces corps avec soin et tendresse. Notre devoir est d’aider ceux qui restent et vont devoir vivre avec cette tragédieShery, une volontaire qui a rejoint l’unité pour s’occuper spécifiquement des femmes soldats

Le débit de Shery s’accélère, tel un torrent que rien ne pourrait contenir.

“Je voudrais vous parler d’un corps… Enfin, c’est ce qu’on a d’abord cru. Mais quand nous l’avons passé au scanner, nous avons détecté deux colonnes vertébrales et compris qu’il s’agissait en réalité d’une mère et de son enfant enlacés. Il n’y avait plus que du charbon… Ces gens sont morts dans les bras l’un de l’autre, probablement brûlés vifs après qu’on a jeté une grenade dans l’abri où ils avaient trouvé refuge.»

Elle poursuit:

«Quand les corps de jeunes soldates arrivent, il est souvent impossible de discerner la couleur de leur peau. Ils sont rouges ou marron foncé à cause de tout le sang qui les recouvre. Et puis aussi gris ou vert, parce qu’on a mis du temps avant de collecter leurs dépouilles. Mais ce qui me marque le plus, c’est qu’elles avaient pour la plupart de superbes manucures. Cette touche de couleur, c’est comme un signe d’espoir. Ces jeunes femmes s’apprêtaient sans doute à rentrer à la maison pour retrouver leur fiancé ou leur famille. Pour surnager dans toute cette horreur, on s’accroche aux plus petits fragments de vie”.

Ce n’est pas tout. Shery veut encore raconter ce jour où, à l’ouverture d’un sac mortuaire, elle est tombée sur un corps piégé par plusieurs grenades. Son équipe a pris la fuite en courant et n’a pu reprendre le travail qu’une fois le dispositif neutralisé.

“Au milieu de tout ce stress et de ces nuits sans sommeil, poursuit-elle, notre travail est de préparer ces corps avec soin et tendresse. On enlève leurs bijoux, qui sont systématiquement recouverts de sang, et on les nettoie pour pouvoir les restituer aux familles. Notre devoir est d’aider ceux qui restent et vont devoir vivre avec cette tragédie, en leur permettant d’organiser les funérailles selon les égards prescrits par la tradition juive”.

“L’impression de vivre dans un film d’horreur qui ne s’arrête pas”

Selon le colonel Weissberg, de nombreux corps avaient les mains entravées par des liens. D’autres portaient des lésions évocatrices de tortures atroces.

“Nous avons trouvé des corps sans mains, sans jambes, leurs parties génitales mutilées, et aussi des visages dont les yeux avaient été perforés”, décrit le rabbin.

“Depuis deux semaines, j’ai l’impression de vivre dans un film d’horreur qui ne s’arrête pas”, s’étrangle Shir, une dentiste qui fait partie de l’équipe d’identification.

Lorsque l’état de la cavité buccale le permet, son travail consiste à comparer la dentition des victimes ante mortem et post mortem, grâce aux archives conservées par leur médecin. Vu l’état des corps, ce travail se fait parfois sur la base de simples fragments de mâchoire, de mandibule ou de boîte crânienne.

“Pour les soldats, c’est assez simple, dit-elle, car l’armée stocke tous les dossiers médicaux. Mais avec les civils, c’est beaucoup plus compliqué. Il y a quelques jours, le dentiste d’un kibboutz attaqué par le Hamas m’a ainsi expliqué que toutes ses archives sont ce jour-là parties en fumée”.

Au total, environ 800 victimes ont été identifiées à ce jour. Parmi elles, quelque 300 soldats dont les deux tiers ont pu l’être grâce à leur dentition.

“Pour éviter toute erreur avant d’enterrer un militaire, la procédure nous impose d’avoir au moins deux preuves d’identification”, précise la dentiste.

Par ailleurs, les médecins cherchent systématiquement à identifier les causes de la mort afin de détecter d’éventuelles failles dans la préparation des soldats, et de mieux protéger ceux qui leur succéderont.

“Ces autopsies ont permis de démontrer que certaines victimes ont été brûlées vives”, poursuit Shir.

L’examen de leur appareil respiratoire présentait selon elle des traces de suies, tandis qu’aucune autre lésion n’a été mise en évidence au scanner.

Ces descriptions, qui réveillent en Israël les douloureux souvenirs de l’Holocauste, provoquent sur la base de Shura un mélange de sidération et de colère froide.

“Je suis une fille de rescapés de la Shoah, raconte Shery, et j’ai grandi ici bercée par les récits des camps. Un membre de ma famille a été enrôlé de force dans les Sonderkommandos, ces groupes de condamnés à mort qui devaient retirer les cadavres des fours crématoires. Jusqu’au 7 octobre, je pensais qu’il n’y avait pas de sort plus terrible. Mais ce dont nous sommes témoins actuellement est encore pire”.

Depuis le raid meurtrier du Hamas, les autorités israéliennes ne ménagent aucun effort pour faire connaître l’atrocité des sévices infligés aux victimes par le Hamas.

“Dans une guerre, tranche le colonel Haïm Weissberg, il est normal que des soldats soient tués. Mais ce qui s’est passé dans les vingt-deux localités attaquées par les terroristes n’a rien à voir avec une guerre. C’est pourquoi le Hamas, qui représente une menace pour la paix du monde, doit maintenant être éradiqué”.

© Cyrille Louis pour Le Figaro

Pour écouter les conneries de Radio-Québec

PS : En réponse aux élucubrations de Radio-Québec sur l’utilisation impossible de parachutes par les « pauvres » palestiniens de Gaza :

LA SIMPLICITÉ DU PILOTAGE DU PARAMOTEUR

Le pilotage d’un parapente est d’un principe très simple.

Deux poignées (les freins) raccordées au bord de fuite de l’aile par des suspentes permettent le contrôle de la voile.

Il suffit de tirer sur le frein droit pour aller à droite, sur le frein gauche pour tourner à gauche, d’augmenter les gaz pour monter et de les réduire pour descendre…

Enfin, l’atterrissage se fait en douceur en tirant sur les deux freins en même temps.

https://www.paramoteur.com/decouvrir-le-paramoteur


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