Parapsychologie

Nikola Tesla maîtrisait le Pouvoir de la visualisation

Bien qu’il fût unique à bien des égards, l’un des aspects les plus fascinants de la vie de Nikola Tesla a été son extraordinaire pouvoir de visualisation.

Il était doué d’une imagination extraordinairement vive, et même dès son plus jeune âge, il était capable de voir des choses que les autres ne pouvaient pas voir.

“S’il pensait à un objet, il apparaissait devant lui avec l’apparence de la solidité et de la masse. Ces visions possédaient tellement bien les attributs des objets réels qu’il lui était habituellement difficile de distinguer la vision de la réalité. Cette faculté anormale a fonctionné d’une manière très utile dans son travail scolaire avec les mathématiques.”

Cette faculté mentale a eu un effet profond impact sur sa carrière, et certaines de ses inventions les plus célèbres, comme le moteur à courant alternatif et la bobine Tesla, ont été envisagés dans les moindres détails dans son esprit avant de mettre quoique ce soit sur papier.

Bernard Carlson, auteur de Tesla: Inventor of the Electrical Age, a écrit :

“En évoquant ces schémas, Tesla a réalisé la puissance de sa capacité à générer des images mentales. Non seulement il pouvait utiliser son imagination pour entreprendre des voyages fantastiques, mais il pouvait aussi diriger ce talent vers la création de nouvelles machines. ‘J’ai observé à mon grand plaisir que je pouvais visualiser avec une plus grande facilité’, a-t-il affirmé plus tard. ‘Je n’avais pas besoin de modèles, de dessins ou d’expériences. Je pouvais les imaginer tous bien réels dans mon esprit.’ De plus, pour Tesla, travailler avec des images mentales signifiait qu’il pouvait se concentrer sur l’identification et l’exploration de l’idéal derrière une invention.”

Tesla était en avance sur son temps à bien des égards, mais ses pouvoirs de visualisation font référence aux écoles mystères originelles.


Comme le note Le Kybalion, qui est basé sur l’ancienne tradition de l’hermétisme, “LE TOUT EST ESPRIT ; L’Univers est mental.” Nous savons depuis très longtemps que la réalité est d’abord et avant tout créée dans l’esprit.

N’y a-t-il pas une troisième voie dans laquelle l’Homme crée ? Oui, il y a… il CRÉE MENTALEMENT ! Ce faisant, il n’utilise aucune matière extérieure, il ne se reproduit pas non plus, et pourtant son Esprit imprègne la Création Mentale.

Nous avons raison de considérer que LE TOUT crée l’Univers MENTALEMENT, d’une manière semblable au processus par lequel l’Homme crée des Images Mentales.

LE TOUT ne peut créer autrement que mentalement, sans utiliser de matériel (et il n’y a rien à utiliser), ni se reproduire (ce qui est également impossible).


La capacité inhérente à notre être humain est la capacité de manifester physiquement les idées générées dans l’esprit, et bien que certains semblent avoir une plus grande capacité naturelle pour cela que d’autres, nous partageons tous la même anatomie. En tant que tels, nous pouvons tous utiliser la visualisation dans nos vies.

Au plus profond du cerveau se trouve la glande pinéale et un système de photorécepteurs non visuels qui, scientifiquement, est connu pour nous aider à nous synchroniser avec les rythmes périodiques de la lumière naturelle.

Un œil interne, si vous voulez.

Ce n’est pas un hasard si la glande est aussi connue sous le nom de troisième œil, ou “siège de l’âme”, car elle est largement reconnue comme la partie du cerveau qui nous relie à l’expérience spirituelle et facilite notre vision intérieure.

C’est avec ce mécanisme de vision interne que le mental est capable de projeter des images mentales de tout. C’est ainsi que nous créons la réalité.

Si nous choisissons des images qui nous servent bien, nos vies s’épanouissent, mais si nous négligeons de prêter attention aux visions de l’esprit, nous créons le chaos dans nos vies.

L’auteur Al Smith qualifie ce processus d’imagination et le rapporte à l’acte de rêver le jour, qui, contrairement au rêve nocturne (lorsque nous sommes endormis), est une forme de rêve conscient et intentionnel, où nous choisissons activement les images que nous voulons voir.

“Les images mentales que vous concevez consciemment ou inconsciemment sur votre écran mental sont totalement comprises par le subconscient collectif. En d’autres termes, vos rêves dictent largement votre réalité. Votre avenir est en grande partie un reflet des images les plus récurrentes que vous avez affichées sur l’écran de votre esprit et des images de vous de ceux qui vous connaissent. Plus il y a de fois où vous imaginez mentalement une chose, plus ses chances de se matérialiser dans votre réalité augmentent. Pensez aux rêves éveillés comme à des votes pour des événements qui se produiront dans votre futur. C’est la seule vraie démocratie. Et ça se passe perpétuellement dans ta tête toute la journée et dans tout notre Univers.” ~ Al Smith, How We Create Reality

Dans le cas de Tesla, une grande partie de ce pouvoir lui est venue naturellement, mais comme le souligne Smith, l’imaginaire est un processus conscient.

Bernard Carlson explique qu’il s’agissait d’une pratique intentionnelle qui combinait imagination, conception dans l’œil de l’esprit et persévérance.

C’est une compétence qui peut être renforcée par l’effort et la pratique, et n’importe qui peut le faire, tant qu’il pratique.

Tesla n’utilisait en réalité qu’une version très développée d’une capacité mentale que nous partageons tous.

Voici une technique simple mais puissante pour commencer à s’entraîner au pouvoir de la visualisation, c’est un bon point de départ :

Visualisation et imagerie mentale

Apparentées à l’auto-hypnose, la visualisation et l’imagerie mentale sont des techniques qui visent à mettre en oeuvre les ressources de l’esprit, de l’imagination et de l’intuition pour améliorer les performances et le mieux-être.

Bien que les 2 termes soient souvent utilisés indistinctement, on s’accorde généralement sur la différence qui suit :

  • dans la visualisation, on impose des images précises à l’esprit,
  • tandis que l’imagerie cherche à faire émerger les représentations qui appartiennent à l’inconscient du sujet.

Les 2 techniques possèdent plusieurs champs d’application et sont parfois utilisées conjointement.

La visualisation

La visualisation est cette capacité mentale que nous avons de nous représenter un objet, un son, une situation, une émotion ou une sensation. Selon son intensité, cette représentation peut déclencher plus ou moins les mêmes effets physiologiques que le ferait la réalité. Quand, par exemple, on a très peur dans le noir, les manifestations corporelles de la peur sont pratiquement les mêmes que si un monstre nous menaçait vraiment. À l’opposé, penser à une situation agréable amène le corps dans un état réel de détente.

Une expérience banale de visualisation

Imaginez-vous en train de couper un citron en quartiers, de humer un de ceux-ci, puis d’y mordre à pleines dents, le jus coulant dans votre bouche… Si vous savez ce qu’est un citron et que vous avez fait l’exercice consciencieusement, il est probable que vous ayez salivé en réaction à la forte acidité du fruit – même si cette acidité n’était qu’imaginaire.

On se sert donc de la visualisation pour agir sur des comportements ou des processus physiologiques (pour accélérer la guérison, par exemple).

Pour certains objectifs, les représentations mentales de la visualisation doivent être conformes à la réalité. C’est le cas quand une personne se prépare à accomplir une activité qui lui paraît risquée ou difficile, disons un plongeon du tremplin de 10 mètres. De manière systématique, le sujet se représente tous les éléments de l’activité : le lieu, l’attitude souhaitée, les détails précis de chaque élément du plongeon, les étapes telles qu’elles doivent se dérouler ainsi que le sujet lui-même en train de surmonter les difficultés. Répété de manière intensive, cet exercice aurait un effet conditionnant sur l’organisme, qui serait ainsi plus susceptible de se conformer au scénario prévu, durant le véritable plongeon.

Dans d’autres situations, il semble préférable que la visualisation se transporte sur le terrain de la métaphore. La visualisation curative utilise souvent cette approche : il s’agit de donner une forme symbolique à la maladie et à ce qui va la faire disparaître. Dans ce registre, il existe des visualisations positives et négatives. Prenons le cas d’une brûlure sur un bras. Une visualisation positive consisterait, par exemple, à imaginer un animal fantasmagorique et bienfaisant (seulement si le sujet aime les animaux) en train de lécher la plaie pour la faire disparaître. Ce pourrait aussi être de simplement se représenter soi-même avec le bras guéri, comme par magie. Une visualisation négative, d’autre part, pourrait avoir recours à une armée d’ouvriers qui, sans relâche, travailleraient à capturer les agents infectieux qui se créent dans la plaie et à les écraser pour les rendre inoffensifs.

Il existe un débat chez les théoriciens et les praticiens à savoir si les visualisations sont plus efficaces lorsqu’elles sont négatives ou positives. Quelques règles semblent toutefois s’imposer :

il faut que le sujet soit à l’aise avec le scénario

L’image choisie pour représenter la maladie (ou le problème) ne doit pas être terrifiante;
s’il s’agit d’une maladie, il n’est pas nécessaire de se représenter les détails physiologiques du processus de guérison, mais une précision minimale demeure nécessaire (envoyer des ouvriers attaquer des cellules dans l’estomac quand la maladie se situe au foie ne serait d’aucune utilité…).

Une visualisation pour se défaire d’une peine

Supposons qu’un incident déjà passé continue de contaminer notre existence au-delà de ce qui est souhaitable et que l’on n’arrive pas à l’oublier. Un exercice approprié pourrait être de donner une forme symbolique au sentiment, disons une bouteille remplie de larmes. Il faut alors se la représenter très en détail – forme, couleur, texture, poids, etc. –, puis lui dire explicitement que l’on doit s’en séparer pour continuer sa route. Se représenter ensuite en train de marcher dans une forêt, de trouver une petite clairière, de creuser un trou avec une pelle et d’y déposer la bouteille. On lui fait alors ses adieux avec conviction (« je te laisse ici pour toujours ») avant de remplir le trou de terre, replaçant la mousse et les plantes sauvages sur le dessus. Puis on se représente en train de quitter la clairière, de refaire le chemin inverse dans la forêt, et de réintégrer sa maison, le coeur soulagé.

L’imagerie mentale

Ce qu’on appelle généralement l’imagerie mentale a comme fonction de faire surgir à l’esprit des images produites par l’imagination, l’intuition et l’inconscient, comme ce qui se passe dans le rêve.

L’idée est de recourir à l’« intelligence » de l’inconscient et à la capacité de l’organisme de « savoir » ce qu’il vit et ce qui est bon pour lui.

La plupart du temps, l’imagerie mentale se fait avec l’aide d’un intervenant qui peut guider le processus, et aider à en décoder le sens et à en tirer des applications concrètes.

Cette technique est utilisée dans différents contextes plus ou moins thérapeutiques : pour mieux connaître divers aspects de soi, pour stimuler la créativité dans tous les aspects de sa vie, pour comprendre les causes d’une maladie et trouver des moyens de se soigner. Afin d’atteindre l’état de détente mentale nécessaire à l’émergence d’images qui ne sont pas dictées par le conscient, il faut amorcer l’exercice par une période de relaxation plus ou moins importante et libérer l’esprit des préoccupations courantes. Ensuite, le sujet amorce une « aventure mentale » qui offre un contexte favorable et laisse des situations se concrétiser dans son esprit.

Une imagerie mentale pour découvrir ses sous-personnalités

Vous vous imaginez assis à une table où sont déposés des mets que vous aimez. Il y a d’autres individus autour de cette table qui partagent votre repas. Combien sont-ils? Comment se présentent-ils à vous? Comment vous sentez-vous en leur présence? Vous les observez en détail. Comment sont-ils habillés? Quels traits de caractère manifestent-ils? Que racontent-ils?

Il se pourrait que dans ces personnages se cachent plusieurs de vos sous-personnalités, du timide au goinfre en passant par le juge et le bon vivant… Guidé par un thérapeute, vous pourriez les laisser dialoguer et découvrir la façon de donner plus de place à certains, ou comment réagir devant les indésirables.

Selon la capacité de l’individu à se détendre et à solliciter son imagination, selon aussi la complexité de l’information recherchée, un exercice d’imagerie mentale peut prendre 30 minutes ou davantage. Certaines personnes peuvent avoir de la difficulté à laisser émerger les images. L’accompagnement d’un thérapeute ou l’écoute d’enregistrements qui dictent le processus peut alors être très bénéfique. On suggère fréquemment de faire suivre l’exercice par un dessin ou un récit écrit du « rêve éveillé » afin d’intensifier l’effet de l’expérience.

Les éléments de base des deux techniques

Malgré la grande simplicité de la visualisation et de l’imagerie mentale, ces techniques répondent à certains paramètres qu’il est important de respecter pour obtenir du succès.

Le respect de soi. On ne s’aventure pas dans des territoires où l’on se sent mal à l’aise ni dans des scénarios qui contredisent nos valeurs.

L’écoute de son corps. Comme ces techniques sollicitent les ressources de tout l’organisme, les renseignements que donne celui-ci (contractions, énervement, tensions, émotions, etc.) doivent inspirer le rythme et l’orientation de la démarche.

Réduire les gros objectifs en plusieurs plus petits. Tout processus de guérison, tant psychologique que physique, peut être décortiqué en plusieurs étapes.

Se faire confiance. Ces approches reposent sur le pouvoir de persuasion et seule une personne qui a confiance en ses moyens peut exercer de la persuasion.


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