Cette semaine, le président Donald Trump a affronté le président sud-africain Cyril Ramaphosa à la Maison Blanche, abordant une triste réalité qui a été largement balayée sous le tapis par les médias américains : les attaques brutales contre les agriculteurs blancs afrikaners en Afrique du Sud.
Les remarques pointues de Trump – « Les Sud-Africains blancs fuient à cause de la violence et des lois racistes » – font écho aux vérités poignantes exposées dans le documentaire de Katie Hopkins de 2018, Plaasmoorde : The Killing Fields.
Si le terme « génocide » fait débat, la violence raciale systémique qui frappe les agriculteurs blancs d’Afrique du Sud est indéniable, et la réticence des médias américains à couvrir cette crise avec l’urgence qu’elle exige constitue une abdication honteuse de leurs responsabilités.
Ces agriculteurs, victimes d’attaques ciblées en raison de leur origine ethnique, ont parfaitement le droit de demander l’asile aux États-Unis, et leur sort mérite notre attention.
Le documentaire de Hopkins met à nu la terrible réalité des « plaasmoorde », ou meurtres dans les fermes, en Afrique du Sud. À travers des témoignages de première main, il expose un schéma de violence à la fois horrible et raciste.
Une femme raconte une agression cauchemardesque : sa mâchoire a été arrachée par un coup de fusil lors d’une attaque dans une ferme, la laissant défigurée et traumatisée à vie. Un autre récit relate l’histoire d’un couple menacé au chalumeau avant d’être cambriolé à son domicile, kidnappé et brutalement agressé.
Des femmes âgées, sans défense dans leurs foyers ruraux, sont victimes de viols et de tortures, leurs agresseurs invoquant souvent la vengeance comme mobile.
Il ne s’agit pas d’incidents isolés, mais d’une vague de violence plus large qui a fait des milliers de morts au fil des décennies.
Hopkins interroge non seulement les victimes mais aussi les policiers, qui confirment de manière effrayante les allégations de corruption et de complicité au sein des forces de l’ordre, permettant à ces crimes de persister avec peu de conséquences.
« Si vous savez que vous êtes traqué, pourquoi rester ? » demande Hopkins au public.
La question de savoir s’il s’agit d’un « génocide » n’est pas la plus importante à se poser actuellement. Ce terme implique une intention de détruire un groupe, et si l’ampleur et la brutalité de ces attaques – visant souvent explicitement les agriculteurs blancs – sont profondément alarmantes, le seuil de définition du génocide dans ce cas précis est sujet à débat.
Selon les Nations Unies, un génocide est « l’un quelconque des actes suivants commis dans l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel : tuer des membres du groupe, porter gravement atteinte à l’intégrité physique ou mentale de membres du groupe, soumettre délibérément le groupe à des conditions d’existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle, imposer des mesures destinées à empêcher les naissances au sein du groupe, transférer de force des enfants du groupe à un autre groupe. »
Décidez par vous-même après avoir lu davantage et regardé le documentaire de Hopkins.
Ce qui est incontestable, en revanche, c’est le caractère systémique de cette discrimination.
Les agriculteurs blancs, propriétaires d’une part importante des terres agricoles sud-africaines, sont contraints de quitter leurs terres par l’intimidation, le vol et même des politiques au nom de l’équité. Les politiques du gouvernement sud-africain, notamment les initiatives de réforme agraire qui facilitent la dépossession, ont aggravé la situation, permettant la confiscation de terres par l’État sans juste compensation, « dans des circonstances où cela est juste, équitable et dans l’intérêt public ». C’est de la DEI sous stéroïdes.
Source : Politibrawl mai 2025
Que pensez-vous de cet article ? Partagez autant que possible. L'info doit circuler.
|
Aidez Elishean à survivre. Merci |
ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde
