Secrets révélés

Les conneries de Trump ont remis le Canada aux mains des mondialistes

Mais peut-être que les canadiens aiment les blaireaux !

Le succès de Mark Carney reposait sur une valeur canadienne réelle, stupide et peu humble leur croyance profonde qu’ils sont en quelque sorte meilleurs que les Américains, en partie en raison de leur nature ambitieuse.

Tôt le matin, le chef libéral Mark Carney a reconnu la victoire de son parti. L’ampleur de cette victoire restait à déterminer, car le dépouillement des votes se poursuivait dans des circonscriptions serrées à travers le pays. Mais il semblait qu’il s’agissait, au moins, d’une minorité.

Cette incertitude quant à l’ampleur de sa victoire n’a pas empêché Carney de s’en prendre à Pierre Poilievre, dont le siège était encore en jeu à ce moment-là, non finalisé en raison d’un bulletin de vote surdimensionné à Carleton. Et il l’a fait, ironiquement, à deux doigts de laisser entendre qu’il possédait les valeurs dont les Canadiens ont besoin, notamment la gentillesse et l’humilité.


Et parce qu’il s’est exprimé sur un ton qui correspondait aux sentiments des libéraux canadiens, cela n’a pas semblé susciter beaucoup, voire aucune, de critiques de la part des experts du soir des élections. Il a convaincu une partie suffisamment importante de la population canadienne qu’ils sont en guerre avec leurs voisins américains, et que de telles contradictions de valeurs inhérentes à lui-même et au pays ont cessé d’être importantes.

Carney a accordé une grande importance aux valeurs canadiennes, dont l’existence a été ridiculisée par les libéraux de Trudeau à leur arrivée au pouvoir en 2015. À l’époque, la CBC avait repris ce point de vue.

La CBC a sans aucun doute célébré la victoire de Carney le soir des élections. Comment aurait-elle pu faire autrement ? Il l’a qualifiée de « sous-financée », lui promettant 150 millions de dollars dans sa plateforme. Jusqu’à ce qu’il soit clair qu’il y aurait au moins une minorité libérale après 22 h, la CBC ne savait pas si le résultat des élections l’obligerait à prononcer son propre éloge funèbre, le chef conservateur Pierre Poilievre ayant prôné la suppression du financement du radiodiffuseur.

Pourquoi les libéraux de la dernière décennie ont-ils jusqu’à présent refusé de reconnaître l’existence des valeurs canadiennes ? Apparemment, c’est parce qu’ils estimaient que cela était en contradiction avec leur message « la diversité est notre force ».


Mais ce n’était pas une obligation.

Le Canada peut être à la fois une nation accueillante pour les immigrants et affirmer des valeurs fondamentales, comme celle de ne pas se précipiter dans la rue pour célébrer, par exemple, les actes horribles du 7 octobre dans les villes canadiennes ou de stigmatiser les Juifs dans leurs quartiers de Toronto.

Ces valeurs devraient être faciles à mettre en avant. Mais il ne faut pas s’attendre à les trouver plus chez les libéraux de Carney que chez ceux de Trudeau. C’est la même merde !

Alors, quelles valeurs Mark Carney a-t-il attribuées aux Canadiens ?

Trois, selon lui : l’humilité, l’ambition et l’unité.

Lors de son discours de victoire, il a déclaré à la foule qu’il ferait de son mieux pour les défendre chaque jour en tant que premier ministre, concluant par un « Vous pariez » – une expression populaire popularisée par le film Fargo, qui se déroule au Minnesota, et non au Canada. Ce choix était délicat, compte tenu de la juxtaposition entre le statut de Carney, ancien gouverneur de deux banques centrales, et celui de banquier d’investissement spécialisé dans la lutte contre les émissions mondiales.

C’était clairement une affectation qui ne correspondait ni à son éducation canadienne de la classe moyenne, ni à ses probables importants actifs non déclarés. On dirait qu’il essaie sans cesse de nouvelles versions, des caricatures de ce qu’il pense que le Canada représente, des coudes levés à M. Relooking, en passant par des expressions rurales, en espérant que l’une d’elles lui convienne. Mais elles lui vont comme un costume mal taillé, c’est-à-dire pas du tout.

Pourquoi ces valeurs ?

Carney a déclaré que le Canada traversait une crise, mais a rassuré son auditoire :

« Les Canadiens sont ambitieux. Et maintenant, plus que jamais, l’heure est à l’ambition. Il est temps d’être audacieux pour affronter cette crise avec la force positive et écrasante d’un Canada uni, car nous allons bâtir. Bâtir, bâtir. »

Ce qu’il pense que son gouvernement libéral devrait bâtir ???

« des centaines et des milliers non seulement de bons emplois, mais aussi de bonnes carrières dans les métiers spécialisés », « une stratégie industrielle qui rend le Canada plus compétitif tout en luttant contre les changements climatiques », « de nouveaux corridors commerciaux et énergétiques » et, encore une fois, la promesse de « faire du Canada une superpuissance énergétique, tant dans les énergies propres que conventionnelles ».

Or, nous savons qu’il a refusé d’abroger le projet de loi C-69, la Loi sur l’évaluation d’impact, et qu’il n’ose même pas prononcer le mot « pétrole ». Lorsqu’il l’a fait lors d’un débat à la direction du Parti libéral, il a eu du mal à le faire savoir. Comme si le dire donnait une mauvaise impression au sauveur de l’énergie propre.

Et où entre en jeu la nécessité de l’humilité canadienne ? Il a poursuivi :

« Je tiens à être clair. Les jours et les mois à venir seront difficiles et exigeront des sacrifices. Mais nous les partagerons en soutenant nos travailleurs et nos entreprises. »

Il a poursuivi en disant : « Nous faisons des choses « Parce qu’ils ont raison, pas parce qu’ils sont faciles », a-t-il encore une fois félicité ses partisans pour leur gentillesse.

Mais on ne sait pas très bien à quels sacrifices il faisait référence.

Une dette nationale accrue et un déficit plus important ? De nouvelles contre-mesures contre les États-Unis, qui nuiront aux Canadiens et pourraient coûter plus d’emplois ? De nouvelles taxes sur le carbone, peut-être cette fois-ci enterrées ? On ne sait pas vraiment si Carney lui-même comprend ce qu’il voulait dire.

Outre le manque de clarté sur ces « sacrifices », la suggestion ne correspond pas au moment. Nous ne sommes pas en temps de guerre, donc le langage du rationnement est étrange. Et nous ne sommes pas actuellement en crise, car les tarifs douaniers imposés par le président américain Donald Trump continuent d’être assouplis, et même Carney affirme son intention de négocier un nouvel accord avec lui.

Une chose est sûre : les Canadiens n’ont pas besoin de faire d’autres sacrifices pour des politiques libérales comme la taxe sur le carbone, qu’ils ont récemment réduite à zéro – non pas à cause du fardeau qu’elle représentait pour les Canadiens – mais parce qu’elle était trop clivante et impopulaire à leurs yeux.

Pourtant, Carney a continué d’utiliser le mot « combat », affirmant que :

« notre ancienne relation avec les États-Unis, une relation fondée sur une intégration croissante, est révolue. Le système de libre-échange mondial ancré par les États-Unis, un système sur lequel le Canada s’appuyait depuis la Seconde Guerre mondiale, un système qui, bien qu’imparfait, a contribué à la prospérité du pays pendant des décennies, est révolu. »

Prétendre que la relation du Canada avec les États-Unis, telle qu’elle a existé jusqu’à présent, est définitivement terminée, en raison des choix chaotiques d’un président américain qui est élu pour quatre ans, ne semble ni sage ni pratique.

Pourtant, suffisamment de Canadiens semblent partager l’avis du premier ministre, car ce que Carney a dit durant son discours est ce qu’il répète depuis le début.

Le succès de Carney reposait sur une valeur canadienne réelle, absurde et dénuée d’humilité,  Il leur a vendu leur propre fiction, et cela a fonctionné.


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