Pensée, expériences et leçons de vie
Pour survivre dans les temps qui viennent, il est impératif de se faire à l’idée de la manifestation par la pensée ou de la supraconscience…
La pensée vient d’abord. L’expérience vient toujours en second lieu. Ce n’est jamais l’inverse, c’est-à-dire avoir une expérience et fonder ensuite votre pensée là-dessus.
Votre expérience est toujours le reflet fidèle de ce que vous pensez.
Ce qui importe avant tout c’est la clarté de vos intentions et la reconnaissance de votre pouvoir.
Votre monde se forme toujours à partir de vos pensées.
Pas occasionnellement – toujours. Comme vous êtes bombardés de tant de fréquences de contrôle visant à vous empêcher d’être clairs, votre pensée fluctue. Vous devez, comme espèce, faire en sorte que votre intention soit de rester très clairs, de demeurer centrés, et de toujours vous ramener à l’instant présent.
Cessez de vivre dans l’avenir ou de vivre dans le passé, et vivez sans cesse dans le moment présent. Dites-vous en vous-mêmes: « Qu’est-ce que je veux au juste? Je veux accélérer mon évolution personnelle. Je veux que l’Esprit m’apporte une aide accrue. Je veux que mon corps se régénère. Je veux être rayonnant de santé. Je suis d’accord pour renoncer à la difficulté afin d’être un exemple vivant de ce que l’humanité peut être. » C’est en suivant ce genre de pensées – en commandant du plus profond de votre être et en appelant avec clarté ce que vous voulez – que vous entraînez une accélération du mouvement.
Observez attentivement vos habitudes de comportement. Si vous vous prenez à nier que vous êtes en bonne partie responsable de ce qui vous arrive, et que vous vous refusez à assumer la paternité de vos créations, regardez simplement de quoi il s’agit au fond.
Dites-vous par exemple: « Tiens! Voilà qui est intéressant; je fais tout le temps cela. Je ne veux pas reconnaître ce que je crée. Si je n’aime pas quelque chose, je blâme quelqu’un d’autre pour cela. Voyons un peu pendant combien de temps je ferai cela, et laissez-moi découvrir une solution afin de développer un modèle de comportement différent. »
Ne portez pas de jugement à votre égard.
Commencez à vous dire: « Je vais accepter la responsabilité pour tout ce dans quoi je suis impliqué. Je vais assumer la responsabilité de tout ce qui m’arrive. Si je n’aime pas ce qui m’arrive, je vais commencer à me demander pourquoi je crée des choses que je n’aime pas. Peut-être est-ce dans le but d’attirer mon attention sur quelque chose afin que je puisse voir et changer ce qui ne fonctionne pas pour moi. »
Agissez toujours comme s’il y avait un but irréprochable à chaque chose que vous faites.
Agissez comme si votre plus grand bien et votre meilleure opportunité résidaient dans le fait de tirer pleinement parti de chaque événement dans lequel vous êtes impliqués.
Agissez ainsi en toute circonstance. Si vous êtes en train de déambuler sur la rue et que quelqu’un vous dit derrière vous: « J’ai un revolver pointé sur vous; donnez-moi votre porte-monnaie », agissez comme si c’était là une occasion qui vous était donnée d’évoluer vers une plus grande croissance.
On ne sait jamais quels peuvent être les résultats si l’on commence à agir ainsi.
Lorsque vous agissez comme si, vous agissez sans savoir ce qui s’ensuivra et sans avoir d’attentes. Voilà l’attitude à adopter. Si vous pouviez tous avoir cette attitude et agir comme si chaque événement avait pour but de vous propulser de l’avant dans votre croissance et votre éveil de conscience, vous pourriez alors vous retourner et vous apercevoir que la personne tenant le pistolet dans votre dos est une contrepartie ou une partie de vous-mêmes.
Vous pourriez être en mesure de guérir quelque chose; vous pourriez avoir ainsi l’occasion de faire quelque chose que vous avez peur de faire.
N’ayez pas peur de ce que vous créez.
Ayez confiance en ce que vous créez. Demeurez confiants qu’il y a toujours quelque chose à apprendre pour vous là-dedans.
Ne balayez pas vos drames sous le tapis comme s’ils n’étaient que de vieilles saletés horribles et que vous ne voudriez plus jamais les revoir. Finissez-en avec ces drames; cessez de tourner en rond et d’être perdus dedans.
Comprenez cependant que le drame que vous avez eu avec votre mère, votre frère, votre soeur, ou votre conjoint est quelque chose dont vous allez peut-être vous servir dans vingt ans pour parvenir à une toute nouvelle prise de conscience.
Considérez donc ces drames de la vie courante comme des dossiers pour vous. Menez-les à terme, résolvez-les du mieux que vous pouvez, faites la paix en vous à leur sujet, acceptez le rôle que vous y avez joué, et laissez-les retourner dans votre conscience pour que vous puissiez en retirer un quelconque enseignement.
Acceptez de les voir comme des trésors vivants d’expérience pour vous plutôt que comme des irritants que vous voulez oublier au plus vite. L’émotion est reliée à ces choses et, rappelez-vous, une émotion peut vous ouvrir la porte à d’autres domaines d’activité.
Croyez-vous vraiment ne pouvoir créer votre réalité que dans certains domaines et être impuissants en d’autres ? Soutenez-vous que vous n’avez aucun contrôle sur certains aspects de votre vie?
Renoncez-vous à ce qui vous appartient naturellement de plein droit parce que la société vous dit que vous ne pouvez l’avoir? Vous vous rendrez compte que ces événements ne se produisent pas comme ça par pur hasard. Certains de vous croient que vous créez votre propre réalité mais que d’autres ne créent pas la leur particulièrement les petits bébés à qui toutes sortes de choses arrivent ou les enfants à qui de mauvais traitements sont infligés. Il s’agit d’un concept difficile à saisir pour beaucoup d’entre vous que des enfants en apparence impuissants ou des personnes affamées créent également leur propre réalité.
Chaque fois que vous vous laissez prendre au piège de la mentalité de victime, vous faites passer aux gens l’idée qu’ils sont impuissants et vous faites vôtre cette probabilité.
Vous devez apprendre à honorer les drames et les leçons des autres personnes.
Rendez-vous compte que les journaux ne vont certainement pas vous informer du potentiel de changement qui existe pour l’ensemble des personnes impliquées dans un scénario particulier, car ce n’est pas ainsi qu’ils rapportent et couvrent les choses.
Vous ne comprenez pas les synchronicités sous-jacentes des événements; vos médias ne font état que des soi-disant faits observés et ignorent le riche courant de significations émotionnelles qui accompagne les drames humains et les enseignements de la vie.
Les personnes aux prises avec des drames où tout semble indiquer que quelqu’un en est la victime sont habituellement si peu en contact avec leurs sentiments qu’elles ne font pas de lien entre ce qu’elles ressentent et ce qu’elles pensent. Les victimes trouvent des victimes.
Les vainqueurs trouvent des vainqueurs. Ainsi, de grâce, lorsque vous entendez parler dans un reportage d’un événement ou d’un drame mondial où il semble que des gens soient des victimes impuissantes, honorez-les et honorez-vous en reconnaissant le fait qu’ils ont créé leur propre réalité. Il se peut que ce soit une réalité dont vous n’avez rien à apprendre, ou rien auquel vous sentiez le besoin de participer.
Il vous faut comprendre le fait que d’autres ont à franchir les royaumes de la densité pour arriver jusqu’à la Lumière. Quelquefois la plus grande illumination naît des plus grandes catastrophes et des plus grandes difficultés.
Lorsque vous allez au restaurant et que vous commandez ce que vous désirez manger, le chef cuisinier le prépare et les serveurs vous l’apportent. Vous commandez votre repas, mais ce n’est pas vous qui le faites. Les cuisiniers, ou l’énergie spirituelle si vous préférez, se débrouillent pour exécuter votre commande; néanmoins, ç’est vous qui avez choisi et demandé qu’on vous l’apporte. Pour qu’on vous l’apporte, il faut d’abord que vous alliez au restaurant et que vous le commandiez. C’est donc vous qui en êtes responsable et qui payez pour.
Les choses se passent dans la vie un peu comme dans un restaurant. Apprenez à commander ce que vous voulez dans la vie comme vous le faites dans un restaurant et ensuite attendez en toute confiance qu’on vous l’apporte, puisque vous l’avez commandé.
Lorsque vous allez au restaurant, vous ne vous en faites pas avec chaque petit détail de ce qui est proposé sur le menu et vous ne vous demandez pas si vous méritez de l’avoir ou pas. Il est vrai que parfois, vous le faites. Parfois vous dites, « Eh bien, je ne mérite pas d’avoir cela. Ça me coûterait quinze dollars et je peux seulement prendre quelque chose qui coûte sept dollars ou moins. »
La façon dont vous vous comportez au restaurant est une magnifique indication de la façon dont vous agissez dans la vie. C’est un incroyable enseignement que d’arriver à comprendre cela. Lorsque vous allez dans un restaurant, vous contentez-vous simplement de passer votre commande en disant, « Voici ce que je désire », et d’attendre patiemment qu’on vous l’apporte, ou bien est-ce que vous êtes inquiet qu’ils vont tout faire de travers?
Dès que vous avez donné votre commande, vous mettez-vous à suivre le serveur jusque dans la cuisine en disant: « Oh, ils n’ont probablement pas la bonne sorte de laitue. Ils ne feront probablement pas sauter les oignons juste un peu comme je l’ai demandé, et ils n’auront pas la sorte de champignons que j’ai commandée. » Non, bien sûr. Vous faites confiance que tout vous sera présenté tel que vous le voulez et vous les laissez aller.
Lorsqu’on vous apporte le plat commandé, vous dites: « Merci. » S’il vous manque quelque chose, vous le demandez et puis vous commencez à manger.
Regardez la belle nonchalance divine dont vous faites preuve lorsque vous commandez un repas au restaurant. Voilà de quelle façon il faut commander les choses dans la vie. Faites-vous une idée claire de ce que vous voulez, commandez-le, et passez à autre chose. Ne passez pas votre temps à faire appel à l’Esprit pour vérifier s’il a bien reçu votre commande ou pour lui donner votre avis sur la façon de la remplir. Vous avez passé votre commande. Ayez confiance qu’elle viendra.
Vous êtes le résultat de ce que vous pensez. À défaut d’apprendre autre chose sur cette planète, vous apprendrez à tout le moins que telle est la règle dans cette réalité comme en maintes autres réalités.
C’est la pensée qui crée l’expérience. Pourquoi ne pas vous faire un cadeau et commencer à entretenir à votre égard des pensées d’une qualité exceptionnelle, magnifique et inspirante; libérez-vous du besoin d’avoir l’assentiment du reste de la société face à vous. Valorisez-vous. Voilà quelque chose de très difficile à faire pour certains d’entre vous. Comment pouvez-vous avoir une bonne estime de vous lorsque vous avez l’habitude de ne pas vous valoriser?
Soit vos paroles vous donnent le sentiment d’être au pouvoir de vous-mêmes, soit elles vous donnent le sentiment d’être impuissant. Ce que nous voulons insuffler en vous, c’est le courage de vivre votre Lumière; ce que nous souhaitons donc surtout mettre en évidence, ce dont nous cherchons à vous convaincre par tous les moyens possibles, c’est que votre monde se forme à partir de vos pensées.
Éliminez de votre vocabulaire les mots devrait et essayer. Si vous deviez débourser un montant d’argent à chaque fois que vous dites ces mots, vous seriez gravement endettés. Vous accumuleriez une dette de perte de capacité et d’impuissance. Le mot devrait implique que vous fonctionnez sous la tutelle de quelqu’un d’autre. Nous aimerions vous rappeler que vous êtes souverains sur vous-mêmes.
Lorsque quelqu’un essaie de publier un bulletin d’information ou essaie de changer un comportement, il risque de devoir essayer jusqu’à la fin de ses jours. Essayer n’est pas faire. Quand vous utilisez le mot essayer, vous n’accomplissez rien parce qu’essayer ce n’est qu’une excuse pour ne rien faire : « J’ai essayé de le faire. J’ai essayé. J’ai essayé. » Dans votre propre vie, utilisez les mots, « je crée », « je fais », « je manifeste », « j’ai l’intention » et « j’accomplis ». Oubliez le « j’essaie ».
Lorsque vous devenez un faiseur et que vous êtes capable de manifester ce que vous voulez dans la vie, vous faites de vous un miroir dans lequel bien des gens voudront se voir. Il y a une certaine croyance qui existe voulant qu’il y ait une quantité limitée de chaque chose et que seule telle ou telle personne peut faire ou manifester des choses.
Lorsque vous commencez à montrer que vous pouvez infléchir les lois de la réalité, il peut alors arriver que d’autres personnes n’aiment pas cela, car elles pensent que vous avez quelque chose qu’elles veulent et qu’elles ne peuvent avoir à moins que vous ne l’ayez plus.
Si vous vous placez derrière les autres et que vous avez peur d’avoir ce que les autres n’ont pas parce que vous pensez qu’il n’ yen a pas assez, vous ne comprenez pas qu’en permettant aux principes divins de travailler en votre corps et de s’ancrer sur la planète vous devenez ainsi un exemple vivant de la Lumière à l’oeuvre.
Vous permettez alors au dessein inné de la Lumière de passer à travers votre véhicule et vous devenez un exemple vivant de ce que les autres peuvent faire. Telle est la haute vibration que nous nous proposons de tous vous enseigner. Nous voulons vous faire comprendre qu’il n’y a aucune restriction.
Il n’y a aucune limitation et ceci est valable pour toute la planète. Chaque personne où qu’elle soit sur la planète peut fonctionner en coopération et en tant qu’individu unique dans l’expression de son être. Quels que soient les dons de l’esprit ou du monde matériel qui viennent à vous, ne croyez pas que vous soyez plus chanceux que les autres. Il vous suffit plutôt de comprendre que vous êtes capables de faire fonctionner les principes divins dans votre corps physique et que vous pouvez montrer aux autres comment faire.
Vous pouvez dire: « Écoutez, cela marche. J’ai pu le faire. Vous le pouvez tout autant que moi. »
Nous passons des heures à expliquer au gens qu’il ne faut pas avoir peur de manifester des choses. Chacun de vous a peur parce que vous avez grandi avec une éthique qui dit: « Une chose n’a de la valeur que si vous travaillez pour l’obtenir. Vous ne pouvez obtenir des choses à moins de travailler dur pour les avoir. »
Il est impératif pour vous tous d’examiner sérieusement cette idée voulant qu’il faille travailler dur et voir d’où elle provient. Regardez vos parents et le système de croyances qu’ils avaient. Ce dont nous parlons ici, c’est de la naissance d’une conscience qui représente la nouvelle espèce humaine qui apprend comment faire les choses sans effort.
Si une chose n’est pas faite sans effort, alors oubliez-la. Si ça vous semble demander trop de travail, quelque chose vous dit que ce n’est pas de ce côté-là qu’il faut aller. Ce n’est que lorsque quelque chose prend forme sans effort et tombe en place simplement, sans que personne n’ait à faire grand chose, que c’est la bonne chose à faire.
Si vous commencez tous à mettre cela en pratique, vous transformerez totalement la façon dont la conscience de l’espèce aborde la vie. Ce n’est pas là une attitude irresponsable ou une échappatoire – c’est une nouvelle manière de transporter des briques d’un point à un autre.
Une fois nous avons parlé d’un grosse pile de briques à un groupe de personnes et nous leur avons demandé: « Comment vous y prendriez-vous pour déplacer les briques? » Elles dirent toutes: « Eh bien, vous les prenez une par une. » Et nous avons alors dit : « Personne parmi vous n’a songé à engager quelqu’un d’autre pour le faire? »
Si votre mission consiste à prendre des briques ici et à les déplacer là-bas, comment ferez-vous? Votre première réponse peut être de dire: « Eh bien, je vais les déplacer. Je vais les ramasser une à une. » Cependant, vous pourriez aussi faire appel à quelqu’un et dire, « Déplacez ces briques pour moi. »
Si vous faites cela, vous vous acquittez quand même de votre mission. Vous faites ce qui doit être fait. Croyez-vous que nous allons vous réprimander si vous ne le faites pas vous-mêmes? Non, car vous faites tout de même en sorte que le travail se fasse. Voyez-vous la différence?
L’argent semble être une question importante pour tout le monde. Vous entretenez tous des croyances définitives quant à la façon dont l’argent vient à vous. Plus vous croyez devoir travailler dur pour avoir de l’argent, plus il vous faudra travailler dur. Beaucoup d’entre vous croient qu’il est tout à fait normal de travailler dur pour avoir de l’argent, et que si vous ne travaillez pas dur pour le gagner alors c’est de l’argent « sale ». Permettez-nous de vous demander de vous souvenir des mots sans effort et de les incorporer dans votre vocabulaire. Dites-vous en vous-mêmes: « J’aspire sans effort à ce que cela se produise. »
Faire les choses sans effort, c’est commander à la réalité de s’amener à vous d’une manière qui laisse place à l’utilisation de plein d’énergie pour d’autres formes d’expériences.
Rappelez-vous, votre réalité est le résultat de vos pensées. Si vous croyez que les choses sont difficiles à faire, qu’êtes-vous en train de créer?
Beaucoup parmi vous ont passé des vies entières à accorder tout leur respect à des membres de leur famille ou à des gens dans la société qui leur semblaient être des citoyens honorables et qui représentaient pour eux une certaine éthique de travail et un certain système de valeurs. Vous n’avez pas songé à remettre en question cette éthique de travail ou à examiner s’il existe une autre façon de voir tout cela.
Par conséquent, vous croyez que pour obtenir de l’argent il est nécessaire de dépenser une grande quantité d’énergie, ou que vous devez être à l’emploi de quelqu’un qui va vous en donner, ou n’importe quoi d’autre. Ces idées sont entièrement et totalement erronées.
Nous ne saurions trop insister là-dessus. Lorsque vous y consentirez, l’Esprit vous compensera de diverses manières aussi inattendues les unes que les autres. La seule raison pour laquelle cela ne s’est pas produit avant, c’est que vous n’avez tout simplement pas cru que c’était possible. Lorsque vous croyez que des choses sont possibles, la réalité change.
Avoir le bon état état d’esprit est ce qui compte avant tout. Nous insistons à nouveau sur ce point: ce que vous ressentez à propos de la réalité et la manière dont vous programmez la réalité déterminent en bonne partie comment vous allez y répondre et comment elle va se présenter à vous. C’est pourquoi nous disons, « Foncez sans hésiter! Ayez de l’audace! Faites ce qui vous excite! Faites l’impossible! » Vous pouvez le faire. Vous pouvez faire tout ce que vous voulez. Vous transformerez votre monde peu importe l’état dans lequel il se trouve.
Rappelez-vous, lorsque vous apprenez les règles du jeu – que vous êtes le résultat de vos pensées et que c’est là une loi de votre univers – tout ce qu’il vous faut faire c’est de penser à comment vous voulez être, et c’est ainsi que vous serez.
Lorsque vous serez arrivés à comprendre cela, vous pourrez concevoir votre corps, vous pourrez concevoir votre âge, et vous pourrez tout déterminer en ce qui vous concerne, parce que c’est par vous-mêmes que vous vous motiverez, que vous vous donnerez le pouvoir et que vous vous générerez.
BARBARA MARCINIAK
Extraits de son livre MESSAGERS DE L’AUBE, p. 143 à 152
Ariane Éditions, 1995
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