En 2007, la Cour suprême a statué que le dioxyde de carbone et d’autres émissions piégeant la chaleur (méthane, protoxyde d’azote et d’autres substances) sont des polluants au sens de la Clean Air Act et que le gouvernement a le pouvoir de les limiter.
Depuis lors, le monde a été soumis à de nombreuses lois et traités liés au climat, ainsi qu’à diverses pressions gouvernementales, universitaires et commerciales, qui ont toutes contribué à exagérer la « menace existentielle » que représente le changement climatique. Le principal responsable a toujours été le dioxyde de carbone atmosphérique.
Il n’y a rien de fondamentalement mauvais dans les déclarations qualitatives par rapport aux déclarations quantitatives, mais on a beaucoup hésité à expliquer pourquoi, au cours des 50 dernières années, les températures mondiales n’ont pas augmenté aussi vite que prévu par les alarmistes du climat.
« Watts Up With That » prétend être le « site le plus consulté au monde sur le réchauffement climatique et le changement climatique », pour lequel Collister Johnson a récemment écrit un article court mais percutant au titre sans prétention : « L’effet de saturation remet en question le discours dominant sur le CO2. »
Au cours de la dernière décennie, plusieurs scientifiques reconnus ont réalisé des analyses qualitatives et des expériences pour réfuter l’hypothèse selon laquelle « l’augmentation du CO2 atmosphérique entraînerait une augmentation linéaire et dangereuse des températures mondiales ».
William Happer et William van Wijngaarden sont tous deux « des physiciens accomplis et renommés avec plus de 500 articles publiés à leur actif ».
Ils ont appliqué des analyses mathématiques très détaillées à la physique du CO2 dans l’atmosphère et ont émis de sérieux doutes sur la capacité du CO2 à absorber la chaleur après être devenu « saturé » aux niveaux actuels de 400 parties par million, et donc incapable d’absorber beaucoup plus de chaleur du Soleil.
Ainsi, toute augmentation supplémentaire du CO2 atmosphérique — même en doublant cette quantité à 800 parties par million — n’entraînerait qu’une augmentation minime de la température atmosphérique de 0,5 °C, soit 1 degré Fahrenheit. [snip]
Cette constatation mathématiquement rigoureuse a été validée par une expérience de laboratoire contrôlée menée par une équipe de sept chercheurs viennois en 2024. Ils ont mesuré le rayonnement infrarouge arrière du CO2 dans une chambre d’essai avec des concentrations croissantes de CO2 imitant des conditions atmosphériques réalistes. Ils ont conclu que le doublement du CO2 par rapport aux niveaux préindustriels de 400 à 800 ppm « ne montre aucune augmentation mesurable de l’absorption du rayonnement infrarouge et peut donc conduire à une augmentation du réchauffement de seulement 0,5 °C au maximum ».
Ces dernières années, d’autres scientifiques de renom ont réalisé des études qui confirment que cet effet de saturation entraîne une augmentation minime de la température lorsque les niveaux de CO2 augmentent.
Il n’existe pas de relation linéaire entre l’augmentation des niveaux de CO2 et celle des températures.
Cela explique pourquoi la Terre « n’a jamais connu de réchauffement incontrôlable dans le passé, lorsque les niveaux de CO2 étaient 5 à 10 fois plus concentrés qu’aujourd’hui ».
Au contraire, la planète reverdit
En près de vingt ans, la Terre a récupéré une surface végétale d’une superficie équivalente à la forêt amazonienne.
La Terre verdit grâce aux émissions de CO2… Le dioxyde de carbone rejeté par les activités humaines a accru la quantité de feuilles des arbres entre 1982 et 2009, selon un rapport couplant observations et modèles informatiques..
Hausse des températures, élévation du niveau des mers, acidification des océans ou encore fonte des glaciers : la liste des maux associés à l’augmentation des niveaux de CO2 dans l’atmosphère n’a cessée de s’allonger. Pourtant, il existe une conséquence, moins connue et plus positive du pic actuel de dioxyde de carbone : une Terre plus verte, c’est-à-dire arborant une végétation plus dense.
Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont étudié les données de trois satellites. Les résultats sont inattendus : les capteurs montrent un verdissement (davantage de feuilles ou parfois d’arbres) de 25 % à 50 % des terres végétalisées du globe depuis une trentaine d’années, essentiellement dans les tropiques et à des latitudes élevées. A l’inverse, seulement 4 % des sols ont perdu en couverture foliaire – dans certaines régions de Mongolie, d’Argentine ou en Alaska.
Cet accroissement de la végétation représente, si on la mettait à plat, l’équivalent d’un continent vert de deux fois la taille des Etats-Unis (18 millions de km2). Aujourd’hui, les plantes couvrent près d’un tiers (32 %) de la superficie totale de la planète, occupant environ 85 % de toutes les terres libres de glace.
Donc le réchauffement climatique dû au CO2 pour être un canard, c’en est un qui ne manque pas de culot !
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