Cas de conscience

Le Canada est un handicap

par JB Shurk

Je ne suis pas fan de la politique de Michael Moore ni de ses films de propagande vendus comme des « documentaires », mais il y a un film dans son CV que j’apprécie énormément : Canadian Bacon, avec le grand John Candy dans son dernier film.

Moore a écrit et réalisé ce petit bijou comique sur un président américain qui déclenche une guerre avec le Canada afin de gagner du terrain dans les sondages.

Candy, l’un des artistes les plus appréciés du Canada, joue un shérif américain anti-canadien hilarant qui est ravi de prendre les armes contre nos voisins du Nord. Le tout est une farce de premier ordre qui mérite un avertissement amusant dans le générique de fin : « Aucun Canadien n’a été blessé pendant cette production. » Étrangement, c’est le seul effort non documentaire de Moore en trois décennies. Ou  peut-être  que c’était l’un des premiers documentaires de Moore, et qu’il ne le savait tout simplement pas.


Je dis cela parce que la Canadienne Chrystia Freeland (l’un des clones de Klaus Schwab au Forum économique mondial et la petite-fille d’un nazi ukrainien  )  a promis cette semaine qu’elle conclurait une alliance militaire contre les États-Unis si elle devenait le prochain premier ministre.

Ce sont toujours des femmes gauchistes folles aux « yeux fous » qui menacent de déclencher une guerre nucléaire pour avoir blessé des sentiments – les mêmes femmes gauchistes folles qui prétendent que toutes les guerres disparaîtraient comme par magie si  seules  les femmes ( mais, mon Dieu, qu’est-ce qu’une femme ? ) dirigeaient la planète.

La rhétorique belliciste de Freeland contre le président Trump et les États-Unis n’a rien de surprenant.

Elle ne fait que relayer les cris primaires des Karens canadiennes de partout dans le monde qui n’apprécient pas que Trump continue d’offrir au peuple canadien une porte de sortie pour échapper à la destruction marxiste de la famille Trudeau : devenir le 51e État des États-Unis.


Le reste du monde tuerait pour avoir l’occasion de rejoindre l’équipe des États-Unis, mais tant de gauchistes cinglés qui vivent dans le chapeau de l’Amérique ont confondu la protection américaine avec la puissance canadienne que le petit frère idiot de l’Amérique pense que c’est quelque chose qu’il n’est pas : l’égal de l’Amérique.

Si le président Trump qualifie le premier ministre Justin Trudeau de « gouverneur », c’est parce que l’économie et la sécurité de son pays dépendent entièrement de la bonne volonté des États-Unis.

Le Canada est un immense pays qui possède certaines des ressources naturelles les plus précieuses de la planète, mais sa population est faible et il n’a aucun moyen de se défendre sans se réfugier sous le parapluie sécuritaire des États-Unis.

Si la Chine ou la Russie voulaient que le Canada et les États-Unis ferment les yeux, les Canadiens parleraient bientôt chinois ou russe.

Si les États-Unis fermaient leurs frontières aux exportations canadiennes, l’économie canadienne s’effondrerait rapidement. Et même si les États-Unis cessaient de subventionner l’économie canadienne par des « accords » commerciaux unilatéraux qui avantagent les producteurs canadiens aux dépens des Américains, l’économie canadienne s’effondrerait rapidement.

Les États-Unis paient littéralement pour maintenir la viabilité économique du Canada, et la machine militaire américaine protège les Canadiens pendant leur sommeil.

Tout ce faste et cette cérémonie à saveur d’érable qui permettent aux Canadiens de gonfler leur torse et de proclamer fièrement : « Nous ne sommes pas des Américains » sont payés par le peuple américain. Les Canadiens ne prennent jamais la peine de lire le langage standard qui accompagne l’étiquette de garantie prolongée de leur pays.

Les États-Unis soutiennent le Canada sur la scène internationale et permettent à son petit frère de s’asseoir à la table des grands lors des réunions internationales.

Les chefs de la sécurité nationale américains partagent des renseignements avec leurs amis du Nord et les diplomates américains incluent leurs homologues canadiens dans les sessions de stratégie mondiale. Mais ce sont là les prérequis pour être un ami fiable de l’Amérique.

Ce sont des « privilèges » accordés par les Américains qui pourraient facilement disparaître si Chrystia Freeland et sa bande de marginaux qui détestent l’Amérique font du Canada un fardeau encore plus grand pour les Américains.

Ne vous y trompez pas, le Canada est  déjà  un handicap.

Un Canadien avisé et stratège, Julius Ruechel, a récemment rédigé une présentation merveilleusement succincte  de la façon dont le Canada crée des risques inutiles pour les États-Unis.

Comme le soutient Ruechel, en rejetant notre culture occidentale commune et en adoptant le « multiculturalisme » comme marque mondiale, le Canada a invité de nombreux ennemis de l’Amérique chez lui.

  • Les opérations de fentanyl de la Chine aux États-Unis dépendent des centres de distribution canadiens.
  • Les responsables canadiens ont permis au Parti communiste chinois de mener des opérations d’entraînement militaire dans l’espace aérien nord-américain et dans les territoires arctiques du Canada.
  • Le gouvernement canadien a presque permis à la Chine d’établir un port naval en eau profonde au cœur de la côte arctique du Nunavut – une position nordique idéale d’où cibler les villes américaines à travers le continent.
  • Tout comme c’est un problème majeur à Washington, trop de politiciens canadiens sont de mèche avec les Chinois.

Outre les relations malsaines du Canada avec la Chine communiste, son gouvernement de gauche a permis au pays de devenir le port d’attache d’une foule d’autres acteurs malintentionnés qui aiment attaquer l’Amérique.

  • Les syndicats du crime transnational dépendent des institutions financières et des réseaux de communication canadiens.
  • Le Forum économique mondial utilise le Canada comme centre de diffusion de la propagande mondialiste aux États-Unis.
  • Le Royaume-Uni et l’Union européenne utilisent le Canada pour saper la politique officielle des États-Unis et projeter la puissance européenne en Amérique du Nord.
  • Et chaque fois que le Canada souhaite « faire valoir ses muscles », il menace de couper l’approvisionnement en hydrocarbures des États-Unis et de rediriger des ressources essentielles vers la Chine communiste.

En fait, le Canada est un maillon faible qui expose l’Amérique et fragilise ses intérêts.

Que recommande Ruechel à ses compatriotes canadiens ? Il conclut :

« La vie à l’intérieur de la forteresse Amérique semble plutôt agréable compte tenu de ce qu’est devenu le Canada. »

Rassembler les Nord-Américains sensés permettrait certainement de défaire la vampire Chrystia Freeland et d’éviter à tous  le bacon canadien : deuxième partie .


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