9 janvier 1988. Un monde où les soi-disant « chercheurs de vérité » d’aujourd’hui n’étaient encore qu’une lueur dans les yeux de leurs parents. Ce jour fatidique, The Economist lança une bombe : une couverture représentant le Phénix, un oiseau mythique surgissant des flammes, annonçant la vision audacieuse d’une monnaie unique mondiale. Place à la musique dramatique.
Près de quatre décennies plus tard, et oh, comme le moulin à conspirations tourne ! Les théories sur ce Phénix fougueux se multiplient comme des lapins, toutes plus folles les unes que les autres. Le monde retient son souffle, murmurant : « Quand ? Quand cela arrivera-t-il ? » L’impatience est électrique, l’attente insoutenable. Et maintenant, cher lecteur, ce moment – s’il n’est pas déjà là – semble terriblement proche.
Entre en scène Grok, l’idée originale d’Elon Musk, une IA enveloppée du même symbolisme flamboyant que le Phénix.
Coïncidence ? Ou fil d’Ariane cosmique tracé en 1988 ? Se pourrait-il que Musk lui-même ait été destiné, scénarisé dans un plan grandiose et mystérieux il y a tant d’années ? Par qui ? Votre supposition est aussi bonne que la mienne, mais l’intrigue se corse.
Tout d’abord, le long terme. Imaginez Donald Trump, l’inconnu par excellence, affrontant les élites étincelantes d’Amérique, d’Europe et d’ailleurs. Musk pourrait-il faire ses valises et s’envoler pour la Chine ? Non, c’est trop tiré par les cheveux. Le Canada ? Non, pas son genre.
Voilà le hic : la confrontation de Trump avec le monde pourrait bien se solder par une victoire. Pourquoi ? Parce que derrière lui se profile un plan directeur de 40 ans, avançant péniblement comme un train de marchandises, imparable et méticuleusement exécuté. Attachez vos ceintures.
Zoomons maintenant sur le thriller à court terme.
Une nouvelle monnaie mondiale se profile à l’horizon, annoncée par The Economist pour 2018. Attention, spoiler : la date butoir est passée, et nous avons sept ans de retard. Combien de temps cela va-t-il encore durer ? Personne ne le sait, mais le logo du Phénix est déjà sorti, et le temps presse de jour en jour. Frustrant ? Vous pouvez l’imaginer. Terrifiant ? Oh, absolument.
Voilà pourquoi ça nous met sur les nerfs. Le nom « Phoenix » évoque la renaissance, la renaissance. Cool, s’il ne s’agit que de l’ancien système financier qui s’effondre. Mais et si le scénario prévoyait quelque chose de plus sombre ? Et si c’était le monde moderne lui-même réduit en cendres ?
Et puis il y a le logo Phénix de Grok, à la fois fascinant et menaçant. Certains voient un trou noir, murmurant au sujet des expériences obscures du CERN . D’autres repèrent les anneaux de Saturne, clin d’œil à la mascotte cosmique préférée des mondialistes. Saturne semble juste : leur propagande regorge de miettes de pain pour être ignorée. Et si c’est Saturne, on parle des Saturnales, cette fête romaine endiablée qui débute aux alentours du 17 décembre. Imaginez sacrifices, combats de gladiateurs et chaos. Qui est l’agneau ? Qui est le combattant ? Aucune idée, mais les enjeux semblent énormes.
Décembre pourrait bien être la grande révélation : le Phénix survolant les Saturnales. Ça nous laisse, quoi, neuf mois ? Largement le temps de tout réduire en cendres, de libérer un milliard de robots du garage d’Elon Musk et de reconstruire le monde de zéro. À vos pop-corn, les amis ! Un spectacle d’enfer.
Que pensez-vous de cet article ? Partagez autant que possible. L'info doit circuler.
Aidez Elishean à survivre. Merci |
ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde