Mystique

La nouvelle conscience de l’Univers (2) L’émancipation de l’homme animal

LA FIN DE TOUTE CHAIR

Si l’humanité conserve inconsciemment la sensation qu’en ces premières époques l’homme vécut une période de paix et de bonheur, c’est tout simplement par pure ignorance !

L’arbre de la Connaissance réfère à la prise de conscience de la sexualité humaine qui s’oppose à la sexualité animale mue par des cycles précis purement et naturellement dirigés pour la reproduction ou l’accroissement des espèces.

L’Arbre de Vie réfère à la durée de la vie : le « vivre pour toujours » de la Genèse est sans doute abusif.


Les « immortels « , les Nephilim ont été caractérisés comme ayant une durée de vie de 120 shar’s soit 3600 x 120 = 432 000 ans terrestres soit mille fois plus que les humains de l’époque qui pouvait vivre semble-t-il 3 à 400 ans, voire plus selon les sources bibliques (1000 ans).

Dans leur service aux Nephilim, les humains étaient complètement nus, aussi bien lorsqu’ils servaient à ses dieux le boire et le manger que lorsqu’ils travaillaient dans les champs ou sur les chantiers.

Le manque de « connaissance » signifie t-il que nu comme un animal, l’être nouvellement créé copulait comme ou même avec les animaux ? L’épopée de Gilgamesh (textes sumériens) suggère que les mœurs sexuelles servaient à distinguer l’homme sauvage de l’homme humain.

Ainsi le processus consistant à « civiliser » l’humain animal, Enkidou passa par une initiation sexuelle le plusieurs jours qui eut pour effet que ses amis, les bêtes sauvages, détalèrent en le voyant…


» A présent, il avait une vision, une plus grande compréhension…

La prostituée lui dit :

Tu as la connaissance maintenant Enkidou
Tu es devenu comme un dieu ! «

Tant qu’il manquait la connaissance à Adam et Eve, ils vivaient sans descendance dans le jardin d’Eden. Ce n’est qu’après l’acquisition de cette connaissance qu’Adam connut Eve et qu’elle conçut et donna naissance (dans la douleur) à Caïn.

Selon d’autres sources, (celles de Sir Laurence Gardner) le premier fils d’Eve n’était pas d’Adam mais de Enki.

Ce qui conférait à Caïn 3/4 de sang des dieux, avec les qualités inhérentes à cette race. Abel et Seth par contre furent bien d’Adam et Eve. Cette lignée eut moins d’importance que celle de Caïn. Ceci peut expliquer par ailleurs, les mythes postérieurs de vierges enceintes de » Dieu « .

Il n’est aucunement surprenant que les premiers représentants d’homo sapiens fussent incapables de se reproduire, l’être nouveau étant un hybride, un croisement entre deux espèces différentes, quoique ayant des relations entre elles ; comme une mule (croisement d’une jument avec un âne), un mammifère hybride est stérile. Grâce à l’insémination artificielle ou d’autres méthodes, il est possible de produire autant de mules que souhaité sans recours à la jument et à l’âne.

Les Nephilim se contentèrent-ils, tout d’abord de créer des » mules humaines » dont ils avaient besoin?

Sur une gravure, on voit Enki avec Ninti, (Ninhoursag) son épouse et collaboratrice (la déesse mère) entourés de déesses subalternes et face à eux, des rangées d’êtres humains dont le trait le plus frappant est qu’ils sont tous semblables, comme produits d’un même moule !

Un ancien conte sumérien parle des mâles et femelles imparfaits qu’Enki et Ninti firent naître au commencement : ils étaient dénués de sexualité. Une fois le « modèle parfait » mis au point (Adapa / Adam) Enki recourra aux techniques décrites dans les textes sumériens : implantation des ovules traités génétiquement chez des déesses porteuses. Cela indique que ce « modèle » parfait ne pouvait pas procréer lui-même.

Le Serpent de la Bible n’était certes pas un vulgaire serpent : il pouvait tenir une conversation avec Eve, il connaissait la vérité au sujet de la « connaissance » et il était d’un rang très élevé pour se permettre de dévoiler, sans hésitation, le mensonge de la divinité…

Enki a-t-il été capable de pourvoir les hybrides Adam et Eve d’un double ensemble de chromosomes dans leurs cellules génétiques pour les rendre sexuellement » normaux »?

Est-ce cette modification que le dieu Enki (le Serpent) apporta à l’humanité ? (contre la volonté de son frère aîné Enlil (1)… assimilé à » Dieu » dans la Bible)

Le conflit entre le « Dieu » de la Bible et le » Serpent » n’est qu’un écho du conflit qui opposa le Nephilim Enki (sous les traits du Serpents) et son frère Enlil.

Enki avait été le pionnier sur Terre et il dut céder sa place à Nippour à son frère Enlil, tandis qu’il fut affecté au Monde d’En-bas (région du Zambèze) pour organiser les opérations minières. (Monde d’En-bas qui devint les enfers dans les mythologies postérieures…)

La mutinerie des Annunakis fut dirigée contre Enlil et son fils Ninourta. Le Dieu défenseur des mutins fut Enki qui procéda à la création des Travailleurs Primitifs. Et ce n’est que par la force qu’Enlil put en obtenir quelques uns

Le mot serpent vient de Nahash (serpent) qui provient de la racine NHSH = « déchiffrer, découvrir « . En conséquence Nahash pourrait vouloir dire « celui qui peut déchiffrer, celui qui découvre les choses « , une épithète qui convient à Enki, le principal savant des Nephilim.

Un texte mésopotamien confirme ces suppositions : le dieu qui accorda la connaissance à Adapa n’était autre qu’Enki.

Il perfectionna pour lui une grande compréhension…
La sagesse – il la lui avait donnée
A/ lui, il avait donné la Connaissance
La vie éternelle, il ne lui avait pas donnée.
B/ création de l’homo sapiens

Après que l’homme eut acquis la connaissance, l’A.T. cesse de le désigner par » l’Adam » et il adopte pour sujet Adam, une personne spécifique, le premier patriarche de la lignée du peuple biblique.

Cependant cette prise de conscience de l’homme marqua aussitôt le début du schisme entre les dieux et l’homme : celui-ci n’était plus un serf muet des dieux, mais une personne se prenant en charge.

Cette séparation fut une décision des dieux eux-mêmes et non des hommes : cela pour éviter qu’ils acquièrent également la capacité d’échapper à la mort, raison de l’expulsion du Jardin d’Eden, en direction de l’est dans la chaîne de montagne de Zagros.

A un moment donné, il fut permis aux humains bannis d’Eden de revenir en Mésopotamie vivre auprès des dieux, de le servir et de les vénérer. Cela se déroula au temps d’Enosh.

(Adam / Eve; Caïn; Enoch; Méthuselah (= homme du missile); petit-fils; Abel (lignée sans importance historique. Les textes sumériens ne disent pas qu’Abel a été tué par Caïn mais qu’il était très terre à terre) ;arrière petit-fils génération;Lamech;Noah * A ce stade Adam connut sa femme a nouveau et engendra Seth;Enosh; Caïnan; Mahalal-El ;Jared; Enoch (qui a l’âge de 365 ans fut transporté au Ciel par la Divinité, les fameuses Ascensions bibliques…).

Lamesh, à propos de son fils avait dit : » Que celui-ci nous réconforte de notre travail et de la souffrance de nos mains qu’impose la terre que la divinité a maudite « .

Lorsque Noé (Noah) naquit, l’humanité souffrait de grandes privations. Tout était en place pour le déluge, l’événement monumental qui devait détruire de la surface de la Terre toute forme de vie dont la race humaine.

La divinité était affligée par le mauvais « désir des pensées de l’homme « .

L’homme semblerait-il, après avoir découvert la sexualité, était devenu un maniaque sexuel !

Qui peut accepter le fait que la divinité ait pu décider d’annihiler l’humanité simplement parce que les hommes firent trop l’amour à leurs femmes ? D’autant que les textes parlent éloquemment et ouvertement des rapports sexuels des dieux… La cause du désir d’extermination des humains devait tenir de l’écœurement lié à l’attitude grandissante de profanation des dieux eux-mêmes :

Les fils des divinités virent les filles des Terriens et elles étaient compatibles et ils prièrent pour eux-mêmes des femmes qu’ils choisirent.

L’esprit des dieux, le perfectionnement génétique de l’humanité, commençait à se détériorer.

L’humanité s’était « égarée » revenant ainsi plus près de ses origines simiesques. En se mariant avec les hommes et les femmes d’une descendance génétique de moins en moins pure, les dieux se soumettaient eux-mêmes à cette détérioration.

La Bible souligne que Noé était « un homme juste… pur dans ses généalogies » raison pour laquelle » Dieu » entreprit de la sauver ainsi que ses descendants et » chaque animal sain « 

Noé fut prévenu seulement 7 jours avant le déjuge qui dura 150 jours (5 mois). Son arche reposa sur les Monts d’Ararat. Noé avait alors 600 ans mais ce n’est qu’un an et 10 jours après son embarquement que Noé put sortir de son arche.

Aussitôt il construisit un autel pour offrir sur le bûcher des sacrifices à la divinité :

Et la divinité huma l’odeur appétissante et se dit en son for intérieur :
Je ne maudirai plus jamais la terre sèche à cause du terrien ; car le désir de son cœur est le mal dès sa jeunesse.

Absurdités que ces déclarations successivement contradictoires de la « divinité «. L’épopée de Gilgamesh (akkadienne) apporte un éclairage autrement satisfaisant sur cet épisode biblique

Avant l’élimination causée par le déluge, les dieux se réunirent et votèrent l’élimination de l’humanité. Tout cela fut tenu secret mais Enki s’en fut trouver Utnapishtim, (Noé) le souverain de Shourouppak pour le prévenir de la calamité qui se préparait. Enki parla à Utnapishtim caché derrière un paravent de roseau.

Détruis ta maison, construit un bateau !
Abandonne tes biens, cherche ta vie !
Renonce à tes affaires, maintiens ton âme en vie !
A bord du bateau, emmène la graine de toutes les choses vivantes ;
Le bateau tu construiras
Ses dimensions seront sur mesure.

Pourquoi Enki prit-il le risque de défier les autres dieux ? Avait-il l’unique souci de préserver sa « merveilleuse oeuvre d’art » ou a-t-il agi dans une ambiance d’hostilité grandissante entre lui et son frère aîné Enlil ?

Mais comment Utnapishtim pouvait-il expliquer aux autres citoyens de Shourouppak la construction d’un vaisseau de forme singulière et l’abandon de ses biens ? Enki le conseilla :

Ainsi tu leur parleras :

J’ai appris qu’Enlil m’est hostile, de sorte que je ne peux plus demeurer dans votre ville, ni poser pied sur le territoire d’Enlil.
Par conséquent, je descendrai vers l’Apsu pour demeurer avec mon seigneur Ea (Enki)
Les vers qui suivent suggèrent que la région souffrait d’une période de sécheresse ou de famine.

Si Enlil voyait partir Utnapishtim « la terre aurait à nouveau son plein d’abondantes récoltes « . Cette excuse sembla plausible. Ainsi trompés, les gens de la ville aidèrent à la construction de l’arche en 7 jours…

Le bateau fut lancé dans l’Euphrate. Utnapishtim embarqua toute sa famille et ses proches, « quelques créatures vivantes qu’il possédait » mais aussi l’équipe d’artisans qui l’avait aidé. Selon l’ordre d’Enki, Utnapishtim devait attendre un signal avant d’embarquer lui-même :

Lorsque Samash qui ordonne un tremblement au crépuscule fera pleuvoir un bouquet d’éruptions, embarque-toi sur le bateau, scelles-en l’entrée ! «

Samash était la base des fusées. Au crépuscule, il y eut un tremblement terrifiant. Utnapishtim scella le bateau tout entier. Aux premières lueurs de l’aurore, la tempête arriva. Il y eut un tonnerre terrifiant. L’obscurité s’établit « changeant en noirceur tout ce qui avait été lumière » et » la vaste terre se brisa comme un vulgaire pot « . Cela dura 6 jours et 6 nuits. Puis » l’inondation cessa. L’immobilité s’était installée. Et toute l’humanité était redevenue argile « . Utnapishtim « ouvrit la trappe ; la lumière éclairait mon visage « . Il regarda autour de lui « le paysage était aussi plan qu’une toiture plate « .

Puis :
Une région de montagnes émergea ;
Le vaisseau s’immobilisa au Mont du Salut ;
Le Mont Nisir (le Salut – ou l’Ararat de la Bible) enserra rapidement le bateau, ne permettant aucun mouvement.

Utnapishtim envoya une colombe qui revint, puis un corbeau qui ne revint pas, alors il lâcha tous les animaux et sortit lui-même, construisit un autel et offrit un sacrifice.

Une fois encore par rapport à la Bible la différence est manifeste. Il y a ici pluralité de dieux.

» Les dieux sentirent l’odeur, les dieux sentirent la douce odeur. Les dieux se regroupèrent comme des mouches autour du sacrificateur. «

Enlil fut fou furieux de découvrir des hommes survivants. » Aucun homme ne devait survivre à la destruction ! »

Enki fut accusé de trahison, mais il répondit :

» Ce n’est pas moi qui ai dévoilé le secret des dieux. J’ai tout simplement laissé un homme, excessivement sage, percevoir par sa propre sagesse le secret des dieux. Et comme en vérité ce Terrien est si sage » Enki suggéra à Enlil de ne pas ignorer ses capacités. Après quoi se tint un conseil des dieux.

Enlil fut fortement influencé par Enki, lequel décida d’emmener Utnapishtim et sa femme dans le « Lointain » où ils seraient comme des dieux. Anou, Enlil « leur donnèrent la vie, comme des dieux, les élevèrent à la vie éternelle « .

L’humanité restante fut autorisée « à être fructueuse et à se multiplier « . Les dieux livrèrent la Terre aux hommes. (2)

1. Si l’Homme à pu se reproduire et ainsi ne plus être un simple clone, nous le devons à Ea. Car dans toutes les traductions des tablettes, nous pouvons lire qu’Anu comme son fils Enlil auraient décrétés qu’il n’y aurait que des clones, des mules stériles… Ainsi, si il y a eu des Hommes et ensuite des femmes, c’est simplement par l’envie d’Ea de créer une nouvelle civilisation > Les Humains.

C’est donc grâce à Ea si aujourd’hui nous existons et ce, contre les décisions de son père et de son frère !!!

2. Cette version comme quoi les « Dieux » livrèrent la Terre aux hommes vient de l’économiste Zecharia Sitchin (Homme qui n’était absolument pas archéologue comme beaucoup de personnes le prétendent, il était diplômé de la « London School of Economics » !)

Si certaines de ses traductions sont réelles, nous constatons que dans ses ouvrages, il occulte certains passages de l’histoire.

Ainsi par exemple il ne parle à aucun moment de combats entre Anu et Ea, ni des menaces d’Anu envers EA ou encore des Reptiliens.

Quand à la fraternité du Serpent, il a tendance à la mettre en second plan alors que ces derniers se sont battus au côté d’EA contre Anu et Enlil…

Mais nous en reparlerons dans un prochain article qui sera assez explicite sur le pourquoi du comment ce monde est voué à sa décadence et ensuite à sa destruction…

Revenons à l’Histoire :

QUAND LES DIEUX S’ENFUIRENT DE LA TERRE

En 1929, des fouilles conduites par Sir Leonard Wooley, mirent en évidence une couche de boue séchée de 4 mètres d’épaisseur, entre deux couches de débris de poterie et briques, ce qui indique l’activité humaine avant et après cet événement. Cela peut bien correspondre au Déluge, dans la fourchette 12100 av. J.C. à 11650 – selon diverses sources.

D’après les textes sumériens, ce phénomène affecta » les quatre coins de la Terre « , et dans la suite de l’histoire humaine, le déluge fut un point de repère : il y avait avant le déluge, et après le déluge. Vu l’importance de celui-ci, il ne pouvait être une crue locale du Tigre et de l’Euphrate, et jamais ni les hommes ni les dieux n’avaient connu auparavant une pareille catastrophe.

Bien que prévisible, le déluge était inévitable. « Il s’est agi d’une calamité naturelle dans laquelle les dieux ne jouèrent qu’un rôle passif et non actif. Le secret des dieux consistait en la connaissance de l’approche de la planète Nibiru, laquelle aurait par sa forte puissance électromagnétique la capacité de secouer la Terre dont le pôle Sud était, à ce moment, recouvert d’une gigantesque calotte de glace instable sur sa base. Les Nephilim partant à bord de leurs fusées, abandonnaient l’humanité qui périrait naturellement avec une facilité bien supérieure à ce qu’ils pouvaient avoir imaginé pour ce faire.

Notamment la peste et autres maladies ainsi qu’un blocus.

Noé ou Utnapishim ou encore Atra-Hasis (l’extrêmement sage) s’était plaint auprès d’Enki de » ces maux, vertiges, frissons et fièvre » qu’Enlil générait contre l’humanité alors même qu’Enki en était le père. Et il semble bien que ce dernier répondit positivement à sa demande tandis qu’Enlil enrageait. Il envisagea alors le recours à la famine, en provoquant le manque de pluie. (Contrôle climatique)

» Que les eaux de la pluie soient retenues en haut ;
En bas, que les eaux ne surgissent plus de leurs sources.
Que le vent souffle et assèche le sol ;
Que les nuages s’épaississent et retiennent la pluie. «

Enki reçut l’ordre de couper les ressources alimentaires de la mer en en verrouillant l’accès. Et cela dura six » sha-at-tam’s » ce mot signifiant » passages » ou une année d’Anou.

Le reste de l’humanité en était venu au cannibalisme malgré l’intercession incessante d’Atra-Hasis auprès d’Enki qui dut de sentir lié par la décision des autres dieux. Au début, il ne répondit pas. Au septième passage, Atra-Hasis ordonna une campagne de désobéissance totale à tout son peuple : » Ne vénérez pas vos dieux, ne priez plus vos déesses. «

Enki entreprit alors une action secourable très mal retransmise par les textes, ce qui détermina Enlil à vouloir l’arrêter sous le chef d’accusation d’avoir saboté les plans de surveillance et de garde.

C’est alors que l’imminence du déluge s’offrit à point nommé pour satisfaire le désir de la majorité des dieux de supprimer l’humanité. Enki fut contraint de prêter serment de ne pas le révéler aux humains.

Enki interpréta son serment. Ne pouvait-il pas parler à un mur ? Il fit donc venir Atra-Hasis au temple, se plaça derrière un paravent et prétendit parler au mur et non à son Terrien dévoué. Il dit :

» Paravent de roseaux, Fais attention à mes instructions.
Sur toutes les habitations, de toutes les villes,
Une tempête passera.
Ce sera la destruction de la graine de l’Humanité…
Ceci est la décision finale,
Le mot de l’Assemblée des dieux,
La parole énoncée par Anou,Enlil et Ninhoursag. «

Ce subterfuge explique les réfutations qu’il fit par la suite lorsque la survie de Noé/Utnapishtim fut découverte. Il n’avait pas rompu son serment, un Terrien d’une extrême sagesse avait découvert le secret du déluge par lui-même, en interprétant correctement les signes.

Enki conseilla à son serviteur de construire un vaisseau de navigation. Il lui fournit des instructions précises. Il ne s’agissait pas d’une arche mais d’un submersible (le mot biblique teba venant de la racine signifiant submergé), d’un sous-marin, un bateau couvert au-dessus et en dessous.

» Que le bateau, dit Enki soit un MA.GUR.GUR. Un bateau qui puisse se tourner et se retourner. «

Atra-Hasis prit, pour prétexte, la construction du » vaisseau d’Apsu « , un sulili (soleleth en hébreu désignant un sous-marin) afin de partir pour la demeure d’Enki pour tenter d’infléchir la colère d’Enlil. Ainsi Atra-Hasis n’éveilla pas de soupçons.

Conscients de cette calamité imminente, de son impact global, les Nephilims prirent des mesures pour sauver leur propre vie en se réfugiant dans le ciel.

Lorsque la tempête qui précéda le déluge commença, ils montèrent à bord de leur navette spatiale et restèrent en orbite autour de la Terre jusqu’à ce que les eaux aient commencé à redescendre.

Le jour du déluge fut en fait celui où les dieux s’enfuirent de la Terre. Le décollage des fusée fut le signe pour Utnapishtim – (Atra-Hasis / Noé) et tous ceux qui l’accompagnaient pour sceller hermétiquement le sous-marin.

Même pour les dieux s’enfuyant à bord de leurs fusées comme des torches, ce fut une scène de dévastation qui les affecta profondément, d’autant plus que leur condition de vie à bord étaient précaires.

Dans leurs vaisseaux, les dieux étaient recroquevillés comme des moutons à l’abreuvoir.
Leurs lèvres étaient fiévreuses de soif,
Ils souffraient des crampes de la faim.
La Déesse mère Ninhoursag, elle-même fut choqué par l’ampleur de la dévastation :
La déesse vit et elle pleura…
Ses lèvres étaient recouvertes de fièvre…

» Mes créatures sont devenues comme des mouches – elles remplissent les rivières comme des libellules, leur paternité leur fut prise par la mer déchaînée. «

Pouvait-elle vraiment sauver sa propre vie alors que l’humanité, qu’elle avait aidé à créer, était en train de mourir ? Pouvait-elle vraiment quitter la Terre ?

Car les ordres donnés aux Nephilims se clarifient dès lors : » Abandonnez la Terre, montez au ciel « .

C’était à l’époque où la douzième planète était au plus près de la Terre, à l’intérieur de la ceinture des astéroïdes, comme le prouve le fait qu’il fut possible à Anou de participer aux conférences cruciales qui précédèrent le déluge.

Dans leurs vaisseaux, beaucoup de dieux et d’Anounnaki se désolèrent et se rendirent compte à quel point ils étaient devenus attachés à la Terre ainsi qu’à ses habitants. Ninhoursag et un groupe d’Anounnaki débattaient même du bien fondé de l’ordre d’Anou.

Pendant ce temps, , dont le sous-marin était piloter par Puzur-Amurri (l’Occidental qui connaît les secrets), un batelier, devait conduire le submersible vers une destination précise : le Mont Ararat. Ses pics étaient les plus hauts sommets de cette partie du monde, il fallait donc s’attendre à ce qu’ils réapparaissent en premier. qu’une destination précise avait été assignée : » s’embarquer immédiatement pour l’Arménie » – la terre de l’Ararat.

Dès qu’Utnapishtim eut pris pied sur terre, il tua quelques animaux et les fit rôtir sur le feu. Il n’est pas surprenant que les dieux affamés et à bout de force » accoururent comme des mouches autour de cette offre. «

Soudain, ils comprirent que l’homme, la nourriture qu’il faisait pousser et le bétail qu’il élevait, étaient essentiels. Quand Enlil arriva enfin, il vit l’arche et il fut furieux. Mais la logique de la situation et les efforts de persuasion d’Enki eurent raison de lui ; Enlil fit la paix avec ce qui restait de l’humanité et emmena Utnapishtim dans son vaisseau vers la Demeure Eternelle des Dieux : Nibiru.

La baisse progressive des eaux et la réémergence de la terre sèche et de la végétation fut peut-être, un facteur décisif dans la décision rapide d’Enlil de faire la paix avec l’humanité.

Avec le choc du déluge, les Nephilims craignirent que la Terre ne fût plus jamais utilisable. Par la suite, ils virent qu’il n’en était pas ainsi. La Terre continuait à être habitable et pour pouvoir y vivre, les dieux avaient besoin des hommes.

Qu’était donc la nature de la catastrophe du déluge?

La réduction des précipitations, la baisse du niveau de la me et des lacs, le tarissement des sources d’eau souterraine furent des signes avant-coureur d’une ère glaciaire. Puisque le déluge, qui mit fin brusquement à ces conditions, fut suivi par la civilisation sumérienne et notre propre ère post-glaciaire, la glaciation en question aura été la dernière.

La conclusion est donc que les événements du déluge sont liés à la dernière ère glaciaire terrestre et à son terrible dénouement.

Des forages de la calotte glaciaire de l’Arctique ont permis d’établir ce qui suit : la dernière ère glaciaire débuta il y a quelque 75 000 ans et connut un micro-réchauffement, il y a 40 000 ans. Il y a environ 38 000 ans, une période plus âpre, plus froide et plus sèche s’ensuivit. Puis il y a 13 000 ans environ, l’ère glaciaire se termina subitement et notre climat tempéré actuel fit rapidement son apparition.

Les conditions extrêmement pénibles durèrent selon l’épopée d’Atra-Hasis, sept shar’s ou 25 200 ans. Les scientifiques ont retrouvé les traces d’une période très difficile de 38 000 à 13000 ans, soit étalée sur 25 000 ans. Une fois de plus, les preuves mésopotamiennes et les découvertes scientifiques modernes se corroborent l’une l’autre.

A propos de la théorie du Dr John T. Hollin, de l’Université du Maine, théorie acceptée et développée par d’autres, du glissement de la calotte glaciaire de l’Antarctique dans l’océan provoquant un gigantesque raz-de-marée, il es suggéré ceci : au fur et à mesure de son épaississement la couche de glace retient, non seulement plus de chaleur terrestre sous elle, mais forme au sol, par pression et friction, une couche boueuse et glissante. Agissant comme un lubrifiant entre la couche de glace épaisse en haut et la terre ferme en bas, cette couche boueuse finit tôt ou tard par faire glisser la calotte de glace dans les océans qui l’entourent.

En l’occurrence le raz-de-marée commençant dans les eaux de l’Antarctique, se répandit vers le nord dans l’Atlantique, le Pacifique et l’Océan Indien. Se déplaçant plus vite que les eaux, les orages, les nuages et les cieux enténébrés annonçaient l’avalanche des eaux. L’épopée de Gilgamesh précise la direction d’où venait l’orage : du sud.

Lors de son retour, la douzième planète, à l’instar de la Lune dont l’attraction suffit à provoquer les marées, a eu un effet analogue quoique surmultiplié compte tenu de sa taille, puisqu’elle est aussi volumineuse que Saturne. Les textes mésopotamiens et bibliques décrivent à la fois combien la terre tremblait lors du passage du Seigneur Céleste à sa proximité !

RÉSUMÉ

Il y a 445 000 ans Les Nephilims, venant de la douzième Planète et menés par Enki, arrivent sur Terre. Eridou – la station I de la Terre – est établie au sud de la Mésopotamie.

430 000 ans Les grandes calottes glaciaires commencent à reculer. Climat clément au Proche-Orient.

415 000 ans Enki déménage à l’intérieur des terres et établit Larsa.

400 000 ans La grande période interglaciaire s’étend sur tout le globe. Enlil arrive sur Terre, établit Nippour en tant que centre de Contrôle de Mission.

360 000 ans Les Nephilims érigent Bad-Tibira en tant que leur centre métallurgique pour la fonte et le raffinement.

300 000 ans Les Anounnaki se mutinent. L’homme – le travailleur primitif – est façonné par Enki et Ninhoursag

250 000 ans Les premiers homo sapiens se multiplient et gagnent d’autres continents.

100 000 ans Le climat se réchauffe de nouveau. Les fils des dieux prennent comme épouses les filles de l’homme.

77 000 ans Ubartutu/Lamech, un humain de descendance divine prend la responsabilité du règne à Shourouppak sous le patronage de Ninhoursag.

75 000 ans La malédiction de la Terre – une nouvelle période glaciaire – commence. Des types d’hommes en pleine régression parcourent la Terre.

49 000 ans Le règne de Ziusudra (Noé) un » serviteur fidèle » d’Enki, commence.

38 000 ans La période climatique très dure des » sept passages » commence à décimer l’humanité. L’homme de Neandertal de l’Europe disparaît ; seulement l’homme de Cro-Magnon (établi au Proche-Orient) survit. Enlil, déçu par l’humanité, projette sa perte. 13 000 ans Les Nephilims, conscients du raz de-marée imminent déclenché par l’approche de la Douzième planète, font le vœu de laisser l’humanité périr. Le déluge se déverse sur Terre, terminant abruptement l’ère glaciaire.

LA ROYAUTÉ SUR TERRE

Après le déluge qui avait balayé 120 shar’s de travail du jour au lendemain, les Nephilims firent feu de leurs interdits envers l’homme et retroussèrent les manches.

Sans perdre de temps ils lui apprirent l’art de la culture et de l’élevage du bétail. Ils appliquèrent à cette tâche leur immense savoir scientifique. Dans la Genèse, » semer et récolter » sont présentés comme des dons divins accordés à Noé et à ses enfants dans le cadre du contrat postdiluvien passé entre l’Homme et la Divinité. Ainsi » Noé fut le premier agriculteur et il planta un vignoble « .

L’agriculture débuta au Proche-Orient, dans les montagnes et non dans les vallées et plaines encore trop gorgée de l’eau diluvienne où elle se poursuivit plusieurs générations après. Des peuples arrivant de l’est ( de la Mésopotamie), dit la Genèse, trouvèrent une plaine dans le pays de Shinar (Sumer) et s’y installèrent.

Enlil sema des céréales dans le pays vallonné et il rendit possible la culture dans les montagnes en endiguant les eaux des zones inondées. Plus tard, avec les dieux Ninazou et Ninmada, il étendit les cultures jusqu’aux basses plaines si bien que Sumer, la terre qui ne connaissait pas la graine, vint à la connaître.

Déjà à l’époque, les toutes premières graines étaient uniformes et hautement spécialisées. La nature demande des milliers d’années de générations de sélections génétiques avant d’acquérir un modeste degré de sophistication. Or, on ne trouve nulle part sur Terre, l’époque, le temps et le lieu où un tel processus progressif et très prolongé eût pu se produire. Ce miracle botanogénétique ne trouve aucune explication, sauf si ce procédé est le fait d’une manipulation artificielle. Ainsi du » spelt « , une variété de blé à gros grains.

Il est le produit » d’un mélange inhabituel de gènes botaniques » ne résultant ni d’une évolution à partir d’une source génétique, ni de la mutation d’une seule source. Toute la notion selon laquelle, en quelques milliers d’années, l’homme transforma les animaux en les domestiquant est, elle aussi, entièrement discutable.

La science ne peut pas expliquer non plus pourquoi le Proche-Orient devint une source constante de nouvelles variétés de céréales, de plantes, d’arbres, de fruits, de légumes et d’animaux domestiques. Les sumériens connaissaient la réponse. C’était un don d’Anou, ainsi du blé, de l’orge et du lin.

Il est curieux de noter que les phases évolutives de l’humanité se font au rythme de 3600 ans c’est-à-dire qu’à chaque retour de la planète Nibiru, une nouvelle phase civilisatrice commence.

11 000 ans Av. J.C. : l’agriculture ; 75 000 av. J.C. la culture néolithique puis 3800 ans av. J.C. la civilisation sumérienne.

Il semble que les Nephilims transmirent leur savoir à l’homme au compte gouttes, respectant des intervalles conformes aux retours périodiques de la Douzième Planète au voisinage de la Terre.

Dans l’intervalle, il fallait un intermédiaire entre eux et les masses humaines. Ils établirent un pont : la royauté sur Terre, c’est-à-dire un chef humain nommé pour assurer le service des Dieux par les hommes et aussi canaliser les enseignements et les lois des dieux au peuple.

Les textes akkadiens et sumériens s’accordent à dire que les Nephilims conservèrent » leurs droits seigneuriaux » sur les terres et firent reconstruire par les hommes les villes d’avant le déluge, telles qu’elles aient été et planifiées.

Eridou fut alors la première à être reconstruite. Puis fut construite la première ville royale : Kish. Ce fut le départ d’une longue dynastie dont la demeure royale se déplaça de Kish à Ourouk, Our, Awan, Hamazi, Aksak, Akkad puis Ashour et Babylone, puis les capitales plus récentes.

La » Table des Nations » biblique enregistre la propagation de l’humanité, ses terres et royaumes, comme une croissance de la division de l’homme en trois branches : peuples de la terre de Shem en Mésopotamie et au proche-Orient, ceux de Ham en Afrique et région d’Arabie, enfin ceux de Japeth en Asie Mineure,

Iran, Inde et Europe. Ces trois grand groupes correspondent sans doute à trois des » régions » où la colonisation fut envisagée par les Néfilim.

Aux alentours de 3200 av J.C. – mille ans après l’éclosion sumérienne – la notion d’Etat, la royauté et la civilisation firent leur apparition dans la vallée du Nil pour finalement donner lieu à la grande civilisation d’Egypte. On estime qu’il en a été de même dans la vallée de l’Indus à la même époque. Les textes anciens tout comme les preuves archéologiques, témoignent des liens culturels et économiques étroits existant entre ces deux civilisations et celle plus ancienne de Sumer.

Sans leur » peau » de pierres, les pyramides reproduisent les ziggourats mésopotamiennes et il y a de fortes raisons de croire que l’architecte ingénieux des pyramides était un Sumérien vénéré tel un dieu. Il s’agissait d’Enki, devenu alors vieux dieu… (Il est probable que en Egypte ancienne, Enki soit devenu Osiris opposé au dieu Seth son frère, lequel n’était autre qu’Enlil !)

A ce sujet, les Nephilims ne sont pas immortels.

Il semble que leur durée de vie soit de 120 shar’s, 120 de leurs années à eux ce qui leur confère en âge d’homme une durée de vie de 120 x 3600 ans.

De la civilisation de l’Indus, nous savons peu de choses. On y vénérait le chiffre 12 comme le chiffre divin suprême, de même que le symbole de la croix – le signe de la Douzième Planète. Les dieux y étaient décrits comme ayant l’apparence humaine arborant des coiffures à cornes.

Si ces deux civilisations (Nil et Indus) furent d’origine sumérienne pourquoi leurs langues écrites sont-elles différentes ? En fait il n’en est rien et toutes deux ainsi que le chinois et d’autres langues d’Extrême-Orient proviennent d’une source originelle dont on démontra qu’il s’agissait du sumérien. Nous avons ainsi une seule langue qui pour une certaine raison fut différenciée en trois langues : le mésopotamien, l’égyptien/hamitique et l’indoeuropéen.

Une telle différenciation eût pu se faire d’elle-même avec le temps, la distance et la séparation géographique. Or les textes sumériens prétendent qu’elle se produisit à la suite d’une décision arrêtée des dieux et inspirée une fois de plus par Enlil.

Le pendant à cela est la célèbre histoire biblique de la Tour de Babel.

Craignant manifestement une race humaine unifiée dans sa culture et ses aspirations, les Nephilims adoptèrent une politique impériale : diviser et régner. Il est très probable que la mise à sac de Sumer fut l’œuvre d’Enlil qui permit l’invasion et la destruction de Sumer par diverses hordes de langues différentes. A ce moment de l’Histoire, Enlil était assimilé à Jéhovah, et le peuple de Babylone avait annoncé son allégeance à Enki (Seigneur) et à son fils Mardouk. Enlil, le coléreux ne voulait pas partager son pouvoir… C’est l’énigmatique épisode de la destruction de la Tour de Babel. (source : Sir Laurence Gardner)

Comme les dieux eux-mêmes avaient du mal à maintenir leur unité, et pour tenter de maintenir la paix parmi leurs enfants, au fil du temps ils partagèrent la Terre entre leurs héritiers. Les dieux se changèrent en grands seigneurs chacun gardant son territoire, son industrie ou la profession qu’il avait sous son autorité. Les rois humains étaient leurs intermédiaires et il ne faut pas prendre à la légère les anciens rois qui affirmaient partir à la guerre pour conquérir de nouvelles terres ou mettre sous leur joug un peuple lointain » sur la commandement de leur dieu » (respectif !).

L’ancien testament aborde aussi ce problème de la manière de faire adhérer le peuple à leur dieu au lieu de » se prostituer auprès des autres dieux « . L’époque du paganisme commença.

A la suite du déluge, quatre régions furent créées sur la Terre. Mésopotamie, Nil et Indus furent colonisées par l’homme. La quatrième était » sainte « , vouée aux seuls dieux. Elle s’appelait TIL.MUN (le lieu des missiles) C’était une zone interdite où les Nephilims avaient recréé leur base spatiale après que celle de Sippar avait été détruite par le déluge. Elle fut à nouveau placée sous le contrôle d’Outou/Shamash.

Le plus fort désir de Gilgamesh était d’atteindre au moyen d’un shem (fusée) la Demeure Céleste des Dieux pour obtenir la Vie Éternelle.

L’on retrouve cette aspiration au centre de toutes les religions monothéistes…

Remarques :

1. Dans qu’est-ce qu’une civilisation ? Ce sont de multiples aspects : langue, écriture, mathématiques, astronomie, calendrier, ressources minières, commerce, industrie, agriculture, art, spiritualité, culture, morale etc. Tout cela ne pouvant pas surgir du jour au lendemain. Or c’est bien ce qui s’est passé à Sumer, ce qui pour les uns sera incroyable, pour d’autres fantastique de clarté et pour d’autres encore sera le début d’une vaste remise en cause de leur façon de voir notre monde et notre histoire de terrien.

2. Il est opportun dans le cadre de ce résumé très synthétique, de le prolonger de quelques informations sur la planète X, alias Nibiru ou Mardouk. En 1982, le Satellite IRAS signala la course vers la Terre d’un large astre » inconnu jusqu’alors « . Alors ? Il est évident que des calculs ont été faits. Les connaissez-vous ? La presse nous a-t-elle informés ? Non… La Planète qui n’est plus X pour nous, sera au plus près de nous dans 250 à 300 ans par rapport à la date estimée de la vie de Moïse. Certains de ses passages ont été catastrophiques d’autres non. En tout cas, cela valide les écrits sumériens.

A suivre…

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