Mystique

La nouvelle conscience de l’Univers (1) L’arrivée des Nephilim

L’explication du chaînon manquant, des astéroïdes, des comètes, celle de la première civilisation humaine ou Histoire de notre système solaire et de notre humanité à la lumière des textes sumériens et des vérités qui ont été transmises de Père en Fils depuis de nombreuses générations.

Tout ce qui nous est parvenu par bribes jusqu’à nos jours, notamment à travers la Genèse biblique mais aussi d’autres traditions, s’éclaire d’une manière inouïe avec cet article qui ose décrire le maillon manquant de l’évolution, à rebrousse-poil du consensus de la pensée ambiante, et qui répond aux questions de fond que tout un chacun peut se poser sans jamais obtenir traditionnellement de réponses…

Comment s’est constitué le système solaire ? D’où viennent ses anomalies ? D’où proviennent les humains ? Ne sommes-nous que les fruits du hasard de l’évolution ? D’autres planètes sont-elles habitées ?

N’oublions pas que nous sommes entrés depuis quelques décennies dans la phase dite de l’Apocalypse, mot d’origine grecque qui signifie révélation…


A une époque lointaine, du Soleil ont émané Mercure sur son orbite actuelle, puis une grosse planète, Tiamat, sur l’orbite des Astéroïdes, puis, sur leurs orbites actuelles, Vénus et Mars.

Jupiter, Saturne avec un satellite dénommé Gaga viennent ensuite. En dernier naissent Uranus et Neptune. Evidemment tout cela prit beaucoup de temps…

Venant de l’espace lointain, Nibiru (ou Mardouk ainsi rebaptisée plus tard), n’était qu’une planète à peine née, crachant des flammes, émettant des radiations. Dix corps célestes (le Soleil et ses neuf planètes) l’attendaient…

Les planètes tournant dans le sens contraire des aiguilles d’une montre sur le même plan, Nibiru faisait irruption dans le sens opposé.


Nibiru passa d’abord près de Neptune qui l’attira dans le système solaire. Nibiru en fut déformée mais ce n’est qu’en avoisinant Uranus que s’échappèrent de la voyageuse 4 satellites appelés vents. Saturne puis Jupiter provoquèrent le jaillissement de 3 autres satellites et incurvèrent davantage son orbite vers le centre du système solaire, vers Tiamat… De celle-ci jaillirent alors onze satellites dont le plus important Kingu. A ce moment-là, Gaga se détacha de Saturne. Elle devint par la suite Pluton avec son orbite originale.

Mais les deux planètes n’entrèrent pas en collision, ce qui constitue un fait d’une très grande importance astronomique : les satellites de Nibiru – et non Nibiru-même – s’écrasèrent contre Tiamat. Ils déformèrent le corps de Tiamat » tandis qu’une énorme décharge électrique émanée de Nibiru neutralisa Tiamat.

La première rencontre entre Nibiru et Tiamat la laissa fissurée et sans vie » mais cela donne l’explication des comètes. « Nibiru, allant à grande allure dans la direction opposée, sur son plan orbital propre, brisa, cassa les hôtes de Tiamat dont il fit de petites comètes et leur imposa sa force de gravité. » Ce qui donne aussi le pourquoi de leur sens orbital inverse. C’est à ce moment-là aussi que le point orbital solaire de Nibiru fut établi, « Nibiru devait toujours retourner aux lieux de la bataille céleste ».

« Ainsi 3 600 ans plus tard Nibiru revint, ayant achevé sa première révolution autour du soleil. »

Il frappa lui-même Tiamat, la fendant en deux. Un de ses satellites « heurta la moitié séparée destinée à devenir la Terre et la fit dériver jusqu’à une orbite où aucune planète n’était encore jamais allée. La Terre avait été créée ! Tandis que Kingu entièrement dévasté, qui avait acquis une orbite indépendante lors du précédent passage de Nibiru, la perdit et devint satellite de la Terre désormais appelé la Lune.

3 600 autres années plus tard, une autre destinée fut réservée à l’autre moitié.

Nibiru la frappa et la réduisit en mille morceaux. C’est là que furent créés le Ciel et la Terre, les Astéroïdes devenant un bracelet martelé dans les cieux séparant les planètes intérieures des planètes extérieures.

Ces événements nous donnent de surcroît l’explication de la concentration des continents d’un seul côté tandis qu’à l’opposé existe une cavité profonde, le lit de l’Océan Pacifique.

La Terre donc reçut sa propre orbite autour du soleil (dont les saisons résultent) et son mouvement de rotation axiale (donnant le jour et la nuit).

Les concepts de la Bible sont presque identiques (et on se demande bien de qui les juifs se sont inspirés…) :

Et Dieu dit : « Qu’il y ait des Lumière dans le Ciel martelé, afin de diviser le Jour et la Nuit ; Et laissons-les être des signes célestes et pour les saisons et pour les jours et pour les Années. »

Les tablettes Sumériennes s’accordent avec la pensée des savants modernes sur la période suivante :

Une fois la Terre devenue planète, elle fut une boule bouillante de volcans en éruption remplissant les cieux de brumes et de nuages. Dès que les températures commencèrent à refroidir, les vapeurs se transformèrent en eau, divisant la face de la Terre en terres sèches et en océans. Après quoi se situe le commencement de la vie sur Terre, dans les eaux, tout d’abord puis les créatures qui nagent et les oiseaux qui volent. Alors seulement les créatures vivantes selon leur espèce : le bétail et les choses rampantes et les bêtes apparurent sur Terre, culminant avec l’apparition de l’homme.

Mais si la vie apparut sur Terre, c’est pour avoir été fécondée par Nibiru, lors de la collision…

La vie, conclurent les scientifiques, ne se développa pas sur les planètes terrestres aux composants chimiques lourds, mais aux limites du système solaire.

De ses limites du système solaire, la Douzième Planète vint en notre milieu, une planète rougeâtre, rayonnante, engendrant et irradiant sa propre chaleur, fournissant avec sa propre atmosphère les ingrédients indispensables à la chimie de la vie.

Si énigme il y a, elle réside dans l’apparition de la vie sur Terre. La Terre fut formée il y a quelque 4 500 000 000 ans, et les scientifiques croient que les formes les plus simples de vie y étaient déjà présentes, quelques centaines de millions d’années après. Croire à l’apparition aussi rapide que cela de la vie découle d’une simplicité d’esprit qui ne peut pas ne pas être dérangeante.

Nous possédons également de nombreux indices prouvant que les formes de vie les plus vieilles et les plus primaires, datant de plus de 300 000 000 d’années, étaient composées de molécules d’origine biologique et non pas non biologique.

En d’autres termes cela signifie que la vie qui existait sur Terre, si peu de temps après que cette dernière ne naquit, était elle-même une descendante d’une forme de vie antérieure et non pas le résultat d’une combinaison de gaz et de produits chimiques inanimés.

Tout cela indique aux scientifiques stupéfaits que la vie, qui ne pouvait pas se développer facilement sur Terre, ne s’y est tout simplement pas développée. Dans un article pour le magazine scientifique Icarus (sept 1973) le prix Nobel Francis Crick et le Dr. Leslie Orgel ont avancé la théorie selon laquelle « la vie sur Terre pourrait être née d’organismes minuscules venus d’une planète lointaine ».

Ils ont propulsé leurs études hors du carcan des réticences bien connues des savants pour ce qui est des théories actuelles sur les origines de la vie sur Terre.

Pourquoi n’existe-t-il qu’un seul Code génétique pour tout ce qui vit sur Terre?

Si la vie a commencé dans un bouillon originel, comme le croient la plupart des scientifiques, des organismes à Codes génétiques multiples auraient dû se développer. De même, pourquoi le molybdène joue-t-il un rôle clé dans les réactions d’enzymes qui sont essentielles à la vie lorsque qu’on sait que le molybdène est un élément extrêmement rare ? Pourquoi les éléments qui sont très abondants sur Terre, tel le chrome ou le nickel, sont-ils si peu importants dans les réactions biochimiques ?

Cette théorie bizarre avancée par Crick et Orgel ne se bornait pas à dire que toute vie sur Terre pouvait être née d’un organisme d’une autre planète, elle suggérait également qu’un tel ensemencement procédait d’un acte délibéré – que des êtres intelligents habitant une autre planète lancèrent de cette planète la semence de vie sur Terre dans le but d’y enclencher la chaîne de la vie.

Même sans l’aide des données que nous fournissent entre autre les Tablettes, ces deux éminents scientifiques avaient presque trouvé la vraie solution. Il n’y eut pas d’ensemencement prémédité ; en revanche, il y eut une collision céleste : une planète porteuse de vie, la Douzième Planète, accompagnée de ses satellites, entra en collision avec Tiamat et la brisa en deux, créant la Terre à partir d’une des moitiés.

Lors de cette collision, le sol fertile et l’atmosphère de la Douzième Planète ensemença la Terre, lui donnant les toutes premières formes biologiques et les complexes de vie dont on ne put pas s’expliquer autrement l’apparition si récente.

Si la vie sur la Douzième Planète a commencé ne serait-ce que 1% plus tôt que celle sur la Terre, elle commença alors 45 000 000 ans plus tôt. Même avec cette marge infinitésimale, des êtres aussi développés que l’homme auraient vécu sur la Douzième Planète alors que la premiers petits mammifères venaient à peine de faire leur apparition sur Terre.

Ayant cette amorce de vie plus précoce sur la Douzième Planète, il est vraiment possible que ses habitants aient été capables de voyager dans l’espace, il y a déjà 500 mille ans.

Seuls, les Nephilim – tel est le nom donné dans les tablettes sumériennes, purent désigner la terre sous le nom de la Septième planète, puisqu’ils venaient de l’extérieur du système solaire. De Pluton à la Terre se comptent effectivement 7 planètes.

L’ÉPOPÉE DE LA CRÉATION

Nous y apprenons que les « dieux » vinrent sur Terre conformément à la décision de leur chef, initialement Anou, (Mardouk dans la version babylonienne, pour information Mardouk était le petit fils d’Anu – Anou) après que le sol de la Terre séchât et durcît pour pouvoir s’y poser et entreprendre les premières constructions.

« Quand du haut des cieux vous descendrez en assemblée, la nuit il y aura un gîte pour chacun de vous, je l’appellerai Babylone – La porte des Dieux ».

Il est donc clair qu’ils ne venaient pas sur Terre pour une simple visite mais pour s’y installer définitivement. La Terre était à cette époque en pleine période glacière qui commença il y a quelques 600 000 ans. Le premier réchauffement eut lieu il y a 550 000 ans. La seconde glaciation dura de 480 000ans à 430 000 ans.

Premier atterrissage il y a 450 000 ans environ. Le niveau des mers se trouvait 180 à 210 m plus bas que de nos jours. Une seule zone étroite et tempérée de notre planète offrait les conditions favorables à la vie, du point de vue climatique. Celle du Nil, de l’Indus et celle du Tigre – Euphrate.

La terre des deux fleuves, la Mésopotamie, fut retenue du fait de ses richesses en pétrole, car il est fait état que les Nephilim utilisaient abondamment le pétrole et ses dérivés. On sait aussi qu’ils amerrirent lors de leurs premières venues sur Terre, ( » les hommes-poissons « ) et seule la Mésopotamie offrait deux mers : l’Océan indien au Sud et la Méditerranée à l’Ouest facilitant son accès. Le Golfe persique n’était pas alors une mer mais une étendue marécageuse impropre à l’amerrissage.

Eridou » maison construite au loin » fut la première base des Nephilim.

Cela se fit sous l’égide du roi Enki, ainsi que 4 autres villes par la suite. Il y eut des actions d’assainissement, de canalisation de rivière, de remblayage, de construction de digues, d’assèchement et de purification de l’eau.

Si Enki atterrit sur Terre – comme nous le pensons – à la fin de l’âge des Poissons, il fut témoin de l’entrée, due à la précession, dans le Verseau, et resta la durée d’une Grande Année (25 920 ans) jusqu’à ce que commença l’âge du Capricorne ; alors il fut, en effet, seul à commander sur Terre pendant une prétendue durée de huit shar’s, soit 28 800 ans, le shar’s couvrant 3600 ans.

Pendant qu’Enki oeuvrait sur Terre en tant que pionnier, Anu ou Anou (son père) et son autre fils Enlil, sur la 12° planète en observaient les développements. D’après les textes, le responsable de la mission sur Terre apparaît être Enlil. Dès qu’il fut décidé de poursuivre la mission, Enlil lui-même descendit sur Terre.

Une base spéciale, Larsa, fut construite. Cela s’est produit avec l’entrée dans l’ère du Bélier.

Une nouvelle phase de la colonisation commença : il s’agissait de ramener sur Nibiru des cargaisons de grandes valeurs (Or – argent – cuivre…) Cela nécessita l’envoi sur Terre de beaucoup de » main d’œuvre » d’outils et d’équipements.

Les amerrissages ne suffisaient plus. Les transformations climatiques rendirent l’intérieur des terres accessibles. C’est à ce moment que Larsa y fut construite, base de contrôle et de guidage sophistiquée pour assurer les voyages allers et retours dans l’espace. Les Nephilim disposaient alors d’un vaisseau spatial en orbite autour de la Terre et de navettes.

Enlil resta à Larsa durant 6 shar’s (21 600 ans) tandis que l’on construisait Nippour qui fut établie à l’âge du Taureau.

Il est certain qu’Enlil y avait à sa disposition quelques instruments hautement élaborés : » un œil placé très haut qui scrute la Terre » et » rayon élevé qui fouille le cœur de toute la Terre « . Nippour était protégé par de redoutables armes : » aucun dieu puissant ne peut approcher son extérieur « ; » son bras » était » un vaste filet » et en son centre était tapi » un oiseau à la course rapide « , un oiseau à la » main » duquel les méchants et malfaisants ne pouvaient échapper.

Au centre de Nippour se trouvaient les quartiers généraux d’Enlil où s’élevait le centre de communication de la mission de contrôle, l’endroit d’où les Annunakis (espèce de dieux inférieurs) qui vivaient sur Terre communiquaient avec leurs camarades dans leur vaisseau en orbite autour de la Terre.

Dans ce centre s’élevait un » haut pilier pointant vers le ciel » par lequel » la parole d’Enlil touchait le ciel » ce qui avait pour effet que » l’abondance se déversât sur la Terre » : matériaux, nourritures spéciales, médicaments et outils étaient apportés par la navette dès que » l’ordre » de Nippour avait été lancé.

Dans le centre de contrôle était une chambre mystérieuse nommée DIRGA. Ce devait être le lieu où étaient conservées les cartes des étoiles, où les ME (les télécommunications des astronautes) étaient reçues et transmises. Ce qui rappelle en tout point la Mission de Contrôle de Houston qui suivait les astronautes lors de leur pseudo mission sur la Lune (il est de plus en plus remis en question le fait que l’homme soit déjà allé sur la lune…).

– 450 000 ans : atterrissage d’Enki sur Terre (ère des poissons) à l’ère de la Vierge Ninhoursag, (sœurs d’Enki et d’Enlil) est placée à la tête du centre médical des Nephilims à Shourouppak.

A l’ère des gémeaux, Nannar / Shin, fils d’Enlil est installé à Bad -Tibira, centre industriel. Naissance de jumeaux dans la famille d’Enki : Inanna /Ishtar et de Outou / Shamash

A l’ère du Taureau Nippour est établie

En – 424 080, à l’ère du Bélier, Enlil prend le commandement du lieu Enkidounou : le « commandement de la Terre est retiré à Enki qui est alors nommé Ea, le Seigneur des eaux. »

Des 7 premières villes, Larak est la dernière confiée à Ninourta, fils d’Enlil

LA RÉVOLTE DES ANNUNAKIS

Le Monde d’En-bas était l’hémisphère Sud où se trouvait la terre d’Arali, « lieu des filons brillants ». Les Nephilim connaissaient aussi l’Afrique australe vu les sceaux représentant les animaux typiques de ces régions.

Ea n’était pas le Seigneur d’une » profondeur d’eau » mais le dieu chargé de l’exploitation des minéraux de la Terre.

AB.ZU signifie source profonde originelle, pas nécessairement d’eau. Dans le bassin du Zambèze des traces d’activités minières ont été datées de 2000 av. JC jusqu’à 70 000 à 80 000 av. J.C. ! (1)

Ce qui a fait supposer l’origine de l’homme moderne en Afrique.

Les savants modernes divisent les activités de l’homme sur Terre en 4 âges : de pierre, du bronze, du fer… Cependant toutes les traditions anciennes s’accordent sur la séquence : or, argent, cuivre, fer.

Il semble que les Nephilim vinrent sur Terre pour l’or et les métaux associés, peut-être aussi d’autres métaux rares tel le platine qui permet de créer des batteries. Peut-être aussi l’uranium et le cobalt « les pierres bleues qui rendent malades » du Monde d’En-bas.

Quelles fut la main d’œuvre employé par les dieux?

Ce sont les Annunakis, « dieux du ciel et de la Terre ». Dans les textes sumériens, ils sont décrits comme des dieux subalternes ayant fait partie de la colonisation de la Terre, les dieux » qui accomplissent les tâches « . Ils étaient de véritables astronautes encore appelés IGIGI. Shamash était le chef des » aigles » dont les navettes voyageaient sans cesse entre les vaisseaux en orbite et la Terre.

Il est vraisemblable que les Nephilims escomptèrent dans un premier temps extraire les minéraux de la mer. Cela réfère aux « hommes-poissons » sous les ordres d’Ea (Enki) qui utilisaient des » elipu ebiti » bateaux submergés. Par ailleurs, la Terre des Mines était appelée auparavant ARALI « lieu des eaux des filons brillants » ce qui signifiait possiblement une terre d’où l’or pouvait être extrait à la batée dans les rivières.

Ces projets apparemment n’aboutirent pas car peu de temps après l’établissement dans l’hémisphère Sud (Terre d’En-bas et non les Enfers…) une tâche imprévue et des plus dures fut confiée aux Annunakis : descendre dans les profondeurs de la terre africaine pour y extraire les minéraux nécessaires. Ce lieu d’exploitation minière KURNUGIA fut interprété comme « terre du non-retour ». Sa signification littérale était : « terre où les dieux qui travaillent dans de profonds tunnels entassent les minerais ».

C’était dans une ère où les hommes n’existaient pas encore, tel que l’affirment les sources anciennes. Ishtar relate que les Annunakis travaillaient dur, mangeant de la nourriture mêlée à l’argile et buvant de l’eau impure.

Une longue épopée commence ainsi : « Lorsque les dieux comme des hommes devaient travailler. » Et ce travail harassant dura 40 « périodes » (40 shar’s soit 40 x 3600 ans = 144 000 ans)

Les Annunakis se révoltèrent et Anou en personne offrit une solution : qu’un lulu, un » travailleur primitif » soit créé ! Cela fut accepté sur-le-champ. Les dieux votèrent à l’unanimité la création du » Travailleur « , » Homme sera son nom » dirent-ils.

La mutinerie des dieux avaient conduit à la création de l’homme. Ce fut à Mami (Ninhoursag, sœur et femme d’Enki), la déesse des naissances, que fut confiée cette tâche avec l’aide d’Ea (Enki)

LA CRÉATION DE L’HOMME

Tous les textes sumériens affirment que les dieux créèrent l’homme pour qu’il accomplisse leur travail.

Donnant l’explication des lèvres de Mardouk (dieu dont le nom a été assimilé par la suite à la 12° planète, Nibiru, dans les textes mésopotamiens) l’Epopée de la Création rapporte ainsi la décision :

« Je créerai un Primitif inférieur – Il s’appellera Homme. – Je créerai un travailleur primitif – sa tâche sera de servir les dieux – afin qu’ils soient plus à leur aise. »

Le mot communément traduit par « vénérer » était en fait avod signifiant travailler. L’homme ancien et biblique ne « vénérait » pas son dieu, il travaillait pour lui, c’était un ESCLAVE !

Lulu ou Homme, n’est qu’une invention génétique, un esclave pour servir des Exoterrestres !

Et le seigneur Dieu * prit « l’homme » et le plaça dans le jardin de l’Eden pour qu’il le cultive et le soigne dit la Bible, au détail près d’une immense importance que les textes sumériens parlent, eux, des dieux. (*) La volonté des rédacteurs de la Bible d’imposer le monothéisme a conduit à la falsification des faits historiques quitte à les rendre obscures et incohérents :

Et Elohim dit : « Créons l’homme à notre image, à notre ressemblance. »

Or le mot Elohim signifie littéralement « divinités » que cette fausse Genèse manipulatrice utilise pour parler de « Dieu »… Plus loin encore dans la Genèse : « Regardez bien, l’homme est devenu l’un des nôtres, il connaît le bien et le mal. » A qui donc peut s’adresser ce dieu unique dans la perspective monothéiste, et qui était le « nous » à l’image desquels l’homme devait être créé et le fut, puis eut l’outrecuidance de devenir semblable à eux ?…

Le premier homme (homo sapiens) fut appelé Adam parce qu’il fut créé à partir de l’Adama, le sol de la Terre. Il était en d’autres termes, le « terrien ». Il ne lui manquait qu’un certain « savoir » (référence à « l’arbre de la connaissance » et une durée divine de vie (référence à « l’arbre de vie »)

Sur les illustrations anciennes la ressemblance entre les dieux (les Nephilim) et les hommes est évidente.

Mais comment donc l’homme fut-il créé?

L’évolution peut expliquer le cours général des événements qui se développer sur Terre la vie et les formes de vie, de la créature unicellulaire jusqu’à l’homme. Mais l’évolution ne peut pas expliquer l’apparition de l’homo sapiens qui se produisit, pour ainsi dire, du jour au lendemain, étant donné les millions d’années que demande l’évolution, et le manque de toutes traces d’étapes antérieures pouvant indiquer un changement progressif à partir de l’homo erectus. L’hominidé du genre homo est un produit de l’évolution. Mais l’homo sapiens est le fait d’un événement révolutionnaire et soudain. Il est apparu de manière inexplicable il y a 300 000 ans, des millions d’années trop tôt !

Les savants n’ont aucune explication. Et pourtant la réponse est dans les textes sumériens et babyloniens ; l’Ancien Testament aussi : il fut créé par les dieux (les Exoterrestres).

Les anciens textes citent précisément l’époque à laquelle l’homme fut créé. Les Annunakis se révoltèrent 144 000 années terrestres (40 shar’s) après leur atterrissage sur Terre il a quelques 450 000 ans, en période glacière.

La création de l’homme eut alors lieu il y a 300 000 ans

Le point clé se trouve dans le conte qui montre Enki endormi, que l’on vient réveiller pour le prévenir que les dieux ont décidé de former un Adam et qu’il était de son devoir d’en trouver la façon ; il répondit : « Cette créature dont vous avez prononcé le nom – Elle EXISTE ! » et il ajouta : « Apposez sur elle l’image des dieux » ; Les Nephilim ne créèrent pas l’homme à partir de rien. Ils prirent une créature existante et la manipulèrent pour « y apposer l’image des dieux ».

C’est un singe humanoïde qui dut être la créature initiale, un homo erectus dont un conte sumérien dit ceci :

Lorsque l’humanité fut créée
Ils ne savaient pas manger le pain,
Ils ne connaissaient pas le port du vêtement
Ils mangeaient des plantes avec leur bouche comme des moutons
Ils buvaient l’eau des fossés «

Un tel animal humain est également décrit dans l’Epopée de Gilgamesh :

Des poils touffus recouvraient tout son corps
Ses cheveux étaient semblables à ceux d’une femme…
Il ne connaît ni gens, ni terres
Il côtoie les animaux sauvages aux points d’eau ;

Un chasseur dans le même texte raconte sa rencontre avec un tel être :

« Il remplissait les fosses que j’avais creusées il détruisait les pièges que j’avais posés les bêtes et les créatures de la steppe il les a fait glisser de mes mains. »

De nombreux sceaux cylindriques restituent l’image de l’homme singe ébouriffé parmi ses amis, les animaux.

Pour les Nephilim l’idée avait été de domestiquer un animal qui conviendrait. Mais l’homo erectus posait un problème. D’un côté, il était trop intelligent et sauvage pour ne devenir qu’une simple bête de somme docile. D’un autre, il n’était pas vraiment fait pour la tâche : il fallait changer son corps physique, et son cerveau pour qu’il pût comprendre le langage et les ordres. Il n’était pas question d’une lente domestication, vu l’urgence de la situation.

Des textes anciens mentionnent que la divinité Bélus fit apparaître divers « êtres hideux produits par un principe à double forme ».

« Il y avait, en résumé, des créatures avec les membres de toutes les espèces d’animaux dont il reste des dessins préservés dans le temple de Bélus à Babylone » écrivait un certain Bésorus.

Il est vraisemblable que ces êtres étaient le produit de manipulations génétiques sortis des laboratoires biologiques des Nephilim, expériences sans succès commémorées par l’art et les statues.

Les textes sumériens mentionnent aussi des êtres humains déformés créés par Enki (Ea) et la déesse mère Ninhoursag. Après 6 tentatives imparfaites fur créé l’homme parfait nommé Adapa. Adam par la Bible ou homo sapiens par nos savants.

Grâce à ce produit final, les Nephilim se trouvaient génétiquement compatibles avec les filles de l’homme, pouvaient les épouser et avoir des enfants avec elles. Mais cette compatibilité n’aurait pu exister si l’homme n’avait été développé à partir de la même « graine de vie » que les Nephilim. Ce dont font état le concept mésopotamien et la Bible par le « mélange du sang d’un dieu et de l’argile terrestre ».

Le lulu (le Travailleur primitif) signifie littéralement « celui qui a été mélangé ». Le mot Adam en sumérien pouvait signifier « celui de la Terre », » celui de la terre rouge foncée » et « celui fait de sang ».

Ea et Ninhoursag travaillaient dans la maison de Shimti. Ce mot en sumérien signifie « souffle vent vie » et Bit Shimti : la maison où est insufflé le vent de la vie. Le mot akkadien pour traduire DHI.IM.TI était napishtu proche du terme biblique nephesh : « quelque chose de fugitif dans le sang ».

Pour modeler l’homme à partir du « mélange d’argile » il fallut l’aide d’une femme féconde et capable de porter un enfant ; Enki proposa les services de son épouse : Ninki mon épouse déesse sera celle à enfanter.

Dans le conte d’Adapa, Anu parle d’Adapa (Adam) comme « la progéniture humaine d’Enki ».

Après sa naissance, des dieux réclamèrent des répliques. Ce qui renseigne sur le procédé par lequel l’humanité fut « créée » : au départ il y eu clonage.(2)

La Bible par trop de « contractions » se met en contradiction avec elle-même entre différents chapitres de la Genèse :

Elohim créa l’Adam à son image… Mâle et femelle Il le créa au chapitre 5, idem. Mais au chapitre 2 Adam était seul, Dieu l’endormit et façonna la femme à partir de sa « côte ».

En fait les contradictions disparaissant à la lueur des sources sumériennes : les premières tentatives de créer un Travailleur primitif en mélangeant les hommes-singes aux animaux échouèrent. Les Nephilim tentèrent ensuite le mélange avec eux-mêmes. Après plusieurs échecs, un « modèle » Adapa/Adam fut créé. Il n’y eut donc, en premier lieu qu’un seul Adam. Une fois qu’il se fut révélé viable, Adapa fut utilisé comme modèle génétique ou « moule » pour la création de répliques qui ont été mâles et femelles. En sumérien le mot TI signifiant « côte » et « vie » cela confirme qu’Eve était faite de « l’essence vitale » d’Adam.

Puis par le même procédé de transmission des gênes de dieux fécondant des ovules d’homo erectus, transplanté dans des déesses porteuses, naquirent d’autres homos sapiens.

Il est vraisemblable que ces manipulations génétiques furent accomplies dans le monde d’En-bas, l’Apsu, c’est-à-dire au sud-est de l’Afrique, car c’est ce que mentionnent de nombreux textes.

Les premiers homo-sapiens furent affectés directement dans les Mines et cela, par la suite généra de la discorde entre les dieux. En effet les Annunaki de Sumer n’étaient toujours pas allégés sans leurs tâches agricoles. Ils obtinrent satisfaction et « Adam » fut placé dans le jardin d’Eden pour travailler et l’entretenir.

Notes :

1. Dans aucuns manuels scolaires est enseigné ces évènements. De ce fait, la question reste posée : pour qui bossent des organismes comme le CNRS qui jour après jour manipulent l’information pour cacher notre passé ?
Je pourrais rajouter que de nombreuses Tablettes ont été volées par les Vatican ou détruite par ce dernier. Pourquoi si ce n’est pour cacher des vérités qui malheureusement pour eux ont été transmises de Père en fils depuis de nombreuses générations et ce au travers d’une fraternité qui aujourd’hui a décidé de tout révéler.

2. Si l’Adn à été découvert assez récemment par les humains (20ème siècle), les archéologues eux, l’avaient déjà découvert sans le savoir !
Dès que les archéologues ont commencés à découvrir les Tablettes Sumériennes et ce avant même de pouvoir les traduire, ils ont remarqués qu’il y avait des dessins représentants une sorte d’Hélice. Hélice qui est en fait la représentation de l’ADN !

A suivre…

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