Une guerre commencée avec des Israéliens réfugiés dans des abris, se battant à mains nues contre des centaines de terroristes. Et qui s’achève, avec la plus puissante armée du monde détruisant les installations nucléaires de ceux qui ont tout déclenché — et qui, ce matin, sont réduits à l’impuissance.
L’attaque historique de cette nuit ne marque pas seulement un précédent militaire — avec l’emploi de bombes perforantes contre les bunkers iraniens — : c’est peut-être la plus grande réussite diplomatique d’Israël depuis l’adoption du plan de partage, le 29 novembre 1947.
Benjamin Netanyahou et Ron Dermer ont réussi là où trois présidents américains avaient refusé : convaincre l’homme le plus puissant du monde de permettre une frappe contre l’Iran, et mobiliser la plus puissante armée de l’Histoire pour détruire la menace existentielle la plus concrète qu’ait connue l’État juif.
En ce matin, deux formules résonnent, toutes deux prononcées jadis par d’anciens Premiers ministres : c’est bien un « nouveau Moyen-Orient », c’est vraiment « l’aube d’un jour nouveau ». Un Moyen-Orient sans bombe nucléaire entre les mains de fondamentalistes.
Ce moment s’inscrit dans la continuité de l’effondrement progressif des actifs iraniens dans la région : les milliards investis dans le Hezbollah et le Hamas ont été perdus à jamais.
Le terrible tribut — près de 900 soldats israéliens tombés — n’aura pas été payé en vain. Il a nettoyé le terrain, ouvrant la voie à un coup de grâce américain porté par Donald Trump.
L’Iran aura englouti un demi-billion de dollars dans son programme nucléaire — désormais réduit en poussière.
Ce n’est plus un État au seuil de la bombe (même si, en Israël, certains craignent qu’en ultime geste suicidaire, Téhéran tente d’introduire une « bombe sale » artisanale plutôt que de la monter sur un missile).
Les Iraniens pensaient que Trump bluffait sur le nucléaire. Ils s’attendaient à une simple frappe israélienne. Ils se sont entêtés, pensant disposer de deux semaines. Ils ont été les premiers de l’Histoire à encaisser la « mère de toutes les bombes ». Comprendront-ils le message avant qu’un troisième coup ne tombe ?
En Israël, on en doute. Selon des sources à Jérusalem, le régime iranien a pris une direction suicidaire, sans retour possible. On ne peut exclure non plus que le Hezbollah, affaibli, cède aux pressions de Téhéran et entre en guerre malgré le risque d’anéantissement. Le plan israélien, lui, suit son cours — allégé du besoin de frapper Fordo — et devrait s’achever dans la semaine.
625 jours se sont écoulés depuis le 7 octobre. Depuis le début de la guerre Israël-Iran — et non Israël-Hamas.
Une guerre commencée avec des Israéliens réfugiés dans des abris, se battant à mains nues contre des centaines de terroristes. Et qui s’achève, dans les faits, avec la plus puissante armée du monde détruisant les installations nucléaires de ceux qui ont tout déclenché — et qui, ce matin, sont réduits à l’impuissance.
La faute. Et son châtiment.

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