L’Égypte interdit constamment à la communauté scientifique mondiale de fouiller les sites les plus anciens et les plus importants.
Les recherches archéologiques sont menées uniquement par des spécialistes locaux agréés par le gouvernement, ce qui laisse supposer une certaine entente entre les communautés politiques et scientifiques. Eh bien, bien sûr, s’il s’avère soudainement que les Égyptiens n’ont rien à voir avec les pyramides, cela nuirait grandement à l’image de la grande histoire ancienne de l’Égypte.
Pendant ce temps, certaines informations provenant d’expéditions archéologiques fermées pénètrent encore dans le réseau.
Ainsi, il y a environ 5 ans, 12 piliers d’obsidienne ont été découverts avec des inscriptions dans la forme la plus ancienne de la langue égyptienne, qui n’était utilisée qu’à la naissance de l’État. Les informations gravées dessus sont étonnantes. Il n’existe que deux photographies de ces artefacts étonnants sur Internet.
Officiellement, les autorités égyptiennes ont interdit la publication d’informations à ce sujet, mais celles-ci ont néanmoins fuité.
La traduction complète n’est pas accessible au public, seulement fragmentaire. Mais cela suffit pour comprendre de quoi nous parlons. Apparemment, ils contiennent des connaissances liées à une civilisation antérieure. Ainsi, parmi les hiéroglyphes, on peut trouver des références à des personnes dont la durée de vie était 2 à 3 fois plus longue que d’habitude.
Ils étaient considérés comme des demi-dieux et possédaient de vastes connaissances.
À cette époque, la civilisation de ces créatures s’était effondrée et la plupart des villes étaient couvertes de déserts au lieu de terres fertiles et fleuries. Dans de telles conditions, les descendants de l’ancien grand État se sont dégradés et n’ont que partiellement transmis leur sagesse à travers les siècles. Cependant, même ces miettes suffisaient aux futurs Égyptiens venus dans ces territoires pour fonder l’une des puissantes civilisations de leur époque.
Ce qui suit est une description de l’État qui occupa le territoire de la future Égypte. C’était la culture d’une civilisation techno-magique – l’héritière de l’Atlantide, issue à son tour de Protoborea, fondée par les descendants des Lémuriens.
Les habitants de cet État étaient les bâtisseurs des pyramides, ainsi que du culte du polythéisme, qui constituait alors la base de la mythologie égyptienne.
Le niveau de développement de cette civilisation était élevé, mais il est faux de la comparer avec la nôtre. Ils ont choisi la voie de la technomagie et de l’illumination spirituelle.
La maîtrise des éléments, le passage d’un corps matériel à un corps éphémère, tout cela permettait de déambuler et de voyager sans recourir à la technicité.
Les blocs de construction étaient traités par le pouvoir du feu et déplacés par le pouvoir de la pensée. Les capacités extrasensorielles des créatures ont permis de subjuguer la volonté d’autres personnes et animaux, ainsi que de contrôler la nature. Grâce à cela, le territoire de l’Afrique du Nord était un paradis florissant.
Malheureusement, c’est là que s’arrêtent les informations sur la mystérieuse civilisation pré-égyptienne.
La couche principale de données est classifiée.
Apparemment, nous pouvons affirmer avec certitude que l’Égypte ancienne n’a pas été fondée à partir de zéro, mais est un État basé sur la connaissance d’une civilisation plus ancienne.
Eh bien, je pense qu’il faudra attendre très longtemps pour la révélation de tous les secrets de cette histoire. Mais peut-être que quelqu’un qui lira ces lignes vivra assez longtemps pour voir la vraie vérité révélée aux gens.
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