Divulgation cosmique

EXO-VATICANA – 9 Fées. Enfants de Fées… et le faux Messie de Magonia

Petrus Romanus, PROJET LUCIFER, et le plan exo-théologique étonnant du Vatican pour l’arrivée d’un sauveur extraterrestre.

Par Tom Horn & Cris Putnam

Les récits de Cryptids difformes entrant et sortant de la réalité humaine, selon la description faite dans les deux précédents articles, étaient autrefois considérés comme des faits établis.

Les peuples primitifs autour du monde les « voyaient » comme coexistant avec l’homme, et il leur était possible d’observer à chaque fois que les êtres du royaume des ténèbres y étaient disposés.


L’ouverture de portails ou de passages spirituels en faisait partie, et aussi l’idée que par ces ouvertures pouvaient soudain apparaître des loups-garous, des fantômes, des lutins, des trolls, et ces êtres mythiques de légendes qui feraient même davantage penser aux traditions orales d’Ovnis modernes, que l’on qualifie d’histoires à dormir debout.

La diversité des contes est considérable et faire une liste de chaque variété n’a pas d’intérêt ici.

Certains sont pourtant virtuellement identiques aux anciennes descriptions de démons, dont un en particulier appelé « croque-mitaine » qui hante l’obscurité, et adore faire du mal et effrayer les humains. Ces contes semblent très similaires aux descriptions traditionnelles du « Bigfoot », avec le même corps de fourrure et d’ardents yeux rouges.

D’autres classes de récits sont quasiment impossibles à distinguer de ceux des sorcières sur leur balai de l’antiquité classique et du Proche-Orient antique.


Olaus Magnus, qui fut envoyé en 1546 par le pape Paul III, en tant que figure officielle pour le concile de Trente, et qui devint ensuite chanoine de Saint-Lambert à Liège en Belgique, est l’auteur le plus connu de la classique histoire de 1555 « Historia de Gentibus Septentrionalibus » (Histoire des peuples nordiques), qui est une chronique du folklore et de l’histoire de l’Europe.

On y trouve la description de démons magiques emportant des femmes pour s’accoupler avec elles.

Avant lui, en 1489, le juriste Ulrich Molitor rapporta la même chose, imageant son traité en latin sur la sorcellerie (De laniis et phitonicis mulieribus) avec des assiettes gravées montrant des démons enlevant des femmes pour accouplement. En plus de ces similitudes avec les Ovnis actuels et l’activité d’abduction par des extraterrestres, ces êtres laissaient souvent des « marques du diable » – une tache ou cicatrice permanente qui aurait été faite par un démon (ou le diable lui-même) en griffant la chair, ou par le baiser ardent du diable léchant l’individu. Cela se passait la nuit, concluant l’épisode d’abduction nocturne.

Cette marque était aussi connue comme la « blessure magique » ou le « mamelon de la sorcière », et apparaissait comme une bosse ou une marque en creux dans la chair sur les parties les plus secrètes du corps.

À l’époque moderne, les personnes enlevées par des extraterrestres portent souvent les mêmes marques que celles décrites dans l’ancien temps comme marques du diable – des coupures ou des évidements sur l’arrière des jambes, les bras, le cou, des taches circulaires violacées autour de l’abdomen et des parties génitales, et des dessins conformes à ces temps médiévaux, attribués aux sorcières, incubes et fées.

Ainsi la mythologie véridique de ces créatures et du « petit peuple » qui voyageait avec elles, entre réalité et pays enchanté ou « pays des elfes », fait un portrait très différent de celui des mièvres « Fée Clochette » qui s’agitent dans le ciel de Disneyland !

Les légendes de fées s’accompagnent d’identiques missions d’abduction de style extraterrestre, induisant une sorte de paralysie où la victime peut voir ce qui se passe, mais est impuissante à intervenir (le dictionnaire « Oxford » de la mythologie celte dit qu’en anglais familier, le mot « attaque » en parlant d’une hémorragie cérébrale dérive de sa relation avec « paralysie » et a son origine dans la légende de l’attaque de fée ou attaque d’elfe), de lévitation de gens et de leur envol vers le pays enchanté (ou ce que certains appellent aujourd’hui « Magonie »), et de voyage dans des disques ressemblant à des Ovnis ou dans des boules de lumières circulaires.

Dans les années 60, le légendaire chercheur français en ufologie, le Dr Jacques Vallée, commença à explorer ces points communs entre Ovnis, abductions et personnages de fables comme les fées dans son livre Passeport pour Magonie :

Du folklore aux soucoupes volantes (cet ouvrage de Vallée n’est plus disponible, mais sera fourni gratuitement en format numérique avec la publication du livre Exo-Vaticana sur lequel est basé cette série).

À partir de cette recherche, il a développé une « hypothèse de visites multidimensionnelles » au-delà de l’espace-temps, qui permettrait une coexistence indétectable entre les humains et des êtres non-humains, qui ont été aperçus et détectés depuis des milliers d’années, et qui semblent se présenter d’une manière qui suggère :

1) soit qu’ils se transforment pour correspondre à notre système de croyance actuel (c’est-à-dire qu’on les nommait autrefois le petit peuple des elfes qui volaient et remplaçaient les enfants par des « enfants échangés », alors qu’aujourd’hui ce sont les petits gris des abductions ET qui volent et remplacent les embryons par des bébés hybrides) ;

2) ou qu’ils font ce qu’ils ont toujours fait, et que nous sommes ceux qui interprétons leur présence de manière à accorder notre compréhension actuelle à la science et à la religion.

Pour Vallée, les anciens contes de fées et le phénomène moderne d’abduction par des extraterrestres se ressemblaient trop pour n’être que des coïncidences. Il cite le travail de Walter Yeeling Evans-Wentz (1878-1965), anthropologue et expert de la croyance aux fées dans les pays celtes (dont le livre/dissertation de 1911 sur le sujet est également gratuit avec les références ajoutées à Exo-Vaticana), comme une preuve puissante de la cohérence du phénomène au cours de l’histoire.

Evans-Wentz, également théosophe, est célèbre pour avoir compilé et rédigé des textes sacrés sur le bouddhisme tibétain, qui furent publiés par les Presses universitaires d’Oxford au début du 20e siècle. On porte par conséquent un large crédit à son travail de pionnier occidental sur le bouddhisme en association avec l’astrobiologue Chris Impey (dont nous parlerons plus loin).

Avant ses voyages au Sri Lanka et en Inde, Evans-Wentz rédigea cependant sa thèse de doctorat à l’Université d’Oxford sur la croyance celte des contes de fées. Il approcha le sujet comme un chercheur examinant l’histoire et le folklore des îles britanniques sous l’angle de l’anthropologie et de la psychologie. C’est peut-être l’un des essais les plus complets et les plus érudits jamais réalisé sur le sujet.

Avec la fin du 19e siècle et le début du 20e, la révolution industrielle dirigea les populations dans les villes, et il y eut un sursaut de natalité. Evans-Wentz fit un travail ethnographique étendu sur le terrain en interviewant des gens d’Irlande, du Pays de Galles, d’Écosse, de Bretagne et de l’île de Man. Les rencontres avec des fées étaient suffisamment nombreuses pour s’être banalisées au début du 19e siècle, mais à l’approche de la modernité, elles décrurent progressivement. Aujourd’hui les contes de fées sont largement oubliés, relégués en tant que contes et légendes de bonne femme, bien que le phénomène existe toujours.

Jacques Vallée est convaincu que les fées n’étaient pas seulement réelles mais qu’elles perdurent actuellement sous l’apparence moderne d’extraterrestres.

Ce qu’a pu saisir Evans-Wentz a été l’époque de transition où les entités tourmentées par l’empiétement de la modernité se sont transformées. Grâce à son travail de terrain, Evans-Wentz a noté que presque tous les anciens folklores comportaient des témoignages de fées ou qu’on y croyait. Ce qui transcende la légende du fait communément accepté. La génération suivante, cependant influencée par l’industrialisation de l’air du temps, a abandonné la croyance aux fées.

John Bruno Hare, fondateur des archives internet Sacred-Text.com, a émis l’hypothèse suivante : « Nous quittons cette étude avec une vision multidimensionnelle des contes de fées, qui, très ressemblante aux gris extraterrestres de la croyance en les Ovnis, occupe un récit qui semble trop cohérent pour être le produit d’une aliénation mentale, encore trop bizarre pour une explication conventionnelle. » Ce qui suggère une ligne de congruence entre les récits de fées et ceux des soi-disant extraterrestres d’aujourd’hui. Vallée écrit :

Nous venons d’examiner plusieurs récits d’abductions et de tentatives de kidnappings par des occupants de soucoupes volantes. Ces épisodes font intégralement partie du total problème Ovni et ne peut être résolu séparément. De plus des preuves historiques, rassemblées par Wentz, pointent une nouvelle fois dans la même direction.

Ce genre de croyance en des êtres féeriques, capables d’emmener des gens, était très répandu et existe toujours dans de nombreuses régions de l’Irlande de l’Ouest…Le Bon Peuple y est souvent vu (parlant de Knoch Magh) en grande foule jouant au « hurling ». Et on y trouve souvent des jeunes hommes, des jeunes femmes et des enfants qui ont été enlevés.

Non seulement les gens sont enlevés, mais – comme dans les histoires de soucoupes volantes – ils sont souvent transportés dans des lieux éloignés par voie aérienne. C’est le prophète Ézéchiel, bien sûr, qui fait ce récit, et d’autres écrivains religieux en ont écrit aussi. Mais un Irlandais ordinaire, John Campbell, a dit aussi à Wentz :

J’ai vu de mes yeux un homme, Roderick Mac Neil, soulevé par les hôtes et laissé à 5 km de l’endroit où il avait été pris. Les hôtes sont partis à environ minuit.

Le révérend Kirk présente quelques récits d’extraordinaires kidnappings similaires, mais la légende la plus fantastique de toutes se rattache à Kirk lui-même : le bon révérend aurait été lui-même enlevé par des fées selon la rumeur.

Mme J. MacGregor qui conserve la clé du vieux cimetière où se trouve la tombe de Kirk, bien que beaucoup de gens pensent qu’il n’y a rien d’autre dans le cercueil que des pierres, m’a dit que Kirk avait été emmené vers le promontoire des fées, qu’elle indiqua de l’autre côté de la vallée devant nous, et qui est toujours là, car la colline est remplie de cavernes qui abritent les maisons du bon peuple. Et elle ajouta que Kirk serait apparu à un de ses proches après son enlèvement.

Wentz, qui rapporte cette intéressante histoire, a fait d’autres recherches concernant les circonstances de la mort de Kirk. Il est allé voir, à Abcrfoyle, le successeur de Kirk, le révérend Taylor, qui a éclairci l’histoire : à l’époque de sa disparition, on disait qu’il avait été enlevé parce que les fées étaient mécontentes de lui pour avoir révélé leurs secrets d’une manière aussi publique.

Certains ufologues vont même jusqu’à appeler le révérend Kirk « le premier vrai martyr d’un mouvement exo-politique ». Son ouvrage phare « L’organisation secrète des elfes, faunes et fées » fournit un riche parallélisme avec la recherche ufologique moderne. Kirk fut-il subtilisé et emmené vers la toujours énigmatique Magonie ?

Vallée a documenté la manière dont « la nature physique de Magonie, telle qu’elle apparaît dans de tels récits, est tout à fait énigmatique. Parfois c’est un pays lointain, une île invisible, un endroit éloigné qu’on ne peut atteindre qu’après un long voyage. En fait, dans certains contes, c’est un pays céleste … cela fait un parallèle avec la croyance en l’origine extraterrestre des Ovnis si populaire aujourd’hui.

Une autre théorie – également répandue – est que le pays des elfes constitue une sorte d’univers parallèle, qui coexiste avec le nôtre.

Il n’est visible et tangible que pour certaines personnes choisies, et les « portails » qui y mènent sont des points tangentiels, connus seulement des elfes. C’est quelque peu analogue à la théorie, parfois trouvée dans la littérature ufologique, qui se rapporte à ce que certains auteurs nomment la « quatrième dimension » – bien que cette expression, bien sûr, donne un sens beaucoup moins physique que la théorie d’un pays des elfes parallèle (elle semble plus scientifique, malgré tout !). »

L’argument de Vallée est séduisant, étant donné l’histoire d’entités démoniaques et leur capacité trompeuse d’adopter n’importe quelle apparence qui leur permet d’être acceptés dans la société.

Souvenez-vous des créatures du film « They live » (film de John Carpenter, 1988, NdT) et de leurs possibilités d’apparaître tout à fait humaines.

Selon 2 Corinthiens 11:14, Satan lui-même peut se manifester comme « un ange de lumière » !

Vallée note aussi que cette tromperie de la part des fées-extraterrestres modernes semble être dans le but de prendre et de remplacer des bébés ou des petits enfants par des « enfants substitués ». Dans l’abduction extraterrestre de nombreuses femmes parlent de l’enlèvement de leur fœtus, suivi ensuite d’une prétendue introduction d’un bébé après gestation.

Dans les coutumes féériques, l’enfant est enlevé et remplacé par un « enfant de substitution », une copie à l’aspect humain, surtout dans le folklore européen occidental et la religion populaire. De nombreuses théories ont été établies entre les 13e et 15e siècles pour expliquer la raison de cette abduction et du remplacement des enfants incluant que l’enfant terrestre était une « dîme à l’Enfer », ou un tribut payé par les fées tous les sept ans au diable. Mais Vallée réactualise ce point, notant que le phénomène moderne d’abduction extraterrestre et les nombreux récits d’abduction par des fées se concentre « surtout sur des femmes enceintes ou de jeunes mères, et ils sont également très actifs dans le vol de jeunes enfants ». Il dit :

Ils (Elles) substituent quelquefois un faux enfant au vrai, laissant à la place du vrai enfant… l’un de leurs enfants, un enfant substitué : par le fait de croire aux enfants substitués, je parle de la croyance que les fées et autres… êtres guettent les jeunes enfants… qu’ils peuvent. S’ils peuvent en trouver non surveillés, s’en saisir et les emporter, laissant à leur place l’un des leurs.

Vallée signale ensuite une série télévisée qui tire parti de l’aspect de la tradition des Ovnis et du lien entre les abductions modernes et anciennes :

Dans la série, la race humaine a été infiltrée par des extraterrestres qui ne diffèrent des humains que par de petits détails. Ce n’est pas une idée nouvelle, comme le montre la croyance en l’enfant de substitution. Et il y a un passage très connu d’une conversation avec Martin Luther, au cours de laquelle il dit au Prince d’Anhalt qu’il jetterait dans la Moldau un certain homme qui serait, à son avis, un tel enfant substitué – ou un « killcrop », comme on les appelait en Allemagne.

Quel était le but de telles abductions par les fées ? L’idée avancée par des étudiants de récits folkloriques est de nouveau très proche de la théorie actuelle sur les Ovnis : que le but d’un tel contact est génétique.

Selon Hartland :

On suppose que la motivation des fées des histoires nordiques est de préserver et d’améliorer leur race, d’une part en enlevant des enfants humains qui seront emmenés parmi les elfes pour s’unir avec eux, et d’autre part pour obtenir du lait et des soins de maternage des mères humaines pour leur propre progéniture.

« La légende de saint Stephen » par Martino di Bartoloméo.

Donc l’idée de créatures nocturnes trompeuses sondant des humains pour rassembler du matériel génétique pour l’utiliser dans la fabrication d’une descendance hybride convient à Vallée et à ses contemporains qui, à la suite d’une extraordinaire recherche, ont déterminé que quelles que soient les rencontres modernes d’abductions extraterrestres représentées, leur but est la répétition d’une activité ancienne impliquant une collecte d’ADN pour :

  • 1) un programme d’élevage, suivi de…
  • 2) un programme d’hybridation et enfin…
  • 3) un programme d’intégration, exactement ce que les « Observateurs » ont accompli avec les Nephilim des anciens temps.

Mais pourquoi des « extraterrestres » seraient-ils impliqués dans un tel programme ?

Pendant plusieurs dizaines d’années des chercheurs profanes en abduction extraterrestre, comme Budd Hopkins et le Dr David Jacobs ont postulé que les extraterrestres étaient une race mourante, et qu’ils devaient transmettre leur matériel génétique grâce à des hybrides pour garder leur spécificité. Le cas de Barney et Betty Hill du 19-20 septembre 1961, a constitué la première revendication largement médiatisée d’une telle abduction extraterrestre, et le début d’une connaissance du phénomène par le public.

Pourtant une partie de leur histoire, souvent laissée de côté, est comment des ovules auraient été extraits du corps de Betty Hill et du sperme de son mari Barney, pour un usage supposé de programme d’hybridation. Les années suivantes, des dizaines de milliers de personnes se sont peu à peu manifestées de par le monde, en prétendant qu’elles avaient été sujettes à une mystérieuse procédure extraterrestre dans laquelle du matériel génétique humain est récolté, y compris du sperme et des ovules pour un programme de reproduction impliquant des hôtes humains comme parents porteurs et des couveuses pour fœtus dans lesquelles des hybrides extraterrestres-humains sont fabriqués. Des communautés entières se sont multipliées autour de l’idée que les enfants qui existent aujourd’hui sur terre sont en partie humains et en partie extraterrestres.

Certains, prétendant être les parents d’enfants hybrides, ont leurs propres sites web, organisant des conférences et installant des réseaux sociaux sur le web. En font partie des universitaires, physiciens, psychologues, avocats, acteurs et enseignants.

De plus, selon des chercheurs, ce ne sont pas seulement des enfants hybrides qui sont parmi nous.

Des versions adultes se sont répandues aussi dans la société. Budd Hopkins – qui, avant de mourir en 2011 d’un cancer à l’âge de 80 ans, était considéré comme le père du mouvement des abductions extraterrestres – déclarait que lui et surtout le Dr Jacobs préparaient de nouveaux dossiers de cas contenant des preuves dérangeantes relatives à des entités spécifiques et à leur intégration dans la société humaine.

Il programmait de démontrer que le film de science-fiction-horreur « They Live » n’en serait pas si éloigné après tout et que des boulangeries aux halls de congrès, des hybrides extraterrestres-humains sont aujourd’hui fermement établis dans les cultures de la terre. Peu de temps avant sa mort, il a écrit sur le site « Journal de recherches sur les abductions-rencontres » :

J’ai fait une recherche sur le compte-rendu de deux femmes qui décrivaient avoir vu un hybride masculin adulte qui portait des lunettes. Chacune a fait un dessin de l’hybride et les deux dessins sont étonnamment semblables. Les deux décrivent un homme à l’aspect étrange, aux joues creuses, portant des lunettes de forme bizarre.

Les deux femmes ont dessiné chacune de leur côté la même personne. Certains de ces êtres hybrides ont été vus par plus de trois personnes en même temps et elles sont décrites de la même façon par les témoins. Pour autant que des hybrides opèrent dans le monde humain, nous avons de nombreux comptes-rendus sur eux en train de conduire des automobiles, faisant des courses dans les magasins, et se comportant plus ou moins naturellement dans d’autres lieux mondains, mais manifestant le genre de pouvoirs que semblent posséder les extraterrestres, c’est-à-dire la capacité à contrôler les esprits et à communiquer télépathiquement.

Les pouvoirs que possèdent les extraterrestres gris dans le monde peuvent entraîner une série complexe d’événements similaires à répétition, comme si ces hybrides adultes ne comprenaient pas vraiment notre monde et notre comportement, mais essayaient d’apprendre exactement comment nous agissons et ce que nous disons, le tout nous donnant le désagréable sentiment que c’est là que les conduit leur agenda. Il y a sans aucun doute une forte présomption qu’une infiltration de la société humaine est en cours.

Notes

  • [i]http://www.answers.com/topic/fairy-stroke-1
  • [ii] http://www.sacred-texts.com/neu/celt/ffcc/index.htm
  • [iii] Passport to Magonia: From Folklore to Flying Saucers. Chicago, IL, U.S.A.: Publ. Henry Regnery Co.. 1969, pp 100-101
  • [iv] https://www.youtube.com/watch?v=F8SGgXtiNMs
  • [v]Ibid. 102
  • [vi] Ibid. 104
  • [vii] Ibid. 105
  • [viii] http://www.jarmag.com/2007/vol001_hopkins.htm

A suivre…

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