On ne peut devenir conscient par des moyens quelconques de ce qui est éternel et qui existe sur une autre dimension.
Aucune répétition de techniques mécaniques en vue d’élever le niveau vibratoire d’une personne ordinaire ne peut atteindre la Surnature.
Il n’est pas nécessaire d’être très éclairé pour comprendre qu’il y a des lois universelles qui protègent les valeurs sacrées de toute profanation. Aujourd’hui, l’être humain est d’une arrogance si démesurée qu’il estime qu’il est en droit de tout savoir sans rien payer (de sa personne).
Donc, on ne devient pas conscient de la Merkabah en méditant sur notre divin nombril ou en récitant des mantrams en sanskrit ou en hébreu.
Le vaisseau spirituel qui est enlisé dans notre dimension ne reconnaît pas nos codes car il est programmé dans un langage inviolable.
Il faut d’abord réparer la rupture causée par l’accident originel.
N’est-il pas logique de remettre d’abord en état un véhicule accidenté avant d’essayer de le faire redémarrer ? Il y a un effort à fournir, et en l’occurrence, c’est l’égo qui doit se sacrifier.
Nombre de chercheurs de vérité s’enferment dans des systèmes cristallisés alors qu’ils ont au départ le désir sincère d’atteindre la libération. Innombrables sont les appelés mais où sont les élus ?
Ce problème provient de la difficulté pour l’être humain, conditionné par les systèmes de pensée, de se représenter de manière simple le but de la vie. Il a étudié les doctrines spirituelles et parfois il a pratiqué des techniques en vue d’un certain résultat, mais on ne lui a pas fourni les bonnes informations sur sa véritable nature. Alors, il a erré et s’est mille fois perdu dans la jungle des idées et des théories. Pourquoi cette quête sans fin ?
Il faut que l’être soit prêt à recevoir l’information ultime.
Cette préparation exige beaucoup d’efforts, antérieurement accomplis, et ces expériences souvent pénibles ont rendu le coeur-conscience réceptif à des rayonnements universels plus subtils. Le système de la Merkabah est ainsi touché, à travers l’ouverture de notre coeur, et rien ni personne ne peut forcer ce processus.
Il faut savoir que l’univers est un corps électromagnétique multidimensionnel où tout ce qui existe est relié.
Toutefois, il y a des zones déconnectées du cœur central où l’énergie divine ne peut plus pénétrer à cause du taux vibratoire trop ralenti.
Le contact est si ténu avec ces zones rejetées en périphérie de la lumière centrale qu’on pourrait croire que ces zones n’ont simplement pas de réalité. C’est pourquoi l’attention des êtres divins n’est pas attirée par ces mondes tombés, tout comme nous ne sommes pas très intéressés par la vie des paramécies ou d’autres espèces microscopiques.
Or, nous ne sommes pas des paramécies, mais nous disposons heureusement d’un organe émetteur psychique qui peut envoyer des messages à travers l’espace.
C’est à la suite d’une accumulation considérable de SOS émis à partir de la détresse de millions de cœurs qui ont prié pour un secours pendant des millions d’années que notre problème a été pris en compte.
Mais il ne faudrait pas trop s’imaginer que nous sommes la cible d’une attention particulière car rien dans notre comportement bestial, primitif et égocentrique n’attire la sympathie des races angéliques, ni même des civilisations plus évoluées. Toutefois, des êtres de compassion ont capté notre appel et un plan de salut a été mis en place pour nous aider, pour autant que le karma l’autorise.
L’accumulation de nos signaux de détresse et de nos soupirs de douleur a formé une constellation, une nuée électromagnétique, à partir de laquelle il est possible à de grandes intelligences cosmiques d’émettre un signal en retour.
Ce signal est la force en réaction à notre propre appel. Il ne peut pas être plus intense ou plus faible que l’émission d’origine, au vu de la précision des lois universelles.
C’est ainsi qu’il faut comprendre le salut et la rédemption. Nous en sommes les artisans.
Il est hors de question qu’un « sauveur » vienne nous tirer miraculeusement d’affaire, car on peut seulement nous renvoyer la charge de compassion contenue dans l’appel que nous avons émis.
Cela signifie qu’aucun salut de type messianique n’aura lieu sur cette planète.
Si un tel évènement se produisait selon les apparences visibles, il s’agirait d’un intervention politique pour nous subjuguer, en complète violation des lois universelles. Le salut doit émaner de nous.
C’est pourquoi, malgré les promesses vaines des religions pour nous faire mijoter dans l’espérance tout en nous tenant ainsi sous contrôle, il n’y a pas de rédemption miracle.
Ce que les hommes appellent Christ ou Messie, ou Grand Avatar, est la réponse compatissante en retour de notre signal de détresse. Ce grand esprit collectif a pris la charge de stimuler et de structurer notre auto libération en venant sur terre à de nombreuses reprises depuis le fond des temps, sous des noms de dieux divers, pour y confirmer et sceller la force de libération que nous avons nous-mêmes engendré.
On prétend que la constellation où nos prières se seraient accumulées est celle des Pléiades d’où l’activité constatée dans cette zone céleste comme en témoignent certains mythes antiques.
La porte des Pléiades pourrait être le chemin par lequel nous sommes arrivés jusqu’ici, mais il faut se représenter ces choses de manière intérieure car les Pléiades astronomiques ne sont qu’une illusion d’optique à partir de notre point d’observation et de conscience matérielle actuelle.
La Bible mentionne les Pléiades comme les mondes EDENIQUES de KIMAH (Livre de Job/ version hébraïque) et la mythologie grecque les appelle les Sept Sœurs.
La principale étoile de cet amas d’astres dans la constellation du Taureau est Alcyone qui est mille fois plus brillant que notre soleil.
On prétend également que nombre d’entités incarnées sur la terre en proviennent, et qu’ils sont par conséquent des humains-pléiadiens. Ils se distinguent par l’originalité de leurs travaux au service de l’humanité car ils ne sont là que pour faire avancer l’œuvre de délivrance.
Il y aurait beaucoup à dire sur les mythes autour des Pléiades dans les cultures anciennes.
Il faut s’ouvrir à la merveilleuse dispensation salvatrice que nous avons appelé de nos vœux et qu’il faudra finaliser concrètement, au lieu d’en rester à des rêveries spirituelles.
Cette réalisation implique de prendre conscience de ce que nous sommes, non à la manière orientale qui parle du Soi évanescent, mais en intégrant la réalité de la Merkabah qui a été ignorée des enseignements spirituels aujourd’hui obsolétes. Il faut donc d’abord se débarrasser des idées fausses.
Comment s’ouvrir à la conscience de la Merkabah mutidimensionnelle ?
Peut-on étudier la technologie sacrée du vaisseau céleste comme on étudierait une science physique ? Si les méditations planantes et les techniques ésotériques ne servent plus à grand chose, que peut-on faire pour s’élever ?
Les grands instructeurs spirituels du 20 ° siècle l’ont clairement affirmé : il faut une mutation radicale, une conversion absolue de notre vie intérieure.
Sinon, nous continuons à tourner dans la cage de l’évolution qui revient au point de départ, un cycle après l’autre.
Pour les êtres qui n’ont pas encore effectué les protocoles préliminaires d’une reconnection avec la source d’information universelle, le programme interne de l’atome germe du cœur n’est pas encore assez sensible aux influx qui lui parviennent depuis l’espace de l’univers interne. Sa conscience demeure attachée à la représentation spatio-temporelle extérieure.
Il est probable que ce que nous racontons ici lui paraisse déraisonnable ou incompréhensible. S’il est un chercheur de vérité sérieux, il a déjà enregistré les données de la spiritualité conventionnelle qui parle de « s’unir au soi supérieur » ou un discours similaire.
Or, cette phraséologie floue dissimule un grave malentendu. Il faut toujours se dire que ce qui est enseigné à haute voix sur les places publiques ne peut pas être la vérité. C’est au mieux une approche.
En ce monde, « la vérité n’a pas de pierre où reposer sa tête ».
La connaissance de la Merkabah est un secret ultime qui n’était révélé qu’aux initiés s’étant préparé au « Retour vers le Père », ce qui signifie, que ce mystère ne s’ouvrait que pour ceux qui avaient accompli la mutation de conscience qui permet de se relier au champ électromagnétique de la Surnature.
Cette conversion énergétique est sous jacente dans les conseils de la sagesse traditionnelle, du point de vue moral et psychologique, mais cette sagesse est adaptée à l’égo qui y voit un tremplin pour son propre développement. Il n’y a rien de mal à cela. Ce développement peut mener jusqu’au contact avec le soi disant « moi supérieur » qui est le surmoi subconscient, que les enseignements orientaux décadents de « l’âge noir » confondent avec le véritable Soi divin.
C’est ce qu’on appelle aujourd’hui la « réalisation du soi » qu’on propose en pochette surprise, généralement à l’appui d’une discipline de méditation yoguique ou védantique. La plupart des gourous indiens et asiatiques sont sur cette voie, chacun selon son niveau et sa sincérité. Mais la sincérité n’est pas la vérité.
Ne vous attendez pas à ce que ces maîtres vous montrent comment devenir conscient de la Merkabah car ils n’ont pas connaissance de la réalité structurelle du vaisseau de l’âme. Ils peuvent au mieux interpréter cette idée selon les connaissances du yoga ésotérique au sujet des corps subtils.
C’est pourquoi le new age a confondu le corps causal qui est l’enveloppe aurale bien connue des théosophes occultistes, avec la Merkabah.
La merkabah immortelle n’est pas soumise au processus d’évolution dans le temps.
On ne peut donc pas la « développer » à force de visualisations. Elle n’est pas sur notre dimension, et on ne peut donc pas la contacter par des techniques aussi ésotériques soient-elles. Il faut apprendre la méditation attentive.
Par contre, l’esprit peut s’éveiller à la conscience de la Merkabah lorsque le cœur reçoit de l’intérieur des informations en réponse à son désir de délivrance.
Ces informations de nature électromagnétiques subtiles reprogramment le système actuellement en panne.
Il faut pour cela que l’avidité égocentrique ait fait place à un attitude nouvelle, de réelle ouverture, de bonté, et de détachement des ancrages lourds de l’existence incarnée. Il n’y a rien à accumuler mais il faut plutôt s’alléger de tout le superflu. Sur ce chemin, tout ce qui n’est pas strictement nécessaire au voyage est un fardeau inutile qui doit être déposé – c’est le lâcher prise.
En cela, la sagesse traditionnelle dit vrai. La simplification de l’existence pratique, la mise en veilleuse du cinéma émotionnel et psychologique, et surtout l’intensification constante du désir de Retour, forment la base de ce qu’il faut accomplir.
De nombreux chercheurs sont bien orientés, mais ils manquent encore de confiance. Ce doute provient de l’ignorance de la réalité de la Merkabah individuelle.
Savoir, au moins théoriquement, que le vaisseau de notre âme attend qu’un conducteur en reprenne les commandes, c’est se reconnecter avec le programme de notre système.
Ce n’est certes pas encore l’accomplissement, mais cela en constitue le stimulant à l’allumage, c’est à dire le désir de partir en voyage vers la source de l’univers.
Sur cette base, il est bien plus facile de comprendre la nécessité d’une mutation et d’intégrer les données nécessaires à une transmutation de notre organisme jusqu’à l’état que les hermétistes ont nommé « le corps de gloire ». Cette transmutation de l’organisme mortel en un double immortel peut prendre du temps, mais le commencement est déjà un accomplissement.
Lorsqu’un nouveau corps de pure essence énergétique est engendré sur le canevas de notre forme physique atomique, alors, la Merkabah va disposer d’un conducteur à sa mesure, capable de s’élancer vers les dimensions de l’univers interne dans une grande liberté de mouvement.
C’est pourquoi ceux qui parlent de « mutation de conscience » devraient concevoir à quoi cette mutation doit aboutir concrètement. Il faut un programme clair et précis pour un résultat en concordance.
Le but de la vie est d’accomplir le voyage de retour vers les dimensions intérieures de l’univers absolu.
Pour cela il faut un véhicule : nous l’avons déjà, c’est le vaisseau Merkabah, ainsi nommé traditionnellement d’après la science secrète des sumériens dont la civilisation connue sur notre dimension terrestre fut une porte de retour vers l’origine. Sumer est la base spirituelle interdimensionnelle reliée aux Pléiades, les mondes édéniques d’où afflue l’énergie divine féminine de la « mère » qui veut restaurer son enfant dans sa condition d’homme-dieu. (l’aide est prodigué par l’aspect « maternel » du divin en réponse à l’appel de l’enfant perdu)
La Merkabah aurait donc sa source énergétique dans les Pléiades.
Lorsque le vaisseau se réanime, toutes les constellations s’illuminent aux yeux de l’âme sur la voûte du ciel intérieur de la Merkabah. La tradition fixe le nombre de constellations majeures à douze en raison de la structure du cercle des douze foyers stellaires internes.
L’astrologie n’est donc qu’une projection extérieure, mais dans le futur la science des astres redeviendra une astrosophie intérieure.
« Et je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre, car l’ancien ciel et l’ancienne terre avaient disparu » (Livre de l’Apocalypse).
Cette parole exprime l’idée que notre ordre ancien devra laisser le champ à l’ordre universel.
Il est donc vain de poursuivre un idéal terrestre déconnecté de notre origine, car cette planète n’a pas d’enregistrement sur les tables de l’éternité. Il faudra en partir un jour.
Lorsque les « prophètes modernes » nous incitent à prier et à nous unir pour « sauver le monde », il s’agit d’une diversion puérile, car ce n’est pas le monde mortel qui doit être sauvé. La terre (notre corps provisoire) passera et les cieux (les cycles) passeront.
La terre sacrée c’est notre corps spirituel dont notre conscience est le firmament intérieur qui est comme la coupole du vaisseau merkabah. Les anciens hindous ont nommé ce ciel intérieur « Lipika ». La Lipika est la voûte céleste intérieure par laquelle le conducteur de la Merkabah s’oriente à travers les dimensions de l’univers.
Lorsque nous regardons le ciel par une nuit étoilée, c’est l’apparence projetée au dehors de notre ciel interne que nous contemplons. Ce ciel est l’image extérieure de la Lipika étoilée. Chaque point lumineux est un foyer magnétique qui diffuse un certain type d’information énergétique. Lorsque l’être s’engage dans le retour vers les univers multidimensionnels de l’univers interne, il peut régler sa marche en direction de ces foyers lumineux – univers inconnus qu’il est libre d’explorer. Imaginer cette liberté spirituelle totale c’est réaliser également la nature tragique de notre emprisonnement dans la dimension formelle.
Pour ceux qui sont issus de la racine de la « volonté de Caïn », l’aspiration au grand large se manifeste par un désir irrépressible d’inventer des moyens d’évasion en relation avec l’expérimentation la plus téméraire. A l’opposé, pour les âmes qui sont de la racine de la « lumière d’Abel », cette aspiration prend une forme religieuse et dévotionnelle en relation avec la magie de la lumière comme on le voit dans l’engouement actuel pour les apparitions astrales lumineuses.
S’ils veulent retrouver la science et la puissance (Caïn) et la lumière paradisiaque (Abel), les deux types humains doivent apprendre à réanimer la Merkabah. Sinon, la connaissance mentale de l’un est aussi vaine que l’amour sentimental de l’autre.
La technologie sacrée de la Merkabah repose sur des processus électromagnétiques très complexes dont nous n’avons aucune compréhension dans l’état actuel des découvertes et des rares révélations sérieuses.
Il faudrait observer le système à partir d’une clairvoyance supérieure, tenant à la fois de la rigueur du physicien et de l’intuition du mystique. Certains disposent de ces qualités mentales et spirituelles, mais il leur manque le pouvoir de clairvoyance adéquat, qui, on l’aura compris, n’est pas du même registre que la clairvoyance occulte, ni de l’ordre de la lecture akashique.
De ce fait, parce que nous manquons d’informations « scientifiques » sur la Merkabah, des explorateurs de sensibilité médiumnique s’autorisent à appeler Merkabah ce qui n’a aucun rapport avec le vaisseau divin.
Les gens qui rejoignent les groupes de méditation « merkabaresque », en reviennent inévitablement déçus.
La Bible dit : « Mon peuple se perd par manque de connaissance véritable, la connaissance du Salut ».
Mais qui se préoccupe des avertissements bibliques « vieillots » dans notre société de consommation et de zapping ?
Pourtant si le candidat à l’initiation de la « Merkabah new age » prenait seulement la précaution de lire – ne serait-ce qu’en français – la « vision du Char » dans le Livre d’Ezéchiel, il réaliserait que les marchands de Merkabah en solde sont loin du compte avec leur champ aurique en forme de tétraèdre.
Attention à la « cristallisation » magnétique !
Nous n’avons pas la prétention d’en savoir beaucoup plus, mais nous voulons inciter à la prudence là où il n’y a pas de rigueur.
La vulgarisation de notions sacrées, a toujours été le signe d’une décadence irréversible dans les civilisations anciennes. Nous ne pouvons certes pas revenir en arrière, car les portes sont fermées. Pour en revenir à quelle tradition d’ailleurs ? Il faut avancer vers l’ère nouvelle.
Que les spéculations du new age nous soient au moins l’occasion d’une clarification et elles auront servi à quelque chose !
Certains trouveront cet essai de clarification impropre à les conduire à la réalisation dont ils rêvent, et ils voudront malgré tout, faire l’expérience « d’éveil de la Merkabah » qu’on leur propose sur internet ou dans les livres de Drunvalo. Ils voudront essayer de « décoller ».
Il faut qu’ils sachent que le programme de méditation Merkabah n’est pas simplement une erreur de dénomination, mais une emprise spirituelle qui peut être aliénante.
Les forces lucifériennes ont lancé le programme de la « grille christique planétaire » pour mettre nos corps énergétiques sous tension dans un filet électromagnétique.
A l’aide de méditations canalisées dans un certain sens, et qui cristallisent nos champs magnétiques, on se retrouve « collés » sur la trame collective comme des mouches.
Cette mise en réseau planétaire enchaîne les âmes à la grille énergétique inférieure, au nom de « l’amour du monde », bien entendu.
Notre approche de la Merkabah semblera compliquée et théorique aux esprits avides de « réalisation » et de sensation.
Quant au chercheur sérieux, il comprendra à la lecture de la « vision du Char d’Ezéchiel » que la Merkabah n’est pas un amusement expérimental, mais qu’il s’agit d’une technologie électromagnétique sacrée.
Dans nul autre domaine la parole « il ne faut pas jouer avec le feu » s’avère plus à propos.
La Merkabah est un « char de feu » électromagnétique, ce feu puissant qui transféra le prophète Elie dans la dimension de l’immortalité.
Pour nous harmoniser en toute sécurité avec ce haut potentiel énergétique, nous devons accomplir certaines procédures de préparation.
La première est d’ordre moral : il faut tisser une combinaison de lumière.
Cela s’effectue grâce aux actes justes qui découlent d’un comportement profondément bon. Si cette bonté authentique s’appuie sur une connaissance des lois universelles, elle ne risque pas de dériver en sentimentalité qui est une parodie de l’amour vrai.
Pourquoi imiter l’amour ?
Le Cantique des Cantiques dit : « N’invitez pas l’amour avant qu’il le veuille ».
Le monde est rempli d’imitations mystiques, idéalistes et humanitaristes. Or, la bonté véritable ne consiste pas à porter les maux du monde, mais à retourner vers l’amour absolu en s’allégeant de tout ce qui empêche l’être de déployer ses ailes.
Certains auteurs spirituels ont insisté sur le sacrifice de soi à la manière du mysticisme de l’ère des Poissons. Mais il n’y pas d’autre sacrifice rédempteur que celui que l’on rend à l’esprit éternel qui est en nous-même, selon le premier commandement : « Tu aimeras Dieu de tout ton cœur ».
Or pour « aimer Dieu », la source interne de notre vie, il faut désirer s’en rapprocher.
La bonté libératrice réside donc dans un désir constant du retour à notre origine divine.
L’amour du monde et de ses créatures n’est qu’une conséquence, et encore faut-il veiller à ne pas être injuste en donnant de la force-amour à des êtres que les lois universelles ont rejeté en périphérie à cause de leur propre volonté de rupture.
Eprouver de « l’amour inconditionnel » pour le plan terrestre et les êtres qui y sont emprisonnés à cause de leur révolte obstinée, ce n’est pas servir l’harmonie universelle.
Seul celui qui s’est délivré de l’emprisonnement terrestre – par une confiance totale dans l’amour – peut aider ses semblables en les attirant à un niveau supérieur, et non pas en se laissant capter vers le bas.
Lorsque Jésus déclare : « Nul n’est bon, pas même un seul », cette leçon indique que malgré tous nos efforts de bonté humanitariste, religieuse et sentimentale, nous sommes encore très loin de la véritable Bonté.
Il faut donc désirer retourner vers la Source – quelle que soit la manière dont on le formule, selon que l’on est religieux ou philosophe. Dans ce désir de retour réside la véritable bonté dont les fils d’or tissent le corps de gloire sur le canevas de notre forme physique.
Ce désir de la vie absolue induit une transformation cellulaire et atomique. C’est ce que les anciens initiés ont nommé « le tissage de la robe nuptiale » – le corps de lumière.
Notre aspiration constante à la vérité, attire dans notre être des informations de haute intensité qui reprogramment l’organisme entier dans la direction d’une mutation.
C’est ainsi que se renoue le contact entre l’être incarné et la Merkabah. En l’absence de cet effort, le discours spiritualiste n’est qu’un rêve.
Donner une orientation totalement spirituelle à notre vie.
C’est le principe de la procédure préliminaire pour renouer avec la Merkabah qui est le vaisseau grâce auquel le dieu humain peut reprendre sa place dans la hiérarchie universelle.
Auteur : Yasmine ROONEY – LE PROJET PLEIADIEN – l’Assistance pléiadienne dans le vie humaine.
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