Interview de Emery Smith par George Noory pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 11 épisode 10
George Noory : Je suis George Noory, et avec moi, Emery Smith.
On sait que des civilisations extraterrestres vivaient sur Terre dans notre lointain passé. Mais est-il possible qu’il y en ait vivant sous terre ou dans des endroits cachés de la Terre en ce moment même?
Bienvenue dans « Divulgation Cosmique », Emery Smith.
Emery, c’est passionnant !
Emery Smith : Oui ! Et ça doit être porté à l’attention du monde car il y a parmi nous des extraterrestres qui vivent non seulement sur la Terre, mais aussi sous la terre.
Certaines civilisations sont ici depuis très longtemps qui ont prospéré et qui sont restées et qui travaillent parfois avec certains êtres humains, et parfois non. Ça dépend de la civilisation dont vous parlez.
George : Que font-elles ici ?
Emery : Elles sont ici depuis très longtemps. Elles sont arrivées avant nous, avant qu’on commence à construire des bâtiments et qu’on peuple la Terre. Elles ont leur propre… comme leur propre chez-soi, comme nous : que fait-on ici ? C’est chez nous. On considère la Terre comme chez nous, et ils ont leur propre chez eux, aussi.
Et il y a différentes biosphères situées partout sur la planète au plus profond de la Terre, qui ont leur propre atmosphère, et leurs propres technologies bioluminescentes et qui produisent leurs aliments.
Et ils ont aussi une meilleure technologie que nous. Ils ont leur propre système de voyage par portails par où ils vont dans les étoiles et sur d’autres planètes. Ils ne voyagent pas en voiture, c’est sûr.
George : Ces civilisations extraterrestres, combien sont-elles, là en bas?
Emery : Je ne connais que quatre civilisations extraterrestres, auxquelles j’ai été exposé, disons, qui vivent parmi nous et dans des installations souterraines, qu’ils ont créées, qui ne sont pas à nous.
Certaines sont des navettes qui ont été télé-transportées à différents endroits de la Terre et dans des chaînes de montagnes et tout ça. Et bien sûr, beaucoup se situent dans des parcs nationaux et dans des régions désolées comme le fond des océans, l’Antarctique, ce genre de lieux.
George : Ça alors ! De combien d’entités parle-t-on ici ? Des milliers ? Des millions ?
Emery : Oui, il y en a probablement quelques millions, à ce que je sais, qui vont et viennent constamment. Vous devez comprendre que ces extraterrestres, qui sont ici depuis très longtemps, vont et viennent et tentent d’aider avec des informations. Ils ne sont pas ici pour vraiment interférer auprès de nous. Mais ils protègent la Terre. Ils sont ici pour aider la Terre si quelque chose arrive comme lors d’un cataclysme. C’est très intéressant, lors des tsunamis, beaucoup d’OVNIs sont vus.
George : Oui.
Emery : Ou lors de l’éruption d’un volcan. Les gens signalent la présence d’OVNIs beaucoup plus souvent qu’en temps normal.
George : Mais il y a toujours des tsunamis, des éruptions. Ce n’est pas comme s’ils avaient tout arrêté. Pourquoi n’interviennent-ils pas ?
Emery : Ils le font. Ça aurait pu être pire. Ils travaillent donc à… Ils ont une physique spéciale, des énergies et des sciences qu’on ne comprend pas encore qui peuvent aider la Terre à se soigner et en fait réparer ces crevasses au fond des océans et tout ça, qui représenteraient une catastrophe pour nous tous.
George, Emery, ces quatre types d’extraterrestres dont vous dites qu’ils vivent sur cette planète, comment sont-ils ?
Emery : Eh bien, l’un est une race reptilienne qui est ici depuis un moment.
Il existe de nombreux types de Reptiliens, d’ailleurs. Les gens me disent qu’ils les voient comme la race démoniaque de ceci et cela.
Comprenez bien : c’est comme les humains. Quand je dis que quelqu’un a l’air de venir de l’océan, il y en a plein de versions différentes.
C’est comme : à quoi ressemblent les humains ? Si vous me le demandiez, regardez combien on a de races différentes.
George : Oh, absolument.
Emery : C’est la même chose avec les extraterrestres, qu’ils soient les Grands Blancs ou les petits…
George : Les petits Gris avec de grands yeux noirs.
Emery : Voilà, exactement, ha ha !
George : Je crois que ce sont des robots.
Emery : Ils le sont.
George : Ce sont des formes de vie programmées.
Emery : Vous avez raison. Ils ont été conçus par nous et par d’autres civilisations extraterrestres pour mener des missions spéciales, mais aussi pour visiter la Terre et vérifier des trucs, faire de la reconnaissance ou prélever de l’ADN sur des animaux. Ainsi, si quelque chose arrive, ils l’ont en stock, car vous ne voudriez pas vous y envoyer vous-même. Vous préféreriez envoyer le cyborg de vous-même…
George : En premier.
Emery : …car, en fait, on ne veut pas d’eux ici, ha ha ! On doit comprendre que vu que certains gouvernements et États ne veulent pas d’eux ici, ils vont mourir. Ils vont se faire tuer. Voilà pourquoi nombre de ces êtres qu’on capture s’autodétruisent ou sont mis dans des conteneurs où ils se transforment en liquide instantanément. Et c’est parce qu’ils ne sont pas réels.
George : Tous les gouvernements savent-ils et sont-ils au courant qu’ils sont ici ? Vous, vous le savez grâce aux programmes auxquels vous avez participé.
Emery : Oui, le gouvernement…
George : Mais combien le savent ?
Emery : Non, tous les pays sont au courant. Si on regarde tous les formidables dossiers qui, au cours de ces 10 dernières années…
…tous les pays ont publié leurs dossiers sur les OVNIs.
George : Oui.
Emery : C’est un des plus grands scoops, mais personne n’en parle. Personne ne les mentionne dans des documentaires. Bien sûr, mes amis dans cette communauté, et vos collègues, ils le savent et l’étudient. Mais il y a un pays qui ne publie pas ces documents [les USA].
George : Tiens donc ! Ha ha !
Emery : Et pourquoi donc ?
George : C’est très vrai. Vous avez dit qu’ils sont parmi nous. Se transforment-ils ? Comment s’intègrent-ils ?
Emery : Eh bien, ils sont humains, comme je disais.
George : Certains d’entre eux.
Emery : Ils ont de l’ADN humain. Mais il existe des métamorphes. Ils peuvent se métamorphoser en n’importe quoi. Ils peuvent ressembler à un animal, à n’importe quel type de race extraterrestre. Ils ont la capacité de changer leur structure atomique en presque n’importe quoi, un peu comme…
George : Ils sont comme des caméléons ?
Emery : Oui, c’est ça. Ce sont des êtres de lumière très évolués. Ils ne sont pas malveillants. Ils ne sont pas comme nous, complètement différents de nous. Ils ne font tous ces trucs que pour servir l’humanité et l’univers et les planètes et tout ça.
George : Emery, vous parliez d’une race reptilienne. Et d’une race qui ressemble un peu aux humains. Et les deux autres.
Emery : Il y en a qui vivent dans l’océan. Et ce sont ceux qui sont ici depuis le plus longtemps, je pense.
George : Des extraterrestres aquatiques ?
Emery : Très aquatiques. Ils ne viennent pas à la surface car ils ne supportent pas trop la lumière. Ils y sont très sensibles.
Ils ont de très grands yeux. Et ils ont un corps de couleur blanc bleuté.
Chez certains, il est gris. D’autres ont un corps de couleur noire. Et ils mesurent entre 90 centimètres et deux mètres.
Ils ont des pieds de type palmés qui ne sont pas articulés aux chevilles, un peu comme une petite palme. Ils ont une magnifique nageoire qui couvre leurs bras et qui n’est pas très longue. C’est une membrane qui ressort comme une nageoire. Mais elle bouge de façon très fluide.
George : D’où viennent-ils ? Sont-ils des créatures terrestres ? Ici depuis toujours ?
Emery : Oh, on les appelle, ceux vivant dans l’eau, des Aquafariens. On croit qu’ils venaient d’une autre planète aquatique et qu’ils ont la capacité de se télé-transporter et des trucs comme ça. Mais ils ont aussi un état d’esprit moindre. Même s’ils ont une conscience très élevée, ce sont des créatures simples.
George : Comment viennent-ils ici ? En navette ?
Emery : Je ne sais pas du tout. Je sais juste qu’ils sont ici. Et on les surveille. Et on les surveille depuis quelque temps déjà. J’ai même entendu qu’une de ces créatures a été trouvée par l’armée. J’ai vu les photos et les vidéos de ces êtres. Dans les bases de données, il y a une grande quantité d’informations sur cette race. On n’interagit pas avec eux. On les traite plus comme un truc biologique qu’on observe et étudie juste, et on tente de comprendre d’où ils viennent. On a leur ADN.
George : Mais ils sont intelligents. Ils sont plus humains que poissons.
Emery : Non, c’est ce que je dis. Ils ne sont… Leur intelligence, de ce qu’on a collecté… évidemment, ils sont intelligents, mais ils sont simples.
George : Comment les a-t-on trouvés ? Est-on juste tombé sur eux ? Via un programme ?
Emery : Non, on avait créé nos propres types de sous-marins rétro-conçus à partir de navettes extraterrestres qui peuvent former leur propre champ de densité énergétique, leur champ de flux magnétique autour de ce type de navettes, qui peuvent plonger dans des eaux bien plus profondes que ce qu’on voit dans le National Geographic et d’autres…
George : Plus loin que nos sous-marins traditionnels.
Emery : Que les traditionnels, oui. Ils ont aussi des drones qui peuvent aller très loin et fonctionner seuls pendant des semaines, puis revenir au rapport. Et on peut voir les enregistrements et les données qu’ils ont collectés sur différentes longueurs d’onde de lumière qu’on ne peut voir nous-mêmes. Ces caméras surnaturelles qui sont à bord de ces navettes peuvent filmer dans le noir complet sur une longue distance.
Et les choses évoluent maintenant pour être divulguées au public, comme les gens qui ont maintenant leur propre sous-marin. Et des organisations voyagent maintenant dans les profondeurs et commencent à voir des choses, à voir des requins géants. Ils commencent à voir des poissons qui sont transparents et dont on voit le cerveau, et des trucs comme ça, et c’est incroyable. Les trucs qu’ils montrent ouvriront vraiment les yeux du grand public pour qu’il réalise qu’on n’est pas seuls. On trouve de nouvelles créatures et des poissons tous les jours.
George : Ces extraterrestres sont-ils amicaux ou y a-t-il là un problème potentiel ?
Emery : En ce qui me concerne, et grâce à mon expérience, ils sont très amicaux.
George : Tous ?
Emery : Ceux avec qui j’ai travaillé, OK ?
George : OK.
Emery : Il y a de grandes chances, bien sûr. L’univers est grand, vous savez. Je connais une race extraterrestre vraiment horrible et pas très sympathique. Et bon, vous savez…
George : Que font-ils ? Cette race horrible.
Emery : Ce sont les terriens, ha ha !
George : Ha ha !
Emery : Nous sommes ceux…
Goerge : Nous !
Emery : On est les méchants.
George : Oui, on est les méchants.
Emery : Si on ne prend pas soin les uns des autres et de la planète, et qu’on se coupe la tête, ce ne sont pas des trucs conscients et normaux à faire. Et se battre pour une chose et induire les jeunes en erreur pour aller faire la guerre et penser qu’ils se battent pour quelque chose, et qu’ils soient en première ligne, et qu’on les tue pour qu’une entreprise se fasse de l’argent est mal.
George : Ces extraterrestres, Emery, pensent-ils que ça cloche, chez nous, car vous avez absolument raison. On est un groupe de gens belligérants sur cette planète. Ces extraterrestres, s’ils sont bienveillants, doivent venir voir ceci et dire : « C’est quoi le problème de ces trucs, avec ces créatures ? »
Emery : C’est exactement ça. Et voilà pourquoi ils s’inquiètent autant. Ces groupes d’extraterrestres qui surveillent la planète, qui nous surveillent, pour s’assurer qu’on ne détruit pas la planète. Si une bombe nucléaire explose, ça détruira toute la planète, juste une seule. Voilà pourquoi ils créent des bombes pouvant faire autant de dégâts qu’une bombe nucléaire sans radiations, ce qui est effrayant. Il existe d’autres planètes qui ont débuté comme nous. Et en 1899, Tesla et Stubblefield, avaient déjà créé l’énergie libre, et les entreprises sont tombées dessus.
George : Ils n’en tiraient pas profit.
Emery : Exact. Donc au cours des 100 dernières années, on a… été réprimés. On aurait en fait pu… Imaginez si à l’époque, on avait eu l’anti-gravité et l’énergie libre, combien cette planète serait belle et propre, et peut-être que les différences entre les races et les pays ne seraient pas tant un problème.
Je crois que la science et la nouvelle physique et les nouvelles sciences qui apparaissent rassembleront, je pense, les pays dans un environnement plus pacifique. Et augmenter la conscience de la planète est très important. Et je crois que les extraterrestres le font. Je crois que l’univers a de l’énergie qui se répand sur nous et nous permet d’atteindre un nouvel état de conscience à chaque seconde. Et on le voit avec les enfants nés aujourd’hui. Ils sont formidables. Ils sont plus intelligents. Ils ont plus de compassion.
George : Ils sont attentionnés.
Emery : C’est ça. Et il est important que les familles de ces enfants soutiennent cette positivité et n’excluent personne.
George : Pourquoi est-on la force dominante ici ? Les extraterrestres pourraient avoir le dessus.
Emery : Ils ne sont pas bellicistes comme nous. Qu’a-t-on dont ils ont besoin ? Rien : ils peuvent créer tout ce qu’ils veulent. Ils peuvent aller où ils veulent. Ils peuvent se détendre et partir en vacances.
George : Pourquoi ne partons-nous pas en guerre contre eux ? Pourquoi ne les élimine-t-on pas tous ?
Emery : On l’a tenté.
George : Ah oui, comment ?
Emery : Avec du gaz sarin. Et ça a mal tourné. Et beaucoup de gens étaient… des militaires…
George : Ça s’est retourné contre nous ?
Emery : …ont été tués. Ils avaient acquis de nombreuses technologies du peuple fourmi.
George : Les indiens Hopis parlaient de ce peuple fourmi. Parle-t-on de la même chose ?
Emery : Oui. Les indiens Hopis et toutes les tribus, là-bas, y compris les tribus de Zia Pueblo… Vous savez, il y a tant de tribus au Nouveau-Mexique et dans le sud du Colorado qui ont signalé ces choses. Ils ont une histoire… En fait, ils en ont gardé un historique dans leurs écrits et, bien sûr, sur les rochers, représentant ces gens.
George : Ressemblent-ils à de grandes fourmis ?
Emery : Oui, ils sont segmentés, mais ils ont des bras.
Et ils ont un visage, comme nous, mais de la forme…
George : Une grosse tête ?
Emery : Très grosse. Ils ont un exosquelette. C’est ce qui les soutient. Ils n’ont pas d’os. Je ne suis pas sûr de quoi ils sont faits, mais leur exosquelette est comme chez les fourmis.
Ils sont très intelligents, très travailleurs. Ils ont d’énormes systèmes de tunnels dans le sud-ouest des États-Unis et dans le désert de Gobi. Et ils ont aussi la technologie. Et ils sont ici depuis un moment. On dit aussi qu’ils ont jadis été sur Mars. Et c’était une information indirecte que j’ai entendue de collègues et en lisant sur certains sujets.
Mais oui, ils sont là. Ils sont ici maintenant, toujours ici. On a tenté de les attaquer et de les faire sortir. Et je pense que c’est car notre gouvernement, avec les avancées du radar de pénétration du sol, a vu ce qui vit là en bas. Et ils veulent la technologie qu’ils ont.
George : Veut-on qu’ils partent de la planète ?
Emery : Non, ils ne créent pas de pagaille. Ils ne détruisent rien. C’est plus y aller pour avoir ce qu’ils ont, comme ce qu’on fait avec les guerres. C’est tout…
George : Et où vit le peuple fourmi, plus spécifiquement ?
Emery : Plus spécifiquement, dans la région sud-ouest des États-Unis.
George : Dans les montagnes ou… ?
Emery : Sous terre. Les Great Sand Dunes, bien sûr.
Il y a de grandes installations là, près de Blanca Peak, et à Crestone il y en a une grande.
Mais les tunnels vont loin. Ils ont leur propre système de transport qu’ils utilisent pour aller d’ici à là-bas. Et ils avaient déjà développé la télé-transportation, et tout ça.
George : Je trouve ceci très fascinant. Et l’amiral Byrd a déclaré qu’il est allé dans une terre creuse où il a vu plein de créatures différentes.
Emery : Oui.
George : Est-ce qu’on parle des mêmes créatures qu’il a vues ?
Emery : C’est possible. Mais il existe une terre creuse. Il y a d’énormes poches dans la Terre qui… et des poches dans l’eau et des nappes aquifères souterraines qui hébergent un nombre incroyable de créatures qui parfois se perdent et finissent sur la Terre terrestre et sont vues dans les bois, comme le Bigfoot, et ils appellent et disent : « On voit ces créatures et elles ressemblent à ça ou à ça. » Ou « quelque chose qui vole, bien trop gros pour être un oiseau. » Et parfois ces choses s’échappent de ces… elles ne s’échappent pas mais arrivent accidentellement à la surface. Beaucoup d’apparitions de trucs paranormaux autour de la planète sont en fait ces créatures qui ont émergé des grottes ou ont été accidentellement télé-transportées dans un endroit de la planète et qui ont été vues. Et on leur trouve juste des noms, vous savez, qui pourraient être n’importe quoi.
George : Bien sûr. Pourquoi certains ne vivent-ils pas à la surface ? Pourquoi sous terre ?
Emery : Mais si, il y a beaucoup d’entités parmi nous, qui nous étudient et travaillent avec nous, juste comme on travaille ensemble maintenant.
George : Êtes-vous l’un d’eux ?
Emery : Non. Mais on a tous du matériel génétique extraterrestre en nous. Et certains d’entre nous en ont plus que d’autres. Et quand ils publieront la base de données génétiques extraterrestres que j’ai aidé à créer, alors, les gens verront… Les gens verront : « Oh, j’ai plus de cette race que de celle-là. ». Et on n’est pas juste une race humaine. N’oubliez pas, quand on fait des tests sur les spécimens d’origine non terrestre, ils ont de l’ADN humain aussi. Ils sont en partie humains. La meilleure façon de le dire, pour tout le monde, est que tout le monde a de l’ADN extraterrestre. Et tout le monde a un pourcentage plus ou moins extraterrestre.
George : Qu’avez-vous fait, Emery, pour la base de données extraterrestres ?
Emery : Quand je prélevais des échantillons sur ces êtres, un peu après, j’ai reçu une habilitation plus élevée. Ils m’autorisaient à étudier différentes manières de cataloguer ces êtres et leur ADN. Et j’ai aidé à rédiger ce que c’était. Et ils se demandaient comment on allait mettre ça sous forme d’un logiciel genre appli, comme une appli, qu’on pourrait partager avec d’autres installations souterraines.
Je faisais donc partie du processus. C’était un grand groupe de gens, environ 20, qui travaillait sur une manière de les stocker de façon sûre en dehors de la Terre, ailleurs, sur un genre de satellite, je dirais, mais en y ayant toujours accès sans utiliser de fréquence radio ou l’Internet, car ça peut être piraté. Même à l’époque [dans les années 90] ils le savaient. C’était une époque où on avait… il faut bien comprendre, l’époque de MS DOS, où le type de technologie qu’ils construisaient, ils voulaient qu’elle soit vieille et pas futuriste, car ils savaient que plus les technologies pour construire les bases de données seraient futuristes, plus il serait compliqué pour les hackers de réapprendre les anciens trucs.
Je faisais donc partie du catalogage et j’aidais les programmeurs à les formater et à écrire ces petits programmes pour qu’ils restent encryptés et aussi pour maintenir cette base de données à jour et pour travailler avec d’autres installations partout sur la planète qui devaient faire la même chose, car en cas de catastrophe, si on perdait toutes les données, ça ne serait pas bon pour nous, pour notre évolution, car on a besoin de ces données pour pouvoir évoluer.
George : A-t-on beaucoup de technologies venant d’eux ?
Emery : Presque toute notre technologie…
George : Ah oui ?
Emery : …vient de l’espace. Toutes sont juste des trucs qu’ils nous ont donnés, qui se sont écrasés ici délibérément pour qu’on les découvre, ou dont ils nous ont parlé, côte à côte, dans les projets, en nous disant qu’on peut les concevoir, et qui peuvent être sûrs pour faire ci ou ça.
George : Intéressant. Les gouvernements savent, pour eux. Et s’ils le savent, je suppose que les grandes entreprises aussi. Les entreprises, la rétro-conception, le vol d’idées. Ils doivent être impliqués.
Emery : Comme disait le colonel Corso, ils…
Après les quatre crashs de Roswell et de San Antonio, au Texas, et d’autres régions du Nouveau-Mexique, quand on les abattait avec différents appareils à fréquence, la première chose qu’ils ont faite a été de collecter toutes les pièces et tous les équipements. Et ils cataloguent tout, l’armée. On parle de l’armée et de l’Air Force, plus tard.
Puis ils les donnaient à… ils partaient trouver les meilleurs techniciens, les meilleurs experts de toute la communauté scientifique et de l’univers qui étaient doués en circuits et pour des trucs qui avaient l’état d’esprit approprié et qui pourraient gérer la vue de quelque chose sans paniquer et sans dire : « C’est quoi, ça ? », et savoir comment ça fonctionne.
Corso y est donc allé. C’était son boulot. Le général lui a donné ce boulot, d’aller trouver ces centaines de gens incroyables qui étaient conscients et très intelligents, d’ailleurs, et de leur dire : « Résolvez ça ».
George : « Répliquez-le. »
Emery : Voilà. « Et on vous payera pour le faire. » C’est là que les entreprises secrètes interviennent. Ils ont commencé à les résoudre. Et à se faire beaucoup d’argent. Mais le marché était qu’une fois qu’ils avaient trouvé, ils devaient le rendre au gouvernement. C’est là que tout…
George : On croit qu’ils l’ont fait.
Emery : C’était ce qui était censé arriver. Mais selon Corso et d’autres, ça n’a pas été le cas. Ils l’ont gardé pour eux. Et s’ils ont récupéré quelque chose, ils ne leur ont pas donné toutes les informations. Et les entreprises sont devenues, bien sûr, ces méga-entreprises qui contrôlent la planète car ils ont de meilleures technologies que nous et sûrement leurs propres trucs militaires. Et on en est là aujourd’hui.
Je crois qu’Eisenhower disait, avant de prendre sa retraite : …
George : Le complexe militaro-industriel.
Emery : …« Faites attention au complexe militaro-industriel. » Et donc je veux dire : pourquoi les gens ne réagissent-ils pas ? C’est une chose dangereuse qui arrive encore aujourd’hui et qui doit être surveillée.
Ils tentent de nous faire regarder les médias et des trucs comme ça pour s’assurer qu’on ne parle pas vraiment de ce dont on parle ici.
Et c’est un problème où je suis en désaccord avec les entreprises quant aux dispositifs d’énergie surnuméraire et aux remèdes qu’ils ont trouvés et qu’ils peuvent faire avec des fréquences.
Et ça arrive doucement. Ils les divulguent lentement, mais trop lentement. Et ce n’est pas ce qu’il faut faire… [Emery réprime une émotion qui monte en lui] Excusez-moi… On doit le faire aujourd’hui.
George : Dormez-vous mieux sachant que les extraterrestres sont ici sur cette planète pour faire ce qu’ils font ?
Emery : Personnellement, je crois que je ne serais plus ici si ce n’était pour les interventions extraterrestres et de certaines organisations gouvernementales qui pressentent ce à quoi pourrait ressembler le futur. Et il existe… Ce que je ressens, c’est une lumière très protectrice au-dessus de nous tous, pas seulement de moi.
George : Que voulez-vous dire, que vous ne seriez pas ici ?
Emery : Je crois que je suis très protégé par ces extraterrestres.
Je crois qu’ils veillent sur moi.
George : On pourrait tenter de vous tuer ?
Emery : Eh bien, ça a déjà été prouvé, dans le passé, que j’ai été attaqué plusieurs fois, vous savez, physiquement et énergétiquement. Et je crois qu’il y a eu des interventions pour me permettre d’être ici aujourd’hui pour exprimer la vérité et les connaissances de toutes les choses qui sont là.
George : Comment cela va-t-il se dérouler dans le futur ? Pour les extraterrestres ? Pour nous ?
Emery : Il y aura des moments difficiles. Il y aura des catastrophes. Ce n’est pas grave, car c’est déjà arrivé. On a déjà vécu tant de choses, en tant qu’humains.
Et on doit examiner où cela nous mènera. Et on le fait. On devient plus évolués, on est clairement plus avancés, bien plus depuis que je parle ici.
Les entreprises ont divulgué ces matériaux et choses incroyables dont je parle dans les émissions, car ils sont genre : « C’est sorti ! ». Et là, ils se disputent pour savoir qui l’aura. Et ce sont des choses qui nous aideront à survivre dans le prochain millénaire.
Ça a été mon plus grand cadeau : de rester vivant et de pouvoir parler de ces technologies puis de lire sur le sujet trois mois plus tard dans les magazines économiques et scientifiques nationaux et tout ça.
On nous écoute, George.
George : Quelqu’un, oui.
Emery : Et les gens veulent que ça sorte. On doit juste le faire de manière sûre.
Voilà pourquoi je suis ici, car je veux changer des choses pour aider la Terre et les humains sur la planète à comprendre qu’il y a tant d’espoir qu’on ne peut pas renoncer, car on est une race incroyable.
George : Emery, merci de participer à « Divulgation Cosmique ». Vous êtes unique, mon ami.
Emery : Oh, George, c’est toujours un plaisir. Merci de m’avoir reçu.
George : Je suis George Noory. Merci de regarder « Divulgation Cosmique ».
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