Secrets révélés

Cagots, Nagas, Dropas. Peuple serpentesque ou Reptiliens venus d’ailleurs

Qui étaient les Cagots) qui vécurent près de six siècles en Europe, et surtout d’où venait réellement ce peuple qui… tomba du ciel ?!

On ne sait pas d’où vient ce peuple. On le dit « tombé du ciel ».

Dans le cas d’une hypothèse extraterrestre, on est en droit à juste titre de s’étonner du manque de remous que cette affaire semble avoir créé. Comment à une époque ou le moindre fait particulier est taxé de diablerie, comment ce fait-il que le clergé n’a pas plus réagi que cela face à l’incursion extraterrestre.

En réalité l’homme de l’époque médiévale avait pour principal souci de survivre.


Parias parmi les parias, les Cagots peuvent être comparés aux intouchables indiens.

Ils furent présents dans toute l’Europe au moyen âge ; en Bretagne, dans le Bas-Poitou, en Guyenne, en Gascogne, dans le pays basque, en Navarre et surtout en Béarn. Les montagnes des Pyrénées, pourtant terres de refuge, où les ségrégations eurent peu de prises, terre des Cathares, furent néanmoins le lieu où le phénomène des Cagots fût le plus appuyé.

Leur origine reste mystérieuse, plusieurs thèses sont évoquées, allant de wisigoths battus par Clovis à Poitiers, aux Sarazins, juifs, cathares, lépreux, extraterrestres… Le nom même de » cagot » est d’origine incertaine, il peut venir de » cangoth « : les chiens de Ghoth. On retrouve aussi les termes de Gézitain, Chrestians, Gahets, Capots, Agots…

Peu d’événements étaient susceptibles d’étonner l’homme de l’époque médiévale car il survivait alors à grand-peine. Lorsqu’il avait résisté aux hivers rigoureux, aux guerres féodales et aux fléaux, il acceptait sans trop se formaliser les incursions de l’irréel ou du fantastique dans le réel. D’ailleurs, la frontière était floue entre l’imaginaire et le vécu et les phénomènes étranges pouvaient communément être acceptés comme des signes d’une autre réalité.


L’Eglise elle-même saisissait les esprits en évoquant la présence immanente du malin et en décrivant les forces obscures de démons immatériels. La mort faisait partie du quotidien et chacun se savait continuellement menacé.

Seul cet aspect de la pensée médiévale peut expliquer que, en l’an 800, sous le règne des Carolingiens, les habitants de la vieille ville de Lyon n’aient pas été choqués de l’apparition de surprenants objets descendants du ciel.

Les Lyonnais franchirent les portes fortifiées de la ville et gagnèrent avec force cris les champs où venaient de se poser les vaisseaux. Ils furent rapidement encerclés, un grand silence se fit lorsque le premier pilote sortit de l’engin. Comme les citadins ne comprenaient rien à son langage inconnu, il fut décidé sans autre forme de procès de s’emparer de ces êtres. Les pilotes venus du ciel furent immédiatement cloués sur des planches et confiés au courant de la Saône et du Rhône.

Ainsi pensait-on châtier ces étranges visiteurs qui » venaient sur Terre pour abîmer les récoltes par le fracas de leurs terribles engins volants « . Ce châtiment était supposé dissuader d’autres visiteurs célestes qui, voyant du ciel leurs compagnons emportés par les flots, se seraient tenus à distance de la Terre.

Pourtant, des chroniqueurs médiévaux rapportent que, quelque temps plus tard, apparurent en grand nombre, dans nos régions et sous nos climats, des êtres aux caractéristiques physiques pour le moins étonnantes. Bien que d’abord persécuté, ils furent peu à peu tolérés jusqu’à vivre à côté des humains.

Relégué au rang des bannis, ils s’organisèrent de façon autonome en marge de la société. Les représentants de cette race maudite furent baptisés » Chrestians « , » Gézitains », » Gahets », » Agots « , ou encore » Cagots « .

Les nombreux historiens à s’être penchés sur l’histoire de cet étrange peuple dispersé, retrouve, aux quatre points cardinaux de l’Europe, la même description de ces êtres que celle qui fut faite en France.

Les Chrestian ou Cagots sont des caractéristiques physiques étranges : ils sont chauves, ils n’ont pas de pavillons d’oreilles visibles (à leur place, on distingue deux trous, comme chez les sauriens), ils ont les pieds et les mains palmés et ils dégagent une chaleur corporelle absolument anormale.

Ce sont des particularités, maintes fois relevées, qui firent qu’on les relégua longtemps en tribus, aux portes des cités où ils érigeaient des sortes de faubourgs autonomes.


Leur existence se retrouve dans l’ensemble du Sud-Ouest. Ce phénomène semble avoir pris naissance vers l’an mil pour se terminer au 19ème siècle, très progressivement.

Comme on considérait alors qu’ils avaient un aspect repoussant, obligation leur était faite d’être amplement vêtus, encapuchonnés et chaussées. Ceci étant, même soigneusement vêtus, les Chrestians avaient pour autres obligations de porter, cousue sur leurs vêtements, bien visible sur la poitrine, une patte d’oie séchée et peinte en rouge. Cette signalétique rappelée à la population que ces êtres avaient des pieds et les mains palmés !

On pourrait voir dans ces descriptions le fruit d’un ramassis de légendes et de fausses informations colportées par la rumeur si, au XVIe siècle, Ambroise Paré (1509 — 1590), le père de la chirurgie moderne, affecté au service du roi Henri II, ne s’était scientifiquement penché sur cette étrange race, maudite depuis déjà trois siècles.

À l’époque, les Chrestians, qui vivaient toujours en groupes isolés, n’avaient perdu aucune de leurs caractéristiques physiques et physiologiques consignées sous les Carolingiens. Ambroise Paré passa donc plusieurs semaines en étudier quelques spécimens. S’efforçant de ne pas se laisser influencer par les rumeurs, il s’attacha à accumuler de véritables constatations médicales et à les consigner soigneusement par écrit.

Le milieu purement scientifique, en dehors d’Ambroise Paré, ne s’est jamais préoccupé de savoir qui était vraiment les Chrestians, se contentant d’affirmer péremptoirement que » des êtres bisexués, sans oreilles, aux doigts palmés, avec un sang vert et chaud n’existaient pas « .

Pourtant, en reprenant certains éléments de leur histoire, on peut, par exemple, être frappé par l’aspect de saurien qui fait du Chrestian un parfait extraterrestre,

Ambroise Paré rapporte notamment la capacité prodigieuse d’un Chrestian à pratiquer la momification par magnétisme.

Cet exercice, rapporté ici dans le vieux français d’origine, est supposé révéler la puissance du magnétisme personnel : » l’un d’eux tenant en sa main une pomme fraîche, celle-ci apparait aussi aride et ridée que si elle eut restée huit jours au soleil. «

Ambroise Paré explique cette réaction par la chaleur anormalement élevée dégagée par le corps de Chrestian.

D’ailleurs, on a dit que lors d’une saignée, est sorti de ses veines un liquide presque bouillonnant et d’une teinte entre le bleu et le vert !

Ces caractéristiques firent qu’un arsenal juridique spécifique fut mis sur pied afin de les mettre au ban de la société et d’éviter qu’ils ne risquent de se mêler aux humains. Vivant en groupes dans les faubourgs des cités, ils avaient leurs propres cimetières où ils étaient systématiquement inhumés sans prêtre ni office religieux.

Race maudite à vie, leur condition était mentionnée dès la naissance dans l’acte de baptême, célébré à la nuit tombée, sans carillons. Ils ne portaient pas de nom mais un prénom suivi du terme Chrestiaa, Cagot, Gézitain. Une fois morts ils étaient inhumés à l’écart des » vrais chrétiens « .

Parmi la longue liste des interdits on peut citer : le mariage avec des non cagots, l’exercice de certains métiers en rapport avec l’eau, la terre, le feu, les aliments, porter une arme ou un objet tranchant… À l’origine des ces interdictions on retrouvait la peur de la lèpre dont les cagots étaient tous censés êtres infectés.

Malgré ces interdictions draconiennes, ils peuvent occuper des postes de chirurgiens ou sages-femmes et on leur prête des vertus de guérisseurs.

La plupart sont charpentiers, vanniers, tisserands, maçons, parfois réputés et appréciés pour leur travail, d’autant que, généralement, ils ne reçoivent pas de salaire et sont seulement exonérés d’impôt. Dans certains endroit ils devaient porter une patte de canard ou d’oie d’étoffe rouge cousue sur leurs vêtements. Parfois, ils ne pouvaient exercer qu’un seul métier, celui de tonnelier car au Moyen Âge le bois était réputé ne pas véhiculer les maladies.

Ces êtres étranges ne vivaient cependant pas dans la misère car ils avaient un grand sens des affaires.

D’anciennes archives notariales nous ont laissé des inventaires de biens établis après le décès de Chrestians. On peut découvrir la description d’un niveau de vie très évoluée. Ces textes montrent, en outre, que ces hôtes étranges possédaient une capacité juridique relativement évoluée pour l’époque.

C’est probablement pour éviter le développement d’une économie parallèle indépendante qu’un arsenal juridique draconien fut alors mis en place.

Ainsi, bien qu’interdits des cités, les Chrestians pouvaient posséder des maisons intra muros à condition de ne pas les habiter eux-mêmes. Ceux qui étaient tentés de louer leurs propriétés à un humain devait obligatoirement passer par l’intermédiaire d’un gérant non Chrestians. Bref, un racket bien organisé a rapidement rendu tout à fait tolérable la présence ces populations marginalisées.

Ceci étant, la tolérance n’aurait pas pu aller jusqu’à l’intégration : il leur était interdit de se marier, et plus encore de s’accoupler avec des humains. D’ailleurs, l’idée faisait sourire à l’époque car on semblait ne rien connaître de leur mode de reproduction.

La rumeur populaire les disait bisexués au point que jamais on ne parlait d’eux en utilisant un genre !

C’est lors d’un procès que la discrimination était encore plus forte : il fallait les serments ou les témoignages de 7 Chrestians pour pouvoir rivaliser avec celui d’un humain !

Les choses continuèrent ainsi pendant tout le Moyen Âge mais, peu à peu, les Chrestians se sont fondus dans la population et, c’est peut-être le signe de leur intégration, au XVIIIe siècle, seul le folklore parle d’êtres aux caractéristiques aussi étranges. L’histoire devait accélérer la disparition du peuple banni.

En effet, la révolution de 1789 donna naissance aux » Droits de l’Homme « . Les Chrestians devait immanquablement en profiter.

Néanmoins, compte-tenu de l’étrangeté de leurs caractéristiques, une vaste étude médicale fut organisée afin de savoir si, oui ou non, ils pouvaient être considérés comme des hommes jouissant de la plénitude de ces droits nouvellement acquis.

Les conclusions de l’examen révélèrent que les spécimens examinés n’étaient affectés qu’approximativement des symptômes décrits par Ambroise Paré et les chroniqueurs du Moyen Âge. Dès lors, les Chrestians purent se fondre et se couler dans l’anonymat de la ville, achever la totale dilution de leurs caractéristiques et occuper jusqu’aux plus hautes fonctions au sein de l’état sans que leurs origines puissent même lors être rappelées.

Pourtant, après les glorieuses victoires de l’Empire, auxquelles bon nombre d’entre eux avait efficacement participé, un reste de mépris existait encore à leur égard dans les campagnes. Quelques Chrestians y revinrent malgré tout, chargés de gloire. On possède même le témoignage de l’un d’eux, se plaisant à venir bruyamment, avec du retard, aux offices du dimanche, couvert de toutes ses médailles bravement gagnées. Vingt années plus tôt, n’ayant pu imaginer mettre les pieds dans l’église d’une ville ou d’un village, il bravait enfin ses anciens tortionnaires, analphabètes pour la plupart, afin de voir si l’un d’eux aurait eu, selon ses propres termes, » l’envie de venir lui friser les moustaches « .

Rares sont les scientifiques modernes qui se penchèrent sur ce phénomène historique. Les thèses ou écrits rédigés sur les Chrestians se comptent sur les doigts d’une main. À la faculté d’histoire, on consacre aujourd’hui un cours à l’énigme des Chrestians mais leur origine reste toujours inexpliquée.

Certains auteurs du XIXe siècle ont avancé l’hypothèse que ces étranges individus auraient pu être des lépreux. Pour séduisante qu’elle soit, cette thèse ne tient pas car la façon dont ils étaient traités ne ressemble pas au traitement particulier et aux signes distinctifs imposés aux lépreux au Moyen Âge.

En outre, des cimetière de Chrestians des XIIe et XIIIe siècles, récemment fouillés, laissent entrevoir des squelettes parfaitement sains, dépourvus des terribles lésions osseuses que l’on peut observer sur les restes des lépreux.

D’autres chercheurs avancèrent l’hypothèse selon laquelle les Chrestians seraient les descendants de Sarrasins restés sous nos climats après les invasions. Or les chroniques du Moyen Âge assurent que les rares Chrestians non chauves portant les cheveux longs les avaient invariablement » blond comme blé au soleil « .

On a aussi parlé d’éventuels descendants de Vikings mais ces derniers étaient déjà, depuis longtemps, intégrés à la société européenne.

Ensuite, fait encore plus troublant, ces êtres » venus de nulle part » débarquent en Occident et principalement en France, juste après qu’y soit apparue une inexplicable invasion de vaisseaux aériens dont les pilotes, une fois pris, étaient systématiquement jetés dans les rivières après avoir été cloués en croix Ne faudrait-il pas voir en eux des survivants de débarquement durement réprimés, résultat d’un exode planétaire pacifique, plutôt que d’une tentative de colonisation ?

Ces vaisseaux apparus en grandes quantités, comme le décrivent si bien les documents de l’époque appelés capitulaires, n’ont finalement été remarqué que là où il y avait des témoins pour les voir, c’est-à-dire près des cités. On peut penser que la plupart de ces engins ont pu finalement débarquer sur Terre le plus paisiblement du monde. Quoi d’étonnant, dans ce cas, à ce que cette population aux caractéristiques physiologiques particulières ait formé une population rapidement mis à l’écart des villes ?

Avec le relâchement de la ségrégation, le sang des Cagots s’est étendu dans la population et beaucoup de béarnais en sont les descendants.

Sous Louis XIV, l’emploi de termes discriminatoires à leur égard fut interdit, ce qui n’empêcha pas leur usage détourné. La dernière inhumation mentionnée dans le cimetière des Chrestians date de 1692. Par la suite le terme de Cagot perdura pour désigner bohémien, faux dévot, hypocrite, jusqu’à Molière qui l’employa au XVIIe siècle dans » Tartuffe «

Aujourd’hui, bien qu’appartenant au passé, le souvenir peu glorieux des Cagots est présent dans le Béarn, et ce n’est que depuis peu que les Béarnais se penchent sur cet épisode de leur histoire.

Pendant plus de six siècles, ces hommes sont restés » les maudits » de notre histoire et il leur faudra attendre le XIXe siècle pour se fondre définitivement dans les rangs de la population terrienne.

Pour approcher un peu plus le mystère de cette population paria, le château médiéval de Nestes (IXe — XIe siècles), dans les Hautes — Pyrénées, a ouvert le musée des Cagots. On y apprend notamment que l’on interdisait à ces » intouchables » du Moyen Âge de boire aux fontaines de peur qu’il ne les souille…

Dès le VIII ème siècle, des récits qui ressemblent aux témoignages ufologiques du XX ème siècle foisonnent. Il y est fait le cas de mystérieuses êtres (extra terrestre?), provenant d’endroits inconnus, parlant des langages incompréhensibles et incapables de justifier leur présence. Des fresques montrent des personnages volants.

Depuis Ambroise Paré, le lien à fait son chemin: Sang Bleu, Mérovingiens, Race Fabuleuse. 

Le descriptif des Cagots évoque le physique reptiliens prêtés à certains types d’extraterrestres, nommés Gris.

Ces derniers ont-ils déversés le produit de leurs expériences d’hybridation extraterrestste/terriens pour ensuite observer de loin le déroulement des choses ? Car, à moins d’avoir été bani des leurs, il est difficilement envisageable que des extraterrestres, plus évolués que nous, ait accepté de vivre des centaines d’années durant en paria sans réagir.

Opinion de Peter Tavy :

Mon esprit cartésien se heurte à mon sentiment de paranoïa naturel face à cette mystérieuse histoire ! D’une part nous avons cette armada de vaisseaux débarquant sur Terre et d’autre part ce peuple étrange semblant être le simple croisement génétique des aspects humains et sauriens. Le peu de scolaire et de « logique » que contient encore ma démarche mentale consiste à dire que ce ne sont qu’exagérations et inventions démoniaques du peuple arriéré de l’époque.

Mais mon instinct me souffle à l’oreille que ces événements ne pourrait être qu’un présage de ce que serait une RR3 prolongée : une rencontre rapprochée de type 3 à long terme ou une colonisation d’hybrides humains/reptiliens « imposée » par ce même peuple de Lézards !

 

Une sorte d’essai grandeur nature d’un débarquement d’astronefs inconnus habités d’êtres humanoïdes mais étrangers à la Terre (« à moitié », car qui dit hybride dit « moitié » du matériel génétique !), et ce dans un état/pays hiérarchisé et constitué de lois tel la France de l’époque, dans le but d’observer les réactions humaines et la possible intégration des hybrides…

Après accoutumance de leur présence parmi la population ?! Une thèse plausible lorsque l’on sait ce que certains prédisent au sujet du peuple céleste des reptiliens et de leur plan pour l’avenir de l’homme…

Une race serpentesque

Les Cagots ont des particularités physiques indubitables et fort révélatrices d’un certain passé, d’une certaine hérédité serpentesque :

– ils sont de petite taille , à l’instar des Nagas, Australoïdes, Dropas et Dravidiens,

– chauves, dépourvus de pavillons d’oreilles ainsi que de lobes (ou atrophiés de cet organe), en cette place on ne distingue que deux trous, semblables aux organes auditifs des reptiles et des oiseaux ;

– le teint olivâtre laisse enfin deviner une peau particulière, peut être fort sombre ou simplement écailleuse.

– En sus, ils ont les pieds ainsi que les mains palmés, et dégagent de surplus une chaleur corporelle inhabituellement élevée, et sans doute radioactive.

On les regardait alors, (tels les Adamites vis-à-vis des Nagas et la tribu Ham à l’égard des Dropas) comme ayant un aspect repoussant, d’où le fait qu’on les qualifiait d’« intouchables », et obligation leur était faite de se vêtir au complet, jusqu’à la tête, laquelle était encapuchonnée.

Les pieds chaussés, comme s’il leur était donné de pouvoir causer quelque effroi au bon peuple, imposition leur était de plus faite de porter sur la poitrine une « pédauque », soit une patte d’oie séchée et peinte en rouge.

En dépit de l’étrangeté physique que laisse immanquablement présager de semblables coutumes et mesures de séparation ethnique, il faudra attendre le XVI ème siècle et Ambroise Paré (1509 – 1590, père de la chirurgie moderne et homme de sciences diverses, affecté au service du roi Henri II) afin de recueillir la première véritable étude médicale et clinique des particularités de cette très curieuse peuplade. Il semble donc qu’il faille admettre qu’à l’époque, certains Cagots vivaient toujours isolés et n’avaient point perdu leurs particularités physiologiques (ou si peu).

Ambroise consigna par écrit ses constatations diverses :

Lors d’une saignée de l’un de ces êtres, Paré constate encore que de ses veines est paru un liquide très agité, comme gazeux ou presque bouillonnant, mais surtout d’une teinte variant entre le bleu et le vert …

L’expression de « SANG BLEU » s’appliquant à la noblesse ainsi que notamment aux ROIS DE FRANCE pendant tout le Moyen-Age, il semble donc qu’il faille y voir la marque, au sens propre, des SANGS-RÉAL qu’étaient les MÉROVINGIENS, premiers rois de France et descendants des Nagas du Mont MÉROU en INDE.

La reine Pédauque et ses cagots ont été occulté dans l’Histoire de France !

La reine Pédauque

Nom donné, au Moyen Âge, à une reine de légende affligée de pieds palmés comme ceux de l’oie.

Rabelais nous parle de la reine Pédauque et la compare à la reine de Saba, qui aimait aussi les bains et était affublée de pieds hideux …

La rumeur populaire dit des cagots qu’ils sont bisexués, ce qui laisse à penser en outre qu’ils sont à l’origine partiellement dénués de caractères sexuels prononcés, ou, et cela porte intérêt, qu’ils changent alternativement de sexualité, un peu à la façon des escargots appelés anciennement « escagots », avec lesquels d’ailleurs ils partagent le sang bleu.

Serait-ce leur ancien nom que le terme de « Cagot », ou bien l’appellation scientifique qu’on leur donna plus tard ?

Il faut dire que le terme « Cagot » est entré en usage et ne s’est généralisé qu’à partir du XVI ème siècle, c’est-à-dire suite aux grandes recherches médicales opérées par Ambroise Paré et ses successeurs, d’où il ressort que la terminologie de Cagot est issue non d’une dénomination populaire, mais de la constatation médicale que ces êtres avaient certaines particularités des escargots ; en outre que l’on prononçait anciennement « escagot ».

Le nom de « Cagot » fut alors forgé en remplacement de celui de « Chrestian ».

Toutefois, son sens originel s’est progressivement altéré au cours du temps, tant et si bien que le mot lui-même n’a survécu jusqu’à nos jours que dans la langue argotique, où il veut dire « lépreux simulé, chef des gueux ».

Enfin, selon une hypothèse précédemment citée, on les dit descendants des Goths (peut-être des Chaldéens, au vu de la Bible).

Serait-ce que les Cagots étaient à l’origine chefs des Goths Indous ?

L’archéologie dévoile l’existence des Fils du Serpent

C’est dans un ensemble de cavernes communicantes, au cœur de ces terres désolées et inhospitalières qu’en 1938, l’archéologue Chi Pu Tei et son équipe découvrirent une série de tombeaux alignés aux formes géométriques.

Cet évènement banal en apparence sera le point de départ de ce qui est sans conteste l’une des plus extraordinaires affaires touchant les traces d’OVNI dans l’« Antiquité Préhistorique ».

L’archéologue en effet ne tarda pas à s’apercevoir que les parois des grottes qui abritaient cet ensemble funéraire étaient elles aussi étrangement géométriques et lisses. Un examen plus approfondi de la roche révéla que ce vaste complexe souterrain était d’origine artificielle !

Sur les parois de ces cavernes artificielles se trouvaient gravés les caractères d’une écriture inconnue, ainsi que des dessins représentant des personnages de petite taille coiffés de casques, mais aussi des étoiles et planètes (le Soleil, la Terre et la Lune notamment, ainsi que des étoiles proches comme Sirius) positionnées les unes par rapport aux autres selon une échelle précise en correspondance avec leurs positions astronomiques réelles.

Plus étrange encore, tous ces astres étaient représentés reliés entre eux par des lignes en pointillés décrivant d’élégantes courbes.

Après analyse, les trajets ainsi décrits se sont plus tard avérés correspondre effectivement à une trajectoire réaliste de véhicule spatial, compte tenu de l’attraction gravitationnelle des planètes visitées, ainsi que des manœuvres de contournement employées.

Pyramides chinoises, artefacts, civilisations anciennes et contact extraterrestre

L’« heureux découvreur » et son équipe n’étaient cependant pas au bout de leurs surprises. Les tombes contenaient en effet des squelettes humanoïdes d’une taille minuscule (parfois moins d’un mètre), aux corps anormalement chétifs et pourvus de crânes au front bas, très longs et larges, d’une taille manifestement disproportionnée par rapport au reste de leur anatomie.

Ses collaborateurs croyant tout d’abord avoir affaire à quelque espèce inconnue de singes, Chi Pu Tei déclara bientôt : « je n’ai jamais entendu parler de singes enterrant leurs défunts ! »
Remarque frappée au coin du bon sens, à quoi l’on pourrait ajouter que les singes ne savent pas plus écrire, que dessiner des cartes célestes scientifiquement exactes !

Outre ces vestiges indubitablement indicatifs d’une antique culture scientifique, Chi Pu Tei et son équipe mirent au jour un grand nombre de disques de pierre (716 !), du même granit que les parois de ces grottes.

Ces objets étaient pourvus de sillons continus en forme de spirale contenant toujours la même écriture hiéroglyphique inconnue.

Ce n’est qu’en 1962, grâce aux travaux du professeur Tsum Um Nui, un linguiste de l’Académie de Préhistoire de Pékin, que l’un des 716 disques découverts fut traduit.

L’histoire contée par ce disque était à tel point en contradiction avec tous les dogmes scientifiques de l’époque, que l’Académie de Préhistoire lui défendit formellement de publier ses résultats.

Mais celle-ci finit par se raviser, et l’interdiction fut levée en 1965, de sorte que Tsum Um Nui et quatre de ses collègues purent publier leur étrange traduction , laquelle jette un certain éclairage sur la nature réelle des DROPAS.

Un vaisseau spatial de type OVNI s’est-il écrasé avec ses occupants en Chine, voilà plusieurs milliers d’années ?

C’est ce que beaucoup pensent dans le milieu de l’ufologie, et estiment que les Dropas en sont les descendants. En effet, ce peuple mystérieux et discret se serait adapté à ses nouvelles conditions de vie sur Terre, et vivrait depuis plusieurs générations sur la planète bleue…

Selon ce texte en effet, les DROPAS, une ethnie d’aspect inhabituel, apparut soudainement dans cette partie du TIBET, il y a douze mille ans, suite au crash de leur « avion des nuages ».

Ces petits êtres au physique « repoussant » (dixit le texte lui-même) et parlant un idiome inconnu de tous, furent tout d’abord traqués et massacrés sans relâche par la tribu des HAM habitant les grottes de BAIAN-KARA-ULA (que les inscriptions du disque désignent par l’expression « hommes aux chevaux rapides »).

Cependant, à force de gestes et de persuasion, ils finirent par se faire comprendre et tolérer.
Puis, le temps faisant son œuvre, les DROPAS parvinrent petit à petit à s’intégrer au peuple HAM.

Touchant l’étrange « avion des nuages », vecteur de ces DROPAS, n’oublions pas que les traditions des Australoïdes au sujet des Nagas, très vivaces dans cette partie du monde, leur prêtaient notamment le pouvoir de « voler dans l’espace », et que les Védas Hindous ajoutent qu’ils usaient pour ce faire d’engins volants de grande science appelés les VIMANAS !

Mais, comble de l’étrange, des enquêtes menées ensuite par des anthropologues au sujet du légendaire de ces lieux révélèrent qu’il corroborait parfaitement l’histoire de ce peuple venu de nulle part.

De nos jours encore, les Tibétains gardent souvenance d’une horde de « petits êtres tout jaunes venus des nuages il y a très, très longtemps ».

Selon leurs anciens, ces êtres étaient dotés de corps trop frêles et de têtes d’une grosseur peu commune.
De plus, ils souffraient grandement du froid régnant dans ces montagnes, lequel donnait à leur peau un certain aspect craquelé, à la semblance d’une pomme flétrie.

Une description qui concorde tout aussi anormalement avec celle des Nagas et autres Australoïdes !
Taille minuscule (moins d’un mètre pour les squelettes humanoïdes retrouvés en 1938 par Chi Pu Tei – lesquels furent datés de la même époque que les inscriptions des disques touchant les Dropas, soit douze mille ans), corps chétif, le tout couronné par un chef sur-développé au front bas (tel qu’attesté par ces mêmes squelettes).

Selon des documents de la CIA, Jésus aurait vécu avec les NAGAS :

Un dossier de la CIA révèle l’identité de Jésus et le scénario de la fin des temps

Mais le plus extraordinaire rebondissement de cette invraisemblable affaire se produisit en 1995, lorsque la Chine, après de longues tergiversations, décida de rendre publique une découverte ethnologique qui fera sensation :

– Dans la province du SICHUAN, située à l’est non loin des montagnes de BAIAN-KARA-ULA, furent découvertes deux tribus semi-troglodytes (à la semblance des Australoïdes et Nagas).

Leurs membres, au nombre de cent vingt en tout, se donnaient eux-mêmes les noms respectivement de « HAN » et de « DROPAS » (ou « DZOPAS »).

La taille adulte de ces individus ne dépassait pas un mètre dix-sept, le plus petit d’entre eux (adulte lui aussi) mesurant seulement soixante-quatre centimètres !!

Autre ressemblance saisissante avec les Australoïdes et les Nagas de Mu, leur front était exceptionnellement bas et fuyant.

Ajoutons que tous ces Han et Dropas avaient une peau fragile et ridée, même leurs enfants. Enfin leurs yeux n’étaient pas bridés, et leur visage ne ressemblait en rien à celui de Chinois ou de Tibétains. Toutes caractéristiques qui les firent qualifier par les scientifiques d’« ethnologiquement inclassables ».

Outre les traits physiques de ces peuplades, immanquablement révélateurs d’une ascendance Naga et Australoïde, il est d’avis que leurs dénominations elles-mêmes se font l’écho, à peine déformé par les siècles, de leur origine Caïnite (de Caïn, premier Habitant de la Terre et rejeton du Serpent d’Eden).

Il semble bien en effet, que le nom de HAN (ou « HAM » dans sa forme la plus ancienne) ne soit autre qu’une corruption de « CHAM ». Or rappelons-le, la tradition exégétique de l’Ancien Testament désigne également CAÏN sous le nom de « CHAMAËL ».

En outre selon certains chercheurs, certaines peuplades vivant dans la partie est du Tibet (non loin de BAIAN-KARA-ULA, du Mont MÉRU et de l’emplacement mythique de l’AGAR-THA, donc), porteraient le nom de « KHAM ».

Nous en terminerons avec les origines philologiques des HAN, en ajoutant que cette appellation évoque étrangement la dynastie impériale des HAN, laquelle régna sur la Chine de 206 avant J-C à 220 après J-C, soit pendant plus de quatre siècles ! De là peut-être leur vint ce nom de « lignée au SANG-RÉAL ».

Quant à l’ethnie voisine DZOPA ou « DROPA », elle n’est point en reste. Ce nom serait en effet à rapprocher de celui d’un autre de ces peuples montagnards du Tibet appelé « DROK-PA ». Lorsque l’on sait que le suffixe « –PA » signifie en chinois « les gens », « le peuple », on ne peut qu’identifier dans la racine « DROK » ou « DRAK », le DRAGON !

Rappelons pour mémoire que les Nagas avaient la peau écailleuse, qu’ils étaient réputés capables de voler dans l’espace (grâce à leurs engins volants Vimanas) et même de cracher du feu, à en croire leurs descendants Dravidiens, d’où leur lien évident avec le symbolisme du DRAGON (que l’on retrouvera à Draguignan avec les Mérovingiens, et dans le nom de Dagobert ou DRAGOBERT) et là encore celui, biblique, du SERPENT et de CAÏN son fils.

Cette ethnie serpentesque « caïnite » (descendante de Caïn, le Premier Occupant de la Terre) ou « PEUPLE DU DRAGON » (DROPA ou DROK-PA), à l’apparence pour le moins étrange, aurait ainsi, à bord d’« avions des nuages », colonisé exactement les mêmes régions (marécageuses, désertiques ou montagneuses) que les multitudes australoïdes : l’Himalaya, donc le TIBET et son Mont MÉRU, le désert de GOBI (où nous retrouverons au XII ème siècle le « royaume du prêtre Jean », prolongement du VAR originel édifié par le souverain JEAM), certaines provinces de CHINE (cf. HAN-DROPAS), ainsi que l’INDE voisine , mais également l’Ethiopie ou « Inde Africaine », où sera plus tard, au XIV ème siècle, localisé ce fameux « royaume du prêtre Jean ».

En somme, la légende des Nagas, êtres serpentesques se déplaçant au moyen d’engins volants ou Vimanas, constitue le centre symbolique du réseau de correspondances reliant entre elles toutes ces peuplades.

Or, curieusement, c’est précisément cette origine si particulière (caïnite) que les Nagas, Australoïdes, Dropas et autres Dravidiens partagent, avec une peuplade de renommée flétrie, davantage proche de nous dans le temps, qui se popularisa à partir du XV ème siècle en France sous le nom générique de : «CAGOTS».


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