Alors que le monde entier suit de près la nouvelle guerre entre Israël et l’Iran, plusieurs histoires sont passées inaperçues, et je souhaite les aborder cette semaine.
Parmi celles-ci, figure en tête de liste : le secrétaire à l’Armée américaine a évoqué sa conversation discrète avec un soldat qui a été, ou est en cours d’affectation à un poste…sur la Lune.
Le secrétaire à l’Armée américaine, Dan Driscoll, a déclaré mercredi matin à « FOX and Friends » que les États-Unis avaient actuellement des astronautes « sur la Lune ». Son commentaire était bref, inexpliqué et n’a pas été commenté par le présentateur de FOX News, Brian Kilmeade. Il aurait pu vouloir dire qu’un colonel de l’Armée et astronaute de la NASA se trouvait actuellement à bord de la Station spatiale internationale , mais il a clairement répondu « sur la Lune ».
Répondant à une question sur le défilé prévu samedi pour marquer le 250e anniversaire de l’Armée américaine, le secrétaire Daniel Driscoll a déclaré :
« Les jeunes Américains peuvent constater tout le travail remarquable accompli par l’Armée, qu’il s’agisse d’aider à lutter contre les inondations en Caroline du Nord ou les incendies de forêt en Californie. Nous avons discuté hier avec un astronaute qui est sur la Lune, qui est un soldat. Il a même participé à la guerre et s’est battu pour défendre la liberté. »
Comme l’a fait remarquer un commentateur de cet épisode un peu bancal, il voulait probablement dire « sur la Station spatiale internationale » et s’est simplement trompé sous la pression de l’interview. Je sais que cela paraît étrange, voire invraisemblable, mais quiconque réalise de nombreuses interviews vous dira que c’est très facile. Je l’ai moi-même fait à maintes reprises.
Voilà donc l’explication numéro (1) : il s’agissait simplement d’une erreur de langage.
Mais il y a d’ autres possibilités.
La deuxième possibilité est qu’il se soit intentionnellement « mal exprimé » et ait envoyé un message à tous ceux qui se livrent à des jeux géopolitiques et exopolitiques à enjeux élevés (ce qui pourrait être la Russie, la Chine, l’Inde, le Japon et l’Europe, au cas où vous vous poseriez la question), mais que le message soit faux.
Le message du « Oups, je me suis mal exprimé » est en réalité : « Oups, je viens de révéler un énorme secret de sécurité nationale : nous avons des soldats sur la Lune, ce qui signifie que nous avons une base lunaire. »
Mais le message est une chose, et sa véracité en est une autre. Autrement dit, il a agi comme s’il commettait une erreur et a intentionnellement mal exprimé son message afin d’induire les gens en erreur. Par conséquent, comme ces personnes se demandent s’il disait la vérité, cela les empêche de formuler un calcul stratégique précis des capacités et des intentions des États-Unis.
Ce qui nous amène à la troisième possibilité : M. Driscoll aurait dit la vérité par inadvertance et des soldats seraient bel et bien stationnés sur la Lune. Ce n’est pas la première fois qu’une personnalité au pouvoir évoque de telles possibilités.
Rappelons que l’ancienne secrétaire adjointe au Logement et au Développement urbain, Catherine Austin Fitts, a déclaré publiquement, à plusieurs reprises, qu’on lui avait demandé, alors qu’elle était en poste à Washington, si elle souhaitait rencontrer un « extraterrestre ».
Et ce n’est pas tout. Le président Reagan lui-même, dans ses mémoires, a mentionné que, lors de son premier briefing présidentiel, il avait été informé que le pays disposait d’une capacité de transport spatial d’environ 300 personnes, un nombre bien supérieur à celui de la flotte de navettes spatiales de l’époque.
La question de savoir où ces soldats pourraient être transportés dans l’espace reste sans réponse dans les mémoires de M. Reagan , mais la Lune est juste à côté, pour ainsi dire, et une telle affirmation pourrait expliquer pourquoi « nous n’y sommes pas retournés ».
Le commentaire de M. Driscoll suggère que nous n’avons jamais cessé d’y aller, que nous avons juste fait semblant, et ce, en secret depuis un certain temps.
En effet, des projets de bases lunaires à propulsion atomique existaient déjà à la fin des années 1950, et on en trouve de nombreux en ligne. (En voici un : Projet Horizon de 1959 ). Ce qui est intriguant à cet égard, c’est le moment choisi pour les remarques de M. Driscoll.
Après tout, il est secrétaire de l’Armée de terre, et le 250e anniversaire de l’Armée de terre était précisément l’objet de ce grand défilé. Quel meilleur moment que maintenant pour « faire semblant de laisser échapper quelque chose » ? Il y a eu aussi toutes ces annonces étranges d’il y a quelques années ; l’Allemagne, par exemple, parlait ouvertement de la construction d’un réseau 5G sur la Lune, apportant Internet à… enfin, à quiconque serait (était, ou est) là-bas…
Mais à mon avis, l’un des arguments les plus convaincants pour la plausibilité des propos de M. Driscoll est peut-être celui dont personne ne veut parler : le commerce et sa protection.
Au sein du « club spatial », tout le monde parle de bases lunaires depuis l’existence des programmes spatiaux, et la Chine, bien sûr, s’est récemment jointe à la conversation avec des annonces ambitieuses concernant son propre projet de base lunaire, et la Russie a immédiatement réagi en déclarant : « Nous allons aider ! » Elle n’a pas caché son désir d’exploiter la Lune, et certains ont proposé de ramener des astéroïdes sur la Lune pour les extraire et les traiter.
Tout ce commerce planifié implique que les voies spatiales devront être protégées, et cette protection implique la militarisation de l’espace, qu’on le veuille ou non.
Ainsi, les remarques de M. Driscoll pourraient bien impliquer que le « commerce spatial » aurait déjà commencé… et cela semblerait, de manière détournée et vague, appuyer ma spéculation souvent formulée selon laquelle les flux économiques et monétaires actuels sont absurdes : il y a beaucoup de monnaie et d’autres instruments financiers en circulation, et ce depuis un certain temps. Tellement, en fait, que cela aurait dû provoquer une inflation massive bien avant aujourd’hui… et pourtant… cela ne s’est pas produit. Cela implique que beaucoup d’argent quitte le circuit, et qu’il va quelque part.
Mon hypothèse a toujours été qu’il pourrait quitter le monde d’une manière ou d’une autre, sous forme de compensation financière ou, comme Mme Fitts l’a proposé à plusieurs reprises, comme une sorte de tribut ou de réparation.
Toutes ces spéculations signifient que, pour ma part, je ne suis pas pressé de rejeter le commentaire de M. Driscoll, qui est un simple exemple de « malentendu »…
Il y a un dernier point troublant à noter dans les propos du secrétaire Driscoll, que personne ne semble remarquer. Notez ce qu’il a répété :
« Nous avons parlé hier à un astronaute qui est sur la Lune, qui est un soldat. Il a même participé à une guerre et combattu pour la liberté. » (Souligné en gras dans l’article original)
Euh… attendez une minute, M. Driscoll. Êtes-vous en train de dire qu’un combat se déroule sur la Lune ? Et si oui, avec qui ? La Chine ? La Russie ? Le Japon ? L’Inde ?
Les nazis lunaires dans un scénario de type « Ciel de Fer » ? Ou… quelqu’un d’autre ?
M. Driscoll n’a-t-il pas simplement révélé le secret d’une base lunaire, mais aussi que nous sommes déjà dans une sorte de Guerre des Mondes ?
On se souvient du résumé de M. Gorbatchev lors de son sommet avec M. Reagan à Reykjavik, en Islande, dans les années 1980. M. Gorbatchev a déclaré que M. Reagan lui avait demandé très directement si, si les États-Unis étaient un jour envahis par des extraterrestres, l’Union soviétique apporterait son aide ? Et M. Gorbatchev a affirmé avoir répondu par un « Oui, bien sûr ».
Tout cela nous amène à nous demander…
On se retrouve de l’autre côté…
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