Eugénisme
Le concept de sélection raciale n’est pas nouveau. Il y a 2.500 ans, Platon promouvait déjà la reproduction sélective [1]. L’un des legs de la théorie fallacieuse du darwinisme est la réémergence de l’eugénisme à la fin du XIXe siècle [2].
Au début du XXe siècle, des politiques eugénistes étaient déjà largement appliquées aux États-Unis, au Japon, dans plusieurs pays européens et, bien sûr, dans l’Allemagne nazie, dont les programmes eugénistes s’inspiraient des politiques eugénistes poursuivies aux États-Unis [3].
En général, ces politiques consistaient à stériliser des individus « inaptes », dont les représentants des « races inférieures », et à stimuler la reproduction des individus « aptes », dont les représentants des « races supérieures ».
Mais les révélations sur les atrocités commises par les nazis pendant la Deuxième guerre mondiale n’ont pas mis fin aux programmes eugénistes.
Des programmes documentés de stérilisations forcées étaient toujours pratiqués au XXIe siècle dans des régions comme la Californie [4], en Espagne [5] et au Pérou [6].
Toutefois, il existe une différence fondamentale entre les nazis et les partisans actuels de l’eugénisme : l’avènement de la génomique en général et de l’édition génomique [7] en particulier.
Aujourd’hui, les scientifiques sont capables de modifier le génome humain et de transférer des gènes, de favoriser certains traits et d’en inhiber d’autres. La technologie actuelle permet le séquençage de la totalité d’un génome humain en 30 minutes [8] et la création de séquences génétiques entières. [9]
Dans certains cercles scientifiques, l’impulsion idéologique de créer une « meilleure » race est toujours forte. Par exemple, le professeur [10] et conseiller [11] du METI (Messaging Extraterrestrial Intelligence – protocole de post-détection de civilisations extraterrestres) à l’Université Johns Hopkins, Nathaniel C. Comfort, promeut publiquement l’eugénisme :
L’impulsion eugéniste nous pousse à éliminer les maladies, à vivre plus longtemps et en meilleure santé, à être plus intelligent et mieux adapté aux conditions de la société ; et les bienfaits sur la santé, le frisson intellectuel et les profits de la biomédecine génétique sont trop grands pour que nous puissions agir autrement. » [12]
En passant, c’est l’Université Johns Hopkins qui, via son Centre de recherche sur le Coronavirus, piste les cas de COVID-19 à travers le monde et fournit ses données aux médias et aux gouvernements. [13]
Les nazis voulaient créer une race supérieure et éliminer les races inférieures. Mais c’est de la « roupie de sansonnet », comparé à l’impulsion de créer et de détruire une espèce entière.
La réaction en chaîne à déclenchement viral qui conduit à la spéciation (création d’une nouvelle espèce) est la suivante :
- – un hôte appartenant à une espèce donnée est exposé à un nouveau virus exogène (externe)
- – le virus exogène infecte les cellules germinales de l’hôte
- – le virus exogène s’intègre au génome des cellules germinales de l’hôte
- – lors de la reproduction, le virus exogène acquis des parents devient le virus endogène (natif) de la progéniture héréditaire
- – contrairement à ses parents, la progéniture possède la nouvelle séquence virale dans le génome de toutes ses cellules
- – les séquences virales endogènes sont principalement actives pendant la morphogenèse
- – tandis que les parents ne sont pas nécessairement affectés phénotypiquement par un nouveau virus, la progéniture peut être profondément affectée phénotypiquement par de nouvelles séquences virales, au point de déclencher l’apparition d’une nouvelle espèce.
Le schéma ci-dessous illustre les principales étapes du processus de spéciation :
En gardant à l’esprit ce contexte évolutif, revenons aux vaccins à ARN et voyons s’ils correspondant à certaines des étapes de spéciation décrites ci-dessus :
Intégration dans le génome de l’hôte
Nous savons maintenant que les séquences génétiques du SRAS-COV-2 s’intègrent au génome humain, comme l’a montré Liguo Zhang en décembre 2020 [14].
Puisque les « vaccins » à ARN contiennent pratiquement la même séquence virale codant pour la protéine spike du SRAS-COV-2, il est probable que l’ARN du vaccin, comme les fragments viraux du SRAS-COV-2, s’intègrent et modifient donc l’ADN de l’hôte.
Intégration dans le génome des cellules germinales
Voyons maintenant comment le « vaccin » à ARN se propage dans le corps de son destinataire :
Non seulement la plus forte concentration de la protéine spike ARN a lieu dans les ovaires, mais contrairement aux autres organes où la concentration est faible et/ou diminue, la concentration dans les ovaires est élevée et continue d’augmenter, même 48 heures après l’injection.
Compte tenu de la capacité du SRAS-COV-2 à s’intégrer aux génomes des hôtes et de la forte concentration du « vaccin » Pfizer dans les ovaires, il ne semble pas insensé de craindre que, au moins dans certains cas, le matériel génétique du « vaccin » puisse devenir une caractéristique génétique héréditaire de la descendance des personnes vaccinées.
Similarités entre les gènes de la syncytine et les vaccins à ARN
Coïncidence ou non, la séquence génétique présente dans les vaccins Covid à ARN est assez similaire à la séquence génétique codant pour la syncytine :
Vous avez du PEG, du polyéthylène glycol, et une nanoparticule lipidique qui lui permettra de pénétrer dans chaque cellule du corps et de modifier la régulation de nos propres gènes avec cet ARN synthétique, dont une partie est en fait le message du gène de la syncytine [15].
Ce point est confirmé par une comparaison entre les séquences génétiques de la protéine HERV-W (le rétrovirus endogène codant pour la syncytine) et la séquence génétique du SARS-COV-2 qui code pour la protéine spike, puisque l’ARN contenu dans le « vaccin » Pfizer est une réplique très proche de cette séquence :
[…] l’alignement des éléments endogènes Syn1 [syncytine-1] présents sur le chromosome humain 7, ou Syn2 [syncytine-2] présents sur le chromosome 6, ou HERV-K exprimé à partir du chromosome 6, montrent tous un certain nombre de motifs de séquence très similaires à la protéine spike nCoV2019.[16]
En fait, la stéréochimie[19] de certaines régions de la protéine spike du SRAS-COV-2 (et du « vaccin » à ARN) et de la protéine syncytine-2 (codée par la séquence virale de HERV-K) sont quasi identiques, comme le montre l’illustration ci-dessous:
Syncytine et reproduction
La syncytine est une protéine codée par un rétrovirus endogène appelé ERV-W1. Elle joue un rôle fondamental dans la formation du placenta. Un rôle si critique qu’une carence ou un dysfonctionnement de cette protéine provoquerait la stérilité :
L’absence ou l’expression réduite de la syncytine-1 et de son récepteur peuvent conduire à un échec de la fécondation et ouvrir de nouvelles pistes pour le traitement de l’infertilité. [17]
Ces soupçons sont apparemment fondés puisque, rien qu’au Royaume-Uni, l’agence gouvernementale chargée de surveiller les effets indésirables induits par les vaccins COVID a reçu plus de 13 000 signalements [18] de perturbations menstruelles. De même, les autorités sanitaires françaises ont reconnu que les perturbations menstruelles étaient l’un des effets secondaires causés par les « vaccins » COVID[20].
En juin 2021, un article évalué par les pairs et consacré aux femmes enceintes vaccinées a confirmé l’influence néfaste des vaccins à ARN sur la grossesse[21].
La répartition des effets rapportés est la suivante :
- – Avortements spontanés (13,9%)
- – Naissances prématurées (9,4 %)
- – Petite taille pour l’âge gestationnel (3,2 %)
- – Anomalies congénitales (2,2 %)
Au total, près d’un tiers des grossesses étaient pathologiques. Cela signifie également que deux tiers des grossesses étaient apparemment normales. La syncytine génétiquement modifiée provoque la stérilité chez certaines femmes, tandis que d’autres peuvent procréer normalement, en fonction du patrimoine génétique de la personne vaccinée.
En effet, chez chaque individu les virus auront une action spécifique. Tandis qu’un individu infecté sera, du point de vue de l’évolution, neutralisé (tué ou stérilisé), les individus épargnés, et en particulier leur progéniture, pourront connaître des sauts « évolutifs ».
Le rôle de la syncytine dans la spéciation
La syncytine, codée par la séquence virale ERV-W, est considérée comme le moteur de croissance du placenta chez pratiquement tous les mammifères. Auparavant, les stratégies de reproduction étaient ovipares. Un énorme saut évolutif est nécessaire pour passer de l’oviparité à la viviparité, et cela inclut des changements significatifs au niveau de la morphologie, de l’immunité et du métabolisme. ERV-W et sa protéine syncytine sont à l’origine d’un tel saut [22].
En outre, la syncytine a été acquise par les mammifères au moins à sept reprises, au cours de sept événements d’intégration génomique différents provoqués par des virus distincts. À chaque fois, cette intégration est corrélée aux conséquences d’un événement de spéciation :
[…] l’acquisition de la syncytine à partir de virus distincts s’est produite de façon indépendante à au moins sept reprises, chaque événement se produisant après la divergence des ordres de mammifères au milieu desquels circulent ces virus [23]
Comme mentionné ci-dessus, la syncytine est un facteur fondamental de l’embryogenèse. Ainsi, si une progéniture porte un gène de syncytine modifié, quelles pourraient être les différences morphologiques induites par ce dernier entre la progéniture et les parents ?
Compte tenu du rôle joué par la syncytine dans la spéciation, quel serait l’effet d’une syncytine génétiquement modifiée telle que celle codée par le « vaccin » COVID à ARN?
La progéniture de parents vaccinés pourrait-elle présenter des traits suffisamment différents pour constituer une nouvelle race?
La vaccination ARN de la population a été déployée en décembre 2020. Les premiers bébés issus de parents vaccinés sont donc nés quelques semaines après la publication de cet article.
Le rôle de la syncytine dans le cerveau
Des études animales ont montré que le SARS-COV-2 traverse la barrière hémato-encéphalique [24], et il est donc probable que la protéine homologue codée par le « vaccin » fasse de même.
Ceci explique peut-être la forte prévalence des troubles neurologiques chez les personnes vaccinées.
En août 2021, rien qu’au Royaume-Uni, plus de 220 000 effets indésirables touchant le système nerveux (maladie de Parkinson, maladie d’Alzheimer, paralysie de Bell, démence, sclérose en plaques, etc.) ont été signalés. N’oubliez pas que seulement 1% des effets indésirables sont signalés. Ces effets indésirables représentent 70% de l’ensemble des symptômes rapportés :
Il est intéressant de noter que la protéine syncytine (codée par ERVW-1) joue un rôle important dans l’activité cérébrale :
L’expression de l’ARNm et de la protéine du locus ERVW-1 dans les tissus neuronaux est impliquée dans la neurodégénérescence [25].
Non seulement ERVW-1 et sa protéine, la syncytine, sont corrélés à la neurodégénérescence, mais on soupçonne également qu’un dysfonctionnement d’ERVW-1 conduit spécifiquement au trouble bipolaire et à la schizophrénie :
Des preuves préliminaires impliquent une expression aberrante de ERVW-1 dans les cellules neuronales et gliales et l’expression aberrante des protéines cellulaires médiée par HERV-W LTR dans la pathogenèse du trouble bipolaire et de la schizophrénie.[26].
Si tel est le cas, nous avons toutes les raisons de nous inquiéter des effets inconnus à long terme des « vaccins » à ARN.
Il existe déjà un nombre alarmant d’effets indésirables graves à court terme chez les personnes vaccinées. Quels seront les effets indésirables à long terme, notamment au niveau neurologique, pour ces personnes et leur progéniture ?
Puisque la schizophrénie est un effet connu d’une défaillance de la protéine syncytine [27] et que le vaccin à ARN code pour une syncytine altérée, il n’est pas surprenant de découvrir le premier cas documenté de schizophrénie induite par un vaccin à ARN [28].
Ce cas a été rapporté chez un homme de 31 ans, sans antécédents médicaux ni psychiatriques, qui souffrait d’« hallucinations », « parlait à des défunts » et « entendait constamment la voix d’un collègue de travail ». Ces symptômes sont apparus après l’injection de la première dose d’un vaccin à ARN COVID-19 et se sont aggravés trois semaines après l’injection de la deuxième dose [29].
Ce cas est corroboré par de nombreux rapports VAERS renseignés par des médecins américains et des fabricants de vaccins mentionnant la schizophrénie ou les symptômes les plus couramment associés à cette pathologie :
– Schizophrénie : 13 cas [31] – Hallucinations auditives : 91 cas [32] – Hallucinations : 792 cas [33] – Trouble psychotique : 100 cas [34]
Schizophrénie ou possession?
Pendant des siècles, voire des millénaires, et jusqu’au XIXe siècle, la schizophrénie a été considérée comme le résultat d’une « possession démoniaque » ou de l’interférence d’« esprits malins » [35]. Le seul remède était l’exorcisme. Avec l’avènement de la psychiatrie moderne, la schizophrénie a été attribuée à des causes plus matérielles telles que la génétique, la biologie et l’expérience.
Cependant, depuis les dernières décennies, une littérature scientifique de plus en plus abondante [36] [37] [38] s’intéresse à nouveau à l’explication qui a prévalu pendant des siècles, et l’on envisage sérieusement l’idée que la schizophrénie, du moins dans certains cas, n’est qu’un autre terme utilisé pour désigner une véritable possession démoniaque :
Les symptômes [de la schizophrénie], tels que les délires et les hallucinations […] Les types de délires les plus courants sont les suivants : « Mes sentiments et mes mouvements sont contrôlés par d’autres d’une certaine manière » et « Ils mettent dans ma tête des pensées qui ne sont pas les miennes ».
Les expériences hallucinatoires sont généralement des voix qui parlent au patient ou qui conversent entre elles. Les hallucinations sont un symptôme positif cardinal de la schizophrénie qui mérite d’être étudié attentivement dans l’espoir d’obtenir des informations sur la physiopathologie de ce trouble. Nous pensions que de nombreuses prétendues hallucinations observées dans la schizophrénie étaient en réalité des illusions liées à un stimulus environnemental réel.
Une approche de ce problème d’hallucination consiste à envisager la possibilité d’un monde démoniaque.
Les démons sont des créatures invisibles réputées exister dans toutes les grandes religions et qui ont le pouvoir de posséder les humains et de contrôler leur corps. La possession démoniaque peut se manifester par toute une série de comportements bizarres qui peuvent être interprétés comme un certain nombre de troubles psychotiques différents accompagnés de délires et d’hallucinations. L’hallucination dans la schizophrénie pourrait donc être une illusion – une interprétation erronée d’une image sensorielle réelle formée par des démons[39].
La frontière entre la schizophrénie et la possession est si ténue que certains psychiatres de haut niveau travaillent désormais main dans la main avec des exorcistes [40] et que Mike Williamson a consacré l’un de ses ouvrages à ce sujet :
Conclusion
Bien sûr, ce qui précède ne signifie pas que chaque personne vaccinée finira possédée ou stérile.
Il y a trois raisons pour lesquelles ce ne sera pas le cas :
- Premièrement, Sott.net a publié un protocole sanitaire exhaustif [41] permettant d’atténuer les effets indésirables induits par le vaccin.
- Deuxièmement, de nombreux pays [42] proposent des vaccins traditionnels qui n’interfèrent pas avec la syncytine, contrairement aux vaccins à ARN.
- Troisièmement, il semble que les Pouvoirs en Place sont en train de se rendre compte que leur vaccin n’est pas aussi efficace qu’ils le pensaient. C’est probablement la raison pour laquelle ils ont introduit une troisième dose (et bientôt une quatrième).
Notez qu’une troisième dose n’a même pas été mentionnée dans les essais cliniques [43] qui ont conduit à l’approbation conditionnelle par la FDA des vaccins à ARN contre le COVID. Ce n’est qu’à la mi-août 2021 que Pfizer a demandé l’autorisation de la FDA pour une troisième dose [44].
À ce jour – fin septembre 2021 – Pfizer recrute encore des participants pour des essais de phase III qui ne sont pas terminés [45]. Pourtant, cela fait deux mois (30 juillet 2021) que les autorités israéliennes ont commencé à administrer une troisième dose à leur population [46], la rendant obligatoire de facto [47].
En toute logique, Israël est de loin le leader en termes de nombre de troisièmes doses administrées.
Plus de quatre millions [48] ont déjà été administrées à une population de 12 millions d’habitants. Il est intéressant de noter que la troisième dose a coïncidé avec une augmentation soudaine des décès dus au COVID :
L’administration massive et précipitée d’une troisième dose et le pic concomitant des décès COVID sont un facteur de plus qui suggère que la gestion de cette épidémie en général, et les vaccins ARN COVID en particulier, n’ont rien à voir avec des mesures sanitaires, mais tout à voir avec le contrôle de la population.
En tentant de modifier le génome même des êtres humains, les élites se prennent pour Dieu et essaient de tromper Mère Nature.
Dans la Grèce antique, cette attitude était qualifiée d’« hubris » :
L’hubris, dans la tragédie grecque, est l’orgueil démesuré ou la défiance envers les dieux […]
L’orgueil démesuré qui conduit les humains à suivre une voie ou des projets qui mènent à une autodestruction certaine. En ce sens, l’hubris est un crime de pouvoir. […]
L’hubris est l’orgueil extrême ou la hardiesse d’un personnage qui, lorsqu’il offense les dieux, est généralement puni sévèrement.
Le propre de l’hubris est de commettre des actes et d’avoir des pensées qui outrepassent les prérogatives d’un simple mortel, et donc de faire preuve d’impiété envers les dieux.
L’hubris mène à la némésis, l’agent inéluctable de la chute d’un individu. Némésis était la déesse ou l’esprit du châtiment céleste […][49].
Photo de présentation : Tests de détermination de la race aryenne dans l’Allemagne nazie.
Cet article est la 3e partie d’une série d’articles dont voici les liens :
- 1ère partie : Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2
- 2e partie : L’ineptie des « vaccins » à ARN pour « traiter » le Covid-19
Le présent article fait également l’objet d’un chapitre du livre Mass extinctions, Evolutionary Leaps and Viral Information (à paraître)
Références
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