Divulgation cosmique

Les avancées modernes issues de la technologie extraterrestre

Interview de Emery Smith par George Noory pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 12 épisode 4

George Noory : Bienvenue dans « Divulgation Cosmique », avec notre cher ami, Emery Smith.

Dans « Divulgation Cosmique », on a parlé de nombreuses technologies extraterrestres avec Emery Smith. Aujourd’hui, il nous parle de différents types d’appareils extraterrestres.

Emery, bienvenue.


Emery Smith : Merci, George.

George : Quand j’entends « appareils extraterrestres », je pense à Star Trek et à la baguette du docteur. De quoi parle-t-on ?

 

Emery : Eh bien, ça fait partie d’un dispositif à fréquence qui est parvenu au grand public qui l’utilise maintenant. Ça s’appelle l’énergie cosmodique Scenar.

En fait, ce qu’il fait, c’est qu’il est capable, comme une machine de Rife, d’utiliser une fréquence pour équilibrer les cellules et de communiquer avec les cellules pour les envoyer à une partie du corps, pour la réparer, pour soigner un os et tout ça. C’est un des nombreux trucs rétro-conçus.


George : Oui.

Emery : Ça a été découvert il y a de très nombreuses années et perfectionné pour après parvenir au grand public.

George : Quels autres dispositifs avez-vous vus ?

Emery : La chose la plus fascinante qu’on ait découverte et qui me fascine, ce sont les types de matériaux qu’on a récupérés sur ces sites. Et ce sont des matériaux qui finissent par être utilisés plus tard, comme la fibre de carbone, et les trucs pour les gilets pare-balles.

George : Comment les récupère-t-on ? Sur des lieux de crash ?

Emery : Oui. On a été dans des équipes de récupération pour des raisons médicales. Mais il y a d’autres choses aussi, bien sûr, qu’on trouve sur ces sites, comme des métaux liquides et différents types de substances et produits chimiques qu’on n’a pas ici sur Terre.

Et ils sont tous utilisés aussi dans les technologies extraterrestres. Car ils… Ils ont des outils, aussi. Tout ne flotte pas comme ça en l’air. Ils ont des outils spéciaux, surtout énergétiques, et c’est intéressant.

Vous voyez peut-être un truc qui ressemble à une pierre ovoïde lors d’une de vos randonnées, mais ce n’est pas ça. C’est en fait un appareil qui émet une énergie qui peut réparer votre navette, disons. Ils utilisent aussi beaucoup de cristaux dans les vaisseaux.

George : J’ai entendu ça.

Emery : C’est aussi très intéressant. Ces trucs sont donc ramenés et rétro-conçus pour créer de nombreux types de choses.

George : Sont-ce les mêmes cristaux qu’on a ici ?

Emery : Ils sont très similaires, mais ils… on dirait qu’ils ont été créés en labos peut-être, car ils brillaient tellement et ils étaient taillés très différemment, au contraire de ce qu’on voit ici. Bien sûr, les couleurs étaient magnifiques, rien à voir avec les cristaux ici sur Terre. Et certains mesurent jusqu’à… environ 3 à 6 mètres de long, et sont rectangulaires et ils forment le plancher du vaisseau.

 

Et ils descendent, comme un triangle renversé. C’est une source d’énergie et un disque dur. Ils peuvent donc enregistrer, et ils peuvent en fait propulser la navette, ont-ils découvert. Et ils émettent toutes sortes de fréquences différentes. Et d’une certaine manière, ils sont vivants, dans leur propre spectre.

Les cristaux seuls ont tout un éventail de capacités, en fonction de leur utilisation, de quel type de lumière on fait passer à travers, de quel type de laser vous utilisez pour graver les infos à l’intérieur.

George : D’accord.

Emery : Les cristaux ont la capacité de devenir… d’être des armes. Et les cristaux ont aussi la capacité de guérir. Et les extraterrestres connaissent évidemment les cristaux, car beaucoup de leurs technologies contiennent des cristaux. Regardez nos téléviseurs, nos premiers téléviseurs, nos radios. Ils ont un…

George : Des cristaux de transistor.

Emery : Exactement.

George : Bon point.

Emery : Et donc, comment l’a-t-on découvert ?

George : Quand vous entendez « technologies intelligentes », qu’est-ce que ça signifie pour vous ?

Emery : Eh bien, pour moi, c’est la technologie assistée par la conscience.

George : Qu’est-ce ?

Emery : C’est… Car tous leurs trucs, que ce soit un outil, une arme ou une navette, ils sont tous assistés par votre conscience. Donc grâce à la télépathie, on peut en fait activer quelque chose.

George : Wow !

Emery : Ou grâce à l’empreinte bio-identique du code génétique de cet extraterrestre, ils s’activent.

George : Comme si on démarrait notre voiture avec la conscience, si elle était connectée correctement.

Emery : Voilà. Ou si elle capte la fréquence énergétique de notre ADN, car on a tous une fréquence d’ADN différente, comme une empreinte digitale. L’ADN génétique de tout le monde est enregistré sur la planète, en gros.

Elle identifie donc cette personne, et c’est la personne qui est liée à cette navette, et seules les personnes dont la fréquence est enregistrée peuvent la faire voler.

George : Quelles autres technologies intelligentes ont-ils ?

Emery : Eh bien, comme je disais, certaines des plus impressionnantes sont toutes assistées par la conscience. Et en fait, je suis entré dans certains de ces projets, car une fois, je travaillais sur des échantillons de tissus, dirons-nous, qui étaient liés à une navette que j’ignorais qu’ils avaient dans le secteur où je travaillais. Et ils voulaient que j’aille prélever des échantillons sur la navette.

Et en fait, pour moi, à cette époque, on ne posait pas de questions. On m’a escorté jusqu’à ce hangar géant et il y avait cette navette, et c’était une navette de type charnu. Et elle était visiblement vivante.

Et j’ai prélevé des échantillons sur cette navette et je les ai comparés avec les échantillons que j’avais [d’un extraterrestre] : c’était exactement le même ADN !

George : Wow !

Emery : Je veux en venir à ceci : la personne qui avait cette navette, elle a créé cette navette à partir de son propre ADN génétique. Et on a découvert plus tard qu’ils fabriquaient ces navettes grâce à des fréquences.

Et ça signifie… Le son vient toujours avant la forme. On peut donc tout créer dans l’espace grâce aux fréquences et au code génétique de l’ADN.

C’est une des choses les plus profondes que j’aie jamais vues de toute ma vie. Et il y avait aussi des compartiments dans cette navette. Et la navette avait des outils à l’intérieur. Ils ressemblent à des outils, aux formes étranges, mais très organiques.

George : Oh !

Emery : Tout ressemble toujours à une sorte de pierre. Mais si on met… si on envoie une impédance électrique dedans en utilisant les tissus, il y a une réaction.

George : Laquelle ?

Emery : Eh bien, ça peut émettre une lumière, ça peut exploser, ça peut… On ne sait pas. Ils ont donc emmené ces trucs dans un lieu blindé hautement sécurisé et scellé sous vide…

George : Donc vous ne savez pas à quoi ces équipements servaient ?

Emery : Non, mais on les testait dans ces conteneurs spéciaux pour les bombes, ces… conteneurs qui vous protègent en cas d’explosion ou s’ils devaient nous faire du mal. Et ils mesuraient avec plein de capteurs différents dans cette caisse spéciale. Ça ressemblait à une chambre hyperbare géante, ce truc ovale géant avec de très petits portiques en verre. On utilisait des bras robotisés depuis l’extérieur et tout pour…

George : Vous mettiez vos mains dedans ?

Emery : Non, pas dedans. On les dirigeait depuis l’extérieur du conteneur.

George : OK.

Emery : C’est comme maintenant en chirurgie, si vous avez entendu parler de…

George : La chirurgie robotisée.

Emery : Oui, vous pourriez être un chirurgien…

George : Et faire une incision.

Emery : Oui, et on peut être ici aux États-Unis pour opérer quelqu’un à Dubaï.

George : Oui, c’est électronique.

Emery : Donc, comme ça, mais de manière à nous protéger. Et certains appareils émettaient une lumière brillante, mais on ne savait pas ce que c’était. Mais le plus intéressant est que c’était lié aux photons, à la lumière. Et ces navettes, comme beaucoup en voient dans le ciel, émettent ces intéressantes lumières de couleurs arc-en-ciel. Et beaucoup de ces instruments et tout dans ces navettes faisaient la même chose, une fois qu’ils étaient activés par l’ADN. Puis ces choses étaient réparties dans différentes sections et étudiées pendant de très nombreuses années.

Parfois, si on ne comprenait pas du tout, on a des espions et des endroits comme le Vatican et d’autres endroits sur la planète qui font un travail similaire.

George : Oui.

Emery : Et quand on sait qu’ils ont un truc similaire à ça, on fera donc un échange commercial, vu qu’ils ont peut-être déjà compris. On nous envoyait donc là-bas pour collecter un autre spécimen ou pour étudier leurs données, ce à quoi ils ont été formés pendant 5 ou 10 ans, même si nous, on vient de l’obtenir, dans notre système. C’était un autre truc incroyable.

Donc, beaucoup de ces outils qui étaient dedans étaient en fait des clés pour certaines choses, pour ouvrir certaines choses. Certains émettaient un bruit quand ils s’activaient, c’était intéressant. Et on a des scientifiques qui étaient là juste pour mesurer la lumière et la fréquence. Rien d’autre. Et ils les comparent à des bases de données de toute la planète, ce qui était intéressant. Mais je n’ai jamais vraiment pu prendre un dispositif et l’utiliser. Je n’ai pu que le voir.

George : Vous étiez expert en tissus ?

Emery : C’est ça.

George : Pourquoi vous avoir impliqué avec ces appareils ?

Emery : Car je devais collecter les tissus, généralement sur les deux. Les appareils ne marcheront pas sauf si les tissus de la navette et ceux de la personne qui avait la navette sont réunis. Donc…

George : Vraiment ?

Emery : Oui. Et ça activait ces choses. Puis on a découvert que la navette seule, une fois qu’on en a sorti un de ces appareils qu’on savait inoffensifs, mais dont on ignorait les actions… On l’a sorti de la navette et on l’en a éloigné et on a utilisé les tissus dans un certain périmètre, où il marcherait toujours. Mais si on l’éloignait trop, il ne s’activait pas.

Il y avait donc des champs énergétiques qu’ils tentaient de comprendre. Qu’est-ce que c’est ? Une énergie Bluetooth ? Une fréquence ? Des photons ? On ne voit rien, mais bizarrement, la navette sait que cet appareil est maintenant à cette distance, même si elle envoie toujours génétiquement une impédance électrique au travers, pour activer les cellules, ça ne fonctionne pas.

George : Ces appareils marchaient-ils seuls parfois, Emery, et commencent alors à faire quelque chose ?

Emery : Absolument. Certains appareils commençaient à soigner la navette si elle avait, mettons, une entaille. Imaginez plein de petites pierres qui tentent à un endroit de…

George : …la rafistoler ?

Emery : …la rafistoler et travaillent toutes seules de façon inoffensive avec de magnifiques lumières. Et c’est un magnifique spectacle de lumière et de fréquence.

Et… Et on ne faisait rien, on observait et on regardait juste. Car même si la personne n’est pas dans la navette, c’est peut-être la personne, en fait, ha ha !

George : Ça se pourrait.

Emery : Vous voyez ?

George : Oui.

Emery : Et c’est un autre concept dont je ne parle pas beaucoup, mais je crois que beaucoup de navettes sont en fait des extraterrestres. Elles sont l’extraterrestre. Ces navettes sont conscientes. Elles ont une conscience.

Quand on connaît la physique du futur, des structures atomiques et comment les atomes peuvent être déplacés et réarrangés de nombreuses façons, comme dans une télé-transportation, quand elle décompose tout votre corps, puis il est ré-assimilé ailleurs. Et ça a déjà été maîtrisé aussi. Bon, ces extraterrestres qui ont des millions d’années d’avance sur nous, peuvent évidemment faire bien plus que ça.

Les gens pensent aux extraterrestres comme à des entités en 3D. Mais ils sont des corps de lumière, qui peuvent se manifester sous plein de formes différentes. Et je crois qu’ils peuvent réellement être des navettes.

Toute la navette, toute seule, qui agit toute seule sans la présence d’une personne ou d’un extraterrestre visible, et qui se répare toute seule, et qui se dématérialise et disparaît du lieu, sans qu’on sache où elle est ni comment elle a fait, c’était un des trucs les plus incroyables à voir.

George : Sous vos yeux, pouf, partie !

Emery : Elle se replie sur elle-même, une petite lumière, et elle disparaît. Et c’est…

George : Mais où était-elle partie ?

Emery : Probablement inter-dimensionnellement, dans une autre dimension.

C’est intéressant, car c’est arrivé plusieurs fois, je l’ai su plus tard, au fil des projets. J’ai eu beaucoup de chance d’en avoir été témoin. Et donc pour moi, c’est plus que… c’est une intelligence spéciale.

George : Incroyable !

Emery : Et cette intelligence me fascine, car on en sera là un jour. Et j’espère que ça sera le plus tôt possible.

Et il y avait beaucoup de gens dans ces équipes. Je n’étais donc pas le seul. Mais c’était ça, ma spécialité spécifique. Donc s’ils ont vu quelque chose, comme quelque chose sur le sol ou là au plafond, qui ressemblait à un morceau biologique…

George : Vous êtes comme un des experts sur une scène de crime.

Emery : Oui, c’est un peu ça, oui. C’est un peu un truc médico-légal. On entrait donc, dans nos combis, on utilisait des échelles stériles normales et tout ça et on tentait d’y voir plus clair. On mettait ces échantillons dans des sacs, on les étiquetait et les emmenait au labo.

George : Qu’est-il arrivé ?

Emery : Pour faire des tests.

George : Et après, qu’est-il arrivé ? Qui les a confisqués ?

Emery : Eh bien, ce que j’en ai conclu… après qu’ils ont découvert ce que ces tissus sont, quelles vibrations ils ont, de quelles structures cristallines leur ADN est composé, ils utilisent ces trucs et vendent les données aux lobbies pharmaceutiques et autres entreprises. Et ils font des versions synthétiques pour faire des médicaments ou des armes ou autres. C’est ce que je crois.

George : Ces technologies sont réellement d’un autre monde. Quand en verra-t-on des applications pour rendre notre vie meilleure ?

Emery : On en voit tous les jours. Je veux dire, chaque jour, un truc sort, comme…

George : Mais on ne sait pas d’où ça vient.

Emery : En effet, on ignore que ça vient d’eux. Je veux dire, ils viennent de sortir ce matériau en graphène et diamant d’un millimètre et à l’épreuve des balles. Et je parlais il y a peu de ces plantes qu’on récupérait de différents endroits [sur d’autres planètes, en passant par des portails], qui sont d’origine inconnue et qui sont fines et blindées.

George : Oui.

Emery : Ce qui est amusant, c’est qu’ils inventent de nouveaux noms. Un a été présenté au public récemment, et c’est un nouveau tissu génial. C’est du graphène mélangé à des diamants. Et ils inventent un nom pour cette nouvelle substance [Emery sourit], alors que je sais à 100% d’où elle leur vient.

George : OK.

Emery : Donc quand on voit ces nouvelles substances et ces nouveaux matériaux sortir, on peut probablement parier sa chemise qu’ils ont été rétro-conçus ou qu’ils viennent en fait d’une navette extraterrestre ou d’un extraterrestre, qu’ils ont rétro-conçu.

George : Ce type de technologie, nous a-t-il été donné ou l’a-t-on trouvé ?

Emery : Je crois, car je ne suis pas autorisé à trop poser de questions, mais à force d’être là-dedans, on finit par pouvoir écouter un peu plus les supérieurs, et ils nous disent certaines choses. Et je crois que les extraterrestres écrasent leurs navettes ici intentionnellement pour qu’on les trouve et nous aider à évoluer un peu plus vite. Mais il y a beaucoup de navettes, bien sûr, qu’on a abattues. Et il y a beaucoup de navettes dans le programme de récupération spatiale, comme je l’appelle, qui nettoient là-bas, car beaucoup de choses flottent là-haut dans l’espace qu’ils ramènent, beaucoup d’instruments.

Dans un épisode de l’émission, j’ai parlé de cet appareil de type harpon avec un bras qui y était toujours attaché.

Ces choses ont une grande valeur pour les corporations ici. Ils aiment les ramener, ils aiment faire des tests, ils aiment voir comment le corps interagit avec… ce qui répond à votre question : la technologie assistée par la conscience. C’est en rapport avec ça et avec la biologie de cette personne.

George : Avez-vous déjà vu et utilisé un appareil pour guérir ? Une chose dans le genre ?

Emery : Oui ! En fait, d’être tout près de corps extraterrestres et de navettes extraterrestres, on avait de nombreux scientifiques qui avaient un cancer et d’autres trucs invalidants.

J’avais en fait une maladie grave.

George : Ah oui ?

Emery : Oui, à un moment donné.

Et après être allé et avoir travaillé dans la navette, le cancer de cet homme avait disparu complètement, plus aucune tumeur.

 

Et la maladie transmise par le sang que j’avais a disparu immédiatement, et je l’ai su après des examens.

C’était forcément lié à cette fréquence que cette navette émettait qui réarrangeait votre génétique.

George : Les molécules.

Emery : Les molécules ou un truc pour éliminer ces cancers et cellules ioniquement négatifs et des trucs dans le genre.

George : Peut-on reproduire ça ?

Emery : C’est ce qu’on a fait. On a reproduit ces systèmes, ces Teslatrons.

George : OK.

Emery : On s’assied dans une pièce. Et on reçoit cette dose d’énergie, et on a pu guérir le VIH en un mois.

George : Mince ! En étant assis…

Emery : En étant assis dans ce…

George : Qu’est-ce qu’un Teslatron ?

Emery : C’est une unité que Tesla a développée, la bobine Tesla – bien sûr, il y a longtemps. Et il y a eu ce médecin… je tairai son nom, il est décédé récemment, mais nos spectateurs savent de qui je parle, il a inventé cet appareil où on est assis dans une pièce et on reçoit des doses de cette fréquence venant de cette unité. Et d’une certaine façon, elle télé-transporte les trucs négatifs hors de votre corps.

George : Mince !

Emery : Et tout récemment, il a été récupéré par quelqu’un qui ne veut plus que j’y ai accès, car j’allais la dévoiler au public. Mais je viens de recevoir un courriel de quelqu’un disant qu’ils en ont un autre, et qu’on devrait parler.

Je vais donc me lancer là-dedans, car c’est une chose tellement rentable et peu chère à avoir ici. Mais il faut continuer à la tester.

George : Bien sûr.

Emery : Mais c’est là. Il s’agit donc que les gens, les ingénieurs, les gens détenant les brevets de ça et les gouvernements disent : « OK, vous pouvez révéler cet appareil, mais sans affirmer qu’il guérit des trucs. »

Et donc, voilà comment j’ai dupé la corporation des brevets [qui bloque autant que possible la diffusion de technologies de soin trop efficaces, c’est-à-dire de remèdes et technologies qui vont à l’encontre des intérêts commerciaux des lobbies pharmaceutiques, de « Big Pharma »…], quand beaucoup de mes brevets ont été refusés, car je disais : « J’ai concentré des cellules souches avec ça, et on les a injectées dans la moelle épinière de 100 patients et… »

George : Tous ont guéri.

Emery : Tous.

George : Vous ne pouvez pas dire ça.

Emery : Non. Mais je peux dire : « J’ai créé cet appareil. Il concentre les globules, et le médecin peut choisir comment l’utiliser. » [sourire]

George : Ça, ça va.

Emery : Oui, ça, ça va, ha ha !

George : Pourquoi n’a-t-on pas cette technologie maintenant pour guérir certains trucs sur lesquels vous l’avez testée?

Emery : Bon, vous savez combien de temps ça a pris pour que les cellules souches soient utilisées par le grand public ici aux USA. Pourtant la Chine, l’Angleterre, la Thaïlande et tout le monde utilisent ces technologies. Il existe donc déjà beaucoup de remèdes au point de vue technologique que d’autres pays utilisent, mais c’est dur de les avoir ici dans le système, à cause de cette politique avec la FDA, avec le lobby pharmaceutique.

La FDA, 80% de son argent vient de Big Pharma, leurs trucs seront approuvés bien plus vite.

George : Bien sûr, la moitié des membres de la FDA étaient dans Big Pharma.

Emery : Ou on a ces incroyables médecins révélant des protéines anti-âge ou régénératrices qui tarderont au moins 20 ans à parvenir au public, ce qui est stupide, car c’est naturel.

George : Et c’est là, maintenant.

Emery : Oui. Et puis on a ces incroyables physiciens et ingénieurs qui ont fabriqué ces appareils géniaux dont j’ai parlé et qui… Vous savez, ils ont trop peur d’en parler, car ça démontre une autre chose. Donc ils leur claqueront un National Security Act en disant qu’ils ne peuvent pas les créer car cette technologie est la propriété des États-Unis d’Amérique.

George : Bien sûr. Quelle sera la plus grande avancée technologique provenant de la technologie extraterrestre qui deviendra publique ?

Emery : Ce sera, avec un peu de chance [Emery joint ses mains en un geste de prière], l’année prochaine ou celle d’après, l’énergie surnuméraire.

George : Et ça viendra de vous, non ?

C’est possible ?

Emery : Oui… eh bien… c’est ce que je fais.

George : Qu’est-ce que ça fera ?

Emery : Ça changera tout, car si on peut démontrer l’énergie surnuméraire, ce qu’on a déjà fait… et ce n’est plus de mon ressort, de toute façon. On me l’a prise et elle est en lieu sûr.

Les extraterrestres l’utilisent, et c’est pour ça qu’ils ne veulent pas qu’on sache que les extraterrestres existent, car on demandera comment ils sont arrivés, et ils devront parler de l’énergie du point zéro.

Donc, quand on prouve ces trucs, qu’on peut créer de l’énergie continuellement, on se fait tuer.

Il faut agir très prudemment. Donc, on les incorpore en disant : « Eh, pourquoi ne pas diminuer les trucs nucléaires pour incorporer ceci ? ». Même si on doit toujours payer quelque chose, au moins l’atmosphère sera plus propre.

Et au final, comme toutes les technologies, on l’améliorera. Et toujours plus de pays en prendront compte. Et certains pays l’utilisent maintenant.

George : Maintenant ?

Emery : Maintenant, mais ils ne disent rien aux civils.

George : Ni d’où cela vient.

Emery : Voilà. Car ils économisent toujours sur l’achat du pétrole dont ils ont besoin pour leurs usines, en réduisant les coûts là, car ils utilisent 50% d’énergie libre et 50% d’énergie fossile.

George : Aura-t-on une navette extraterrestre atterrissant quelque part pour nous donner des technologies qui changeront la planète?

Emery : C’est déjà le cas, c’est le truc. Je veux dire que ça sort petit à petit. Ils partagent les technologies. Mais parfois, on gâche tout et on leur tourne le dos, car on les utilise à de mauvaises fins. Ou pour faire la guerre, ou on tente de les cacher pour les réserver à quelques individus, organisations, corporations, hommes politiques.

Donc là, c’est plus : « Comment peut-on faire confiance à ces gens ? ». On a déjà manqué à notre parole des millions de fois. « Filtrons-leur donc des trucs doucement, ils seront assez malins pour les trouver. » Il existe de nombreux appareils à énergie surnuméraire, plein de scientifiques brillants l’ont déjà fait. Mais ce n’est pas une chose qu’on peut juste révéler et dire qu’on l’a faite et la…

George : J’aimerais bien.

Emery : …donner. Mais il y a des gens derrière le projet maintenant à qui j’ai tout donné qui, pour la plupart, ne veulent pas d’argent. C’est une première.

George : C’est rare.

Emery : C’est le premier groupe d’investissement qui se manifeste.

George : On va pouvoir l’utiliser ?

Emery : Oui. On va pouvoir l’utiliser. Ça sortira et de manière sûre. Et je crois que le gouvernement l’accueillera les bras ouverts.

George : Êtes-vous heureux d’avoir eu un aperçu de cette technologie ?

Emery : Parfois [sourire], ha ha !

George : Ou est-ce une malédiction ?

Emery : Eh bien, vous savez, c’est une malédiction depuis un moment. C’est dur d’en parler. Mais après avoir eu le soutien de tous ceux qui ont aussi parlé et de tous ceux qui nous écoutent qui réagissent si positivement, et qui aident à me protéger, car s’ils me tuent maintenant, je serai un martyr.

George : C’est vrai.

Emery : Et ils ne veulent pas ça. C’était un choix déroutant à faire, mais j’ai dû à cette époque, car la situation devenait délicate. Je tente juste de faire quelque chose de bien pour la Terre et tout le monde. Je ne tente pas de détruire les lobbies énergétique et pharmaceutique. Je tente de nous rassembler et qu’on collabore pour la nettoyer.

On peut en tirer de l’argent, mais il y a d’autres façons de faire les choses, et on devrait apprécier cette planète et tous les êtres sur la planète et nous unifier en un seul groupe de personnes conscientes, pour qu’on puisse parler à nos frères et sœurs dans les étoiles, et c’est pour ça que je suis là. Je veux que ça arrive.

George : Bravo.

Emery : Car on le mérite. Car on a tous vécu beaucoup de choses. Je parle de la planète. Et on a besoin d’aide.

George : Emery, merci d’être venu.

Emery : Merci à vous, George.

George : Je suis George Noory, merci d’avoir suivi « Divulgation Cosmique ».


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ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde

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