La chute de Constantinople fut un cauchemar pour les chrétiens : massacres, viols, esclavage. Début de l’oppression islamique sur l’Europe orientale.
Au XVe siècle, l’Empire byzantin n’est plus que l’ombre de lui-même. Jadis centre glorieux de la chrétienté d’Orient, Constantinople, dernière citadelle chrétienne en terre d’Asie Mineure, est encerclée par les forces croissantes de l’Empire ottoman, un empire islamique en expansion agressive depuis le XIIIe siècle.
Depuis la prise de la chrétienne Nicée (1331), puis de Gallipoli, les Ottomans ont méthodiquement conquis les Balkans et l’Anatolie, détruisant ou soumettant royaumes et peuples chrétiens. Constantinople résiste, telle une flamme vacillante. Mais le 29 mai 1453, sous les ordres de Mehmed II, la ville tombe.
1. MASSACRES ET ASSASSINATS DES CHRÉTIENS
L’entrée des Ottomans dans la ville fut une véritable boucherie. Le sultan avait promis à ses soldats trois jours de pillage. Et ils s’en sont donné à cœur joie :
- – Tueries de masse dans les rues, les maisons, les églises ;
- – Exécutions de prêtres et de fidèles réfugiés dans Sainte-Sophie ;
- – Civils égorgés, maisons brûlées avec leurs habitants, ruelles jonchées de cadavres.
Le chroniqueur vénitien Niccolò Barbaro écrit :
« Les Turcs ont pénétré par les murs comme des bêtes affamées. Ils tuaient sans distinction : hommes, femmes, vieillards, enfants. »
2. VIOLS MASSIFS ET PROFANATIONS
L’un des aspects les plus horribles de cette conquête fut la brutalité sexuelle infligée aux populations chrétiennes :
- – Femmes violées par dizaines dans les églises ;
- – Jeunes garçons et moines sodomisés en public ;
- – Religieuses arrachées de leurs couvents, réduites en esclaves sexuelles.
Sainte-Sophie elle-même, jadis centre de la foi orthodoxe, fut le théâtre d’actes ignobles :
« Des femmes furent violées sur l’autel. Les moines furent tués ou réduits à l’esclavage. Le sang se mêla aux icônes brisées ».
3. DÉPORTATIONS ET ESCLAVAGE EN MASSE
Les chiffres sont terrifiants. Entre 30 000 et 60 000 habitants furent réduits en esclavage :
- – Femmes et enfants capturés et envoyés dans les harems ou les marchés d’esclaves d’Asie;
- – Jeunes garçons enrôlés de force dans les rangs des janissaires via le sinistre devşirme (ramassage des enfants chrétiens pour islamisation et service militaire forcé) ;
- – Des familles entières dispersées, des quartiers vidés de leurs âmes.
La chrétienté orientale fut mise en chaînes, et pendant des siècles, elle subira cette domination humiliations, conversions forcées, impôts écrasants (jizya), et statut de dhimmi, sous-citoyen dans son propre pays.
4. PROFANATION DES ÉGLISES ET ISLAMISATION DES LIEUX SACRÉS
Constantinople n’a pas seulement été conquise : elle a été humiliée spirituellement.
- – Sainte-Sophie, joyau de la foi chrétienne, fut immédiatement transformée en mosquée ;
- – Les icônes sacrées furent détruites, les croix arrachées, les fresques recouvertes de chaux;
- – Des dizaines d’églises furent converties de force, d’autres détruites ou abandonnées.
L’objectif de l’envahisseur islamique était clair : anéantir la mémoire chrétienne et imposer sa loi religieuse.
5. LA FIN DE L’EMPIRE CHRÉTIEN D’ORIENT : UNE CIVILISATION ÉTEINTE
La prise de Constantinople marque la fin d’un monde chrétien millénaire :
- – Disparition de l’Empire romain d’Orient, héritier direct de Rome et de la foi chrétienne orthodoxe ;
- – Fuite des savants, des moines, des artistes vers l’Europe de l’Ouest, apportant un savoir qui nourrira la Renaissance, mais laissant derrière eux un Orient livré à l’islam ;
- – Les chrétiens d’Orient deviennent une minorité persécutée dans leur propre terre.
Cette chute annonce cinq siècles de domination ottomane, de répressions, de conversions forcées, de résistance brisée.
LES CHRÉTIENS, VICTIMES OUBLIÉES DE L’HISTOIRE
Trop souvent, les médias et l’enseignement contemporain idéalisent l’Empire ottoman, parlant de « tolérance » ou de « cohabitation pacifique ». La vérité est tout autre.
La conquête islamique fut brutale, destructrice, impitoyable. Les peuples chrétiens furent écrasés, vendus, humiliés.
Nous devons protéger leur mémoire !
CONCLUSION : LA CROIX ET LE CROISSANT
La chute de Constantinople ne fut pas une simple bataille. Ce fut un acte de guerre civilisationnelle, la soumission de la Croix au Croissant, une blessure historique pour l’Europe chrétienne, qui justifie à elle seule les grandes contre-offensives qui suivront :
- – Les croisades tardives
- – La Reconquista achevée en 1492
- – La résistance de l’Europe centrale à Vienne en 1683.
L’histoire doit être dite. Les victimes doivent être nommées.
Car une civilisation qui oublie ses morts est une civilisation prête à mourir.
Les Croisades n’étaient pas des campagnes de colonisation, mais des contre-attaques
Les Croisades : Non, ce n’était pas une invasion coloniale blanche, patriarcale, cisgenre – c’était une riposte légitime !
Il suffit d’allumer la télé ou d’ouvrir un manuel d’histoire écrit après 1975 pour entendre le même sermon indigeste : « Les Croisades ? Une série de guerres impérialistes menées par des fanatiques chrétiens pour dominer le pauvre monde musulman. » Ah bon ?
Encore un conte pour endormir les masses wokisées, pétries de haine d’elles-mêmes. Allons remettre un peu d’ordre, de rigueur et de croix dans ce délire victimaire.
Les Croisades : Réaction et non agression
Le contexte oublié (volontairement) par les profs militants. Ce que personne ne dit dans les cours d’histoire contaminés par les théories post-coloniales, c’est qu’en 1095, lorsque le pape Urbain II appelle à la première croisade au concile de Clermont, cela fait plus de 450 ans que les armées musulmanes ont envahi la quasi-totalité de l’Afrique du Nord, la Perse, l’Espagne, et une bonne partie de l’Empire byzantin.
Les faits :
Jérusalem, ville chrétienne depuis le IVe siècle, avait été prise par les musulmans en 638.
En 1009, le calife Al-Hakim bi-Amr Allah fait détruire l’église du Saint-Sépulcre (lieu le plus sacré de la chrétienté).
Les pèlerins chrétiens venant à Jérusalem subissent razzias, rançonnements, agressions, enlèvements, viols, et pire encore.
Alors on parle d’« agression chrétienne » quand les routes vers les Lieux Saints sont devenues des couloirs de la mort pour les croyants d’Occident ? Sérieusement ?
L’appel de détresse des Byzantins
Byzance, dernier bastion chrétien d’Orient, est à l’agonie sous les coups des Seldjoukides turcs. En 1071, les Byzantins subissent une défaite humiliante à Manzikert : l’Anatolie chrétienne est progressivement islamisée.
L’empereur byzantin Alexis Ier Comnène envoie alors un SOS désespéré à l’Occident : ce n’est pas une croisade coloniale, c’est une mission de sauvetage, et c’est tout l’Occident qui répond.
Qui étaient les croisés ?
Des seigneurs, des paysans, des chevaliers, des familles entières : des dizaines de milliers de volontaires traversent l’Europe pour risquer leur vie dans une entreprise non pas de conquête mais de libération.
Pas de « butin pétrolier », pas de multinationales, pas de profit : juste une foi chevillée au corps et l’intolérable sentiment de laisser les siens se faire égorger.
Et non, les croisés n’étaient pas là pour « s’enrichir » : les deux tiers y ont laissé leur peau ou sont revenus ruinés. Certains sont morts de faim, de maladie ou sur les murs de Jérusalem. Pas très « colonialiste capitaliste », hein ?
Jérusalem 1099 : Le choc et la propagande
Le 15 juillet 1099, les croisés reprennent Jérusalem après un siège infernal. Oui, il y a eu un massacre – comme dans toutes les prises de villes médiévales (musulmans compris, voir les prises de Constantinople ou de Nicée).
Mais bien sûr, les pleureuses woke ne se souviennent que de ce jour-là, et oublient les massacres antérieurs perpétrés contre les pèlerins, les moines, et les villages chrétiens entiers.
Et on ne vous dira pas non plus que Saladin, le « gentil sultan tolérant » des manuels scolaires, a fait décapiter des centaines de prisonniers chrétiens après Hattin en 1187. Ah, la fameuse « paix islamique »…
Quelques chiffres pour refroidir les fantasmes gauchistes
- – En 632 (mort de Mahomet) : le monde musulman est une petite enclave en Arabie.
- – En 732 (bataille de Poitiers) : les musulmans sont aux portes de la Gaule.
- – En 1095, près de 2/3 de la chrétienté antique a été conquise par l’islam par la guerre.
Les Croisades ne sont pas des campagnes de colonisation, ce sont des contre-attaques tardives.
Et à ceux qui dénoncent la prise de Jérusalem en 1099, on rappelle que les musulmans l’ont contrôlée pendant plus de 450 ans ensuite. Alors de grâce, arrêtez les larmes de crocodile.
Conclusion : La défense de la civilisation, ça a un nom : Croisade
Les Croisades, ce n’est pas le fantasme gauchiste d’une Europe barbare et dominatrice. C’est le sursaut héroïque d’une chrétienté acculée, qui refuse de voir ses frères massacrés, ses lieux saints profanés, et ses routes piégées.
Alors, que les wokistes rangent leurs leçons de morale et que les islamo-compatibles relisent l’histoire.
Oui, les Croisades ont été violentes – mais elles étaient nécessaires, défensives, et justifiées.
C’était une guerre de survie !
Et parfois, pour défendre la paix, il faut brandir l’épée.
Ne laissez pas la gauche hypocrite dicter le récit ! Reprenez le contrôle, brisez le mensonge.
Et n’oubliez jamais que cette terre est juive avant tout et avant vous tous !
Ne laissez pas la gauche hypocrite dicter le récit ! Reprenez le contrôle, brisez le mensonge.
Israël n’a pas d’autre choix que de se défendre conte les colons islamiques.
Ne laissez pas la gauche hypocrite dicter le récit ! Reprenez le contrôle, brisez le mensonge.
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