Le Palmarès des Cassiopéens n°7
Je vais commencer cet épisode du palmarès des Cassiopéens en reprenant là où on s’était quittés dans le précédent article: l’idée que notre soleil a une étoile compagne.
Notre Soleil a une autre étoile comme compagnon. Quel rapport avec le noyau de la Terre?
Après avoir publié le palmarès des Cassiopéens n°6 et en y réfléchissant un peu plus, je me suis rendu compte que mon argument pour expliquer que notre soleil pourrait avoir une étoile compagne – simplement que c’est statistiquement probable – était un peu pauvre. Il y a en réalité bien plus que cela à ce sujet, même si un tel compagnon doit encore être découvert. (En supposant qu’il est là, bien sûr, et qu’on nous le dirait si on le découvrait vraiment !)
En fait, ce n’est pas une idée nouvelle. Lisez la page de Wikipedia sur l’hypothèse dite Némésis.. Elle a été présentée en 1984 par deux équipes d’astronomes (Whitmire & Jackson, et Davis, Hut & Muller) pour expliquer les extinctions périodiques observées dans la collection des fossiles terrestres.
L’idée était qu’un soleil compagnon passant à travers ou à proximité du nuage d’Oort sphérique enverrait un essaim mortel de comètes en direction de la Terre tous les 26 millions d’années environ. Sa présence peut aussi expliquer les trajectoires non aléatoires de certaines comètes à longue période, ainsi que l’orbite elliptique étrange et inattendue de l’objet transneptunien Sedna récemment découvert.
Récemment, les astrophysiciens Daniel Whitmire et John Matese ont plaidé pour un modèle Planète X pour expliquer ces phénomènes, c’est-à-dire une dixième planète non découverte existant au-delà de Pluton, peut-être jusqu’à quatre fois la masse de Jupiter. Peut-être de manière prématurée, étant donné que c’est purement théorique jusqu’ici, il lui ont même donné un nom – « Tyché ».
En utilisant le même mécanisme perturbateur d’Oort que Némésis, la géante gazeuse hypothétique pourrait expliquer l’angle avec lequel les comètes entrent dans le système solaire, avec « un cinquième du nombre attendu depuis 1898 qui entre avec une valeur plus élevée que prévu. » Matese et Whitmire espèrent que le télescope de la NASA Wide-field Infrared Survey Explorer (WISE), qui a la capacité de détecter ce type d’objet, mettra Tyché en évidence, une fois que les données déjà enregistrées seront analysées. (D’ailleurs, WISE a aussi la capacité de détecter une naine brune.)
On pense que Némésis a son point d’orbite le plus éloigné entre 25 000 et 88 000 unités astronomiques (UA) du Soleil. On pense toutefois que Tyché orbite « bien en deçà » (comme le dit Wikipedia) du nuage d’Oort, à 15 000 UA avec sa gravité qui entraîne des comètes dans le système solaire. (On pense que le nuage d’Oort externe sphérique commence entre 20 000 et 50 000 UA du Soleil). Toutefois, le nuage d’Oort interne en forme de tore, ou « nuage de Hills », qui s’étend vers l’extérieur le long du plan de l’écliptique pour rejoindre le nuage externe, est supposé être aussi près que 3 000 UA.
Le 4 juillet 1998, les Cs (Cassiopéens) ont dit que la limite la plus proche du nuage d’Oort était en moyenne environ à 820 milliards de kilomètres soit environ 5 500 UA.
Donc si l’orbite de n’importe quelle « Planète X » ou étoile compagne l’amène à travers ce « disque » de comètes, le nuage de Hills pourrait être une autre source de munitions cométaires, pas seulement le nuage externe, comme certains articles que j’ai lus sur le sujet semblent le sous-entendre. Gardez en tête ces chiffres à mesure que vous lisez le résumé suivant d’un article récent de l’astrophysicien italien Lorenzo Iorio :
Une récente analyse des données du Lunar Landing Ranging (LLR) s’étendant sur 38,7 années a révélé un accroissement anormal de l’excentricité [e] de l’orbite lunaire … Les modèles actuels des phénomènes dissipatifs qui se produisent dans les intérieurs de la Terre et de la Lune ne sont pas capables de l’expliquer.
Nous examinons plusieurs effets dynamiques, non modélisés dans l’analyse des données, dans le cadre des modèles de gravité à longue portée modifiés et du paradigme newtonien/einsteinien standard. Il s’avère qu’aucun d’entre eux ne peut concilier les mesures de/dt. Nombre d’entre eux n’induisent même pas de changements à long terme de e ; d’autres modèles produisent un tel effet mais les magnitudes qui en résulte sont en désaccord avec les mesures de/dt [c’est « la variation temporelle de l’excentricité (le caractère « oval » de l’orbite de la Lune) »].
En particulier, l’accélération gravitomagnétique relativiste générale de la Lune due au moment cinétique de la Terre a le bon ordre de magnitude, mais l’effet séculaire de Lense-Thirring qui en résulte quant à l’excentricité disparaît.
Un candidat newtonien potentiellement viable serait un objet massif trans-plutonien (Planète X/Némésis/Tyché) puisqu’il affecterait réellement e avec une variation à long terme qui ne disparaît pas.
D’un autre côté, les valeurs des paramètres physiques et orbitaux d’un tel corps hypothétique nécessaires pour obtenir l’ordre de magnitude correct pour de/dt sont complètement irréalistes. En outre, elles sont en net désaccord à la fois avec les scénarios les plus récents qui envisagent l’existence d’un corps éloigné, de la taille d’une planète et avec les contraintes indépendantes du modèle sur elles, dynamiquement déduites d’après les mouvements planétaires. Donc, la question de trouver une explication satisfaisante au comportement anormal de l’excentricité de la Lune reste ouverte.
Donc, un objet compagnon peut expliquer l’anomalie, mais sans utiliser les tailles et orbites admises pour les objets hypothétiques de type Planète X. Comme l’écrit Iorio dans son article : « Par exemple, un corps de la taille de la Terre devrait être situé juste à 30 UA, alors qu’un objet de la masse de Jupiter devrait être à 200 UA. » (Un objet de la taille du Soleil serait à environ 9 000 UA.)
Autrement dit, pas là où Matese et Whitmire disent qu’il est (ou plutôt, devrait être). Mais quid d’un objet bien plus grand, peut-être avec une orbite bien plus éloignée ? Bien que soumises à un certain niveau de « bruit », des orbites apparemment aussi excentriques et longues sont possibles, et assez stables pour persister sur de longues périodes.
En prenant en compte tout cela, le modèle du compagnon du Soleil peut être plus que probablement une géante gazeuse. (Mais même là, ce n’est pas mutuellement exclusif ; je suppose que des extra-planètes pourraient exister mais elles peuvent ne pas rendre compte de certains phénomènes associés à « Némésis ».) Il serait intéressant de savoir exactement quels autres chiffres concordent avec les calculs de Iorio et s’ils correspondent à ceux compatibles avec une naine brune ou non. (Les mathématiciens, au boulot !)
Donc, il se passe quelque chose. Lorsque nous considérons le ralentissement continu de la rotation de la Terre, l’ondulement progressif de ses pôles magnétiques, le changement climatique, le taux croissant de « précession axiale », le nombre croissant d’observations de bolides et de météorites, les phénomènes électromagnétiques étranges et des effets et anomalies similaires sur des planètes dans tout le système solaire, y compris l’inversion asymétrique troublante du champ magnétique solaire, je me demande si nous ne voyons pas les effets multiples, qui s’intensifient progressivement, d’une cause commune ?
Une « confirmation révélatrice » de l’hypothèse de la naine brune a déjà été annoncée, mais malgré le fait qu’elle inclut de nombreux éléments du modèle des Cs (par ex., naine brune, approche au plus près au-delà de Pluton, etc.), et malgré le rejet assez maladroit de la NASA en tant que canular, cela me semble « trop beau pour être vrai ». Pour autant que je puisse le dire, l’équipe Star Viewer d’astronomes espagnols qui a fait l’annonce, n’a jusqu’à présent pas réussi à publier son « rapport final » contenant leur présumée preuve à ce sujet, qui devait à l’origine paraître en février 2010. (Vous pouvez lire des traductions de certains écrits de Star Viewer ici et ici.) Je laisserai au lecteur le soin de tirer ses propres conclusions sur la question.
Amas cométaires et Dinosaures
Même si l’idée d’un corps qui perturbe le nuage d’Oort existe depuis presque 30 ans et suggère au moins la possibilité d’essaims denses de comètes (un autre modèle étant la fragmentation d’une comète géante, de Clube & Napier), et même si 1994 a vu Shoemaker-Levy-9 se briser et se fragmenter avant son impact sur Jupiter, la plupart des discussions sur un bombardement de comètes ou d’astéroïdes dans les médias insiste toujours sur le danger d’un impact unique, c’est-à-dire un corps cosmique géant qui s’écrase sur Terre avec une explosion gigantesque aboutissant à une couverture de poussière qui amène le froid et entraîne des extinctions.
Et même là, « l’école américaine » a eu tendance à écarter le danger que posent les comètes, se focalisant à la place sur les astéroïdes.
Mais dès le 30 septembre 1994, les Cs (cassiopéens) ont avancé l’idée que des amas cométaires étaient au moins partiellement responsables des catastrophes périodiques sur Terre, faisant écho aux travaux cités ci-dessus :
Q : (L) Le Soleil n’est pas la source de la périodicité des « morts », est-ce exact?
R : Parfois. Nombreuses causes.
Q : (L) Et bien, quelle est la cause qui revient comme une horloge? Y a-t-il une cause qui soit une pulsation régulière?
R : Pluies de comètes.
Q : (L) D’où viennent ces pluies cométaires?
R : Amas en orbite propre. [HK : Notez que c’est amas au pluriel. Un soleil compagnon à longue période peut déclencher n’importe quel nombre d’amas à période plus courte. Selon les Cs, un de ces amas a une période de 3 600 ans, comme j’en ai discuté dans le Palmarès des Cassiopéens n°3.]
Le 7 octobre 1994, Laura a abordé la question spécifique de l’extinction des dinosaures (située à 65,5 millions d’années dans la chronologie conventionnelle) :
Q : (L) Qu’est-ce qui a anéanti les grands dinosaures?
R : Impact cométaire.
Q : (L) Quelle était la source de cette comète?
R : Amas.
Q : (L) Depuis combien de temps cet amas cométaire est-il avec nous dans le système solaire?
R : 890 millions d’années.
Le 27 août 2010, la BBC a publié cet article sur son site web : Une nouvelle étude suggère que les dinosaures ont été anéantis il y a 65 millions d’années par au moins deux impacts de météorites, plutôt qu’un seul.
Auparavant, les scientifiques avaient identifié un énorme cratère d’impact dans le Golfe du Mexique comme l’événement qui avait condamné les dinosaures. Maintenant on a découvert la preuve d’un second impact en Ukraine. …
Les nouvelles découvertes sont publiées dans le journal Geology par une équipe dirigée par le professeur David Jolley de l’Université d’Aberdeen.
Lorsqu’elle fut proposée d’abord en 1980, l’idée qu’un impact de météorite avait tué les dinosaures s’était avérée extrêmement controversée. Plus tard, la découverte du cratère Chicxulub dans le Golfe du Mexique, fut saluée comme la preuve irréfutable qui confirmait la théorie. …
Le professeur Kelly poursuit : « Il est tout à fait possible que dans l’avenir nous trouvions des preuves d’autres impacts. » Plutôt que d’avoir été anéantis par un seul impact, les chercheurs pensent que les dinosaures ont pu avoir été victimes d’une pluie de météorites tombant pendant des milliers d’années. Ce qui pourrait avoir causé ce bombardement est hautement incertain.
Ainsi, certains scientifiques commencent au moins à regarder dans cette direction et l’idée de pluies de fragments de comète a été récemment relancée avec la publication de l’article PNAS d’Isabel Israde- Alcántara et al « Preuve au centre du Mexique soutenant l’hypothèse de l’impact extraterrestre du Dryas récent ».
Il semble que ce genre d’événements soit bien plus commun que les scientifiques ne l’ont cru dans le passé et que les Cs avaient raison sur un des mécanismes impliqués dans ces rencontres catastrophiques.
Nourriture pour la Lune
Les amas cométaires sont apparus dans un autre contexte le 22 octobre 1994, cette fois-ci en relation avec la Lune :
Q : (L) Quand et comment la planète Terre a-t-elle acquis sa lune?
R : Fut causée par le passage régulier d’un grand amas de comètes qui a entraîné une rupture gravitationnelle permettant à un grand morceau de la surface originelle de la Terre, qui était légèrement moins solide à ce moment de l’espace/temps, de se séparer du corps principal et d’emprunter une orbite verrouillée autour du corps principal.
Q : (L) Quand cela s’est-il passé?
R : Cela s’est produit il y a environ 3 milliards d’années.
Science Now a annoncé : La plupart des scientifiques croient que la Terre est entrée en collision avec une planète hypothétique de la taille de Mars appelée Theia au début de son existence, et que le télescopage résultant a produit un disque de magma orbitant autour de notre planète qui a plus tard fusionné pour former la Lune. …
Un moyen de tester l’hypothèse est de regarder les isotopes d’éléments particuliers dans les roches rapportées de la Lune. … Les proportions trouvées dans les échantillons de météorites et d’autres planètes comme Mars, toutefois, sont habituellement différentes. Donc si vous trouvez qu’un échantillon a la même composition isotopique en oxygène qu’un échantillon de la Terre, alors il est très probable que l’échantillon vienne de notre monde.
Une recherche antérieure a établi que la composition isotopique en oxygène des échantillons lunaires est indiscernable de celle de la Terre. Puisque 40% de la Lune sont censés provenir de Theia (qui vraisemblablement aurait eu une composition isotopique différente), cela pourrait semer le trouble quant à l’hypothèse d’un impact géant. …
Dans la nouvelle recherche, publiée en ligne dans Nature Geoscience, les géochimistes dirigés par Junjun Zhang à l’Université de Chicago en Illinois, de concert avec un collègue de l’Université de Berne en Suisse, ont examiné les isotopes de titane de 24 échantillons séparés de roches et de sol lunaires. La proportion de 50Ti et 47Ti est un autre bon indicateur pour savoir si un échantillon vient de la Terre, et, tout comme avec l’oxygène, les chercheurs ont trouvé que la proportion de la Lune était effectivement la même que celle de la Terre et différente de n’importe où ailleurs dans le système solaire. Zhang explique qu’il est improbable que la Terre puisse avoir échangé du titane gazeux avec le disque de magma parce que le titane a une température d’ébullition très élevée.
« La composition isotopique en oxygène serait très facilement homogénéisée parce que l’oxygène est bien plus volatil, mais nous nous attendrions à ce que l’homogénéisation du titane soit très difficile. »
Aussi, si l’hypothèse d’un impact géant n’explique pas la Lune, comment est-elle arrivée là?
Une possibilité est qu’un souffle oblique d’un corps de passage ait fait tourner la Terre tellement rapidement qu’elle a envoyé une part d’elle-même dans l’espace comme on lance un poids, formant le disque qui s’est fusionné en la Lune. Cela expliquerait pourquoi la Lune semble être faite entièrement de matière terrestre. Mais il y a aussi des problèmes avec ce modèle, comme la difficulté d’expliquer où tout le moment cinétique supplémentaire est passé après la formation de la Lune, et les chercheurs ne prétendent pas avoir réfuté l’hypothèse d’un impact géant.
Pierres qui chantent et Visions du Passé
Et cela nous amène d’une manière indirecte à Stonehenge. Les théories abondent quant à son but originel : temple rituel, chambre de guérison, observatoire astronomique, site funéraire, aire d’atterrissage d’OVNI.
Bien que les options disponibles ne s’excluent pas nécessairement les unes les autres, il n’y a guère de consensus académique sur le sujet, bien que l’hypothèse de site funéraire semble être en vogue. (C’est une sacrée pierre tombale !) Personnellement, je pense que Christopher Knight et Robert Lomas présentent le scénario le plus probable dans leur livre Uriel’s Machine. Vous devez vraiment le lire pour suivre leur argumentation, mais en résumé cela donne quelque chose comme ça :
Stonehenge a une fonction et une conception similaires à la « Machine d’Uriel », un dispositif dont la construction simple mais ingénieuse est décrite dans le Livre d’Enoch apocryphe.
De telles « machines » sont des observatoires parfaits des phénomènes célestes et sont donc parfaites pour calibrer un calendrier. Elles peuvent non seulement être utilisées pour marquer les saisons et suivre le passage des étoiles et des planètes mais aussi pour observer et suivre les comètes en approche, qui comme nous l’avons vu dans les précédents articles, auraient été bien utiles durant cette période de l’histoire.
Knight et Lomas prétendent que Stonehenge a été bâti dans ce but – un genre de « station d’avertissement cométaire » – après qu’un cataclysme cométaire il y a environ 10 000 ans ait nécessité le développement d’une connaissance astronomique précise pour prédire quand il se reproduirait (c-à-d. approximativement il y a 3 150 ans, selon K&L).
Maintenant, comme je l’ai mentionné, il n’y a aucune raison pour que Stonehenge n’ait pu servir à des buts duels ou même multiples, et c’est là qu’interviennent les transcriptions suivantes des Cs. Mais d’abord, un petit avertissement. Si vous êtes un athée/matérialiste pur et dur, préparez-vous à avoir vos sensibilités de « sensationnistes » agressées par des termes comme « esprits », « ondes de pensées », « télépathie » et « chakras », dans les transcriptions suivantes :
23 octobre 1994 :
Q : (L) Comment [les bâtisseurs de Stonehenge] ont-ils déplacé et érigé les pierres?
R : Concentration d’onde sonore ; essayez-vous-même ; Château de Corail. […]
Q : (L) Pour quoi faire ou pour quelle utilisation Stonehenge fut-il bâti?
R : Directeur d’énergie.
R : La situation [de Stonehenge] attirait ces types d’esprits sur la fréquence appropriée, qui, en retour, plaçaient les pierres à l’endroit approprié pour recevoir télépathiquement les communications codées, pour ne pas avoir à battre la campagne pour lire des pictographes encodés.
Q : (L) Quelle était la technique utilisée dans le cercle pour recevoir l’information télépathiquement? [la planchette fait des spirales vers l’intérieur et des spirales vers l’extérieur.]
R : Séparation d’onde de pensée focalisée transcendante.
Q : (L) OK, donc vous dites que se déplacer dans une spirale …
R : La spirale sert à traduire le message en ralentissant l’onde et en concentrant l’énergie de transmission de l’onde de pensée. Utilise/transduit les ondes électromagnétiques, le conduit, en décomposant le signal d’une langue d’intention universelle en langage de profil phonétique. C’est par nécessité d’utilisateur multiple.
Q : (L) Nécessité d’utilisateur multiple implique qu’un certain nombre de personnes doivent faire la spirale. Est-ce correct?
R : Non. Doivent entendre, sentir et comprendre précisément la même chose. La structure moléculaire de la roche, lorsqu’elle est sculptée correctement, chante pour vous.
22 août 1998 :
R : Stonehenge est un vecteur d’énergie dérivée des rayons solaires et cosmiques.
19 février 2000 :
Q : Est-ce qu’il arrivait que certains d’entre eux communiquaient avec des êtres de densité supérieure via Stonehenge, et que ces communications qu’ils recevaient…
R : Stonehenge résonnait autrefois avec un ruisselet tonal, enseignant ce qui ne peut être enseigné avec des sagesses entrées psychiquement par le système d’émission-réception du chakra coronal.
Si nous laissons de côté l’idée spéculative de « transmission d’onde de pensée » télépathique pour le moment, nous avons des idées liées au son (concentration d’ondes sonores, ruisselet « tonal », pierres « qui chantent »), à la résonance, au stockage d’énergie et à l’électromagnétisme, toutes associées à la construction et au but de Stonehenge.
Lorsque j’ai rencontré la première fois l’idée de lévitation par le son, j’ai pensé que c’était dingue, pour être honnête. Puis j’ai vu cette vidéo, entre autres. Il s’avère que la lévitation acoustique est assez commune, et Wikipedia nous dit : « Il n’y a pas de limite théorique connue à ce que peut soulever la lévitation acoustique s’il y a suffisamment de son vibratoire, mais en pratique la technologie actuelle limite la quantité qui peut être soulevée par cette force à quelques kilogrammes tout au plus. »
Aussi, peut-être que ce n’est pas si dingue, surtout en considérant que Edward Leedskalnin a été capable de créer le Château de Corail en utilisant des outils assez grossiers et une technique toujours inconnue de la science moderne. Selon la rumeur, Leedskalnin chantait à ses blocs de corail massifs, qui lévitaient…
La lévitation des pierres. Nos incroyables facultés parapsychiques
Quant à la résonance acoustique, Aaron Watson et David Keating ont publié en 1999 un article sur leurs travaux en « archéoacoustique » intitulé « Architecture et Son : une analyse acoustique des monuments mégalithiques de l’Angleterre préhistorique ». Un article du Sunday Times rapportait leur travail :
Newgrange, [au nord de Dublin] la chambre funéraire néolithique la plus célèbre d’Irlande, pourrait avoir servi de « chambre d’écho » préhistorique lors de cérémonies religieuses, selon deux scientifiques qui ont découvert que la tombe vieille de 5 000 ans a la capacité de modifier les sons.
Aaron Watson, archéologue, et David Keating, expert en acoustique, ont réalisé jusqu’à 10 heures de tests sonores à Newgrange le mois dernier conjointement avec la BBC. Les tests comprenaient bourdonnement, ballons qui éclatent, tambours frappés et « ondes stationnaires » jouées vers les pierres. Les scientifiques de l’Université de Reading ont conduit des tests similaires à Stonehenge et sur d’autres sites néolithiques. « Nous avions un haut-parleur qui faisait un bourdonnement et lorsque vous avanciez vers le son, il devenait plus faible. C’était très inhabituel, » dit Keating.« Cependant, si vous vous éloigniez vers les parois de la chambre, le son devenait plus fort. Même avec une connaissance moderne de l’acoustique, c’est un effet tout à fait mystérieux et bizarre. »
Après Watson et Keating, Rupert Till et Bruno Fazenda ont ensuite suivi le même chemin, en continuant le travail sur l’acoustique de Stonehenge.
Le Telegraph a relaté la recherche de Till en 2009 :
M. Till, un expert en acoustique et technologie de la musique à l’Université d’Huddersfield dans le West Yorkshire, croit que les pierres levées avaient l’acoustique idéale pour amplifier un « rythme de transe répétitif ».
Le Stonehenge original avait probablement une « acoustique très plaisante, presque comme pour un concert », que nos ancêtres ont perfectionné lentement sur de nombreuses générations. …
Les découvertes les plus excitantes sont apparues lorsque lui et son collègue, le Dr Bruno Fazenda, ont visité une réplique à l’échelle de Stonehenge en béton, avec toutes les pierres d’origine intactes, un mémorial de guerre édifié par le constructeur de routes américain Sam Hill à Maryhill dans l’état de Washington. …
[Till] a déclaré : « Nous avons pu obtenir des résultats intéressants lorsque nous avons visité la réplique en utilisant un logiciel informatique d’analyse acoustique, un microphone 3D soundfield, un haut-parleur dodécahédrique et une énorme enceinte de basses d’une société de Pennsylvanie.« En comparant les résultats des calculs sur papier, des simulations informatiques basées sur des modèles numériques et les résultats provenant de la copie de Stonehenge en béton, nous avons pu aboutir à certaines de ces théories sur les utilisations de Stonehenge. …
« Le plus intéressant est que nous avons réussi à faire résonner tout l’espace (à Maryhill), presque comme un verre de vin résonnera si vous passez un doigt sur son pourtour.
« Pendant que cela se passait, un simple battement de tambour sonnait de manière incroyablement dramatique. L’espace avait un vrai caractère ; c’était comme si nous étions allés dans un endroit spécial. »
Une certaine pierre semble avoir la capacité d’emmagasiner et libérer de l’énergie.
Cela demande de l’attention, transporte des échos et réveille des souvenirs, de manière qui rendent les morceaux sacrés et donnent des arrangements plus grands et plus formels, tel un fort esprit des lieux. … Cette conscience a toujours été répandue, mais elle restait secrète, quelque chose de pas très convenable pour une discussion scientifique…
Il raconte ensuite l’histoire qui a inspiré le chimiste en semi-conducteurs Don Robins pour commencer ses recherches sur cette capacité des matériaux non organiques à emmagasiner et transformer l’énergie.
Dans les années 1970, un zoologue traquait des chauve-souris avec un détecteur à ultrasons à l’approche de l’aube, lorsqu’il a entendu un signal fort venant d’un groupe de pierres levées. Pour autant qu’il puisse le dire, les pierres elles-mêmes étaient la source du bruit :
Il chercha des signes de vie dans le secteur, ne trouva rien et resta avec le sentiment étrange que les mégalithes eux-mêmes étaient la source du son vibrant, chantant au lever du soleil comme la statue colossale de Memnon semble le faire dans l’ancienne Thèbes. Je l’ai entendue. Peu avant l’aube, il y a un bourdonnement insistant. Un son de poitrine plutôt que de gorge, qui émane de la pierre et monte d’un ton quand la statue est frappée par les premiers rayons du soleil.
Cela pourrait être le résultat de l’énergie, peut-être piézoélectrique, qui surgit quand la substance s’échauffe. Certaines roches sont connues pour faire cela naturellement. Peut-être que d’autres peuvent être amenées à le faire et façonnées de manière à amplifier le son?
De telles possibilités ont été explorées en 1978 et 1982 par le Projet Dragon, un groupe informel de scientifiques qui s’intéressait aux énergies anormales. Ils emportèrent des détecteurs sensibles à large bande et des compteurs Geiger sur de nombreux sites mégalithiques et trouvèrent que de nombreuses mesures ne pouvaient être expliquées en termes de radiation fortuite ou de bruit aléatoire. Certaines … s’avérèrent être la source de signaux saisonniers qui atteignaient un pic puissant la plupart des matins à l’aube…
Depuis lors, Don Robins … a continué à étudier de plus près toute la question du stockage et de la transformation de l’énergie dans les matériaux inorganiques. Il a commencé avec la découverte que les rayons X peuvent être utilisés pour révéler la symétrie et le motif au sein de la structure atomique des cristaux.
Vu de cette manière, chaque élément inorganique consiste, semble-t-il, en une ossature à trois dimensions caractéristique ou un treillis d’atomes, dont l’architecture précise dépend de la pureté des éléments. … cette condition … fournit un moyen de piéger et stocker une information qui arrive. … Il y a selon les mots de Robbins, « une énergie sauvage au cœur du cristal » et on soupçonne que cela pourrait fonctionner comme une forme rudimentaire de mémoire inorganique.
Toute matière est sujette à perturbation par une radiation naturelle venant de diverses sources. Cela transforme certaines molécules en une sorte de ruines d’atomes, libérant une frénésie d’électrons libres qui subissent diverses destinées. Certains sont perdus entièrement, mais quelques-uns au moins sont capturés dans les remous énergétiques qui entourent l’architecture du cristal, à la manière des vents isolés qui semblent être créés par certains grands bâtiments.
Des cristaux impurs, comme des tours mal conçues, en arrivent bientôt à vibrer de la musique étrange de ces esprits sauvages qui peuvent être piégés et retenus captifs pendant des milliers d’années. Mais ils peuvent aussi être persuadés dans certaines circonstances de libérer leurs énergies et l’information qu’ils contiennent, à la demande.
…ce que Robbins suggère est que toute pierre, qui est après tout largement cristalline, devrait être considérée comme une sorte de macropuce.
Un système électronique naturel, quoique fortuit, capable de stocker des énergies et, dans des circonstances appropriées, les rejouer plus tard.
Les découvertes du Projet Dragon établissent clairement que des forces électromagnétiques et mécaniques se comportent étrangement sur certains sites préhistoriques et que ces anomalies sont directement liées aux pierres elles-mêmes.
Il est intéressant que notre première conscience instrumentale d’une telle singularité ait due provenir d’une machine conçue pour détecter le son. Et il est fascinant d’apprendre à partir des découvertes récentes en microélectronique que les motifs au cœur du treillis de cristal sont perturbés par les ondes sonores presque aussi facilement qu’ils le sont par l’énergie électrique.
Comme le fait remarquer Don Robbins, certains cristaux, dont le quartz, se trouvent être simplement des amplificateurs électroacoustiques naturels. [HK : le quartz est présent dans les pierres bleues de Stonehenge.] Tout à coup il semble merveilleusement opportun que notre relation avec des pierres spéciales ait toujours dû être si sonore, si généreusement accompagnée d’une cérémonie rythmique et de chants, si entrelacée de chants et de prières répétitifs.
Nous sommes, suggère [Robins], lié à notre environnement, à nos bâtiments, pierres et objets, par une boucle de rétroaction qui relie l’énergie des deux. …
Nous avons la capacité non seulement d’imprimer une trace électronique dans le cristal et la pierre, mais aussi la capacité de déclencher la libération de cette mémoire lithique dans certaines circonstances. Robins croit que le couplage est le plus souvent acoustique et que l’enregistrement est le résultat direct de signaux sonores structurés comme ceux produits par la musique, les chants, les prières, la danse, les applaudissements et les chansons rituels.
Robins prend soin de ne pas sous-entendre que l’énergie piégée est organisée d’une manière analogue à l’esprit. Elle n’est pas créative ou consciente, mais néanmoins porte un motif qui peut modeler ou induire un certain état d’esprit.
Autrement dit, en présence d’une telle pierre nous pouvons devenir conscients « des échos du passé » ce qui peut mener à une imagerie mentale particulière, peut-être même à une hallucination chez un individu ou même à une illusion collective.
Le quartz est apparu dans une autre source alors que je faisais des recherches sur les sujets de cet article.
Dans son livre Le Serpent Cosmique, l’anthropologue Jeremy Narby écrit :
Le quartz est un cristal, c’est-à-dire un arrangement extrêmement régulier d’atomes qui vibre à une fréquence très stable. Ces particularités font de lui un excellent récepteur et émetteur d’ondes électromagnétiques … Les cristaux de quartz ont joué un rôle dans le chamanisme dans le monde entier. … Les chamanes amazoniens … considèrent que les esprits peuvent se matérialiser dans ces cristaux de quartz, et devenir visibles. (p. 128)
Nous en lirons un peu plus sur Narby plus tard, mais la raison pour laquelle il discute du quartz est qu’il est utilisé dans presque toutes les expériences qui impliquent des biophotons, les photons émis par les organismes vivants. Bien que le mécanisme par lequel les biophotons sont émis ne soit pas connu, il a été observé expérimentalement et suggère des capacités à la fois d’émission et de réception. En fait, on l’a appelé langage « cellulaire » ou « biocommunication non-substantielle ».
Des cellules séparées par un écran de quartz sont mutuellement influencées par les processus de multiplication des unes et des autres. Il n’y a aucune influence mutuelle avec un écran en métal.
En fait, l’ADN émet constamment des biophotons dans le spectre visible. Leur lumière, quoique très faible, est très cohérente, comme un « laser ultra-faible ».
Un des collègues de Narby a décrit de telles sources : « Une source de lumière cohérente, comme un laser, donne une sensation de couleurs vives, une luminescence ainsi qu’un sentiment de profondeur holographique. » (p. 125)
Narby spécule qu’il peut y avoir un lien entre les biophotons et le phénomène de conscience et que cette lumière peut être la source d’hallucinations visionnaires, qui sont à la fois en 3D et extrêmement colorées. La stimulation de l’ADN peut provoquer l’émission d’ondes lumineuses visibles.
Un des principaux chercheurs sur le phénomène, Fritz-Albert Popp, a écrit à Narby : « Oui, la conscience pourrait être constituée par le champ électromagnétique formé par l’ensemble de ces émissions. » (p. 127)
Narby se demande si ces biophotons sont en fait les « esprits » vus par les chamanes amazoniens, « des êtres de lumière pure ».
Narby fait aussi remarquer que l’ADN est en réalité un cristal unidimensionnel et que les séquences répétées d’ADN non-codant forment un cristal périodique qui peut agir comme un récepteur de biophotons.
Si Narby a raison avec son idée que l’ADN peut avoir « la capacité de capter des photons en provenance du réseau mondial formé par l’ensemble des êtres vivants à base d’ADN » (p. 129), peut-être que Stonehenge était vraiment un « directeur d’énergie » ?
En poursuivant, j’ai lu récemment un autre article sur les recherches acoustiques conduites sur des sites en Irlande, à Malte, en Turquie et au Pérou qui pourrait compléter le tableau. Les recherches à l’Hypogée de Hal Saflieni à Malte ont amené les scientifiques impliqués à suggérer « que certaines fréquences de vibration sonore créées lorsque le son est émis dans l’enceinte des murs modifient réellement les fonctions cérébrales humaines de ceux qui sont à portée d’audibilité. »
Dans son article dans le journal Popular Archeology, Linda Eneix écrit :
L’activité cérébrale régionale chez nombre de volontaires en bonne santé fut surveillée par EEG au cours de l’exposition à différentes fréquences vibratoires sonores. Les résultats ont indiqué qu’à 110 Hz les modèles d’activité du cortex préfrontal changeaient brusquement, aboutissant à une désactivation relative du centre du langage et à un glissement temporaire de la dominance cérébrale de la gauche vers la droite, liée au traitement émotionnel et à la créativité. Ce changement ne se produisait pas à 90 Hz ou à 130 Hz……
En plus de stimuler leurs côtés plus créatifs, il semble qu’une atmosphère de son en résonance dans la fréquence de 110 ou 111 Hz aurait « allumé » une zone du cerveau dont les scientifiques bio-behavioristes croient qu’elle est liée à l’humeur, à l’empathie et au comportement social. Délibérément ou non, les gens qui ont passé du temps dans un tel environnement dans des conditions qui pouvaient comprendre une voix masculine grave – dans un chant rituel ou même une simple communication – s’exposaient à des vibrations qui peuvent avoir réellement affecté leurs pensées.
Ici, nous avons des approches totalement différentes qui aboutissent relativement à la même conclusion. Ci-dessus, Don Robins spécule que les propriétés électriques des pierres des mégalithes comme Stonehenge peuvent inspirer des expériences visionnaires. Jeremy Narby suggère un lien entre les cristaux, les biophotons et les états visionnaires.
David Lewis-Williams a écrit un livre entier sur l’imagerie induite par la transe, la disposition et le symbolisme des sites néolithiques, enraciné dans la psychologie cognitive. Rupert Till a montré que la structure de Stonehenge est parfaite pour induire un état de transe à cause de ses propriétés acoustiques (ce que Robins relie directement à la « mémoire lithique »), et Linda Eneix et al ont mesuré des changements réels dans le fonctionnement du cerveau en réponse à certains sons sur des sites néolithiques.
Notez que les zones du cerveau activées sont liées à la créativité, à l’empathie et au comportement social.
Dans la théorie polyvagale de Porges, ces fonctions et comportements sont intimement liés à la stimulation du nerf vague, ce qui est un des principaux effets des techniques de respiration dans Éiriú Eolas. Comme les pratiquants l’ont relaté sur notre forum, les expériences visionnaires sont une caractéristique commune de l’état de conscience relaxé, alerte et empathique qui résulte de la pratique régulière du programme.
David Lewis-Williams, toutefois, est prompt à réduire les visions néolithiques (et toutes les autres) à de simples hallucinations, sans aucun fondement réel et sans signification pour notre culture « scientifique » supérieure. (indice : c’est un matérialiste éhonté) J’ai eu une impression similaire avec Robins ci-dessus, surtout la dernière phrase citée du livre de Watson. Mais si vous avez lu mon article dans le numéro 14 de The Dot Connector, vous saurez ce que je pense du vieil oncle S.A.M. (naturalisme sensationniste-athée-matérialiste). Je pense que c’est une vision du monde grandement défectueuse et incohérente.
Je suis donc ouvert à l’idée qu’il puisse y avoir une certaine objectivité dans les données des états de transe chamaniques. (Narby serait d’accord sur ce point, signalant l’information biomoléculaire incrustée dans leurs visions.) Et s’il y a d’autres formes d’intelligence dans l’univers, comme les Cs éventuellement, peut-être que les mégalithes comme Stonehenge pourraient avoir été utilisés de la manière suggérée par les Cs ?
Échos du passé … Échos de l’avenir ?
Visions de Fumée !
Pendant que nous sommes sur le sujet du chamanisme, nous pourrions aussi bien finir cet épisode avec quelques mots sur le tabac. (Après tout, fumer du tabac est bien plus amusant que des débris cométaires fumants !)
Le tabac a été utilisé traditionnellement par de nombreux « techniciens de l’extase » dans les Amériques pour aider leurs quêtes de visions.
Dans Le Serpent Cosmique, Narby cite le travail de Johannes Wilbert, un expert pionnier sur le sujet, qui a écrit : « Le tabac est connu depuis longtemps pour avoir joué un rôle central dans le chamanisme d’Amérique du Nord et du Sud, tant pour l’atteinte d’états chamaniques de transe que dans la purification et la guérison surnaturelle » (p. 187).
Narby raconte aussi une conversation qu’il a eue avec un de ces guérisseurs à Quirishari, au Pérou, où il lui demande comment opère le tabac qu’il fume :
« Je dis toujours, la propriété du tabac c’est qu’il me montre les choses réelles. Je peux voir les choses comme elles sont. Et il expulse toutes les douleurs. … [Les âmes aiment le tabac] parce que le tabac a sa méthode, sa force. Il attire les maninkari [les êtres invisibles]. C’est le meilleur contact pour la vie d’un être humain. … [Les âmes existent] dans l’air. Cela veut dire que tu ne les vois pas, mais elles sont là, comme les ondes radio. Une fois que tu allumes la radio, tu peux les capter. C’est comme pour les âmes, avec l’ayahuasca et le tabac, tu peux les voir et les entendre. » (p. 36-37)
Narby a certaines idées très intéressantes relatives au chamanisme et à l’ADN, aussi je vous suggère de lire son livre.
Maintenant, voici certaines choses que les Cs (Cassiopéens) avaient à dire à propos du tabac le 27 juin 1998 [avec commentaires insérés] :
Q : Comment fumer peut-il être un mécanisme équilibrant?
R : Accélère le métabolisme, permettant donc une consommation de nourriture plus grande. […] [HK : Fumer non seulement diminue l’insuline dans le sang, ce qui réduit donc l’envie de sucreries des fumeurs ; mais les fumeurs ont aussi un métabolisme accru.]
Q : Donc, vous dites que la nicotine est réellement bonne pour moi?
R : Oui. Sans elle, vous conserverez des problèmes de poids, parce que vous ne serez pas capable de diminuer la consommation de nourriture suffisamment pour compenser. Pourquoi pensez-vous que vous avez eu l’idée de commencer à fumer en premier lieu?
[HK : Le tabac est un coupe-faim connu et agit sur une région de l’hypothalamus des souris pour ce faire, selon une recherche publiée dans Science en juin 2011]Q : Eh bien, je pensais que je suivais juste mes amis.
R : Non.
Q : Quelles autres choses fait la nicotine?
R : Augmente les défenses.
Q : De quel genre?
R : Immunologiques.
[HK : En réalité, la nicotine semble supprimer la fonction immunitaire, « mais pourrait avoir un potentiel thérapeutique en tant qu’agent neuroprotecteur et anti-inflammatoire » selon Mohan Sopori, qui écrit dans Nature.]Q : Autre chose?
R : Excite les neurotransmetteurs. Vous avez besoin de moins de sommeil.
[HK : A part stimuler simplement la libération de plusieurs neurotransmetteurs, Narby écrit dans Le Serpent Cosmique (p. 119) : « Plus vous donnez de la nicotine à vos neurones, plus l’ADN contenu à l’intérieur de ceux-ci active la construction de récepteurs pour cette substance, dans certaines limites. »L’acétylcholine se lie aux récepteurs nicotiniques et, par pure coïncidence, est aussi augmentée par la pratique d’Éiriú Eolas. Narby voit une relation entre la croyance des chamanes que les êtres invisibles « réclament » du tabac et la réponse de l’ADN : « Plus vous leur en donnez, plus ils en veulent. »]
Q : Est-ce vrai pour tout le monde?
R : Non.
Q : (A) Combien de nicotine est nécessaire?
R : 100 mg par jour.
Q : (A) Ce peut être sous forme de pilule?
R : Les cigarettes l’infuse aux tissus du cerveau le plus efficacement.
[HK : D’après cet article où nous lisons que « Les résultats de David Warburton ont été répétés plus tard dans de nombreux essais contrôlés de nicotine, y compris Parrott & Winder en 1989 : « Chewing gum à la nicotine et fumer des cigarettes : Effets comparatifs sur la vigilance et le rythme cardiaque ». Comme le montre le graphique, fumer est la méthode d’apport de nicotine la plus efficace… » ]
Q : Eh bien, je suis certainement soulagée ! Maintenant je sais que je n’ai pas un « démon fumeur » qui me possède ! Je commençais vraiment à m’inquiéter !
R : Ceux qui correspondent à ce profil trouvent qu’il est presque impossible d’« arrêter » complètement.
Q : Donc, il y a des gens qui tirent réellement avantage de fumer?
R : La génétique en donnera des preuves.
Q : Vous voulez dire qu’on peut voir des changements dans l’ADN avant et après avoir fumé?
R : Proche.
Et voilà :
De nouvelles études suggèrent que les antécédents génétiques pourraient être la cause des difficultés des fumeurs à arrêter ou à diminuer leur habitude.
Plusieurs gènes peuvent dicter à quel point vous êtes susceptibles de commencer à fumer ou de pouvoir facilement arrêter, en se basant sur les études.
Dans une étude financée par l’American Lung Association (Association américaine du poumon), des chercheurs ont étudié plusieurs centaines de métabolites chez 19 patients divisés en groupes de fumeurs et non-fumeurs. Ils ont trouvé une différence significative dans les métabolites chez les fumeurs et les non-fumeurs.
« Cela nous donne une idée sur la manière dont les gens produisent des métabolites différemment lorsqu’ils fument des cigarettes, ce qui se fonde sur leur profil génétique particulier et d’autres facteurs biologiques et environnementaux, » dit le chercheur Ping-Ching Hsu, doctorant et investigateur principal de l’étude.
En utilisant un scan pangénomique, des scientifiques ont analysé des échantillons de sang de fumeurs par rapport à des non-fumeurs et ont trouvé des modèles génétiques similaires chez les fumeurs …
Dans cette dernière étude, publiée dans l’American Journal of Medical Genetics, Philibert et ses collègues ont analysé des échantillons d’ADN de 94 personnes, certaines fumeuses, les autres non-fumeuses. En utilisant une technique appelée profilage transcriptionnel, ils ont examiné tous les 30 000 gènes du génome humain, en étiquetant par fluorescence ceux qui étaient activés contrairement à ceux qui étaient désactivés dans les deux groupes. Ce qu’ils ont trouvé fut à la fois prometteur et terrible : 579 gènes étaient plus activés et 584 autres gènes étaient moins activés chez les fumeurs par rapport aux non-fumeurs.
Il y a aussi la question de savoir si, une fois qu’une personne commence à fumer, une consommation accrue de nicotine amène certains gènes à s’activer ou se désactiver.
Harrison Koehli
Sott.net
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