Dans les années 1950, un visiteur français du nom de Bovi a observé dans les poubelles de la Grande Pyramide de petits animaux qui étaient entrés par inadvertance et avaient péri.
Leurs corps semblaient inhabituels, ne montrant aucune odeur ni signe de décomposition. Intrigué, Bovi a inspecté les restes et a découvert qu’ils s’étaient déshydratés et momifiés, malgré l’humidité de la pièce.
Considérant que la forme de la pyramide était cruciale, il a construit un modèle de la Grande Pyramide avec une base de 90 centimètres de côté, orientée précisément vers le nord. À l’intérieur, à un tiers de la hauteur, il a placé un chat récemment décédé. Quelques jours plus tard, le chat a été momifié, sans aucune décomposition apparente.
Cela a donné lieu à de nombreuses études sur ce que l’on appelle parfois « l’effet pyramidal ».
Les recherches ultérieures sur l’« effet pyramidal » ont donné des résultats contradictoires.
Des « découvertes sensationnelles » ont été annoncées, puis démenties. Les effets présumés incluent des bienfaits pour les graines de plantes, la suppression de l’activité microbienne, la réduction de la viscosité de l’huile et même des altérations du temps.
Si certaines affirmations frisent la fantaisie ou la fabrication, d’autres méritent d’être prises en considération. Une limitation importante de ces études est leur écart par rapport aux protocoles de recherche scientifique standard, qui garantissent l’intégrité expérimentale et l’analyse précise des résultats.
Des études plus rigoureuses suggèrent que la forme de la pyramide influence effectivement les processus biologiques, chimiques et physiques, un phénomène que la physique contemporaine ne prend pas en compte.
Les effets les plus prononcés se produisent à des points géométriques clés : le centre de la base, le centre de la pyramide et le sommet.
Les modèles avec des inclinaisons des bords correspondant à la Grande Pyramide et une orientation cardinale précise montrent les effets les plus importants, ce qui conduit à l’hypothèse selon laquelle la forme de la pyramide pourrait interagir avec l’espace-temps lui-même.
Un aspect crucial à considérer est que seule la forme pyramidale (selon les définitions géométriques) produit l’effet désiré, pas les cônes ou autres structures.
L’alignement précis de la Grande Pyramide avec les points cardinaux souligne l’importance de cette orientation pour ses constructeurs. Cet alignement n’est pas uniquement destiné au culte du Soleil, qui ne se lève plein est qu’aux équinoxes, contrairement à ce que pensent certains égyptologues. Il doit y avoir une raison pratique derrière cela.
Les données suggèrent que l’effet dit « pyramide » est nettement plus fort lorsque la pyramide, qu’il s’agisse d’un monument réel ou d’un modèle expérimental, est alignée avec les points cardinaux. Cet effet s’intensifie au lever et au coucher du soleil lors des solstices.
Bien que ces résultats attendent d’être définitivement vérifiés, la corrélation apparente confère une signification pratique à l’orientation précise de la Grande Pyramide.
L’impact exact sur les organismes vivants, les objets inanimés et les champs reste largement inconnu. De plus, il ne correspond pas à nos cadres d’interaction connus sur plusieurs aspects. Cependant, cela n’empêche pas l’étude de ses modèles, qui contribuera éventuellement à déterminer la nature de cet impact.
En laissant de côté ces « éléments exotiques » et en ne considérant que l’utilisation de l’énergie sismique terrestre dans la Grande Pyramide, la référence aux coordonnées géographiques pourrait avoir une justification pratique.
Les vibrations de la croûte terrestre, influencées par l’attraction gravitationnelle des corps célestes, et les vibrations sismiques détectées et intensifiées par la pyramide, dépendent évidemment des positions de ces corps célestes.
De plus, la rotation de la Terre sur son axe introduit une anisotropie attendue (non-uniformité dans différentes directions) dans les fluctuations de sa croûte. Cette anisotropie est intrinsèquement liée à l’axe de rotation de la planète, qui s’aligne sur les principales directions géographiques du nord et du sud.
Pour les constructeurs de la Grande Pyramide, l’optimisation de l’efficacité de l’exploitation de l’énergie sismique ou de l’« effet pyramidal » nécessitait un alignement précis de leur édifice. Cette précision n’était pas recherchée à des fins religieuses mais à des fins pratiques.
Mener des expériences directement dans les pyramides égyptiennes est extrêmement difficile : les recherches officielles sont strictement interdites et les initiatives « clandestines » d’amateurs sont sévèrement limitées par le besoin de confidentialité. Jusqu’à présent, seules des expériences préliminaires ont été menées, principalement pour déterminer s’il existait un sujet de recherche viable, mais ces premiers efforts ont donné des résultats prometteurs.
Les expériences en sont encore à leurs balbutiements et les projets de test d’une série d’effets supposés sont nombreux. Le temps révélera quels effets sont avérés et quelles nouvelles découvertes en ressortiront.
La quête visant à percer les mystères des anciennes pyramides repousse les limites de la connaissance scientifique contemporaine, ce qui est intrigant. Cela n’est guère surprenant si l’on considère l’hypothèse selon laquelle les pyramides ont été construites par une civilisation qui non seulement possédait une technologie avancée, mais aussi une compréhension plus approfondie des lois universelles.
Les chercheurs ont observé que malgré les similitudes frappantes entre les pyramides les plus sophistiquées sur le plan technologique, des différences importantes existent, notamment dans leurs structures internes. Aucune structure interne n’est identique, avec des variations dans l’emplacement des chambres, les dimensions et les angles de leurs faces.
Pourtant, il existe une uniformité inattendue dans la taille des couloirs et des passages, qui sont identiques dans toutes les pyramides. Ces couloirs et passages, bien qu’ils ne soient pas adaptés aux mouvements humains, sont conçus avec une précision exceptionnelle, ce qui suggère qu’ils ont pu fonctionner comme des guides d’ondes, similaires à ceux des systèmes d’antennes.
Cette observation soutient la théorie selon laquelle les pyramides auraient pu fonctionner comme des antennes, peut-être pour recevoir des signaux de nature inconnue provenant des profondeurs de l’espace.
Mais les antennes modernes peuvent fonctionner non seulement pour recevoir des signaux, mais aussi pour les émettre. Autrement dit, les pyramides peuvent être non seulement des antennes, mais aussi des émetteurs – des appareils qui ne reçoivent pas de signaux de l’espace lointain, mais au contraire, envoient des informations ou de l’énergie à une autre planète.
Et cette version est tout à fait cohérente avec le fait qu’en même temps, la pyramide extrait cette énergie des entrailles de la Terre.
Quoi qu’il en soit, les plus grandes pyramides antiques d’Égypte (et peut-être aussi du Mexique et de Chine) ne sont peut-être pas du tout des structures ou des tombeaux cultuels et religieux, mais des dispositifs techniques.
Au lieu de conclusions
L’analyse de certains aspects techniques des pyramides antiques suggère qu’elles ne sont pas révélatrices d’une société primitive datant de l’aube des civilisations connues, mais plutôt de technologies très avancées, dont certaines pourraient même surpasser les capacités actuelles.
Malheureusement, les historiens n’ont pas reconnu l’existence d’une civilisation aussi avancée dans le passé de la Terre, négligeant souvent les preuves évidentes pour les technologues et se limitant à des théories spéculatives.
Nos ancêtres n’avaient aucun doute quant à l’ existence d’une civilisation extrêmement avancée sur Terre dans l’Antiquité, et ils appelaient ses membres des « dieux » qui vivaient parmi les humains. Ils ont laissé derrière eux une multitude d’informations sur cette époque dans des légendes et des traditions, que les historiens contemporains ont largement rejetées comme de simples mythes et fantasmes.
Pourtant, les faits tangibles confirment de plus en plus non pas le récit historique conventionnel enseigné dans les écoles, mais la véracité des légendes et des traditions anciennes. Si tel est le cas, alors l’histoire de la civilisation humaine est très différente de la version présentée dans les manuels scolaires.
On peut choisir d’ignorer l’évidence ou, au contraire, d’affronter les faits « gênants » ignorés par les historiens et les archéologues et de s’efforcer de reconstruire une histoire de l’humanité très différente, « alternative », qui se rapproche peut-être davantage de la réalité.
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