Décédée le 9 avril 2021, à 85 ans, Judith Reisman avait mené un juste combat : sauver les enfants de ces adultes pervers qui veulent les sexualiser dans les faits depuis la naissance et le faire accepter par la société.
Un certain Dr Alfred Kinsey — père de la révolution sexuelle et de la « théorie du genre » — s’était lancé dans des expériences de viol sur enfants !
Il était financé par la fondation Rockefeller, ce qui explique que la Justice ne se soit pas penchée sur son cas. Il voulait absolument démontrer qu’on était non seulement sexué, mais aussi sexuel dès la naissance, ce qui devait impliquer le passage à l’acte. Pas de fantasme, d’imaginaire en devenir, mais carrément des faits ! Judith Reisman a étudié les graphiques de ce médecin qui fournissait des données sur des bébés qui avaient eu des orgasmes. Comment ces bébés avaient-ils pu avoir des orgasmes et comment cela a-t-il pu être observé ? Un enfant de 4 ans aurait eu 26 orgasmes en 24 heures.
Pour obtenir des données sous un prétexte « scientifique », le Dr Alfred Kinsey se fondera en partie sur les recherches d’un ancien officier nazi devenu gardien de cimetière, puis professeur de religion, Fritz von Balluseck, qui avait violé des centaines d’enfants. Ce dernier avouera à son procès : « C’est Kinsey lui-même qui me le demandait. » L’éducation sexuelle à l’école à la mode Kinsey a été appliquée en 2011 en Croatie sous l’impulsion de George Soros. Promouvoir la pédophilie, détruire les structures familiales, c’est la vague LGBT prônée au Forum économique mondial de Davos.
Dans la vidéo ci-dessous, Marion Sigaut revient sur les rapports de Alfred Kinsey qui ont été à l’origine de la révolution sexuelle, aux États-Unis puis dans le monde. Elle montre, à l’aide du documentaire « Alfred Kinsey : pédophilie et révolution sexuelle » et des ouvrages de Judith Reisman, que les rapports étaient truqués et qu’ils ont été rédigés par des pédophiles, notamment en ce qui concerne Alfred Kinsey lui-même.
Kinsey : Pédophilie et Révolution Sexuelle. Reportage américain sur la pédophilie et son origine. Attention : Certaines parties de ce document sont choquantes.
En juin 2019, Alfred Kinsey était l’un des cinquante premiers « pionniers et héros » américains intronisés sur le mur d’honneur national LGBTQ au sein du Stonewall National Monument (SNM) au Stonewall Inn de New York. Le SNM est le premier monument national américain dédié aux droits et à l’histoire LGBTQ.
Vidéo en haut de l’article : Ce que vous ne saviez pas sur Kinsey
Qui n’a jamais entendu parler des « rapports Kinsey » ? Dans les années ’60 et ’70, alors que la révolution sexuelle transformait les mœurs et la structure des sociétés occidentales, ils en furent la caution scientifique, et même plus, la caution morale puisqu’il se disait que le puritanisme avait étouffé des pulsions naturelles et saines, et que chacun, homme, femme et même enfant, allait enfin être libéré. Publiés en 1948 et 1950, ces rapports sortirent rapidement des cercles universitaires pour inonder les publications grand public : journaux, magazines féminins, et bien sûr presse gravitant autour des mouvements pour la libération des femmes. Alors que le « jouir sans entraves » de Mai–68 allait faire florès, ces rapports nous disaient comment jouir, avec qui, combien de fois et par quelles stimulations, ouvrant la voie à ce que l’ONU est en train d’établir : des « droits sexuels » pour tous, dès l’âge de 10 ans. Car les prémisses des travaux de Kinsey – biologiste spécialiste des insectes – sont qu’en matière de sexualité il n’y a pas de normes, il n’y a que des comportements qu’il prétend observer comme il a observé les guêpes : homosexualité, sado-masochisme, voyeurisme, pédophilie et zoophilie ne sont ainsi que des variations d’une sexualité épanouie.
Mais pour établir ces rapports – financés par la Fondation Rockefeller – Kinsey va puiser à toutes les sources : prostituées, prisonniers, enfants à peine pubères et même nourrissons, ce qui n’empêchera pas leur parution d’être saluée comme une avancée scientifique, alors qu’ils n’étaient qu’un instrument de la promotion de l’idéologie libertaire et de la destruction des structures familiales.
C’est en 1966, après le viol de sa propre fille âgée de 10 ans par un jeune de 13, que Judith Reisman se met à étudier les rapports Kinsey. Ayant entendu répéter à cette terrible occasion que « les enfants sont sexuels dès la naissance », elle a voulu comprendre d’où venait cette assertion qui semblait largement répandue. Les travaux de Kinsey, après avoir réussi à faire admettre que tout le monde est peu ou prou homosexuel, étaient bien à l’origine de l’étape suivante : la sexualisation des enfants, dans le sillage d’un Jack Lang qui déplore que « la sexualité puérile est encore un continent interdit » et d’un Thierry Lévy qui se plaint avec véhémence du tabou de la pédophilie. Consciente des enjeux civilisationnels et moraux qui se cachaient derrière les tableaux froids de rapports qui se présentaient comme scientifiques, Judith Reisman est partie en guerre contre ces études, les méthodes employées, la pertinence des échantillons, mais aussi et surtout contre leurs conséquences – la « restructuration » des cerveaux – qui se font sentir si dramatiquement aujourd’hui.
Née aux États-Unis en 1935, Judith Reisman est une essayiste et conférencière américaine. Titulaire d’un doctorat en communication, professeur invité à l’école de droit de la Liberty University en Virginie, elle a écrit de nombreux essais autour de la pornographie, de la pédophilie et de la banalisation de la sexualité dans l’espace public.
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