Nouveau paradigme

Le « fou » argentin qui a résorbé le déficit et réduit l’inflation de 25 % à 2,4 %

Surnommé "el loco", le fou, le président argentin est en train de tout gagner.

Le président argentin Javier Milei est depuis longtemps une cible irrésistible de la presse et des experts. Lorsqu’il est arrivé au pouvoir avec son célèbre programme « Afuera » (Dehors !) visant à réduire considérablement les dépenses publiques, l’Argentine était considérée comme un cas désespéré qui avait largement dépassé la ligne rouge de la reprise.

On s’est moqué de lui en le traitant de clown pour avoir cherché à appliquer des politiques libertaires à l’économie.

Milei pourrait bien avoir le dernier mot. Après seulement un an, son gouvernement a éliminé le déficit et réduit l’inflation de 25 % à 2,4 %.


En Argentine, le taux d’inflation mensuel a ralenti à 2,4% en novembre, son niveau le plus bas depuis plus de quatre ans. L’inflation avait ralenti à 2,7% en octobre.

Au lieu d’un déficit désastreux, le pays affiche désormais un excédent budgétaire d’environ 0,4 % du PIB.

Les médias ont reconnu à contrecœur que le pays avait bien du mal à faire face à cette situation.

L’Associated Press décrit d’abord l’amélioration de la situation économique en raison que « le manque d’expérience de Milei au gouvernement, sa coiffure négligée, ses fanfaronnades sexuelles et son zèle missionnaire pour son chien mort, les Rolling Stones et le marché libre n’inspirait pas beaucoup de confiance dans un pays dont l’histoire est marquée par l’échec des réformes économiques ».


Après avoir discuté du chômage et des mesures « brutales », l’article aborde enfin les statistiques à peu près à mi-chemin en notant que :

« Des signes sont apparus qui montrent que l’économie argentine, bizarre et mal gérée depuis longtemps, commence à se normaliser. L’inflation mensuelle a chuté, les obligations ont rebondi et l’écart étroitement surveillé entre le dollar du marché noir et le taux officiel s’est réduit de 44 %. L’indice de risque pays de l’Argentine, une mesure influente du risque de défaut, est à son plus bas niveau depuis cinq ans. »

Il se pourrait que davantage de dirigeants envisagent d’acheter une tronçonneuse et de licencier leur coiffeur.

Source : Jonathan Turley Décembre 2024


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