Divulgation cosmique

La récupération des vaisseaux extraterrestres accidentés

Interview de Emery Smith par George Noory pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 11 épisode 6

George Noory : Je suis George Noory, et avec moi, Emery Smith. Nous allons parler de la récupération de crashs extraterrestres. On a surtout entendu parler de Roswell et de ces crashs d’ovnis.

Emery, bienvenue dans l’émission.

Emery Smith : Merci George.


George : Avez-vous été dans ces programmes de récupérations ?

Emery : Oui.

George : Où ?

 

Emery : J’étais stationné au Nouveau-Mexique à la base de Kirtland.


C’est là que se trouve une de leurs principales installations où ils ont des groupes de personnes, de partout aux USA, qu’ils font venir en fonction de leur spécialité.

Je faisais partie d’une équipe de trois qui allait évaluer le site, un peu comme la police scientifique quand il y a un mort, et ils isolent la scène. L’armée arrive en premier. Ils dressent des parois, sécurisent les lieux, et on y entre avant tout le monde pour, en gros, examiner tout ce qui s’y trouve et la navette, s’il y a des corps, ce qu’on peut toucher sans crainte ou non. On met en place beaucoup d’appareils différents. On installe des camps à une centaine de mètres de distance, pour analyser le site du crash, pour s’assurer qu’il est sûr de s’approcher.

On utilise toutes sortes de caméras spéciales pour scanner les lieux avec des satellites, et s’assurer qu’il n’y a pas d’entité biologique extraterrestre encore en vie, et s’il y en a, y aller et s’en occuper d’abord. Et vu qu’on examinait déjà de très nombreux corps, j’ai fait partie de ce projet pour distinguer de quel type d’extraterrestre il convient, et s’il était sûr de s’approcher.

Avec la navette et tout le matériel là-bas tout autour, comme les appareils, vu que beaucoup ont des technologies assistées par la conscience qui sont connectées biologiquement aux extraterrestres. Vous ne voulez pas éteindre une navette qui pourrait garder en vie le corps d’un extraterrestre.

C’est en fait le triage de cet endroit. Est-ce sûr ? Si ça l’est, les autres équipes peuvent venir pour la collecte des débris, des appareils, des corps, etc.

George : Pourquoi s’écrasent-ils autant ?

Emery : Quand des extraterrestres apparaissent en 3D, même s’ils sont inter-dimensionnels, ils sont toujours soumis aux lois de notre espace tridimensionnel. Ils ne sont pas infaillibles, d’accord?

Ils peuvent nous semer, former un champ de flux de gravité autour de leur navette, et, voyez-vous, des choses arrivent. Ils ne sont pas parfaits, et leurs navettes peuvent avoir des problèmes. On a probablement tiré dessus, soyons honnêtes.

George : Vraiment ?

Emery : Oui, avec l’infratométrie scalaire et des armes à faisceau énergétique. Il se passe beaucoup de choses comme ça, car les gouvernements et les corporations ne veulent pas que les gens sachent que tout ça existe. Car si on prouve qu’elles existent, tout le monde saura que ces êtres ne sont pas venus avec des énergies fossiles, mais avec l’énergie du point zéro, l’énergie libre.

George : Et on veut cette énergie.

Emery : Et ils perdront tout leur argent, car on ne payera plus de factures d’électricité.

George : Qu’est-ce que l’énergie scalaire ?

Emery : L’infratométrie scalaire est utilisée depuis très longtemps. Je ne fais généralement de pub à personne, mais Tom Bearden a écrit un bon livre sur la photométrie scalaire, si vous voulez en apprendre plus. C’est un type spécial de fréquence qui voyage dans le temps et dans l’espace.

S’il y a un appareil, disons en Chine, ils pourraient la tirer à travers la terre et ne vaporiser que vous. Ils peuvent créer un énorme tremblement de terre au large des côtes en Asie et donc un tsunami, ou ils peuvent créer un ouragan pour détruire Biloxi.

Ces armes sont donc très dangereuses. Il n’y en a que six, je crois, qui sont répertoriées, et on les a tout le temps utilisées. À chaque événement cataclysmique, c’est généralement fait intentionnellement pour démontrer à un autre pays : « Si vous ne nous donnez pas ce qu’on veut, on vous anéantira, comme pour Sumatra. » C’était un test pour montrer de quoi on est capable.

La Yakuza japonaise en a une. Et bien sûr, les Etats-Unis. Et le Brésil, je crois.

George : D’où tient-on cette technologie ?

Emery : On l’a développée, et ça vient aussi des trucs rétro-conçus qu’on a trouvés. C’est le mauvais côté de tout type de technologie extraterrestre, tombant entre les mauvaises mains. Mais elle peut aussi servir à soigner. Elle peut être employée pour nettoyer Fukushima en 20 secondes. Pourquoi on ne l’utilise pas pour améliorer la planète, c’est la question.

George : Dans une récupération de crash, que voit-on ?

Emery : Je vous donnerai un exemple : je suis tombé sur une navette ressemblant à des legos géants.

Elle devait faire 15 mètres de long sur peut-être 10 ou 12 mètres de large, et elle s’effondrait et semblait être faite à partir d’une météorite, mais métallique, très métalloïde. Elle était un peu enfoncée dans le sol. Elle avait expulsé de la terre.

On s’était approchés de cette navette qui avait été scannée par les satellites, à la recherche de radiations et tout ça. On était les premières personnes à s’en approcher. Je n’avais jamais vu ça dans les projets, c’était donc nouveau pour moi. Elle avait des qubits cassés de partout qui émettaient une lueur orange, mais sans chaleur ou quoi que ce soit.

George : Pas de fumée ni rien ?

Emery : Non, aucune fumée ni poussière. Il y avait beaucoup de débris derrière à quelques centaines de mètres qui étaient jonchés de toutes sortes d’appareils extraterrestres et de trucs qui avaient dû en tomber. Il y avait trois êtres extraterrestres là-bas. Deux étaient morts, le troisième tentait de sortir. Et ils étaient de type humanoïde, de couleur plutôt bleutée et très grands, 1,80 à 2,15 mètres.

Et on devait être très prudents, car on percevait toujours un vrombissement venant de la navette, comme si elle était toujours active, opérationnelle. On doit faire attention à ne rien toucher et que ça n’explose. Et souvent quand on est face à cette situation, la navette tente en fait de maintenir le corps en vie. Il y a aussi des experts présents qui, si on ne sait pas de quel type d’extraterrestres il s’agit, ils tentent certaines choses avec ça.

Une fois, ils ont amené un extraterrestre dont ils ne connaissaient pas la race, et ils tentaient de le réanimer. Mais ils le faisaient par le mauvais orifice. Il y avait un autre orifice près de la fourchette sternale par lequel il respirait, et ils ont donc pu le réanimer.

C’est pourquoi ils font appel à nous car on connaît mieux l’anatomie de ces êtres. On sait comment tout ça fonctionne. On connaît aussi beaucoup d’équipements accompagnant ces êtres et leurs navettes. C’est donc un très grand triage de tout et pour s’assurer qu’on peut toucher ceci, mais pas ça. Vous savez : « Évacuons cet être immédiatement par les airs. Tentons de sauver cet être. »

En même temps, on a des appareils spéciaux, pour savoir si le fait de sortir l’être de la navette pourrait être mortel pour lui.

George : Vous avez des ambulances et tout à proximité ?

Emery : Ça dépend d’où on se trouve. Si c’est près d’autoroutes ou au milieu de nulle part, ils utilisent des ADAV géants, des hélicoptères et plein d’autres choses, mais il y a toujours une équipe au sol. Le service d’incendie, le service des forêts, et les services de police ont tous leurs protocoles pour les ovnis écrasés bien sûr, pour sécuriser la zone. Personne ne doit rien savoir et aucun média avant que l’armée arrive, et l’armée est plutôt très rapide, vous savez, dans les 30 minutes du crash, peu importe où sur la planète, il sera sécurisé aussi vite par un groupe de types des forces spéciales entraînées pour ça, qui n’ont rien à voir avec, mais qui savent que c’est la zone qu’ils doivent protéger avant que les renforts n’arrivent, et ils sont déployés très vite.

George : Dans vos cercles, ont-ils parlé de Roswell ?

Emery : Jamais. On sait tous que c’est arrivé, que c’est triste. Ils ne savent rien de l’autre crash à Socorro au même moment.

Crash Socorro (île du Mexique)

George : Et à Cap Girardeau.

Crash Cap Girardeau (Missouri)

Emery : Exactement, oui. Ça arrive souvent et c’est juste triste. En fait, on en a tant parlé que c’est dur pour certaines personnes d’y croire ou de ne pas y croire, à cause de la désinformation. On n’en parle donc pas vraiment dans les projets, comparé aux nouveaux trucs qui arrivent quotidiennement qui sont 10 fois plus excitants. Même si c’est maquillé, c’est enregistré quelque part. C’est dans une base de données.

Je crois qu’un des pays de notre G8, qui est très doué pour le piratage, hackera bientôt ces trucs et exposera ces événements.

George : Et les récupérations anciennes, remontant même aux temps bibliques de l’antiquité ? Y en a-t-il ?

Emery : Bien sûr. On trouve des navettes tout le temps avec des géoradars, au plus profond de la croûte terrestre, et en fait, ce qu’ils font dans ce type de situations, c’est les scanner avec des technologies spéciales. Et ils les font remonter à la surface, ces informations, et ils imprimeront en 3D tout le vaisseau, même s’il fait 30 mètres ou est aussi grand que le Titanic. Ils le recréent en 3D, tout le vaisseau, et le configurent, et l’utilisent quelques années, pour pratiquer quand on y entre, quand on va là ou là, et ce qu’on a là et là, ça dépend s’il émet une signature énergétique dont on doit se méfier.

Il se passe beaucoup de choses avant de creuser le sol pour aller voir ces trucs. Car certaines navettes, parfois, on ne sait pas comment elles ont atterri dans le granite. S’est-elle télé-transportée au mauvais endroit et est restée coincée ?

Ils prennent donc ces choses très au sérieux, et ça peut durer de nombreuses années avant de les atteindre, et c’est ce qui arrive en Antarctique maintenant. Ils en ont trouvé beaucoup. Ils ont trouvé une ancienne grande civilisation.

George : Des villes aquatiques ?

Emery : Oui. Cela étant dit, ils doivent faire attention, car en fonction d’où ils sont, combien d’organisations sont impliquées, combien de gouvernements participent, quelles sont les chances de fuites. Ils sont très stricts maintenant quand à qui y descend. Ils ont aussi une campagne de désinformation prête là-bas, sur des artéfacts mayas et égyptiens pour désorienter les archéologues qui y descendront plus tard pour les dépister un peu.

George : Vous a-t-on mis sur les récupérations, à cause de votre expérience en médecine ?

Emery : On m’a mis sur des récupérations seulement à cause de mon expérience en classification des extraterrestres et de leurs appareils, et pour travailler sur leurs navettes. J’étais plus là pour dire : « Voilà ce que je sais sur ce corps, sur cet appareil, sur cette navette. » Certains extraterrestres, on ne peut pas les toucher.

George : Vous pourriez vous contaminer.

Emery : Oui, c’est comme avec une anguille, on doit être très prudent. Et la science derrière tout ça, la navette communiquant avec les appareils, avec les organismes cybernétiques qui sont dedans, pour aider à soigner la navette, ils ont leurs propres trucs qu’on apprend toujours. Comme lors des crashs de nos avions, on a un protocole. Ils ont également un protocole, et aussi, transmet-il quelque chose ? Ou appelle-t-il à l’aide ? Vont-ils se dématérialiser maintenant ?

C’est donc comme une zone de triage, et vous avez affaire à une situation très chaotique. C’est triste, car on ne sait pas ce qui est arrivé, surtout s’il y a des corps.

Georges : Avez-vous trouvé des extraterrestres qui étaient toujours en vie, mais blessés ?

Emery : Oui, bien sûr, souvent, les extraterrestres sont en vie, et bons. Parfois ils communiquent par télépathie. Parfois, ils parlent des langues qu’on ne comprend pas. Juste comme quand vous tentez d’aider un étranger qui a été renversé par une voiture, et que vous ne comprenez pas ce qu’il dit, vous savez qu’ils ont mal et vous tentez d’aider.

C’est une situation très difficile à vivre quand il y a un problème de communication, car tous ne communiquent pas de manière télépathique ou ne parlent pas anglais, bien sûr. Il faut donc être très délicat, et en même temps, on est vraiment là. On veut vraiment aider cet être. On veut le sauver et le remettre sur pieds, mais le soulever peut peut-être le tuer aussi. Ou le séparer de la navette peut le tuer, et quand on sait qu’il y a ces signatures énergétiques, parfois ils s’apprêtent déjà à bouger la navette, peu importe ce qui arrive. Donc parfois, on remettra l’être dans la navette. Ça aide énormément de remettre l’être dans la navette et de transporter les êtres et la navette en même temps.

Il y a beaucoup de cas avérés où la navette tente de se soigner seule, pour tenter de créer une nouvelle coque sur la coque. Et beaucoup de ces navettes sont créées par le son dans l’espace, et elles sont imprégnées de la conscience de la personne, et font donc partie de la personne, en fait.

George : Elle vit.

Emery : Oui, la navette vit.

George : C’est incroyable.

Emery : Oui.

George : Une navette biologique ?

Emery : Tout à fait, une navette biologique.

George : La navette lego, était-elle biologique ?

Emery : Oui, absolument.

George : Parlez-moi de la contamination et des possibilités de contamination de la planète.

Emery : Vous savez… la navette est mise immédiatement dans ces tentes géantes en forme de bulle, surtout s’il existe toute sorte de contamination très mauvaise qui pourrait se propager.

George : Comment le savez-vous ?

Emery : On a ces appareils qui scannent la zone avec des fréquences. Je vous en ai parlé.

George : C’est vrai.

Emery : Ces appareils ont des bases de données de bactéries, virus et autres trucs comme ça, dont on doit protéger la planète malgré tout, et il y a eu des occasions où ils stérilisent toute une zone. Et ils vaporiseront complètement toute cette navette, juste parce qu’il y a pu y avoir un agent chimique ou biologique. Et ils utilisent alors des armes génétiques spéciales et tout pour vaporiser toute la zone, sans porter atteinte à l’espace environnant, un minimum de dégâts.

C’est comme une zone d’exclusion aérienne ici, car on est une espèce vraiment diabolique. Tout ce qui s’approche de notre espace, on veut l’abattre. Les navettes viennent donc moins que dans les années 1950 et 1960, bien sûr, et 1940. Car on a ces détecteurs de lumière neutrino sur les satellites qui captent différentes ondes énergétiques qu’on peut repérer et abattre ou vaporiser avant qu’elles arrivent.

Puis il y a ces autres extraterrestres très avancés qui pourraient être à notre porte sans qu’on le sache, dans le vaisseau mère, car il est invisible et n’émet aucune énergie. Donc, cette technologie possède de nombreux niveaux différents.

George : C’est vraiment extraordinaire, la manière dont on extrait ces navettes. De combien parle-t-on, vu que vous savez combien ? Deux, trois, cent ?

Emery : Des centaines.

George : Des centaines de crashs ?

Emery : Oui, des centaines.

George : Combien ont été abattus ?

Emery : Je ne sais pas.

George : Pourquoi tant d’hostilité ?

Emery : Ils ne peuvent permettre aux Américains ni autres peuples de la Terre de savoir qu’ils existent, car dans ce cas, ça détruirait les énergies fossiles et Big Pharma.

George : S’ils sont vivants quand vous arrivez sur la scène, que faites vous ?

Emery : Je tente d’abord de savoir si… vous savez, c’est un truc conjoint, deux autres personnes et moi, on est les premiers à s’approcher après le scannage, après avoir vu les données. Et s’ils sont vivants, on s’approche des êtres, si c’est sûr pour nous, et on tente de communiquer d’abord. Après avoir communiqué, pour voir si on peut proposer notre aide, on pose des questions si l’être peut communiquer. D’abord : « D’où êtes-vous ? Comment êtes-vous arrivés ? Comment peut-on aider le reste de l’équipage ? » On pose des questions élémentaires qu’on poserait à quelqu’un lors d’un accident de voiture.

Emery : Réconfortez-vous l’extraterrestre ?

Emery : Bien sûr, ils savent qu’on est plein de compassion. Ils ne sortent pas d’armes ou de trucs comme ça. C’est un crash. On ne nous dit pas s’ils l’ont abattu ou non, quand on arrive. On est là pour établir un contact, pour identifier les extraterrestres, pour tirer la navette, trier tous les appareils qui sont là, car certains appareils sont aussi vivants.

Il se passe beaucoup de choses en un moment. Avant que l’équipe arrive, on doit déclarer la zone sûre pour qu’elle puisse venir faire ce qu’elle a à faire. Et « sûre » signifie juste que vous ne mourrez pas en vous approchant. Vous voyez ?

George : Oui !

Emery : Des champs électromagnétiques qui pourraient toujours être actifs, ou des extraterrestres s’ils sont connus pour porter différentes souches biologiques. On a eu de nombreux corps sur lesquels on a travaillé, et juste comme on a des bactéries sur notre corps, qui ne sont pas bénignes. On a des staphs (diminutif de staphylocoques) sur notre corps tout le temps, mais notre système immunitaire les combat. Il sont donc aussi parfois porteurs de bactéries, de virus et tout ça.

On doit donc faire attention à ça. Même si ce sont des extraterrestres sains, c’est un risque de contamination. Cela reste un risque biologique. On doit donc prendre ces êtres et les escorter dans des avions spéciaux qui contiennent ces chambres hermétiques à oxygène hyperbare dans les avions, pour les y faire monter.

Parfois, des scientifiques montent aussi pour continuer à communiquer et tout ça. Et de là, la navette, généralement, est bien sûr immédiatement enlevée, aussi vite que possible, s’ils le peuvent.

George : Si.

Emery : Si, oui, car sinon, ils mettront en scène un gros truc pour les gens là-bas, comme dans « Rencontre du troisième type », en disant qu’il y a une épidémie ou une fuite chimique, par exemple…

George : Pour nous faire peur.

Emery : Voilà.

George : Ont-ils du sang ?

Emery : Oui.

George : De quel type ? L’avez-vous testé ? O positif ?

Emery : Non. Non, c’est similaire, pas du tout comme ça. On est très semblables, vous savez. Ils ont des cellules pour transporter l’énergie, peu importe pour quoi : de l’oxygène, le transport de minéraux, et ils ont leur propre système immunitaire. On classifie ça très différemment que notre propre sang, bien sûr, mais c’est similaire, je veux dire. Ils ont un type similaire de cellules, des cellules qui font des trucs spécifiques dans le corps. Et ils ont parfois d’autres cellules qu’on ne connaît pas, qui font d’autres choses, comme produire de l’énergie dans la cellule même pour se soigner.

George : Ces extraterrestres que vous avez dit qu’on avait abattus, quand vous vous approchez, comment réagissent-ils ?

Emery : D’abord, ils ont plus de valeur pour nous vivants que morts, pour les projets. Et comme dans une guerre moderne, quand on abat notre ennemi et qu’on va le chercher après qu’il ait atterri en parachute, s’il est blessé, on l’aide toujours à s’en remettre.

Ils n’ont parfois pas le choix, car dans le cas contraire, ils ne seraient pas là, je crois. Ils seraient partis. Donc, quand ils nous voient avec notre compassion, et peu importe qu’ils réalisent ce qu’il se passe… ils sont extrêmement intelligents. Ils savent déjà ce que les gens pensent. Ce n’est pas comme si c’était top secret. Ils savent juste qu’on tente de faire l’effort de les sauver s’ils veulent être sauvés ; ça se passe normalement comme ça. Je ne pense pas qu’ils nous jugent d’emblée, car c’est comme quelqu’un qui vous tend une main quand vous êtes dans les rapides de la rivière. Voulez-vous alors attraper la main ou plutôt parler de cette intention ?

George : Bien vu. Avez-vous déjà récupéré une navette dans l’océan ?

Emery : Oui.

George : Comment les sortez-vous de l’eau ?

Emery : Le temps qu’on arrive, d’habitude, c’est sur un porte-avion ou un autre bateau, sur lequel ils l’ont déjà transporté. Ça sera quelque part aux Etats-Unis près d’installations militaires. Ils l’ont déjà sorti de l’eau, collecté, mis en quarantaine jusqu’à nouvel ordre.

George : Vous ne descendez donc pas en sous-marin, c’est déjà hors de l’eau ?

Emery : Oui.

George : Une fois la récupération faite, disons que vous avez aidé à sauver un extraterrestre, entrez-vous à nouveau en jeu ou que se passe-t-il ?

Emery : Non, la seule fois où j’ai vu un extraterrestre deux fois, c’était quand il était vivant quand je l’ai vu sur le site, et peut-être un mois après, je l’ai vu mort dans les projets. Et j’ai vu la navette deux fois, car ils la mettent dans un endroit, l’étudient et font des prélèvements.

George : Mais en général, ils ne vous appellent pas pour revenir les aider ?

Emery : Non.

George : Ça doit être passionnant pour vous. Et d’un autre côté, ça doit être attristant. Comment vous sentez-vous ?

Emery : Oui, on a une poussée d’adrénaline. On est excité. C’est notre boulot. On y va comme des gentils, pour aider, pour communiquer. C’est un moment où vous êtes un peu éclairé. Et on ne sait pas ce qui s’est passé. Je ne peux pas le demander. Je peux le demander à l’extraterrestre, et il peut me donner quelques informations. Mais pour l’essentiel, c’est notre boulot qu’on doit faire comme une mission, et personnellement, c’est un moment très excitant, en effet.

George : Bien sûr.

Emery : Mais ça peut être triste aussi, surtout quand on voit d’autres êtres qui peuvent être des enfants ou des animaux de compagnie et tout ça.

George : Quand vous arrivez pour une récupération qui est isolée, avez-vous remarqué des changements environnementaux dans cette zone ?

Emery : Oui, absolument. Une fois la navette extraite, on prélève encore beaucoup d’échantillons dans la zone, et parfois la zone est stérilisée, ça veut dire vaporisée partout. Et même quand ça arrive, il y a eu des moments où ces zones avaient toujours des petites bêtes qu‘on avait jamais vu, et elles avait muté avec notre vie végétale et avec nos insectes, et les choses là-bas changent.

Je crois que beaucoup de ces espèces qui sont découvertes sur la planète tous les jours le sont à cause de ces choses, à cause de ces mutations venant de navettes extraterrestres et des extraterrestres qui ont été introduits ici. Donc oui, ça a un énorme effet sur l’environnement. Et il y a quelques navettes en Amérique latine, dans le sol, qui sont là depuis un moment déjà, qui sont petites mais toujours opérationnelles.

George : Vous en aviez déjà parlé, elles changent aussi l’environnement.

Emery : Oui, et l’environnement devient un magnifique lieu de type Avatar.

George : Interdisent-ils l’accès à la zone après que tout le crash ait été extrait, et tiennent-ils les gens loin de là pour un bon moment ?

Emery : S’ils ont encore besoin de faire des prélèvements, ou selon d’où elle est. Est-ce une zone très visible ? Est-ce quelque part au milieu de la jungle où personne ne pénètre jamais ? Ça reste là tout le temps qu’ils doivent faire des prélèvements et tout collecter, puis tout revient à la normale.

George : Que faites-vous des extraterrestres qui sont saufs ?

Emery : Je ne sais pas ce qu’ils en font. Je ne suis jamais revenu avec un extraterrestre vivant, ce n’est pas ma spécialisation.

George : Pas de votre ressort.

Emery : Oui, ce n’était pas mon truc. J’étais juste là pour analyser les corps, les navettes, les lieux, ce qui s’est passé, communiquer avec les extraterrestres, et si c’était le cas, on tentait de sauver l’être.

George : Mais il était évacué en brancard ?

Emery : Oui, en brancard.

George : Mais vous ne savez pas où.

Emery : Non.

George : L’avez-vous demandé.

Emery : Non. On ne pose pas de question.

George : Emery, merci d’être venu.

Emery : Avec plaisir.


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ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde

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