LA MATIÈRE EST FAITE D’ONDE…
Parallèlement à la »physique » officielle pervertie qui prédomine en cet fin d’âge des ténèbres, une physique authentique et sans rupture avec les fondateurs de la science exacte (Huyghens, Descartes, Newton, Lavoisier, entre autres) existe, même si elle fut censurée dès le 19eme siècle.
Nous devons cette physique exacte à d’authentiques physiciens tels que Clémence Royer ,Wittaker, Lorentz, De Broglie et Tesla au début du 20eme siècle ou Gabriel Lafrenière et René Louis Vallée à la fin du dernier sciècle.
Le « Décalogue » de la physique exacte
1. La cause et la nature de l’univers nous sont inconnues. Il nous suffit de comprendre qu’il est élastique et qu’il peut transmettre des vibrations sans aucune perte.
2. L’espace-temps est euclidien et cartésien.
3. L’espace-temps ne se transforme pas.
4. L’espace-temps est composé d’ondes stationnaires et propagatives en phase. Il n’est donc pas vide mais quantifié. La densité locale d’énergie ondulatoire de l’espace-temps est constante en l’absence de matière. Elle augmente en présence de matière. En ce cas, les ondelettes de la lumière générée par les électrons composant la matière sont déviées proportionnellement à la masse de cette dernière.
5. Seule la relativité de Lorentz est physiquement réelle et se vérifie. La prétendue »relativité générale » d’Einstein n’existe pas, l’espace-temps n’étant pas »vide » mais ondulatoire et quantifié. Il n’y a donc pas de soi-disant »courbure » d’un prétendu »espace-temps vide ».
6. Les ondes stationnaires et propagatives composant l’espace-temps oscillent toutes à la même longueur d’onde, dite de Planck, de 10^-35 mètres (6,62 . 10^34 joules.secondes). La vitesse constante de ces ondes est la même que celle de la lumière et que celle de l’expansion de l’univers (environ 300 000 km par seconde) .
7. L’espace-temps génère une onde harmonique et stationnaire dont la longueur d’onde (d’environ 10^-24 mètres) est plus lente que la longueur d’onde de l’espace-temps. Cette onde stationnaire est l’électron, l’unique composant de la matière.
8. Toute matière est faite d’électrons. Toutes les forces ou interactions (forte, électro-faible et gravitationelle) sont le fait exclusif des ondes émises par les électrons.
9. Toutes ces ondes, y compris celles de la lumière, ont besoin d’un mileu de propagation : les ondes qui composent l’espace-temps.
10. A puissance égale, la pression de radiation exercée sur l’espace-temps par les ondes sphériques de l’électron est inférieure à celle exercée sur l’électron par les ondes plano-convexes de l’espace-temps. Cette différence de pression est la masse.
Le « big bang »
Toutes les observations indiquent que l’univers est en expansion. L’espace-temps naît d’une singularité générant une poussée incommensurable se multipliant instantanément en ondelettes en phase suivant le principe de Huyghens. Contrairement à la croyance actuelle, celà exclue catégoriquement tout concept de température, puisqu’il n’existe pas encore d’électrons capables de vibrer. L’espace-temps lui-même étant en expansion, les galaxies les plus éloignées se déplacent beaucoup plus rapidement que la vitesse de la lumière comparativement à nous. Ces galaxies sont si éloignées et si rapides qu’elles sont invisibles, mais elles demeurent au repos comparativement à l’espace-temps.
Ceci exclue toute référence à la vitesse de la lumière pour le calcul de leur âge. L’âge réel de l’univers n’est pas de 15 milliards d’années, comme postulé actuellement, mais de 87 milliards et 740 millions d’années.
Des ronds dans l’eau
Supposons des cailloux de même poids et taille lancés dans l’eau chaque seconde avec la même force. Ils génèrent des « ronds dans l’eau ». Ces vagues sont divergentes car elles s’éloignent du centre. La distance séparant les sommets de deux vagues circulaires voisines dépend de la fréquence (d’un caillou par seconde) à laquelle nous les jetons. Cette distance, la longueur d’onde, est longue pour une fréquence lente et courte pour une fréquence rapide.
On peut aussi générer des vagues convergentes en frappant l’eau à l’aide d’un cerceau. Dans ce cas les vagues, divergentes à l’exérieur du cerceau, sont convergentes à l’intérieur car elles s’approchent du centre. En « rebondissant » les unes contre les autres au centre du cerceau, elles forment une protubérance conique qui produit à son tour des vagues circulaires divergentes en retombant dans l’eau. Elles rencontrent les vagues convergentes et se superposent parfaitement à elles. Les vagues circulaires semblent stationnaires, comme « figées » ou « gelées ». La superposition d’ondes propagatives en phase, convergentes et divergentes, produit une structure ondulatoire particulière: les ondes stationnaires.
La figure 1 représente une onde stationnaire générée par les ondes plano-convexes et en phase de l’espace-temps, jouant le rôle de notre cerceau. Cette onde stationnaire est un électron, l’unique composant de la matière. Le cône central et les deux cercles qui l’entourent sont l’onde stationnaire proprement dite. Les ondes de directions opposées qui la composent sont en phase, c’est à dire qu’elles sont parfaitement superposées. les trois cercles floutés et sombres qui suivent sont une zone quasi-stationnaire. Les ondes de directions opposées qui la composent commencent à se déphaser l’une par rapport à l’autre d’une distance inférieure au quart de leur longueur d’onde. Les ondelettes blanches entourant ces vagues circulaires sont les ondes propagatives en phase émises par l’espace-temps vers l’électron et par ce dernier vers l’espace-temps.
La fig.2 représente les ondes émises par deux électrons, les deux points noirs, formant une paire appelée quark. Ces paires d’électrons composent en figures complexes et variées le noyau des atomes. Les ondes en phase de la paire d’électrons, de directions opposées, se recoupent à la fois sur des ellipsoïdes concentriques et sur des hyperboloïdes. Ces lignes de croisent s’appellent des interférences. Dans la figure 2, les ondes génèrent un champ électrostatique.
Pour générer un champ électromagnétique un minimum de trois électrons est indispensable comme le montre la figure 3. Les lignes d’interférence des ondes en forme de »pomme » matérialisent clairement le champ magnétique.
L’espace-temps génère en permanence et en tous ses points une alternance de compressions et de dépressions que composent ses ondes. Ces variations de pression d’onde s’exercent aussi bien suivant l’axe de déplacement, ce sont les ondes longitudinales, que suivant les directions perpendiculaires à cet axe, ce sont les ondes transversales. Parce qu’il est en mesure de transmettre des ondes longitudinales, l’espace-temps est élastique. Les ondes, propagatives et stationnaires, de l’espace-temps sont plano-convexes car convexes (sphériques) à courte distance et planes à longue distance. Les ondes stationnaires génèrent à leur tour d’autres ondes propagatives (harmoniques), plus lentes, qui composent les électrons.
La gravitation naît du fait que seules des ondes sphériques existent entre deux corps massifs, ces derniers faisant « écran » aux ondes plano-convexes de l’espace-temps. La pression de l’espace-temps autour des deux corps est supérieure à la contre pression des ondes sphériques existant entre ces derniers (figure 4). Les deux corps sont poussés (et non pas attirés!) l’un vers l’autre jusqu’à la distance où leurs pressions d’onde s’équilibrent.
QUE LA FORCE SOIT AVEC TOI…
Le « Décalogue » de l’unification de toutes les forces
1. Deux ondes propagatives de même fréquence se traversent, sauf à la distance de leurs sources où leurs forces s’équilibrent en formant une onde stationnaire. Toute onde propagative de fréquence différente d’une onde stationnaire la repousse (ref. 1).
2. L’Univers est composé exclusivement d’espace-temps. La pression de radiation est la seule force. Les ondes de l’espace-temps possèdent la propriété d’accélérer ou de ralentir les électrons, et donc la matière. Elles exercent une force, la pression de radiation. Puisque c’est la seule force, ceci permet de confirmer l’unification de toutes les forces. Les électrons sont des ondes stationnaires sphériques créées par l’espace-temps à la suite d’une situation très rare qui fait qu’un grand nombre d’ondes provenant de différentes directions et à la même fréquence parviennent en phase en un point donné. Chacun de ces points est un oscillateur autonome, l’électron, alimenté en énergie par tous les autres électrons de l’Univers. L’électron est l’unique composant de la matière.
3. Comme toutes les ondes stationnaires, les électrons rayonnent de l’énergie en permanence sous la forme d’ondelettes sphériques (ref. 2). Ces ondelettes ajoutent ou retranchent leur énergie en un point donné autour de électron, ce qui permet d’expliquer toutes les forces de la nature y compris la lumière et sa polarisation. la lumière n’est pas faite de photons, mais d’une infinité d’ondelettes émises par les électrons. L’aspect quantique de la lumière doit être attribué à l’électron. Les ondes électromagnétiques de Maxwell ainsi que les photons et les neutrinos n’existent pas.
4. Parce que les pressions et les dépressions des ondes composant l’électron apparaissent deux fois par période, il peut exister deux spins (rotation de la phase) distincts, ce qui permet aussi l’existence de deux antiparticules qui vibrent à la quadrature (en phase inverse), les positrons. Les couples d’électrons, de positrons (anti-électrons) et d’électron-positron sont les quarks qui composent, en se combinant, les neutrons et les protons des noyaux atomiques (ref. 3).
5. Deux ondes stationnaires de même fréquence en phase interfèrent. Elles additionnent leurs énergies en se superposant et augmentent leur fréquence en proportion. Elles forment alors une seule onde stationnaire plus énergétique. A l’inverse, une onde propagative repousse une onde stationnaire si elle est en phase avec elle et »l’attire » ou la »tracte » si elle est en opposition de phase. Ceci explique pourquoi les électrons entourant le noyau d’un atome forment une barrière (dite barrière de Coulomb) infranchissable par les ondes propagatives. L’énergie nécessaire aux ondes propagatives pour franchir la barrière de Coulomb et énergiser le noyau de l’atome est telle qu’elle modifie ou désintègre la structure de l’atome. L’ignorance de ces lois par la »science » actuelle fait qu’elle ignore que toute onde stationnaire, même de très faible énergie, amplifie l’énergie de tout électron ou atome en modifiant sa masse, son inertie et sa fréquence sans changer sa structure et sa géométrie.
6. La pression de radiation est une force répulsive, qui a pour effet d’accélérer la matière, de la ralentir, ou de modifier sa direction. Le résultat d’une telle pression est le mouvement. L’accélération d’un électron est « freinée » par la pression d’onde de l’espace-temps à l’avant de l’électron. la fréquence de électron augmente à l’avant de sa trajectoire et diminue à l’arrière, c’est l’effet Doppler ou contraction de Lorentz. Cet effet est à l’origine de l’inertie.
7. Si l’on fait converger deux faisceaux d’ondes en phase (donc de même fréquence) sur un électron (ou sur n’importe quelle matière), ce dernier rayonne plus d’énergie vers l’espace-temps qu’il n’en reçoit de ce dernier. Selon la puissance des faisceaux convergents, l’électron va perdre partiellement ou totalement sa masse et son inertie (ref. 4). C’est là tout le secret de l’antigravité (ref. 6)!
Si l’on augmente encore l’énergie des faisceaux convergents, l’électron va traverser toute matière sa fréquence étant alors plus élevée que celle de la matière environnante. Les ondes de l’électron n’interfèrent plus avec la matière et il devient plus petit et « transparent » avant de disparaître à nos yeux. C’est là tout le secret de la dématérialisation et de l’invisibilité totale!
8. La pression des ondes propagatives de l’espace-temps entretient l’expansion de l’univers et génère ce que l’on appelle le temps. Elles forment entre elles des ondes stationnaires qui génèrent ce que l’on appelle l’espace. L’univers étant en expansion, la fréquence de l’espace-temps (10^43 rad/sec ou Hz) et celle de l’électron (10^32 rad/sec ou Hz) ralentissent d’un instant précédent à un instant suivant. Les fréquences de l’univers à l’instant suivant étant plus lentes que celles de l’univers à l’instant précédent, elles ne peuvent plus interférer (ou si vous préférez interagir ou « communiquer ») avec l’instant d’avant.
Chaque instant de l’univers, depuis sa création, est éternel et existe encore en ce moment même. Simplement, nous « vibrons » trop lentement pour « voir » ou « revivre » tous les instants passés, pourtant encore présents pour l’éternité! L’univers est un peu comme une succession de photos instannées et éternelles de format de plus en plus grand d’un instant au suivant. C’est là tout le secret de la loi de cause et d’effet ainsi que de la perception d’un passé, d’un présent et d’un « futur »!
9. Si on fait converger deux ondes propagatives en phase de puissance adéquate sur un objet ou un être vivant, on peut monter la fréquence de ses électrons (donc de sa matière) à une fréquence choisie. Cette fréquence peut être celle de l’électron à une époque passée de notre choix. L’objet ou l’être vivant élevé à cette fréquence électronique se retrouvera exactement à l’endroit ou il se trouve au moment de l’expérience, mais à l’époque du passé de même fréquence électronique que celle de ses électrons. Si l’on éteint le faisceau d’ondes convergentes, le sujet est instantanément ramené à notre époque, sa fréquence électronique ayant ralenti à son niveau de départ, faute d’énergie. Il est donc impossible de rester « bloqué » dans le passé. Il est aussi impossible de voyager dans le futur car il n’existe pas encore. Même si l’on abaisse la fréquence d’un sujet à celle qu’aura l’univers à une date future, l’univers n’a pas encore « gonflé » suffisamment pour occuper cet emplacement spatial et temporel. le sujet émergera dans une absence d’espace-temps donc d’énergie et de pression d’onde qui provoquera un déphasage donc une désintégration instantanée de ses électrons. C’est là tout le secret du voyage temporel!
10. Supposons que l’on monte la fréquence électronique d’un objet ou d’un être vivant à une fréquence plus élevée que celle de la matière environnante, on annule totalement sa masse, son inertie ainsi que toute interférence avec la matière environnante. On émet simultanément une onde propagative en opposition de phase avec le faisceau d’ondes convergentes élevant la fréquence électronique du sujet. Supposons que cet émetteur d’onde tractive soit placé sur mars, il attire, à 97% de la vitesse de la lumière, le sujet vers l’antenne sur mars. Aucune visée n’est nécessaire entre la terre et mars. Le sujet sera toujours téléporté d’un point quelconque de la surface sphérique du front d’onde tracteur vers l’antenne située en son centre (sur mars dans notre exemple)! Le sujet se retrouve certes téléporté sur mars, mais dans le passé car sa fréquence électronique a augmenté pour permettre la téléportation. Dans ce cas, on arrive dans le passé et on est instantanément ramené à son lieu et à son temps de départ dès que l’on éteint le faisceau d’ondes convergentes. Pour éviter cela, on met en rotation rapide le faisceau d’ondes convergentes en créant un « champ de torsion » ou »torseur » dans l’espace-temps (ref. 4). Cette rotation crée autour du sujet un vortex d’ondes en rotation. Cette rotation déphase ces ondes par rapport à celles de l’espace-temps par effet Doppler (ref. 5). Le sujet n’interfère plus avec l’espace-temps, ce qui l’empêche de voyager dans le passé. Le sujet se retrouve alors sur mars au présent et se matérialise simplement au lieu d’arrivée lorsque l’on éteint le faisceau d’ondes convergentes. C’est là tout le secret de la téléportation!
REFERENCES
- Ref.1: »La matière est faite d’ondes »
- Gabriel LaFreniere,https://www.collectionscanada.gc.ca/eppp archive/100/200/300/gabriel_lafreniere/matiere_ondes-e/auteur.htm
- Ref. 2: Clémence Royer fut la première physicienne à proposer une description « élastique » et ondulatoire de l’univers.
- « Libérés des mathématiques, Savoir enfin ce qu’est cet univers, et ce que nous avons à y faire » de Jean Teremetz (2007)
- Ref. 3: E.T. Whittaker, « On an expression of the electromagnetic field due to electrons by means of two scalar potential functions », Proc. Lond. Math. Soc., Series 2, vol. 1, 1904
- Ref. 4: Larissa Borissova, Champs de torsion non holonomiques, A theory of the Podkletnov effect based on general relativity : anti gravity force due to the perturbed non-Holonomic background of space, http://www.journals4free.com/link.jsp?l=24321178
- Ref. 5: D. E. Cox, J. G. O’Brien, R. L. Mallett, and C. Roychoudhuri, « Gravitational Faraday effect produced by a ring laser », Found. Phys. 37, 723 (2007),http://www.phys.uconn.edu/~mallett/Mallett2006.pdf
- Ref. 6: l’effet Hutchinson
Jean-Marc Roeder
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