Parapsychologie

La performance mentale

DÉCIDER… avoir un but, un objectif principal et bien défini, est primordial pour la réussite de la vie. En général, on ne part pas en vacances au petit bonheur. On décide d’aller à la montagne ou à la mer, de rester au pays ou de visiter une autre culture.

Nous décidons ensuite du niveau de détails qui nous convient. Allons-nous faire des escapades dans la nature, visiter des musées ou nous relaxer au son des vagues ?

Pourrait-on décider de ce que l’on veut dans la vie et l’obtenir ? Il semble bien que oui. Ceux dont les noms se trouvent dans le dictionnaire avaient une idée en tête et un plan à suivre pour accomplir leurs désirs. Prenons quelques exemples.

Exemples de performances mentales

Les frères Orville et Wilbur Wright désiraient voler et ils ont construit la première machine volante à ailes fixes qui pouvait être contrôlée. Leur invention a pris des ailes, littéralement, et grâce à eux, nous volons maintenant de part le monde.


Thomas Edison voulait maîtriser la nature. C’est un des inventeurs qui a le plus de brevets et qui nous a donné notamment l’ampoule électrique, le film cinématographique et le phonographe. Les 1093 brevets qu’il détient le placent quatrième au monde.

Antoine Béchamp, un rival de Louis Pasteur, est tombé dans l’obscurité durant sa vie. Ce n’est que maintenant que l’importance de ses recherches sur le terrain biologique commence à être reconnue. Non, ce ne sont pas les germes qui nous attaquent, c’est le style de vie que nous tenons qui rend notre corps toxique… et les germes sont là pour faire le nettoyage. Pas de moustiques sans marais… pas de bactéries et virus sans toxines.

Nous avons tous entendu parler de conquérants, tels que Gengis Khan, Alexandre Le Grand, Napoléon et Hitler, qui ont concentré leurs efforts sur l’agrandissement de leurs territoires. Leur objectif, toujours à l’avant-plan, leur a permis d’avancer inlassablement… jusqu’au jour où leur avidité les a perdus.

Le premier Starbucks ouvrit ses portes à Seattle en mars 1971, avec l’idée d’offrir des graines de café d’excellente qualité ainsi que de l’équipement pour rôtir ces graines. Cela a évolué en une « place où les gens peuvent se rencontrer » et maintenant, il y a près de 21 000 Starbucks répartis dans 62 pays.
Comment ont-ils réussi ?


En ayant un objectif principal, une idée qu’ils gardaient constamment en tête, dont ils ne déviaient pas, même si quelques échecs les ralentissaient. Cette aptitude mentale à ne pas dévier peut se cultiver. Elle n’est pas nécessairement innée.

Pour réussir, il est souvent nécessaire de reprendre le contrôle de l’esprit conscient, qui raisonne et décide, mais qui est souvent l’esclave de nos habitudes et de notre ego.

Des lignes, des couleurs, des goûts et des sons

Promenez-vous dans la nature, ou en ville. Pendant 30 secondes, prêtez attention à toutes les lignes verticales que vous apercevez. Admirez l’environnement pendant 1 minute, puis à nouveau, focalisez votre attention pendant 30 secondes, cette fois-ci sur les lignes horizontales que vous remarquez. Continuez ce processus pendant plusieurs minutes. Le but, c’est de dire à votre esprit, « Je suis aux commandes ; on fait maintenant ce que je décide.«

Vous pouvez faire le même exercice en prêtant attention à différentes couleurs. Commencez par le vert, par exemple, plus passez au rouge, au jaune et au bleu… 30 secondes, pas plus.

Pour apprendre à méditer, certains instructeurs demandent à leurs élèves de déguster un raisin sec pendant… 30 minutes. C’est un peu long pour moi. Le but de l’exercice est de porter son attention sur une chose très spécifique. Lorsque vous dégustez un mets, prenez votre temps et appréciez-en l’odeur, l’arôme, le goût, la texture, la température… Ne pensez à rien d’autre. Concentrez-vous sur l’aliment que vous êtes en train de manger.

Écoutez un morceau de musique et portez votre attention sur un seul instrument. Commencez par le piano, puis écoutez la même pièce de musique en vous concentrant sur la guitare ou le violon, la trompette, la batterie ou la voix. Pendant combien de secondes pouvez-vous vous concentrer ? Persévérez jusqu’à ce que vous puissiez écouter la pièce entière sans perdre votre concentration.

Ces exercices ont pour but de reprendre le contrôle d’un esprit souvent vagabond. Ils semblent très simples, mais ne sont pas faciles à réaliser. Notre esprit a tendance à penser à de nombreuses choses à la fois. Si vous perdez votre concentration, pas de blâme… recommencez simplement.

90 secondes pour un rendement maximal

Jim Fannin, un entraîneur de champions (olympiques, tennis, golf, baseball, etc.) utilise une technique qu’il appelle la règle des 90 secondes. Il planifie sa vie, ses résultats et son entraînement suivant cette règle.

En fin d’année, il s’isole pour un moment durant lequel il planifie ce qu’il désire faire pour le restant de sa vie… en 90 secondes. Ensuite, il imagine l’année à venir… en 90 secondes. Il coupe cette année en trimestre et se donne à nouveau 90 secondes pour planifier chaque étape de trois mois… puis 90 secondes pour planifier le mois suivant, 90 secondes pour planifier la semaine suivante et enfin, 90 secondes pour planifier le lendemain. 810 secondes en tout, soit moins de 15 minutes.

Chaque soir, il planifie le lendemain… en 90 secondes. En début de semaine, il planifie celle-ci en 90 secondes et fait de même au début de chaque mois.
Lorsqu’il se prépare pour une réunion, il en imagine les résultats et les discussions juste avant, en 90 secondes. Lorsqu’il entraîne ses athlètes, il leur fait visionner leur performance en 90 secondes.

90 secondes pour un rendement maximal… ce n’est pas la mer à boire.

Le lièvre et la tortue
Vous connaissez sûrement cette fable de La Fontaine, que voici ci-dessous, en guise de rappel.

Rien ne sert de courir ; il faut partir à point :
Le lièvre et la tortue en sont un témoignage.
« Gageons, dit celle-ci, que vous n’atteindrez point
Sitôt que moi ce but. – Sitôt ? Êtes-vous sage ?
Repartit l’animal léger : Ma commère, il vous faut purger
Avec quatre grains d’ellébore. – Sage ou non, je parie encore. »
Ainsi fut fait ; et de tous deux
On mit près du but les enjeux :
Savoir quoi, ce n’est pas l’affaire,
Ni de quel juge l’on convint.
Notre lièvre n’avait que quatre pas à faire,
J’entends de ceux qu’il fait lorsque, près d’être atteint,
Il s’éloigne des chiens, les renvoie aux calendes,
Et leur fait arpenter les landes.
Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter,
Pour dormir et pour écouter
D’où vient le vent, il laisse la tortue Aller son train de sénateur.
Elle part, elle s’évertue,
Elle se hâte avec lenteur.
Lui cependant méprise une telle victoire,
Tient la gageure à peu de gloire,
Croit qu’il y a de son honneur
De partir tard. Il broute, il se repose,
Il s’amuse à toute autre chose
Qu’à la gageure. À la fin, quand il vit
Que l’autre touchait presque au bout de la carrière,
Il partit comme un trait ; mais les élans qu’il fit
Furent vains : la tortue arriva la première.
« Eh bien ! lui cria-t-elle, avais-je pas raison ?
De quoi vous sert votre vitesse ?
Moi l’emporter ! et que serait-ce
Si vous portiez une maison ? »

Que vient faire cette fable dans notre discussion sur la performance mentale ? Après la deuxième guerre mondiale, le Japon se trouvait en très mauvaise posture financière. Un professeur de statistiques américain, Edward Demming, fut envoyé au Japon comme consultant. Le système qu’il mit en œuvre, appelé « méthode Kaizen« , permit au Japon de faire un rétablissement spectaculaire. Des voitures aux appareils de photos en passant par les ordinateurs, notre vie est maintenant fortement influencée par l’évolution technologique des produits japonais.

Kaizen veut dire « amélioration » ou « changement pour le mieux ». En faisant de tout petits pas, on s’améliore constamment, jour après jour. Le Dr Robert Maurer donne l’exemple d’une de ses clientes qui voulait boire son thé sans avoir à y mettre 4 cuillerées de sucre. Elle n’y arrivait pas. Il suggéra qu’elle enlève un quart de cuillère par semaine. Trois mois plus tard, il ne lui restait plus qu’une cuillerée. Enlever un autre quart lui était impossible. Elle a donc commencé par enlever un grain de sucre par jour de sa dernière cuillerée. Après une année, elle buvait son thé sans sucre. La tortue avait gagné.

Si vous avez une habitude que vous aimeriez supprimer et que vous n’arrivez pas à le faire d’un seul coup, utilisez la méthode Kaizen et améliorez votre performance millimètre par millimètre, quotidiennement.

Vous avez peut-être un tapis roulant, que vous avez acheté dans l’espoir de vous mettre en forme. L’utilisez-vous pour courir… ou pour suspendre votre linge ? Commencez par prendre votre tasse de café matinale, assis sur votre machine, pendant un mois. Puis, tenez-vous debout, tasse en main, pendant un mois. Vous allez éventuellement commencer à marcher… puis courir. La tortue a à nouveau gagné.

Vous n’aimez pas les brocolis ? Vous savez pourtant que c’est bon pour la santé ; on vous l’a dit maintes fois. Durant un mois, pensez à manger des brocolis pendant 5 secondes, puis 10, 15, 20… pas plus. Imaginez la couleur, la forme, la texture, le goût délicieux, le bien que le brocoli apportera à vos cellules, l’énergie qu’il vous donnera. Bientôt, vous mangerez des brocolis. La tortue aura à nouveau gagnée.

La méthode Kaizen est à utiliser lorsque vous vous trouvez face à un défi que vous n’arrivez pas à résoudre. Vous désirez arrêter de fumer ? Pourquoi ne pas couper un centimètre à la cigarette avant même de l’allumer ? De même avec les bonbons ou les pâtisseries. Enlevez une bouchée… puis deux, puis trois. Prenez votre temps. La tortue gagnera.

Il vaut mieux gagner de l’avance chaque jour, si minuscule soit-elle, plutôt que d’affronter une défaite. Celle-ci produit des cours-circuits dans le cerveau, engendrant une sous-estime de soi qui pourrait mener à une résistance difficile à vaincre.

La réussite, par contre, sculpte le cerveau de manière à attirer de plus en plus de réussites, ce qui augmentera l’estime de soi et la performance mentale. Pensez méthode Kaizen dans tous les domaines: performance personnelle et professionnelle, relations et santé. Des améliorations minuscules et constantes, selon le but que vous vous êtes proposé, vous mèneront à votre destination.

Les 3 cycles du traumatisme

La vie sur terre n’est pas toujours colorée en rose. Nous sommes souvent assaillis par de mauvaises nouvelles, soit de par le monde, soit plus personnellement. Nous faisons face à la mort, que ce soit le décès d’une personne chère, la fin d’un rêve, la perte d’un emploi ou d’un objet de valeur, le diagnostic d’une maladie catastrophique ou un divorce, peu sont les personnes qui ne sont pas touchées.

Le premier cycle, celui de la perte de quelqu’un ou de quelque chose, est caractérisé par une période de choc, qui dure en général de 3 jours à 3 mois. Durant cette période, on peut faire l’expérience de sentiments de déni ou de refus d’accepter la situation, d’un grand chagrin, d’un deuil et de la tristesse. Ce premier cycle se termine lorsque l’on accepte l’événement.

Nous entrons ensuite dans un second cycle, appelé le cycle du désert. C’est une zone dangereuse, où l’on peut se perdre pendant des années, voire une vie. On y rencontre deux phases. La première est caractérisée par la peur, la rage, la colère, le chaos, l’angoisse, la dépression et souvent la culpabilité. Il est difficile de naviguer cette période et bien des personnes s’y perdent. Les techniques de Tapping sont particulièrement utiles durant ce cycle, permettant de s’en sortir plus rapidement, si l’on veut bien.

La deuxième phase commence par un changement d’attitude et d’objectif. On ne se concentre plus sur le passé, mais sur le présent et l’avenir, avec un sentiment d’anticipation et d’exploration. Qu’est-ce que la vie pourrait encore nous offrir. On commence à entrevoir une vision d’une destinée à poursuivre. On commence même à penser qu’il y a peut-être des éléments positifs qui vont découler de ce traumatisme.

Le dernier cycle, celui de la transformation, commence avec un sentiment d’espérance. On a une nouvelle vision, des possibilités se présentent à notre esprit. On devient même quelque peu impatient; on est prêt à aborder une nouvelle phase de la vie. C’est une nouvelle naissance, une renaissance.

Ce qui avait commencé par un traumatisme souvent catastrophique peut se transformer en une vie nouvelle, une vie plus mature, avec une joie plus profonde et la confiance d’être capable de surmonter les obstacles que la vie sur terre nous lance.

En ayant connaissance de ces trois cycles du traumatisme, le cycle de la perte, le cycle du désert et le cycle du traumatisme, on peut observer son cheminement et prendre espoir qu’un jour, la douleur que nous ressentons se transformera en beauté, comme une chenille se transforme en papillon aux couleurs brillantes, après un stage en suspens en chrysalide.

L’anatomie d’une destinée, en 7 étapes :

Commencez par prendre note des résultats que vous obtenez dans votre vie. Votre carrière est-elle celle de vos rêves ? Votre conjoint, vos amis, vos connaissances, vous plaisent-ils ? Vos conditions financières sont-elles ce que vous désirez ? Êtes-vous en santé ?
Pourquoi ces résultats ? Ils proviennent des actions que vous avez prises ou que vous n’avez pas prises.

Ces actions, pourquoi les avez-vous prises ou les avez-vous négligées ? À cause des images et des sentiments qui tournaient dans votre esprit.

D’où proviennent ces images et ces sentiments ? Des pensées que vous attirez.
Pourquoi les attirez-vous ? Ces idées ont une énergie qui agit comme un aimant.
D’où provient cette énergie ? Des croyances que nous avons.

Ces croyances proviennent principalement de notre hérédité émotionnelle et mentale, de l’environnement social et culturel dans lequel nous vivons, des archétypes ou rôles que nous jouons et de l’énergie de la société ou du groupe dans lequel nous évoluons. Ces croyances cachent notre être authentique. À nous de nous retrouver.

Une de mes devises, provenant de cette anatomie d’une destinée, est que si l’on change son énergie, on change sa destinée. Pour reprendre les rennes de notre vie en mains, il faut bien analyser (faculté de notre esprit conscient) où nous en sommes et pourquoi… et ensuite, changer de cap si nécessaire. Nous pouvons être le capitaine de notre navire, soit de notre vie.

Les 16 qualités des vainqueurs de la vie

Napoléon Hill a étudié et interviewé 500 personnes prospères, comme Andrew Carnegie, Henry Ford, John Rockfeller, Thomas Edison, Woodrow Wilson, Harvey Firestone, et bien d’autres. Il a également étudié et interviewé 25 000 personnes considérées comme ayant échoué dans leur vie. Cette étude lui a pris plus de 20 ans.

Il en découla que les qualités nécessaires à la réussite de leur vie étaient les suivantes :

Appartenir à un groupe Mastermind
Avoir un objectif particulier bien défini
Avoir confiance en soi-même
Savoir économiser
Faire preuve d’initiative et de leadership
Avoir de l’imagination
Avoir de l’enthousiasme
Savoir se contrôler
Accomplir plus que ce que l’on est payé pour
Avoir une personnalité attrayante
Être exact et précis
Savoir se concentrer
Savoir coopérer
Être capable de récupérer après un échec
Être tolérant
Suivre la règle d’or de faire du bien à son prochain

Prenez note que ces qualités peuvent toutes être cultivées par l’esprit conscient. Elles font partie de l’arsenal mental dans lequel nous pouvons puiser.

Plus Malin que le Diable : Le secret de la liberté et du succès

Napoléon Hill a également eu une conversation avec le « diable », que ce soit le produit de son imagination ou d’une énergie malfaisante n’est pas important ; les actions de cette énergie diabolique sont importantes. Il en parle dans son livre Outwitting the Devil (Déjouer le diable).

Napoléon Hill écrivit ce livre en 1938. Après avoir lu le manuscrit, son épouse, Annie Lou, lui demanda de ne pas le publier avant sa mort. Elle mourut en premier, puis il mourut en 1970. Ce manuscrit tomba entre les mains du neveu d’Annie Lou. L’histoire se répéta. Son épouse lui demanda de ne pas le publier avant sa mort. Finalement Outwitting the Devil a été publié en 2011. La vision dévoilée dans ce livre, écrit en 1938, est quelque peu troublante, même plus que troublante. J’en recommande la lecture à toute personne.

Ce livre fascinant explique la façon dont « le diable » prend les rennes de notre esprit et nous mène par le bout du nez jusqu’à notre trépas. Les seules personnes dans l’esprit desquelles il ne peut s’infiltrer sont celles qui ont un but défini, qu’elles poursuivent assidûment, avec l’aide d’un groupe Mastermind.

Les deux techniques favorites du diable sont :

  • de nous faire errer ici et là, de nous faire dériver et finalement chavirer
  • de nous enraciner dans de mauvaises habitudes.

Les 7 principes qui nous permettent de garder notre liberté émotionnelle et mentale sont les suivants :

  • Un but défini bien précis
  • La maîtrise de soi
  • Acquérir de la sagesse à travers les échecs
  • Contrôler notre environnement et les personnes avec lesquelles nous nous associons
  • Permettre au temps de bien faire les choses en se concentrant sur des idées positives
  • Vivre en harmonie avec son but défini bien précis, ce qui est sa source de la force mentale, spirituelle et physique
  • Être prudent en considérant les répercutions de ses actions avant de les entreprendre.

J’ai passé la majorité de ma vie à étudier le subconscient et l’inconscient (ainsi que la naturopathie traditionnelle et quantique ou énergétique). Ce n’est qu’il n’y a quelques années que je me suis rendu compte de l’importance de l’esprit conscient dans la réussite de la vie, que ce soit pour la santé, les relations personnelles et professionnelles, la carrière, les finances ou le bonheur tout court.

Nous avons été éduqués avec les idées de nos parents, de nos professeurs, de chefs religieux, des médias, des films, etc. Avons-nous pensé à… penser ? Et que veut dire ce mot « penser »? Cela veut dire avoir un dialogue intérieur, posant des questions et y répondant selon des faits, et non pas des idées préconçues, passées de générations en générations.

Adoptez-vous les idées de votre environnement ? Vous laissez-vous facilement influencer ? Passez-vous du temps à penser, à réfléchir, à méditer ? Si vous voulez faire de votre vie une réussite, il vous faut prendre les rennes de cette vie, le gouvernail de votre destinée. Devenir consciemment mentalement performant n’est pas un passe-temps. C’est un choix de vie à faire et à suivre. Je laisse votre imagination penser à l’alternative.

Danielle J. Duperret
Docteur naturopathe et holistique, ND/PhD – Las Vegas (USA)

Courriel : [email protected]

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