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La militarisation de l’énergie libre découverte par Tesla: « les mots de tous les maux »

Depuis 130 ans qu'on se fout de notre gueule, il serait temps de faire le point !

L‘état d’avancement technologique du monde dans lequel nous vivons doit beaucoup à l’éminent scientifique serbe Nikola Tesla. Au cours de ses tumultueuses années d’inventeur, il a développé les moteurs à courant alternatif qui ont stimulé la révolution industrielle, et il est mort juste avant que l’on reconnaisse sa contribution à l’invention de la radio. C’était un génie résolument tourné vers l’avenir, il a découvert l’énergie libre qui peut être utilisée pour le bien de l’humanité ou pour sa destruction.

Tesla, le génie visionnaire

Peu de personnages de l’histoire des sciences sont entourés d’une aura de légende comparable à celle de Nikola Tesla. Scientifique, physicien, ingénieur, inventeur, visionnaire, idéaliste, aucun terme ne semble suffire à définir le personnage, a part celui de génie.

Si vous ne pouvez imaginer la vie sans votre smartphone, remerciez Nikola Tesla. Il a inventé, prédit ou contribué au développement de centaines de technologies aujourd’hui familières: néons et lampes fluorescentes, radio et transmission sans fil, ordinateurs et télécommandes, faisceaux laser, rayons X, radar, robots ou drones télécommandés et, bien sûr, le courant alternatif, qui a permis d’électrifier et d’illuminer la planète. Avec plus de 280 brevets à son nom, presque tout ce qui fonctionne à l’électricité doit quelque chose à Nikola Tesla.


Acteur principal de la révolution électrique, Tesla a incarné et défini le cliché du « savant fou », excentrique et brillant. En 1889, la bobine électrique géante de son laboratoire projetait des arcs lumineux de dix mètres, alors qu’à l’extérieur un immense mat métallique surmonté d’une boule en cuivre produisait des éclairs artificiels dont le fracas s’entendait à une quinzaine de kilomètres (et qui finiront par faire exploser la centrale électrique d’El Paso).

Tesla voulait exploiter l’énergie du soleil, il pensait qu’il serait possible de contrôler la météo avec des ondes électriques, et envisageait « un système mondial de communications sans fil qui permettra de relayer les messages téléphoniques à travers l’océan; diffuser des nouvelles, de la musique, et même des images dans n’importe quelle partie du monde.

Lorsque la communication sans fil sera pleinement appliqué, la Terre sera convertie en un énorme cerveau, capable de répondre dans chacune de ses parties », écrivait-il…. Il y a plus de 130 ans!

Tesla était aussi une sorte de « moine scientiste » qui n’eut jamais la moindre liaison sentimentale, préférant se consacrer entièrement à l’œuvre de sa vie, et qui affirmait ne jamais dormir plus de deux heures par nuit. Il était capable de visualiser mentalement des installations électriques complexes puis de les construire sans dessiner de plans. Fortement influencé par le philosophe et maitre spirituel hindou Swami Vivekananda,

Tesla s’opposait avec véhémence aux nouvelles théories d’Albert Einstein, affirmant que la fission atomique comme source d’énergie était une voie sans issue – aucune énergie ne devait être créée par la destruction.


La genèse d’un génie

Nikola Tesla est né le 10 juillet 1856 à Smiljan, dans la province de l’Empire austro-hongrois correspondant aujourd’hui la Croatie, de parents serbes. Dote d’une mémoire prodigieuse, il étudie brillamment à l’Université de Prague et à l’Institut polytechnique de Graz. A 24 ans, Tesla a soudainement l’intuition qui va changer sa vie : dans un instant d’illumination, il « voit » le principe du moteur à induction, fonctionnant au courant alternatif, celui-là même qui allait déclencher la révolution industrielle au tournant du siècle.

Incapable d’intéresser quiconque en Europe à ce dispositif radicalement nouveau, Tesla embarque l’année suivante pour New York, où il se fait engager par Thomas Edison. Leur relation finira mal : le richissime Edison à toute misé sur le courant continu, Tesla sait déjà que le courant alternatif représente l’avenir.

En novembre 1890, Tesla parvient pour la première fois à illuminer un tube à vide sans fil électrique –en transmettant l’énergie à travers l’air. C’est le début d’une obsession qui le poursuivra toute sa vie.

L’énergie du vide

C’est en 1887, à l’âge de 31 ans, que Nikola Tesla évoque pour la première fois le concept de l’énergie libre, à Londres. Lors d’une conférence, il explique que ce dont le monde a besoin, c’est d’une « forme d’énergie propre, accessible partout et tout le temps, facile à produire, et illimitée. Une énergie encore non exploitée, qui permettra de bâtir un monde qui ne dépendrait plus des combustibles fossiles ». Cette énergie sous-jacente, pour Tesla, ne se trouvait pas dans la matière, mais dans le vide – dans l’espace entre les particules de chaque atome.

En 1889, étant parvenu à la conclusion que l’air en montagne, moins dense, était plus plus conducteur, Tesla quitte New York et fait construire sa première station expérimentale, à Colorado Springs. Pendant neuf mois, il y mènera des expériences autour de la transmission de l’énergie sans fil. Son idée initiale de était d’utiliser la Terre comme une sorte de « supraconducteur ». Il aurait ainsi envoyé à travers le sol un signal suffisamment puissant pour éclairer des tubes à vide plantés en terre à plusieurs kilomètres de distance.

Une autre approche consistait à transmettre l’énergie via l’ionosphère. Tesla soupçonnait que cette couche de l’atmosphère, située à 80 km d’altitude, pouvait être très conductrice et, encore une fois, son intuition était correcte (un siècle plus tard, l’armée américaine allait reprendre et poursuivre les recherches de Tesla avec le controversé projet HAARP, pour High Frequency Active Auroral Research Program). Tout ce qui lui manquait, c’était les moyens techniques pour envoyer de l’énergie électrique à une telle altitude. Au début de 1890, Tesla retourne à New York entièrement convaincu qu’il pouvait y parvenir.

La tour inachevée de Wardenclyffe

Tesla propose alors au financier J.P. Morgan, un des hommes les plus puissants de son temps, de financer son projet. L’inventeur fait construire une tour de 60 mètres surmontée d’un dôme métallique de 55 tonnes, qui devait permettre la transmission non seulement d’informations, mais surtout d’énergie partout autour du globe, via l’ionosphère, sans aucune limite de quantité ni de distance.

Hélas, la tour de Wardenclyffe sur Long Island restera inachevée: J.P. Morgan, son investisseur, met fin au financement pendant la construction, lorsqu’il réalise que le vrai but de Tesla est la transmission d’énergie, et non d’informations.

Brisé, Tesla doit abandonner définitivement son grand projet.

Nikola Tesla n’arrivera jamais à concrétiser sa vision. Il restera toute sa vie convaincu de la possibilité de capter une énergie illimitée, n’ayant nul besoin d’être centralisée ni redistribuée par des moyens lourds comme la tuyauterie ou les câbles. Une énergie capable d’assurer à chacun une autonomie énergétique totale.

Réussir à transformer et à transmettre cette énergie a été l’obsession de Tesla, et conduira peut a peu à la marginalisation et à la chute ultime de l’un des plus grands inventeurs de notre temps – un mégalomane de génie qui poursuivait ses visions, quoi qu’il en coûte, tandis que d’autres, l’Italien Marconi par exemple, gagnaient des millions grâce à ses inventions. Car à l’inverse d’Edison, Tesla n’avait aucun intérêt pour l’argent. Ses recherches répondaient à des préoccupations humanistes, et non financières.

« Dans l’espace, il existe une forme d’énergie libre, infinie, qui permettra à l’humanité de mettre en harmonie ses techniques énergétiques avec les grands rouages de la nature. Cette découverte n’est qu’une question de temps. »

Nikola Tesla

L’énergie libre, rêve impossible ou vaste complot?

Depuis Tesla, l’énergie libre est au centre d’une controverse sans fin. Sa possibilité même est rejetée par la communauté scientifique, pour laquelle elle va à l’encontre des lois physiques établies.

L’argument central des sceptiques est le suivant : les dispositifs créateurs d’énergie libre se fondent sur un principe de base : celui du surnuméraire. Cela signifie que ces appareils seraient en mesure de fournir plus d’énergie qu’ils n’en reçoivent pour fonctionner, ce qui est considéré comme une impossibilité. En effet, les transformations et les circulations énergétiques sont régies par des principes incontournables : les lois de la thermodynamique. Lors de toute réaction physique ou chimique, non seulement l’énergie disponible à la fin ne peut pas être supérieure à l’énergie disponible au départ (un moteur électrique alimenté en électricité ne pourra pas fournir une énergie supérieure à l’énergie reçue), mais l’énergie utilisable est généralement inférieure à la fin, car une partie se dissipe (dans le cas d’un moteur électrique, des pertes en chaleur et en friction sont forcément engendrées). Bref, si l’on suit ces lois physiques fondamentales, le principe d’une production d’énergie surnuméraire est tout simplement impossible.

Repousser les lois physiques

Pour les défenseurs de l’énergie libre, la physique quantique a démontré que les lois physiques ne sont pas absolues. L’univers serait constitué de plusieurs dimensions, des particules pourraient exister simultanément à plusieurs points de l’univers, il serait possible de téléporter de la matière à travers de la matière, ou de l’information à travers l’espace instantanément.

Au niveau subatomique, tout est énergie. L’« énergie libre » serait en réalité l’énergie électromagnétique contenue dans la trame de l’Univers, le champ primordial présent dans l’espace et la matière, qui occupe tout le «vide» qui nous entoure.

S’il était possible, en polarisant légèrement ce vide par des phénomènes encore mal expliqués mais reposant sur l’électromagnétisme, de convertir partiellement cette énergie du vide en forcee utilisable, alors les machines à énergie libre ne violeraient pas le sacro-saint principe de conservation de l’énergie : elles ne feraient que transformer l’énergie disponible au plus profond de la structure de l’univers en force électrique ou mécanique.

Toutefois, comme on l’a vu, le problème serait non seulement de trouver le moyen d’extraire l’énergie du vide, mais aussi de l’extraire sans dépenser plus d’énergie que l’on ne peut espérer en récupérer.

Mais si ce moyen existait, était connu… mais qu’on nous le cachait ?

Si les lobbies de l’énergie pétrolière et nucléaire, de la finance et les Etats avaient volontairement créé un climat général de désinformation et d’ignorance autour de technologies avancées qui auraient le potentiel de remplacer les méthodes de production actuelles?

Si des groupements d’intérêts pesant des centaines de milliards avaient empêché ces sources d’énergie d’être connues du grand public, afin de conserver leur monopole sur la production d’énergie et maintenir le statu quo?

La piste électromagnétique

Tesla peut être considéré comme le père de l’énergie libre, mais il est loin d’être seul. Depuis des décennies, de nombreux inventeurs et scientifiques affirment avoir mis au point différent types de générateurs d’énergie, exploitant différentes sources. On peut citer la dégravitation de Léon-Raoul Hatem en 1955, le générateur optique à Dynamo de Walter Russell en 1961, le moteur-générateur de John Bedini, le générateur homopolaire N-1 de Bruce De Palma dans les années 80…

Particulièrement remarquable, l’« energy machine » électromagnétique de Joseph Newman, produisait 25 fois plus d’électricité qu’elle n’en consommait en convertissant la masse en énergie. Malgré plusieurs analyses indépendantes ayant toutes confirmé que l’appareil fonctionnait exactement comme Newman l’affirmait, l’Office des brevets américain a toujours refuse de l’homologuer, arguant qu’il s’agissait d’un machine a mouvement perpétuel, impossible par définition.

Fusion froide et gaz solides

Dans un registre différent, le catalyseur d’énergie, ou E-Cat, inventé en 2010 par deux Italiens, Andrea A. Rossi et le professeur Sergio Focardi, aurait dû être le premier appareil domestique capable de fournir de l’énergie à partir de la fusion froide du nickel. Toutefois, après des années d’étude et plusieurs millions d’euros d’investissement, et bien que l’invention ait été brevetée, son fonctionnement n’a jamais été reconnu par la communauté scientifique et le projet a été arrêté.

Vingt ans plus tôt, Stanley Pons, un électrochimiste américain, président du département de chimie de l’Université de l’Utah, avait déjà annoncé la production expérimentale de « N-Fusion », une sorte de fusion à froid. Ses résultats n’auraient malheureusement jamais pu être reproduits, et son laboratoire, parraine par Toyota, a fini par fermer ses portes en 1998. On y reviendra.

Nettement plus ésotérique, la Keshe Foundation est une organisation menée par le physicien iranien Mehran Keshe, inventeur d’une multitude de technologies contestées liant énergie libre, anti-gravité et traitements de diverses maladies. Son générateur aurait la capacité d’alimenter des appareils sans qu’il soit nécessaire de les connecter au réseau électrique (ou au moins de réduire très fortement leur consommation).

La théorie unificatrice de Keshe, qu’il appelle Magrav, stipule que la gravité est créée par les champs magnétiques, ce qui s’oppose aux théories traditionnelles de la gravité et de l’électromagnétisme.

La technologie de Keshe repose aussi sur ce qu’il nomme le plasma, et en particulier le champ magnétique plasmatique, une énergie non-mesurable mais décrite comme une panacée avec des applications dans les domaines de la propulsion mais aussi de la santé, de l’agriculture et de la psychologie.

Le GANS, acronyme pour Gas in A Nano State, soit des nanoparticules de «gaz solide», ainsi que la fusion de la matière, de l’antimatière et de la matière sombre, sont d’autres concepts assez déroutants utilisés par Keshe.

Moteur moléculaire et « bidule de Dumas »

Une autre technologie, tout aussi déroutante, est celle du moteur quantique, qui consiste à faire passer un électron dans un infime défaut d’un cristal de diamant afin de créer des ondes électromagnétiques en superposant deux niveaux d’énergie – en comparaison avec un moteur de voiture, cela correspondrait à avoir un piston à la fois en position haute et en position basse. Ou encore celle du moteur moléculaire, constitué de 16 atomes, et développé en Suisse par l’EPFL et le Laboratoire fédéral d’essai des matériaux.

A l’opposé de ces technologies de pointe, le résonateur à eau est un procédé étrange par sa simplicité, découvert en 2014 par un bricoleur et chercheur autodidacte ardéchois, passionné par les énergies libres, Jean-Christophe Dumas, qui a mis ses plans en open source. Le résonateur à « Effet Dumas », une sphère métallique électrifiée et plongée dans l’eau, produirait jusqu’à 20% d’énergie en plus qu’il n’en consomme. On est encore loin de « l’énergie infinie » qu’imaginait Tesla, mais ce pourrait être un début.

Les morts étranges : Eugene Mallove et Stanley Meyer

Eugene Mallove était un scientifique américain, partisan passionné par la fusion froide et les énergies alternatives, enseignant au prestigieux Massachussets Institute of Technology (MIT) et à l’Université de Boston, et rédacteur scientifique en chef du MIT. En 1991, il démissionne avec fracas, clamant que le MIT cache les données sur la fusion froide, notamment pour protéger le financement et la réputation de la recherche nucléaire traditionnelle.

Mallove publie alors son livre Fire from Ice, consacré à la fameuse expérience de fusion froide de Stanley Pons à l’Université de l’Utah. Il y affirme que l’équipe a bien produit une énergie de sortie fortement surnuméraire (supérieure à l’énergie d’entrée), au cours d’une expérience reproduite avec succès à plusieurs reprises, mais que les résultats auraient été supprimés, et les chercheurs pris pour cibles par une violente campagne de dénigrement organisée.

Après avoir lancé le magazine Infinite Energy et fondé la New Energy Foundation, il meurt assassiné, le 14 mai 2004, dans des circonstances mystérieuses. Il faudra attendre six ans, et une promesse de récompense de 50’000 dollars, pour que la police arrête enfin deux suspects, qui finiront par avouer les faits. Mallove aurait expulsé de leur logement les parents de l’un d’eux en raison de loyers impayés. Alors qu’il était revenu un mois plus tard pour vider et nettoyer l’appartement, il y aurait été surpris et battu à mort par les deux hommes, qui ont été condamnés.

Le mystère du moteur a eau

Stanley Meyer affirmait quant à lui avoir conçu un moteur à eau, utilisant la fission des molécules d’eau pour en extraire l’hydrogène et l’oxygène qu’elles contiennent (le mélange dihydrogène-dioxygène est combustible), tout en consommant peu d’énergie électrique. Il avait équipé plusieurs voitures de son prototype, et affirmait pouvoir faire le trajet de Los Angeles à New York avec 83 litres d’eau seulement. Le rendement de son « séparateur de molécule » était selon lui supérieur à… 1000% ! Meyer sera toutefois condamné pour fraude à deux reprises, les juges estimant qu’il s’agissait en réalité d’une électrolyse classique, au rendement bien inférieur.

Stanley Meyer décède subitement le 21 mars 1998, à la sortie d’un restaurant. Le rapport d’autopsie conclut à une rupture d’anévrisme, à l’âge de 57 ans. Ses défenseurs parlent plutôt d’empoisonnement, impliquant plusieurs pays producteurs de pétrole et le gouvernement américain.

Une question de temps?

La question de l’énergie libre reste ouverte. Est-il raisonnable de penser que nous avons aujourd’hui tout découvert, que l’humanité est au zénith de sa compréhension de l’univers? La technologie exploite-t’elle pleinement tous les phénomènes, ressources naturelles et champs d’énergie existants? Savons-nous tout ce qu’il y a à savoir sur l’électromagnétisme?

Pour mémoire, a première automobile connue a été construite vers 1672. Il s’agissait d’un jouet appartenant à l’empereur de Chine. Il aura fallu des centaines d’années de tâtonnements et d’échecs pour en faire un mode de transport qui allait révolutionner le monde…

Le rayon de la mort de Nikola Tesla, l’arme surpuissante qui devait mettre fin à toutes les guerres

Imaginez un faisceau d’énergie électrique capable de faire s’écraser des avions à des kilomètres de distance ou un mur d’énergie invisible protégeant un pays de l’invasion, agissant comme une clôture électrique qui vaporiserait les soldats ennemis à la seconde où ils tenteraient de la franchir.

Ces étranges concepts ne proviennent pas d’un hypothétique film de science-fiction, mais de l’esprit fertile de Nikola Tesla qui prétendait dès 1934 avoir mis au point son terrible « rayon de la mort » : une arme à énergie dirigée utilisant un accélérateur de particules capable de tuer et de détruire à des kilomètres de distance.

Tesla nomme son invention révolutionnaire la Téléforce.
Alors que beaucoup la connaissent désormais sous le nom de « rayon mortel Tesla », l’inventeur ne souhaite pas employer le terme de « rayon » pour la décrire, car cette dernière n’émet pas de rayons d’énergie qui finissent par se dissiper dans l’air. Selon le scientifique, son invention concentre l’énergie le long d’un tube étroit, ce qui la rend assez puissante pour abattre des avions et tuer instantanément des êtres humains.

« Le canalisateur de l’arme peut envoyer des faisceaux concentrés de particules dans l’air libre, et cette puissante énergie peut faire tomber une flotte de 10 000 avions ennemis à une distance de 200 miles de la frontière d’un pays qui se défend, en les faisant s’écraser sur leurs pistes. »

Nikola Tesla

Le rêve secret de Tesla est de bâtir une « clôture énergétique nationale » qui détruira quiconque tentera de la traverser. Grâce à cette arme de dissuasion hors du commun, le scientifique espère mettre un terme aux conflits armés en protégeant les frontières des pays prêts à l’acquérir.

Malheureusement, Tesla se heurte à un problème de taille : aucun gouvernement ne semble intéressé par le financement du projet. Il tente désespérément de le vendre aux États-Unis et à l’Union soviétique, mais ces derniers refusent catégoriquement d’y prendre part. La mise au point de la révolutionnaire Téléforce semble alors plus que compromise.

Coup de théâtre en 1937. À l’occasion d’une conférence donnée à l’ambassade de Yougoslavie, Tesla annonce fièrement que son invention est non seulement possible, mais qu’il a déjà mis au point un prototype fonctionnel. Sûr de son fait, ce dernier promet même de la dévoiler dans les mois qui suivent.

Le scientifique n’aura cependant jamais l’occasion de le faire. Quelques semaines plus tard, il est violemment heurté par une voiture alors qu’il traverse la rue et cet accident le laisse lourdement handicapé. Il meurt finalement le 7 janvier 1943 à l’âge de 86 ans, dans la chambre de l’hôtel New Yorker qu’il occupait depuis des années.

Lorsque l’armée américaine apprend la mort de Nikola Tesla, elle envoie rapidement plusieurs de ses représentants sur place. Craignant que d’autres pays ne mettent la main sur les plans et les inventions inachevées du scientifique, ces derniers fouillent méticuleusement la chambre, en vain selon la version officielle.

LORSQUE L’ARMÉE AMÉRICAINE FOUILLE LA CHAMBRE DE TESLA, NULLE TRACE DU « RAYON MORTEL TESLA »

Il est certain, que les services de renseignement américains aient secrètement mis la main sur le rayon de la mort de Tesla. Des dispositifs similaires ont été développés et expérimentés durant la guerre froide, et ceux-ci auraient pu être basés sur les travaux réalisés préalablement par le scientifique.

Énergie libre et fréquence de guérison

Il existe de nombreuses raisons de remercier Nikola Tesla en matière de technologie moderne. Si l’État profond ne s’était pas opposé à lui, les contributions de Tesla à la société auraient pu aller beaucoup plus loin.

L’oncle de Donald Trump, John Trump, a su interpréter les brevets ingénieux et les dessins étranges de Tesla. Lorsque Donald Trump s’est présenté à sa première élection en 2016, il a raconté lors de sa campagne présidentielle; que son oncle lui avait tout dit sur le travail et les brevets de Tesla.

Nikola Tesla a publié dans Century Magazine, juin 1900, un article intitulé : Le problème de l’augmentation de l’énergie pour l’homme avec une référence spéciale à l’utilisation de l’énergie du soleil.

Le dispositif de guérison vibratoire de Nikola Tesla, médecine sonore et vibratoire est expliqué dans la vidéo ci-dessous:

https://youtu.be/4QB_ti8hLo8

Lire aussi :

Énergie libre et fréquence de guérison

La science de l’unité de David Wilcock. Éther. Électromagnétisme. Énergie libre

Aujourd’hui, avec ce qui vient d’arriver en Turquie et en Syrie, de nombreuses personnes se posent des questions sur la militarisation des découvertes de Tesla.

Ainsi que l’expliquent les médias mainstream, HAARP, un vieux serpent de mer du conspirationnisme, est réapparu à l’occasion du terrible tremblement de terre en Turquie et Syrie. Ils prétendent que HAARP est un pseudo-programme militaire américain. 

Pourtant lorsqu’on fait une recherche sur Wikipédia, il résulte que Haarp, le High Frequency Active Auroral Research Program, existe bel et bien. Il est financé initialement par les militaires pour des applications pratiques dans le domaine des télécommunications (Armée de l’Air américaine et Marine de guerre américaine). Toutefois, les militaires décident d’arrêter ces recherches en 2014 et l’observatoire est repris en 2015 par l’Institut géophysique de l’université d’Alaska. Donc ce n’est plus militaire, parait-il ! Et on peut donc le qualifier de pseudo-programme pour expliquer que les conspirationnistes sont de grands menteurs.

Le tremblement de terre en Turquie ressemble à une opération punitive (HAARP) de l’OTAN ou des États-Unis contre la Turquie. La vidéo montre des coups de foudre, qui ne sont pas normaux dans les tremblements de terre, mais se produisent toujours dans les opérations de Haarp.

Certains partisans de la théorie du complot pensent en effet que des dispositifs militaro-scientifiques sont cachés partout dans le monde. Séismes, feux de forêt, inondations et ouragans… pour ces « sceptiques », les catastrophes naturelles auxquelles nous avons assisté ces dernières années auraient la même origine : une arme secrète contrôlant le climat et appartenant soi-disant à l’armée américaine, l’HAARP, explique Le Parisien.

Soyons clairs, nous ne savons pas si Haarp a quelque chose à voir avec ces tragédies. Ce que nous pouvons avancer, c’est que la technologie cachée de Tesla qui pourrait servir pour le bien de l’humanité dans le domaine de l’énergie gratuite et de la guérison, sert plutôt à créer des programmes dangereux qui ne sont en aucun cas utiles à la population de cette planète et peuvent permettre de mettre en place des opérations de destruction.

Que ces opérations de destruction soient réellement mises en place et utilisées pour réduire la population ou tout simplement pour générer des situations profitables à certains qui vendent des armes, des médicaments, des vaccins et autres…, n’est pas prouvé. Effectivement.

Mais compte tenu de la volonté sans réserve d’une certaine élite, de maintenir le monde dans une spirale destructrice, sans essayer, le moins du monde, d’apporter une amélioration des conditions de vie des peuples, qui ne cadre pas avec leur profit immédiat, il ne faut pas s’étonner de voir fleurir des théories du complot de toutes sortes !

A moins, bien sûr, que ces « théories du complot » qu’ils passent leur temps à diaboliser, ne fassent partie intégrante de leur stratégie…

Après tout, le meilleur moyen de gouverner tranquillement, n’est-il pas de diviser? Et la division est bien entendu, inhérente à la guerre de l’information qui se joue actuellement.

Autrement dit : « on vous prend pour des cons, parce que ça nous arrange que vous le sachiez et que vous le fassiez savoir… Cela nous donne les arguments pour mieux vous endormir. »

Le guerre aujourd’hui est une guerre de mots et c’est en nous faisant parler qu’ils comptent la gagner… C’est la raison pour laquelle ils ont développé des programmes d’IA pour enregistrer la totalité de ce qui se dit partout, forums, réseaux sociaux etc… Connaître nos « mots » pour mieux s’en servir…

Les mots de tous les maux…


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