Le citoyen mexicain Leon Augusto a travaillé comme chirurgien dans un hôpital de Guadalajara pendant plus de 40 ans. Chaque année, des centaines de patients passaient entre ses mains. L’homme a pratiqué différents types d’opérations.
Après avoir terminé sa carrière, le Mexicain a donné une interview dans laquelle, il avait déjà 80 ans, il a demandé pardon en larmes. Cette histoire a été largement acceptée comme vraie au Mexique. De plus, des collègues dans différentes régions du pays ont également rapporté quelque chose de similaire :
« C’était en 1964. Quelque chose d’étrange se produisait au Mexique à l’époque. Une série d’événements étranges. Je n’y prêtais pas vraiment attention, car j’avais peur de ce genre de choses. En septembre de la même année, ces créatures m’ont contacté pour la première fois. Gris, mince, avec d’immenses yeux noirs. Après m’avoir scanné, elles ont découvert que j’étais médecin et que je connaissais bien la structure du corps humain. On m’a proposé deux options : la première était de faire don de biomatériau pour leurs besoins ; la seconde était de leur fournir le biomatériau demandé.
Tout cela s’est passé sur leur vaisseau. J’ai simplement été traîné hors de mon propre appartement la nuit. J’avais très peur et j’ai accepté de travailler pour eux. Pendant plusieurs mois, j’ai dû faire tout ce qu’ils me disaient. Un jour, je me suis réveillé dans un endroit inconnu. C’était une base souterraine. Je suis allé regarder autour de moi et je suis tombé sur plusieurs créatures qui m’étaient déjà familières. Ils ont dit qu’ils avaient besoin de quelqu’un avec mes compétences directement sur la base.
Je n’avais pas le choix. Mais dans une certaine mesure, grâce à moi, les personnes qui se sont retrouvées sous le pouvoir des gris n’ont pas ressenti de douleur ni de stress intenses. J’ai expliqué aux extraterrestres ce qu’il fallait faire pour que les gens ne se sentent pas victimes. Les gris n’ont pas la même gamme de sensations et d’émotions que les humains. À cause de cela, ils n’ont pas compris certains aspects et détails que j’ai essayé de transmettre. Au fil du temps, ils m’ont écouté.
Plusieurs fois par semaine, ils amenaient des gens à la base. Habituellement, ils avaient besoin de cellules sexuelles pour créer des clones. Les cellules humaines étaient adaptées à cette opération. Certes, ils n’étaient pas toujours les seuls dont on avait besoin. Il était souvent nécessaire de réaliser différents types de biopsies. Technologiquement, leur civilisation était en avance sur la nôtre et, heureusement, il n’y avait aucun problème pour créer des conditions confortables pour moi ou mes « patients ».
J’étais une sorte de professeur au Laboratoire Gris, à mener des opérations et a participer à des travaux ultérieurs avec du biomatériau. J’ai travaillé pour eux pendant 9 ans, de 1964 à 1973. Ils m’ont fourni tout ce dont j’avais besoin et ont promis de ne pas toucher à ma famille. Ils ont rempli leurs obligations honnêtement. Ils avaient besoin de ce que nous avions, et grâce à cela, ils ont pu créer des centaines de milliers de clones pour restaurer partiellement leur civilisation.
En 1973, les Gris ont quitté la Terre. J’ai pu retourner travailler à Guadalajara.
Et puis j’ai vécu une véritable horreur. Ceux qui avaient été amenés par les Gris lorsque j’étais à la base ont commencé à venir à moi. Apparemment, les Gris n’ont pas pleinement rempli leurs obligations. De nombreuses personnes ont conservé des souvenirs des enlèvements et ont développé des traumatismes psychologiques, voire des troubles mentaux. En plus de cela, au moins ceux que j’ai reconnus avaient une sorte d’appareil microscopique dans leur corps. Quelque chose comme des implants.
Lorsque j’étais à leur base, j’ai expliqué aux Gris combien il est important de ne pas traumatiser la psyché de ceux qui les intéressaient. Pour ce faire, nous avons convenu d’effacer la mémoire de nos « patients ». Après coup, il est devenu évident que, malgré leurs capacités technologiques, ils n’ont pas rempli leurs devoirs et ont traité les gens comme nous traiterions les fourmis ou les coléoptères.
Il m’est difficile d’imaginer ce que ces pauvres gars ont traversé. J’étais sûr qu’ils ne se souvenaient de rien. Malheureusement, j’ai vécu avec ça toute ma vie. Je n’ai pas eu l’occasion d’avouer, je n’ai pas eu le courage. Maintenant qu’il ne me reste plus beaucoup de temps à vivre, le moment est venu où moi, Léon Augusto, je peux dire : les Gris m’ont trompé. Il me semblait que nous faisions une bonne chose sans pratiquement nuire aux gens, mais c’est une tromperie. Je m’excuse auprès de tous ceux qui étaient présents à la base. J’ai essayé de tout faire correctement, mais d’autres circonstances étaient hors de mon contrôle.
Les paroles de Léon Augusto ont été écoutées par beaucoup. Il y avait aussi ceux qui se souvenaient des Gris.
Plusieurs autres médecins du Mexique et de Colombie ont également déclaré avoir été embauchés par les Gris au cours de ces mêmes années.
Beaucoup de gens croient que le médecin de Guadalajara a tout inventé et que rien de tel ne s’est réellement produit. Mais, comme d’habitude dans de tels cas, la question se pose : pourquoi aurait-il eu cette idée dans les derniers mois de sa vie ?
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