Divulgation cosmique

EXO-VATICANA – 15 La thèse de Siri. Les chevaux sombres apparaissent

Petrus Romanus, PROJET LUCIFER, et le plan exo-théologique étonnant du Vatican pour l’arrivée d’un sauveur extraterrestre.

Par Tom Horn & Cris Putnam

Il y a quelques années, on aurait pu penser avec quelque certitude que le cardinal « Pierre le Romain » Bertone pourrait être à coup sûr Petrus Romanus. Pourtant, avec l’année 2013 qui s’annonce, des lézardes sont apparues dans les fondations de son château de sable et il n’y a plus grand monde à la curie – dont l’ancien pape Benoît XVI en personne – qui semble pressé de le soutenir comme autrefois.

Avec la démission du pape Benoît, comme prédite par ces auteurs, des assertions d’une mauvaise gestion de Bertone ont fait surface à Rome, délivrées par des factions de l’Église en compétition qui sont plus que satisfaites de saisir l’occasion de lancer des médisances sur leurs dirigeants afin d’accroître leur propre réputation au sein du Collège des cardinaux.


L’archevêque Vigano pourrait en faire partie, lui dont les courriers personnels au pape Benoît et au cardinal Bertone, au sujet de sa réaffectation en tant que Nonce, ont été diffusés aux infos par une télévision italienne en janvier 2012. Les courriers, confirmés par le Vatican comme authentiques, exposaient une relation enflammée entre lui et Bertone impliquant des intrigues politiques et la réalisation de transactions financières avec accusations de « corruption, népotisme et favoritisme en lien avec des accréditations de contrats à des entreprises à des prix artificiellement gonflés ».

La plupart des sources du Vatican conviennent qu’une campagne interne de manipulations et de manœuvres machiavéliques – ce que Phillip Pullella a appelé pour Reuters « une sorte de mutinerie des monsignors » – se pratique dans les coulisses contre Bertone.

Les mêmes sources disent que « les rebelles ont un appui tacite de l’ancien secrétaire d’état, le cardinal Angelo Sodano, homme d’influence à part entière et diplomate vétéran qui a servi pendant 15 ans du temps du défunt pape Jean Paul II. »

Si Sodano est réellement derrière la campagne de sape sur l’éventuelle accession de Bertone à la papauté, les soupçons se renforcent sur la persistance de quelque chose entre les conspirateurs qui ont étouffé Fatima, Ratzinger, Bertone, et Sodano, comme le lecteur pourra se souvenir de ce que pensait Socci, qu’avec la décision de Jean Paul II de publier le Troisième Secret de Fatima, s’était déclenchée au Vatican une lutte de pouvoir, alors que le futur pape Benoît XVI (le cardinal Ratzinger) voulait délivrer le Secret dans son intégralité, mais que le cardinal Sodano, à l’époque secrétaire d’état du Vatican, s’opposait à cette idée.

Quel que soit le cas, le gros titre du New York Times du 26 janvier 2012 était éloquent : « Transfert d’un officiel du Vatican qui a parlé de la corruption dans une lutte pour le pouvoir », et faisait écho au fait que, exactement comme la politique présidentielle américaine, la star montante d’aujourd’hui au Vatican pouvait tout d’un coup se retrouver écrasée par la machine infernale de l’ambition et le fait d’hommes déterminés si on ne fait pas montre avec vigilance en tout temps d’autant de ruse que ses rivaux.


D’autres actes douteux à Rome démontraient aussi qu’une tactique était en cours.

En fait partie la nomination précipitée le 11 janvier 2012 par le pape Benoît XVI d’un autre Italien, l’archevêque Lorenzo Baldisseri, comme nouveau secrétaire de la Congrégation pour les évêques (une branche de la curie romaine qui supervise le choix de nouveaux évêques). Baldisseri est intrigant parce que celui qui l’a principalement consacré lors de son ordination de 1963 fut le prédécesseur de Bertone et le complice de la tromperie de Fatima, le cardinal Angelo Sodano.

Et l’ordination de Baldisseri à la prêtrise se fit le 29 juin 1963, huit (8) jours après l’élection de Giovanni Montini (le pape Paul VI). C’est intéressant à deux niveaux.

Premièrement, le nombre huit (8) est associé à la destinée, la divinité, aux rites occultes de fertilité, à la résurrection et à l’incarnation de Jésus (888), comme le sait tout évêque de Rome. Mais encore plus important, la date exacte de l’ordination de Baldisseri – le 29 juin 1963 – est le jour exact où Malachi Martin intronisa le « couronnement de l’ange déchu Lucifer » dans la citadelle catholique romaine. Ce rituel, comme l’avait appelé Martin, avait deux principaux objectifs :

  • 1) couronner Lucifer comme le vrai prince de Rome,
  • 2) s’assurer que l’intégration magique et l’incarnation terrestre de cet esprit immatériel dans un prêtre soient réalisées, prêtre qui deviendrait plus tard Petrus Romanus.

Dans son livre, Windswept House (la maison battue par les vents, NdT), Martin a écrit :

Le couronnement de l’archange déchu Lucifer fut effectué au cœur de la citadelle catholique romaine le 29 juin 1963 ; date correspondant à la promesse historique qui devait se réaliser. Comme le savaient pertinemment les principaux acteurs de cette cérémonie, la tradition sataniste avait depuis longtemps prédit que le Temps du Prince serait annoncé au moment où un pape prendrait le nom de l’apôtre Paul (le pape Paul VI). Cette condition nécessaire – signe que le temps était venu – avait été remplie huit jours seulement avant l’élection du tout dernier Pierre de la tradition.

Le gros problème avec Baldisseri est qu’il ne semble pas être un possible pape, son rôle peut donc n’être qu’une coïncidence ou n’annoncer qu’une collaboration, car le mystère du conclave de 1963, qui démarra le 19 juin et se termina le 21 par l’élection du pape Paul VI, comporte un secret totalement inconnu du public mais qu’aborde courageusement Malachi Martin. On en parle dans les cercles de recherche comme « La thèse Siri », qui implique la preuve chuchotée que le cardinal Giuseppe Siri de Gênes aurait en fait reçu un vote majoritaire aussi bien lors des conclaves de 1958 et de 1963, mais que par de mystérieuses pressions (venant, on le suppose, d’influences maçonniques) il aurait refusé l’office papal.

Quand on lui a demandé vingt ans plus tard s’il avait été élu comme pontife dès le départ, Siri a répondu : « Je suis lié par le secret. Ce secret est terrible. Je pourrais écrire des livres sur les différents conclaves. Des choses très sérieuses se sont passées. Mais je ne peux rien dire. »

Malachi Martin ne resta pas pour autant silencieux. Il déclara avoir été témoin visuel du conclave de 1963 et dans son livre « The Keys of This Blood », il dit que Siri a en réalité été élu pape en 1958 et 1963, mais que cette élection a été « bloquée » en raison de l’ « interférence » d’un émissaire d’une organisation de base internationale » (les francs-maçons).

Étant donné que notre livre à succès, Petrus Romanus : le dernier pape est ici , est basé en partie sur la prophétie attribuée à Saint Malachi appelée « La prophétie des papes », nous serions bien négligents de ne pas souligner également qu’en 1958, l’Italie pensait si fortement à l’élection inévitable de Siri, que « la prophétie de Saint Malachi, qui décrit le successeur de Pie comme un « berger et marin » » \[n° 107 dans la prophétie des papes] (Pastor et Nauta), s’adressait obligatoirement à l’illustre archevêque de Gênes \[Siri]. Il résidait depuis toujours dans la cité maritime qui l’avait vu naître fils d’un docker. C’était le port le plus important du pays, et le lieu de naissance de Christophe Colomb.

Un journal génois écrivait : « Personne mieux que Siri ne pourrait symboliser cette devise : c’est un pasteur de la plus grande vertu, un capitaine de navire, né et élevé au bord de la mer ».

Donc comment et dans quel but l’élection de Siri a-t-elle été bloquée et dissimulée si complètement ? William G. von Peters, explique dans [I]La thèse Siri[/I] :

Une majorité de catholiques aujourd’hui ne comprend tout simplement pas pourquoi ou comment un tel crime a pu se dérouler avec un tel succès sans que le monde extérieur ne le détecte, avec l’active participation de hauts princes de l’Église, en l’espace d’une génération, comme présumé par la « thèse Siri ».

Il est sûr qu’une aussi longue et interminable conspiration est au-delà de la capacité d’hommes même les plus diaboliques.

Mais il y a 130 ans, le pape Pie IX expliquait que « Si on prend en considération l’immense développement qu’ont pris … les sociétés secrètes ; le temps depuis que leur énergie persévère, leur furieuse agressivité ; la ténacité avec laquelle leurs membres sont agrippés à l’association et aux faux principes qu’elle professe ; la coopération mutuelle persévérante d’un aussi grand nombre d’hommes à promouvoir le diable ; on ne peut à peine nier que le GRAND ARCHITECTE \[le dieu des francs-maçons] de ces associations (considérant la cause comme proportionnelle à l’effet) ne peut être autre que celui qui dans les écritures sacrées est intitulé le PRINCE DE CE MONDE ; et que c’est au moins Satan en personne par sa coopération physique, qui dirige et inspire les dirigeants de ces groupes et coopère physiquement avec eux. »

Une autre spéculation sur le complot maçonnique qu’on appelait à l’origine « Alta Vendita » semble se rattacher à ce qui s’est passé lors des conclaves de 1958 et 1963, parce qu’il y avait ces réunions secrètes au moment de l’élection des papes qui mettraient en œuvre le deuxième Conseil du Vatican et ses décrets hérétiques de type Vendita.

Nous pourrions bien sûr citer encore une fois une pléthore de pères de l’Église, d’apparitions mariales, et de visionnaires catholiques, qui, au fil du temps avaient prédit ces événements comme un avant-goût de l’arrivée de Petrus Romanus. Même saint François d’Assise – l’une des figures religieuses les plus vénérées de l’histoire – avait rassemblé ses fidèles peu de temps avant sa mort et prophétisé :

« À l’époque de cette tribulation, un homme, élu par voie non canonique, sera élevé au rang de pontife, qui, par sa fourberie, s’efforcera d’en attirer beaucoup dans l’erreur et la mort… Des prêtres garderont le silence sur la vérité, et d’autres la fouleront aux pieds et la nieront … pour ces jours où Jésus Christ ne leur enverra pas un vrai Berger, mais un destructeur. »

À l’époque où nous écrivions notre livre, le Vatican allait fêter le 50e anniversaire de Vatican II, un moment parfait, diraient les Illuminati, pour installer Petrus Romanus et exercer leur revanche.

Mais nous sommes, du moins pour le moment, dans l’embarras quant au candidat dont nous avons parlé dans ce chapitre (ou peut-être un autre concurrent encore non identifié) qui réalisera le sinistre présage de la prophétie des papes au sein de la confrontation qui est prévue dans les semaines à venir parmi le Collège des cardinaux à l’intérieur de la Chapelle Sixtine dans le palais du Vatican.

La déplaisante réalité est que le conflit concernant le futur Petrus Romanus bouillonne en profondeur, largement inconnu du public mais néanmoins anticipé par des mystiques catholiques comme le père Herman Bernard Kramer dans son ouvrage, « Le Livre de la Destinée ». Notez son effrayante et étrange interprétation du chapitre 12 du livre de l’Apocalypse au sujet de la « grande merveille » mentionnée au premier vers. Le père Kramer a prophétisé :

Le « signe » dans le ciel est celui d’une femme enceinte qui crie étant en travail et s’angoisse pour la délivrance.

Dans ce travail, elle donne naissance à une certaine « personne » qui doit DIRIGER l’Église avec une verge de fer (vers 5). Il met ensuite l’accent sur un conflit qui se fait au sein de l’Église pour élire celui qui devait « gouverner toutes les nations » de la manière clairement annoncée. En accord avec le texte c’est indéniablement une ÉLECTION DE PAPE, car seul Christ et son Vicaire possèdent le droit divin de gouverner TOUTES LES NATIONS…

« Mais à notre époque, de grands pouvoirs peuvent adopter une attitude menaçante pour entraver l’élection du candidat logique et attendu par des menaces d’apostasie générale, d’assassinat ou d’emprisonnement de ce candidat s’il est élu ».

Tout en étant en désaccord avec l’interprétation de Kramer du livre de l’Apocalypse, l’idée qu’une « personne » particulière est née et elle est aujourd’hui à un âge approprié pour réaliser l’incarnation de la prophétie des papes de Saint Malachi et produire l’Homme du Péché, n’est pas remise en question.

La peur de Kramer que « de grands pouvoirs puissent prendre une attitude menaçante pour entraver l’élection du candidat logique et attendu » reflète aussi le sentiment d’autres prêtres, passés et actuels, dont le cardinal archevêque Paolo Romeo, le dirigeant des catholiques de Sicile, qui a fait les gros titres du 10 février 2012, quand le journal italien Il Fatto Quotidiano (célèbre pour ses scoops en exclusivité) a publié des éléments d’un communiqué secret impliquant un cardinal et une conspiration criminelle pour assassiner le pape Benoît XVI avant la fin 2012.

On trouvait évidemment au cœur du complot d’assassinat des machinations politiques dont faisait partie le secrétaire d’état du Vatican, Tarcisio Bertone, dont la soif de pouvoir l’avait fait haïr de Benoît, selon le document divulgué, et un autre Italien aujourd’hui favori en tant que successeur de Benoît, le cardinal Angelo Scola, actuel archevêque de Milan.

Le contrat sur la tête du pape et la prédiction par le cardinal Paola, qui aurait été faits dans le secret avec ses partenaires d’affaires italiens et chinois à Pékin concernant le fait que Benoît ne verrait pas la fin de l’année 2012, furent apparemment suffisamment pris au sérieux pour que quelqu’un parmi les auditeurs de Paola « soupçonne qu’il était lui-même impliqué en particulier dans le complot d’assassinat du pape Benoît XVI. L’une des personnes présentes au moins rapporta donc les mots du cardinal à Rome, et un compte-rendu spécial de l’incident – rendu conforme par le cardinal Dario Castrillon Hoyos et rédigé en allemand dans le but d’éviter une fuite – fut présenté au pape le 30 décembre de l’année dernière ».

La décision de démissionner de Benoît (ce qu’il fit secrètement et officiellement en 2012 juste après qu’il ait dit vouloir attendre 2013 pour la rendre publique) est-elle le résultat d’une pression de la part de ceux qui avaient menacé sa vie?

Que la menace chuchotée par Paola ait été réellement formulée ou non, le compte-rendu illustre de nouveau comment des efforts ont été faits par au moins l’un des membres du Collège des cardinaux pour s’aligner comme candidat dans le rôle de Petrus Romanus. En dehors de Francis Arinze, Tarcisio Bertone, Peter Turkson et Angelo Scola, nous avions complété l’année dernière la liste de nos dix candidats « poulains » en tant que pape par ordre décroissant avec les cardinaux Gianfranco Ravasi, Leonardo Sandri, Ennio Antonelli, Jean-Louis Tauran, Christoph Schönborn et Marc Quellet.

Le temps dira si l’un d’eux est élu ou si un autre candidat deviendra Petrus Romanus, mais avec ceci en tête, une dernière réflexion que chacun de ces papes concurrents peut faire envisager est la manière dont beaucoup de catholiques pensent que Nostradamus, le visionnaire du 16e siècle, était en réalité l’auteur de la « prophétie des papes ».

Si c’est le cas, le populaire cardinal ouest-africain Peter Turkson, « jeune » en terme d’éligibilité à l’âge de 63 ans peut avoir une chance de revenir en bonne position.

Le candidat « cheval noir » Turkson – et ses idées sur une autorité mondiale financière et politique hébergée aux Nations-Unies – pourrait devenir le remarquable et inattendu exécuteur aussi bien de la prophétie des papes que de la prédiction de Nostradamus d’un « jeune pape noir » de la fin des temps qui prend le contrôle de la hiérarchie romaine avec l’assistance de conspirateurs durant les temps d’obscurité et de guerre.

Dans le quatrain 6.25, Nostradamus a écrit :

Nostradamus avait ceci à dire de ce temps :

Par Mars contraire sera la Monarchie,
Du grand pescheur en trouble ruyneux :
Ieune noir rouge prendra la hierarchie,
Les proditeurs iront iour bruyneux. C6Q25
À travers Mars adverse \[en temps de guerre] sera la monarchieDu grand pêcheur \[le pape] en de troubles ruineuxUn jeune noir rouge \[un jeune cardinal noir] prendra la hiérarchieLes prédateurs agissant en un jour brumeux. (Nostradamus 625)

Le français médiéval peut aussi signifier :
Par Mars défavorable \[fin mars ou par conflit] la monarchie sera renversée,Du grand pécheur \[rendu pêcheur] en des troubles ruineux,Le jeune noir rouge prendra la hiérarchie,Les prédateurs agiront en un jour de bruine.

Contemporaine de l’arrivée du Faux Prophète (Petrus Romanus ?), il y a une prophétie provenant de ce que l’on considère largement comme le plus important ouvrage de la Kabbale juive, le Zohar, une série de livres écrits en araméen médiéval il y a plus de 700 ans, qui contient un commentaire mystique sur le Pentateuque (les cinq livres de Moïse, la Torah).

En plus d’une interprétation des écritures, la section « Vaéra » (volume 3, section 34) inclut « les signes annonçant la venue du Messie ». La date fascinante de son apparition est fixée dans le Zohar pour 2012-2013 ! Étant donné le rejet de Jésus en tant que Messie par les juifs orthodoxes, les chrétiens comprennent cette « venue » comme l’annonce du dévoilement de l’Antéchrist.

J.R. Church, du site Prophecy in the News, nous a contactés il y a deux ans et nous a dirigé vers les versets 476 à 483 de cette partie du Zohar en remarquant ce que personne dans la communauté de recherche 2012 n’avait encore écrit – que la période des soucis de Jacob (la Grande Tribulation, qui pour certains érudits catholiques commence avec l’élection de Petrus Romanus) débutera selon cet ancien texte en 2012-2013 quand les « rois de la terre » se rassembleront à Rome, probablement lors d’un conclave papal, et seront tués par des pierres de feu ou missiles venant du ciel.

La prophétie du Zohar, donnée par des juifs des centaines d’années avant la divination du « dernier pape », est étonnante si on la compare à la prédiction catholique. Le dernier pape, « Pierre le romain », dont le règne s’achève avec la destruction de Rome, sera aux commandes pendant une ère de grande tribulation et ensuite « la cité aux sept collines sera détruite, et un juge terrible et effrayant jugera son peuple ».

Mais le Dr Church soulignait que le Zohar juif, cette vision de la destruction de Rome est répétée, bien qu’une prophétie la relie à la venue du Faux Prophète, l’Antéchrist:

Cette ancienne dissertation rabbinique déclare que Rome sera détruite pendant l’année 5773 du calendrier juif, qui, dans notre calendrier commence à la nouvelle lune de septembre 2012 et s’achève plus tard en 2013 :

« Pendant l’année soixante treize \[2012-2013] les rois du monde se rassembleront dans la grande cité de Rome, et le Très Saint fera pleuvoir sur eux du feu et de la grêle et des météorites jusqu’à ce qu’ils soient tous détruits, à l’exception de ceux qui ne s’y seront pas encore rendus. »

Indique-t-elle la destruction de la mystérieuse Babylone ? Il note que tous les rois seront détruits. Pour ceux qui subsisteront, il dit : « Ceux-là recommenceront à faire d’autres guerres. À cette époque le Messie commencera à se déclarer et il y aura autour de lui un rassemblement de nombreuses nations et de nombreux hôtes des fins fonds de la terre. »

Un faux messie (l’antéchrist) était donc prédit dans une prophétie juive vieille de 700 ans devant se produire en 2012-2013.

De manière similaire, la prophétie des papes d’il y a 900 ans semble se dérouler d’une façon parallèle pour amener Petrus Romanus – le dernier pape. Il ne faudra plus attendre bien longtemps maintenant pour savoir si ces sages juifs avaient raison.

A suivre…

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