Interview de Michael Salla par Corey Goode et David Wilcock pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 7 épisode 9
David Wilcock : Eh bien, bon retour à “Divulgation Cosmique”. Je suis votre hôte, David Wilcock. Cette semaine, je suis avec Corey Goode, et notre invité spécial, le Dr. Michael Salla de l’Institut Exopolitics.
Nous allons beaucoup nous amuser. Nous allons parler de William Tompkins et des recherches incroyables que Michael Salla a fait afin de valider encore plus profondément certaines des déclarations dont nous avions parlé dans cette émission.
Alors, Corey, bon retour.
Corey Goode : Merci.
David : Dr. Salla, bienvenue dans l’émission.
Dr. Michael Salla : Merci, David.
David : Votre site s’appelle “Exopolitics”, cela se passe d’explications, mais j’aimerais que vous nous donniez votre définition de ce qu’est pour vous l’exopolitique.
Michael E. Salla, est un pionnier dans le développement de l’exopolitique, l’étude politique des principaux acteurs, institutions et processus associés à la vie extraterrestre. Son intérêt pour l’exopolitique est né de son enquête sur les sources des conflits internationaux et leur relation avec une présence extraterrestre qui n’est pas reconnue par le grand public, les élus ou même les hauts responsables militaires.
(…)
Dans Insiders Reveal Secret Space Programs and Extraterrestrial Alliances (2015), M. Salla analyse les témoignages de dénonciateurs qui révèlent l’étendue des programmes spatiaux secrets et de la diplomatie extraterrestre.Enfin, dans son livre le plus récent, Secret Space Programs and Nordic Extraterrestrial Alliance (2017), il présente de nombreux documents à l’appui de l’existence d’un programme spatial très avancé de la marine américaine capable de voyager dans l’espace interstellaire.
M. Salla est un spécialiste reconnu à l’échelle internationale en politique internationale, en résolution des conflits et en politique étrangère des États-Unis, et il est l’auteur et le rédacteur en chef de quatre autres ouvrages, dont The Hero’s Journey Toward a Second American Century (Greenwood Press, 2002) ; (Central Queensland University Press, 1995) ; Why the Cold War Ended (Greenwood Press, 1995) ; et Islamic Radicalism, Muslim Nations and the West (1993). Il est également l’auteur de plus de soixante-dix articles, chapitres et critiques de livres sur la paix, les conflits ethniques et la résolution des conflits.
Il a occupé des postes universitaires à la School of International Service & the Center for Global Peace, American University, Washington DC (1996-2004) ; au Department of Political Science, Australian National University, Canberra, Australie (1994-96) ; et à la Elliott School of International Affairs, George Washington University, Washington DC (2002). Il est titulaire d’un doctorat en gouvernement de l’Université du Queensland, Australie, et d’une maîtrise en philosophie de l’Université de Melbourne, Australie. Il a mené des recherches et des travaux de terrain sur les conflits ethniques au Timor oriental, au Kosovo, en Macédoine et au Sri Lanka, et a organisé des initiatives de rétablissement de la paix auxquelles ont participé des participants de niveau moyen à élevé de ces conflits.
Le Dr Salla a fondé l’Exopolitics Institute (2005) et l’Exopolitics Journal (2006). Il a co-organisé cinq conférences internationales sur la vie extraterrestre et la transformation de la Terre sur la Grande île d’Hawaii. M. Salla est l’hôte d’ExoNews.TV et a participé à des centaines d’émissions de radio et de télévision et à des conférences internationales pour ses recherches sur l’exopolitique et les conflits internationaux.
Michael : Oh, bien sûr. J’enseignais la politique internationale à l’université américaine de Washington D.C. lorsque j’ai entendu parler pour la première fois du sujet de la vie extraterrestre et des technologies cachées.
Plus je me suis penché sur le sujet et ai fait mes vérifications, plus j’ai découvert que cela était bien réel.
J’ai donc cherché un terme approprié pour décrire ce sujet. Étant dans la politique internationale, cela devait être en rapport avec la politique, et vous savez, il existe l’exobiologie, l’exoplanétologie, alors la chose logique était l’exopolitique.
J’ai commencé à faire des recherches sur ce sujet depuis cette période.
David : Lorsque nous entendons les gens parler de Voyager 2…
… et de la petite plaque qui est gravée dessus avec cette image de deux humains.
… et nous sommes là, nous sommes situés ici…
… est-ce que vos recherches ont conclu que cela pouvait être inutile ou redondant ? Sommes-nous vraiment seuls ou bien avons-nous déjà été contactés ?
Michael : Eh bien, lorsque vous regardez tous les témoignages de divulgateurs qui ont fait surface au cours des années, tous ces témoins, ces personnes qui ont eu des expériences, il n’est pas question qu’un jour nous découvrions la vie extraterrestre ou qu’elle nous découvre.
Nous avons été découverts il y a longtemps et en fait, ils nous rendent visite et interagissent avec nous. Il est surtout question de savoir qui interagit avec qui, quelles agences gouvernementales, quels départements militaires sont impliqués dans cela et l’étendue de la coopération.
C’est la chose qui m’a le plus intéressée parce que j’ai toujours voulu savoir ce qui mène la politique internationale. Et plus nous en savons au sujet des accords existants, plus nous savons ce qui se cache derrière la politique internationale.
David : Et lorsque nous découvrons que toutes ces décisions ont été prises sans aucun vote, sans l’approbation de quelque public que ce soit, comment vous êtes-vous positionné dans ce discours avec l’exopolitique ?
Michael : Eh bien, en tant que scientifique de la politique, je veux dire, ce que nous tentons véritablement de faire c’est de ne pas porter de jugements sur le fait que telle ou telle politique soit appropriée ou non, mais nous essayons d’apporter de la transparence sur toute cette question.
Parce que plus les choses deviennent transparentes, plus les meilleures décisions peuvent être prises par rapport à ce qui devrait être fait ou non. Et ensuite vient le fait de la responsabilité de ses actes. Je veux dire, c’est la chose essentielle.
Pour les scientifiques de la politique, vous recherchez toujours… eh bien, comment pouvons-nous rendre les gens responsables de leurs actes ? Comment pouvons-nous faire en sorte que les politiciens, ceux qui font de la politique, soient tenus responsables de leurs actions ?
Afin de rendre cela possible, il faut de la transparence. Alors, nous regardons le phénomène extraterrestre dans sa globalité et il y a très peu de transparence.
Ce qui signifie que des gens font des choses, qu’ils prennent des décisions qui nous affectent tous sans que nous ne sachions de quoi il s’agit, sans que les représentants supposés réguler cela d’une certaine façon ne sachent de quoi il s’agit, et il y a zéro responsabilité.
Alors pour ma part, c’est vraiment l’objectif – d’amener une sorte de transparence, de faire la lumière sur tout ce phénomène.
Corey : Oui, le manque de transparence, c’est le problème, et c’est là que se place le dénonciateur. N’est-ce pas ?
Et vous avez eu accès à William Tompkins pendant un temps ?
Michael : Tout à fait. Bill Tompkins était très intéressant parce que lorsque j’ai entendu parler de lui la première fois à la fin de l’année 2015, tout début 2016, j’écoutais des interviews audio de lui et son témoignage était incroyable.
[Quelques exemples d’interviews au contenu stupéfiant, avec William Tompkins : une interview en trois parties sur l’histoire des programmes spatiaux secrets 1, 2 et 3 ; et une autre interview en deux parties sur les technologies futuristes qui ont déjà été développées au sein des PSS mais qui sont encore cachées au grand public 4, 5]Et heureusement, je connaissais la personne clé qui était impliquée dans son livre et sa parution publique en Décembre 2015, « Selected by Extraterrestrials » [Choisi par les extraterrestres].
Le Dr. Robert Wood était un collègue et je suis allé le trouver et je lui ai dit : « Eh bien, comment se fait-il que tu travailles avec cet homme à l’histoire incroyable, ce Bill Tompkins ? »
Et Bob m’a tout raconté sur l’histoire de Bill Tompkins.
Corey : Oui. Bob est connu pour être l’homme des détails pratiques.
Michael : Exactement.
Corey : Oui.
Michael : Et j’ai travaillé avec Bob par le passé pour valider certains documents, tout spécialement concernant l’assassinat de Kennedy.
À mon avis, Bob est véritablement un des experts de la vérification de documents, tout particulièrement lorsque cela concerne les projets secrets.
Et là, il me disait que Bill Tompkins était réellement ce qu’il disait être, qu’il avait vraiment travaillé dans ce programme hautement secret dirigé par la Marine, qu’il avait travaillé chez Douglas Aircraft Company pendant une décennie et que ses informations étaient en règle. Alors j’ai suivi.
En fait, je suis allé interviewer Bill Tompkins en janvier 2016 et j’ai fait 10 heures de vidéos en essayant d’aller réellement au fond de son histoire.
Et ensuite, j’ai entamé le processus de vérification. Quelle en était la validité, et est-ce que les personnes citées dans son histoire existaient vraiment ? Parce que Bob avait pu valider la partie de l’histoire où Bill Tompkins travaillait chez Douglas Aircraft Company pendant 12 ans, de 1950 à 1963.
Mais qu’en était-il de la période à l’aéroport naval de San Diego ? Est-ce que cela avait été vérifié ? Est-ce que les personnes nommées étaient de véritables personnes ?
Et celui qui a été le plus problématique a été l’Amiral qui était supposé diriger le programme, car même dans le livre en fait, il avait mal épelé le nom de l’Amiral. Nous n’avions donc aucun moyen de vérifier si ce type existait vraiment.
David : Alors, Michael, lorsque nous écoutons des vidéos de Tompkins, il dit « Rick Obatta ». Et il semble que le nom de ce type soit Rick. Alors quel était le secret ayant permis de résoudre cela, parce que je pensais également que c’était Rick ?
Michael : Eh bien, dans le livre, il y fait référence comme à « Rick Obatta ».
David : Tout à fait.
Michael : Et nous n’avons pu trouver aucun amiral du nom de « Rick Obatta », toutefois il y a eu finalement une possibilité.
Ce qui s’est passé c’est que son nom était « Rico Botta, B-O-T-T-A ».
David : Tout à fait.
Michael : Alors une fois que nous avons découvert son véritable nom, nous avons été en mesure de retrouver une biographie sur lui et de trouver que, oui, ce type avait réellement travaillé pour la Marine, qu’il était Amiral et qu’il était en charge de l’aéroport naval de San Diego.
Mais ce que j’ai trouvé véritablement fascinant, pendant que nous tentions de confirmer si oui ou non cet amiral existait, et que nous avons trouvé le nom de Rico Botta… parce que c’était comme : que savons-nous sur lui ? Il n’y avait rien sur lui sur Internet.
À la même période, en mars 2016, magiquement, sur un site d’aviateurs de la Marine appelé « Les Aigles d’Or » [The Golden Eagles], il y avait une biographie d’une page sur l’amiral Rico Botta. Elle est simplement apparue comme cela – de nulle part.
C’était presque comme si nous étions aidés…
Corey : Tout à fait.
Michael : …par les gens à l’intérieur de la Marine qui voulaient nous apporter de l’aide.
Corey : Exactement. Tout à fait.
Michael : Parce qu’avant mars 2016, il n’y avait absolument rien sur Rico Botta sur Internet.
Corey : C’est tout à fait possible puisque la divulgation de Tompkins est autorisée.
Michael : Tout à fait, Tompkins est aidé. Et pour moi, c’était véritablement une confirmation importante qu’il y avait des gens dans la Marine qui voulaient que cette histoire sorte au grand jour.
Parce qu’une fois que nous avons eu cette page d’autobiographie, nous avons été en mesure de faire nos vérifications et d’en trouver plus sur Rico Botta, sur son histoire, dans quel département de la Marine il était impliqué après l’aéroport naval de San Diego.
C’était donc une grande percée parce que confirmer l’existence de Rico Botta était un élément clé dans l’histoire de Tompkins pour la période où il avait travaillé à l’aéroport naval de San Diego.
David : Eh bien, Michael, j’aimerais que nous fassions un petit retour en arrière, parce qu’en tant que proéminent chercheur d’OVNIs, vous êtes véritablement un des seuls dans ce secteur à avoir rompu les rangs et à avoir cru en la crédibilité de l’histoire de Corey.
Alors, quel a été pour vous le point qui vous a fait sentir que Corey était crédible ?
Michael : Eh bien, une des choses qui m’a réellement aidé a été le fait de voir que son témoignage était cohérent et que son langage corporel l’était également.
Et lorsque j’ai commencé à communiquer pour la première fois avec Corey, c’était en – quand était-ce – 2016, au début de 2016 – non, 2015.
David : Oui.
Corey : C’est cela, 2015.
Michael : Oui. Début 2015. Nous avons fait quelques interviews par email. Je crois que nous en avons fait une douzaine ou quelque chose comme cela.
Corey : Tout à fait.
Michael : Corey répondait aux questions, et je pouvais lire ses réponses et les exposer au public afin que les gens puissent lire ce que Corey disait.
Et cela a été vraiment utile parce que nous pouvions voir la concordance avec ces vidéos qui correspondaient aux questions auxquelles il avait répondu par écrit.
Parce que lorsque vous répondez par écrit, vous savez, vous utilisez une certaine partie du cerveau.
Corey : Tout à fait.
Michael : Votre côté gauche. Et lorsque vous répondez verbalement dans une interview, vous utilisez alors le côté droit de votre cerveau. Mais les choses concordaient. Le témoignage était identique.
Et ensuite, il y a eu beaucoup de choses qui correspondaient indirectement, et une de ces choses qui a été véritablement importante pour moi, a été lorsque Corey a parlé de son voyage sur Mars au milieu de 2015 où il avait dit y être allé avec Gonzales afin d’investiguer sur les abus de l’esclavage sur Mars.
Il avait fait la description d’une colonie où il y avait cette sorte de manager violent qui menait la colonie comme une dictature.
À la même période où Corey divulguait cette information, la British Interplanetary Society organisait ce symposium à Londres où il y avait 30 des meilleurs ingénieurs aérospatiaux ainsi qu’un groupe de réflexion, et des représentants du gouvernement, qui discutaient de la façon de retirer un dictateur d’entreprise sur Mars, que Mars aurait une base dans le futur où il y aurait un dictateur.
Et la question était : comment retire-t-on cette personne ?
Corey : Oui, c’était quelques jours après que l’information soit sortie dans l’émission « Divulgation Cosmique« .
Michael : Exactement.
Et ensuite, il y a eu tout un tas d’autres congruences avec la note signée du Président Obama qui rendait l’exploitation minière dans l’espace immunisée contre n’importe quelle surveillance réglementaire, ce qui signifiait que les abus qui se passaient dans l’espace, comme des entreprises utilisant l’esclavage humain et faisant de l’exploitation minière dans l’espace, que tout cela était libre de n’importe quel cadre réglementaire gouvernemental jusqu’en 2022.
Et tout cela a commencé en même temps que l’information donnée par Corey.
Et il y a eu un certain nombre d’autres choses comme cela.
David : Une autre chose notable à laquelle je pense, c’est que vous avez en fait écrit le premier livre parlant de Corey Goode.
Michael : Le titre du livre est « Insiders Reveal Secret Space Programs & Extraterrestrial Alliances. » [Un initié dévoile les Programmes Spatiaux Secrets et les alliances extraterrestres.] J’ai simplement utilisé une grande partie du témoignage de Corey qu’il avait partagé lors de ces interviews par emails.
J’ai donc utilisé beaucoup de ce matériel et j’ai fait les vérifications dans le livre comme pour – eh bien, comment cela correspondait-il avec des documents historiques ? Je veux dire, un des éléments clés révélé par Corey a été de dire que l’Allemagne nazie avait développé un programme spatial secret dans l’Allemagne nazie et en Antarctique.
Et j’ai regardé quelles preuves il y avait sur le fait que les nazis avaient développé un programme spatial. Et il y avait des documents historiques qui supportaient cette idée.
L’un d’entre eux était un ensemble de documents sur l’Italie fasciste en 1933 qui montrait que Benito Mussolini avait organisé un groupe de réflexion secret afin d’étudier une soucoupe volante qui avait été récupérée – les Italiens avaient découvert une soucoupe volante en 1933 et ils avaient organisé un groupe de réflexion dirigé par Guglielmo Marconi. Il en était le responsable.
Cela montrait donc qu’en 1933, l’Italie étudiait déjà le phénomène. Et peu de temps après l’Italie a conclu l’accord avec l’Allemagne, et ils ont partagé toute cette technologie, toutes leurs découvertes.
Cela soutenait donc ce que Corey avait dit.
Corey : Et on arrive rapidement à la sortie du livre de William Tompkins nous racontant beaucoup de choses similaires. Il écrivait pendant que nous faisions cette émission.
Michael : Exactement. En fait, ce qui s’est passé, c’est que Bob Wood avait un exemplaire de mon livre et il l’a montré à Bill Tompkins…
Corey : Tout à fait.
Michael : … et il a dit : « C’est assez similaire à ce que vous dites ». Parce que mon livre est paru en septembre 2015 et celui de Bill Tompkins est sorti en décembre 2015.
Corey : Oui.
Michael : Et donc, dans le livre où j’examine votre témoignage et l’histoire du Programme Spatial Secret en termes de quel avait été le rôle de l’Allemagne nazie avec ses deux programmes séparés – l’un en Allemagne et l’autre en Antarctique –, c’était donc quelque chose qui était dans le livre.
Bill Tompkins l’a lu et il a dit : « Oh, mon dieu ! Comment cette information est-elle sortie ? Je pensais être le seul à être au courant de cela et que j’allais en faire la révélation ».
Corey : Tout à fait.
Michael : Il était choqué que quelqu’un l’ait partagé avant lui. Alors pour moi cela a été une très importante corroboration de ce que vous aviez dit.
Corey : Et je sais que vous avez fait beaucoup de recherches sur Tompkins. Combien de corrélations avez-vous trouvé dans toutes vos recherches ? Est-ce que cela a été cohérent ?
Michael : Oh, beaucoup de corrélations. Je veux dire, simplement du tout début sur la façon dont cela a commencé, le rôle de la Marine, la Marine américaine, en rassemblant leurs programmes afin d’étudier ce que faisaient les Allemands, et ensuite de commencer le processus de l’ingénierie inversée et la conception de leurs propres vaisseaux.
Tompkins avait des corroborations très importantes à partager.
Corey : Absolument.
David : Alors, Corey, lorsque Michael a mentionné l’Italie fasciste trouvant un OVNI, je ne vous ai jamais entendu dans cette émission, ou bien dans aucune conversation, parler du rôle de l’Italie fasciste dans tout ce Programme Spatial Secret allemand.
Que savez-vous de cela ?
Corey : Oui. En Italie, ils avaient beaucoup de bases souterraines ou dans les montagnes.
David : Oh, vraiment ?
Corey : Il y avait des zones autorisées en Italie où ils pouvaient développer de la technologie et une partie de cela était développé en Italie.
Michael : Et ce que j’ai trouvé de très intéressant dans les corroborations entre ce que Corey disait et ce que Tompkins disait, c’était que Marconi avait pris beaucoup de ces informations pour démarrer un nouveau programme en Amérique du Sud – une sorte de programme plus privé –, et Bill Tompkins a dit la même chose, que Marconi avait commencé quelque chose là-bas en Amérique du Sud et que les Italiens avaient en fait un très important programme spatial.
C’était encore une chose que j’avais trouvé de commun entre Bill et Corey.
David : Michael, avez-vous fait des recherches sur le Die Glocke, l’appareil allemand en forme de cloche et sur l’antigravité ? Parlez-vous de cela dans le livre ?
Michael : Oui. C’était en quelque sorte l’effort des nazis de militariser ces sortes de technologies pendant la guerre.
David : Oui.
Michael : C’était une partie de ce programme dirigé par les SS nazis et sous Kammler, et c’est là où vous avez des témoins ayant parlé de la Cloche nazie et que c’était quelque chose que l’on avait tenté de transformer en arme sans succès, et que beaucoup des meilleurs scientifiques nazis allaient en Antarctique.
Et c’est là où ils ont véritablement développé leur plus ambitieux et leur plus efficace programme spatial.
Corey : Tout à fait. Ainsi que les armes non cinétiques pour les accompagner.
Michael : Tout à fait.
Corey : Les armes basées sur l’énergie.
Michael : Exactement.
David : N’avez-vous jamais cherché du côté du Projet Highjump, parce que c’est une des choses les plus remarquables que Corey ait partagé avec nous ? Une invasion planifiée de l’Antarctique après la Seconde Guerre Mondiale dans le but d’essayer de battre une quelconque base nazie qui se trouvait là-bas.
Cela est-il ressorti lorsque vous avez fait vos recherches ?
Michael : Oui, exactement. C’est une partie très importante du témoignage de Corey, et une chose à laquelle je m’étais intéressé depuis quelques années. Il y a eu beaucoup de rumeurs concernant l’Opération Highjump et il y a eu beaucoup d’informations sur ce qu’a rencontré là-bas le groupe de l’amiral Byrd.
Ce que j’ai trouvé très utile dans le témoignage de Bill Tompkins c’était qu’il disait qu’il y avait un contexte à l’Opération Highjump. Ce n’était pas seulement cette bataille où la Marine avait tenté de prendre la base nazie en 1946/47. Avant cela, l’amiral Byrd avait été en Antarctique en 1945/46 afin de négocier avec les nazis.
Il y a donc eu une première tentative de négociations avec les nazis. Cette négociation n’avait pas été un succès, et les Anglais avaient envoyé leurs équipes d’opérations spéciales là-bas durant l’été 1945/46, immédiatement après la Seconde Guerre Mondiale, après la rédition du Japon en août.
Ce qui signifiait qu’après la rédition du Japon en août, quatre mois plus tard, vous aviez les Anglais et les Américains envoyant chacun des groupes en Antarctique pour trouver les Allemands, leurs bases, et pour négocier. Parce qu’ils avaient négocié avec les SS nazis à la fin de la guerre, alors ils pensaient pouvoir faire la même chose avec les nazis en Antarctique, mais cela a échoué.
D’après Bill Tompkins, lorsque l’amiral Byrd est revenu à Washington D.C. et qu’il a dit : « Eh bien, les négociations ont échoué », c’est là que la Marine a décidé qu’à la prochaine opportunité, qui était l’été dans l’hémisphère sud en 1946/47, qu’ils enverraient leur groupe 68, qui était l’Opération Highjump.
Et bien entendu, ils ont donné le temps aux Allemands de finaliser le développement de leurs armes à énergie dirigée de sorte qu’ils puissent équiper leurs soucoupes volantes là-bas.
Lorsque la Marine est arrivée, il y avait ces soucoupes volantes très fonctionnelles pour combattre les meilleurs avions de combat de la Marine, leurs destroyers et les autres navires.
Corey : Dans son témoignage, est-ce que Tompkins a mentionné la réunion de haut niveau entre les Américains et la faction séparatiste nazie d’Argentine, ou bien a-t-il mentionné l’Antarctique ?
Michael : Il a dit qu’en 1945/46, l’amiral Byrd était allé en Antarctique afin de conduire ces négociations spécifiques.
Corey : Parce que j’ai lu quelque chose au sujet de réunions de haut niveau s’étant déroulées en Argentine.
Michael : D’accord.
David : A la même période ?
Corey : Tout à fait.
Michael : D’accord. Eh bien, cela pourrait être tout à fait cohérent, je pense, parce qu’il y a eu toutes sortes d’histoires au sujet d’Hitler, de Kammler et de Bormann allant en Amérique du Sud, mettant en place une sorte de pouvoir politique, ou le centre politique du IVème Reich.
Corey : Et ils étaient également les gardiens de ce qui se passait en Antarctique.
Michael : Tout à fait. Je pense que… Oui, il pouvait y avoir des négociations là-bas ou des réunions, mais apparemment Byrd n’est allé qu’en Antarctique pour conduire ces négociations, d’après Bill Tompkins.
David : Vous devez vous souvenir – j’en suis sûr –, l’initié que Rich Dolan a interviewé et qui disait qu’à un moment il y avait un plan du Président des États-Unis pour envahir la zone 51.
Je pense qu’il serait bon que vous partagiez avec nous ce que vous savez à ce sujet pour donner un contexte à l’opération Highjump.
Corey : Je pense qu’un président a menacé d’envahir avec l’armée – avec la Première Division Armée ou quelque chose comme cela.
Michael : Oui, c’est juste. C’était un dénonciateur que Linda Moulton Howe avait interviewé en premier il y a 12 ans. Il utilisait le pseudonyme de Cooper, et il disait qu’il faisait partie d’une équipe de la CIA commandée par le Président Eisenhower afin d’aller sur la Zone 51, l’installation de la S4, et de découvrir ce qui se passait là-bas. Parce qu’Eisenhower sentait qu’il n’était pas mis dans le coup avec les accords qui avaient été passés avec les nazis et les extraterrestres. Il supposait qu’en tant que Président, que Commandeur en chef, qu’il y avait une chaîne de commandement, parce que c’était ce à quoi il était habitué.
David : Oui.
Michael : Mais il était devenu clair qu’il y avait des personnes qui dirigeaient les choses dans la Zone 51 et qui avaient une vision différente sur comment ces projets devaient être menés, ce qui rendait furieux Eisenhower parce qu’il n’avait pas de problème avec les secrets – de garder des secrets – mais il avait un gros problème lorsqu’on sortait de la chaîne de commandement.
Alors, lorsqu’ils ont découvert que des gens dirigeaient des projets dans la Zone 51 et S4, il a dit qu’il était prêt à utiliser la Première Armée basée à Denver, dans le Colorado, pour envahir la Zone 51 s’ils ne lui fournissaient pas des rapports complets sur ce qui se passait là-bas.
Le dénonciateur, Cooper, faisait partie de l’équipe qui est allée sur l’installation de la S4. Et il a décrit ce qu’il voyait dans l’installation et il a dit qu’il avait vu neuf appareils. Sur ces neuf appareils, il a dit que quatre étaient de l’Allemagne nazie.
Deux des quatre étaient le tout premier appareil Vril qui avait été développé par Maria Orsic et la Société du Vril…
David : Wahou !
Michael : … et les deux autres étaient des Haunebu qui avaient été développés par les SS nazis dans le programme d’armement, et que les cinq autres appareils étaient extraterrestres.
Le témoignage de Cooper est important parce qu’il donne une autre source indépendante de preuves qu’il y avait ces découvertes de programmes nazis impliquant des soucoupes volantes, et que l’armée américaine en avait récupéré certaines.
Il voulait livrer ce qu’il savait sur le sujet.
David : Oui.
Michael : Il voulait vraiment avoir la conscience tranquille et dire la vérité sur des événements historiques importants auxquels il avait été associé. Il ne voulait pas emporter ces informations avec lui dans la tombe.
Il est donc un de ces nombreux divulgateurs qui ont cette conscience que ce sont des informations que le public doit connaître et ils sont prêts à prendre de grands risques afin de partager cela.
David : Alors, Corey, nous avons une situation là où il y a les nazis en Antarctique. Une invasion est tentée. Cela échoue.
Et ensuite, nous avons Einsenhower essayant d’envahir la Zone 51. Il échoue. Il nous alerte au sujet du complexe militaro-industriel.
Comment l’Alliance voit-elle se mettre en place la divulgation ? Parce que lorsque les gens verront ce genre de choses, les éléments de l’exopolitique, ce dont parle Michael Salla, ils vont être très contrariés.
Il y a des choses non-gouvernementales qui se passent depuis 70 ans.
Corey : Tout à fait. Eh bien, la perspective de l’Alliance [du SSP, c’est-à-dire l’Alliance du Programme Spatial Secret qui est située en dehors de la Terre ; à ne pas confondre avec l’Alliance de la Terre] est de retirer le pansement et de commencer à guérir.
Ce à quoi ils se heurtent – on parle ici de l’Alliance du SSP – est l’Alliance de tous ces différents pays basés sur Terre, certains font partie de l’Alliance des BRICS, et ils se sont réunis et ont commencé à négocier avec ce que nous nommons « La Cabale ».
L’Alliance [de la Terre] a également beaucoup à perdre avec ces divulgations, alors ils ont décidé de faire une divulgation étalée sur des décennies. Mais cela n’est pas suffisant.
Et ce qui se passe véritablement à l’intérieur de l’Alliance – l’Alliance du SSP – c’est qu’ils essaient de faciliter la transaction en relâchant les informations sur l’Antarctique avant que la Cabale ne nous donne une version aseptisée.
C’est une tentative de rendre cette divulgation aseptisée impossible.
David : Eh bien, Michael, vous avez dit que vous vouliez de la transparence et cette transparence va impliquer que des personnes vont être réellement furieuses et devenir violentes.
Alors comment envisagez-vous cette transparence comme une clé pour résoudre nos problèmes exopolitiques ?
Michael : Lorsque vous avez de la transparence, vous êtes tenu responsable de vos actes. Vous pouvez avoir des enquêtes du Congrès.
Vous pouvez avoir des officiers militaires découvrant ce que leurs subordonnés faisaient, parce que beaucoup de ce qui se passe se fait en dehors de la chaîne de commandement – ce qui est arrivé à Eisenhower n’était pas un incident isolé, cela continue encore aujourd’hui.
En fait, par exemple, vous avez un amiral quatre-étoiles ne sachant pas ce qu’un capitaine impliqué dans ces programmes peut faire. Et de la même façon pour l’Armée de l’Air et l’Armée de la Marine.
La clé est qu’avec la transparence vous devez répondre de vos actes. Et je pense que c’est le processus et c’est ce que je souhaite véritablement réaliser en faisant ces recherches.
David : Comment pensez-vous que le facteur de la peur doive être appréhendé ? Par exemple, avez-vous rencontré beaucoup de peur de la part de votre audience lorsque vous divulguiez cela en essayant d’atteindre la transparence ?
C’est ce dont on nous prévient toujours, n’est-ce pas, que les gens vont être si effrayés qu’ils ne pourront pas supporter la vérité.
Michael : Eh bien, la peur que j’ai rencontrée venait plutôt des divulgateurs, des témoins qui étaient apeurés de partager cela. Ils avaient peur de ce qui pouvait leur arriver.
Je me souviens très bien avoir parlé avec Clifford Stone et l’avoir interviewé il y a environ 10 ans.
Et il me disait : « Après avoir terminé de parler avec vous, ils vont venir ici et me frapper mais cela m’est égal. Je m’en fiche. Je peux le gérer. »
Il savait ce qui se passait et quel était le prix à payer de révéler la vérité.
David : Wahou !
Michael : En tant que chercheur, ou pour ce qui est de l’audience, je n’ai jamais vraiment ressenti beaucoup de peur de révéler cela. Ce sont véritablement les divulgateurs, les premiers témoins, qui sont réellement apeurés pour leur sécurité et leur famille.
Corey : Oui, je suis bien d’accord.
David : Pensez-vous que cette carte de la peur soit quelque chose qui est sorti comme une excuse afin de maintenir le secret ?
Corey : Non.
David : Ou bien pensez-vous que les gens seront effrayés lorsque cela sortira ?
Corey : Ils croient sincèrement qu’il y aura une cassure totale de la société. Ils y croient sincèrement. Ils l’ont testé. Ils ont amené à leur insu des scientifiques et des soldats à être exposés à un extraterrestre ou à ce type d’informations et ils ont étudié leurs réponses.
Après… Vous savez, ils ont des profils de personnalités sur les gens qui travaillent pour eux, ils en ont donc différents types.
Ils pensent que celui-là réagira de cette façon parce qu’il a des racines chrétiennes, ce que possèdent beaucoup de militaires.
Alors, ils croient sincèrement qu’une Divulgation Totale est irresponsable parce que cela engendrera des morts, la pagaille, des émeutes dans les rues. Et ils ont raison. Cela sera le cas. C’est une partie du processus.
Mais si nous continuons d’esquiver, les réactions vont être bien pire.
David : Si les êtres avec lesquels vous travaillez sont bienveillants [l’Alliance des Êtres Sphères] et qu’ils veulent une Divulgation Totale, quelle est leur justification sur la façon dont nous répondrons en tant que peuple à la Divulgation Totale ? Et pourquoi insistent-ils pour cela ?
Corey : En fait, la chose la plus importante pour ces êtres de haute densité est le développement de la conscience.
Si nous n’avons pas de la transparence, cela empêche la renaissance de notre conscience alors que nous sommes prêts.
Alors au moment où nous aurons ces informations, oui, il va y avoir une pilule amère. Mais finalement, cela aura de plus grands avantages pour nous dans le développement de notre conscience collective de co-création.
David : Eh bien, c’est un très bon message et j’espère que vous avez apprécié cela.
Personnellement, j’ai apprécié. C’est « Divulgation Cosmique ». Je suis David Wilcock avec notre initié, Corey Goode, et notre invité spécial, le Dr. Michael Salla de l’Institut Exopolitics. Nous vous remercions de nous avoir regardé.
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