Secrets révélés

Comment une engeance d’une autre dimension a la mainmise sur notre planète depuis plusieurs millénaires

Qui sont les enfants de la matrice ? Nous-mêmes !

 » Le ridicule est l’hommage que la médiocrité rend au génie.  » – Anon
 

» Toute vérité passe par trois stades : en premier lieu, on la ridiculise ; en deuxième lieu, on s’y oppose violemment ; enfin, on l’accepte comme si elle allait de soi. «  – Schopenhauer
 

» À l’occasion, l’homme trébuche sur la vérité mais, la plupart de temps, il se relève et passe son chemin. «  – Winston Churchill

 » Lorsqu’ils croient connaître les réponses, les hommes résistent aux conseils. Lorsqu’ils sont conscients de leur ignorance, ils parviennent à trouver leur chemin. «  – Tao Te Ching

 » La vie peut prendre plusieurs formes. Voyez les formes de vie sur cette seule planète ! Dans ce buisson se trouvent des insectes que l’on pourrait confondre avec des pierres ou des copeaux d’écorce, jusqu’à ce que l’un d’eux nous enfonce son dard dans la peau, s’entend. La vie peut être autre chose que des bipèdes qui se meuvent, respirent et fument le cigare comme nous. Je l’ai déjà dit et je le répète : l’univers est une vaste mer de possibilités où tout a la chance et le droit de survenir ; aussi, nous ne devons pas formuler de théories définitives sur le visage obligé de la vie. Cette dernière pourrait nous réserver des surprises !  » Credo Mutwa, Historien officiel des Zoulous, tiré de son ouvrage intitulé : Song Of The Stars

La vie au-delà de la bulle

Deux choses sont nécessaires à qui souhaite découvrir et révéler la vérité toute crue. En premier lieu, l’esprit doit être affranchi du moindre dogme et, en second lieu, il faut franchement se contreficher de ce que les autres diront ou penseront à votre sujet ou, à tout le moins, ne pas laisser leur jugement influer sur vos décisions.

Sans un esprit libre, vous n’entrerez jamais dans les zones à risque où il faut pénétrer afin de voir à l’oeuvre les forces qui contrôlent cette planète.

Lorsque vous serez confrontés à des renseignements qui réduiront à néant vos croyances et convictions vous vous mettrez à retoucher l’information dérangeante et vous refuserez de vous engager sur la voie qu’elle vous indique. Sans je-m’en-fichisme à l’égard de l’opinion d’autrui, vous ne communiquerez jamais le fruit de vos observations car vous serez terrifiés à l’idée des répercussions qu’elles soulèveront chez vos amis, dans votre famille et dans la population.


Vous vous apprêtez à lire l’ouvrage d’un homme prêt à suivre le fil de l’information où qu’il le conduise et qui ne se soucie plus le moindrement de l’opinion d’autrui grâce à une expérience durement acquise au début des années 1990. Ainsi, nous percerons des zones de pensée apparemment bizarres, voire révoltantes, vous tiendrez des preuves recensées. Si vous tenez mordicus à défendre votre système de croyances, ne perdez pas de temps à lire cet ouvrage qui ne vous est pas destiné. En réalité, ce que vous lirez n’est pas le moindrement révoltant ; l’étonnement naît plutôt de ce que l’information dévie de la norme généralement acceptée. De tout temps, on a présenté comme des folles et des déments celles et ceux dont les convictions ne concordaient pas avec les idées reçues. Mais on peut être différent sans avoir tort. Tant d’idées autrefois ridiculisées et rejetées sont désormais reçues et fondées.

En premier lieu, on vous ridiculise ; ensuite, on vous condamne ; puis on prétend en choeur que vous aviez raison depuis le début.

J’ai rédigé cet ouvrage dans l’intention de réunir des preuves attestant de la mainmise des êtres extraterrestres, intraterrestres et interdimensionnels sur la Terre depuis plusieurs millénaires et jusqu’à ce jour. Pour y parvenir, je me suis fondé sur l’information parue dans  » Le Plus Grand Secret  » (Louise Courteau, éditrice) à laquelle j’ai greffé des témoignages historiques et contemporains afin de présenter sous un jour clair les forces qui nous manipulent et qui dirigent nos existences. Il s’agit simplement d’un pan de l’histoire, qui ne s’arrête pas à cela. Il y a tant à découvrir.

Mes fidèles lecteurs reverront des choses qu’ils connaissent auxquelles j’ai ajouté les dernières nouveautés, car il importe que chaque ouvrage soit complet de sorte qu’un individu qui me lit pour la première fois dispose de tous les renseignements nécessaires à sa compréhension du dossier. Je me suis efforcé de présenter l’information de façon simple et concise en songeant à celles et ceux qui n’ont pas encore abordé pareil sujet.


Sachez que ce que vous lirez ici n’est qu’information. Nul n’est contraint d’y croire et je ne cherche certes pas à convaincre qui que ce soit. Vos convictions sont les vôtres et je n’ai pas l’intention de vous en faire changer. Est-ce que j’ai les réponses à toutes les questions ? Bien sûr que non. Est-ce que j’en ai quelques-unes ? Voyez vous-mêmes !

David Icke, Ryde, Île de Wight
Le premier janvier 2001

La Matrice

» Que je vous explique pourquoi vous êtes ici-bas.

» Vous êtes ici-bas parce que vous savez quelque chose. Cette connaissance est inexplicable mais vous l’éprouvez au coeur de votre être. Vous l’avez éprouvée depuis votre premier jour. Vous avez l’intuition que quelque chose ne tourne pas rond. Vous ignorez de quoi il s’agit mais on dirait qu’une écharde a pénétré votre esprit, qui vous rend dingue. Cette impression vous a conduit jusqu’à moi. Voyez-vous de quoi je parle?

– La matrice ?

– Vous voulez savoir de quoi il s’agit ? La matrice est omniprésente, elle nous entoure. Ici et maintenant. Elle se trouve autant à votre fenêtre que dans le poste de télévision. Elle vous accompagne lorsque vous vous rendez au travail, que vous assistez à un office religieux, que vous payez vos impôts. Il s’agit de l’écran que l’on présente à votre vue pour vous détourner de la réalité.

– Quelle réalité ?

– Que vous êtes un esclave Néo. Pareillement à tous vos semblables, vous êtes asservi depuis votre naissance. Vous avez vu le jour à l’intérieur d’une geôle qui n’est pas perceptible par le goûter, l’odorat ou le toucher, une prison de l’esprit. Hélas ! nul ne peut vous apprendre ce qu’est la matrice ; chacun doit l’appréhender seul.

– … Je tente de libérer votre esprit, Néo. Mais je ne peux que vous montrer la porte. Vous devez en franchir le seuil. «

Scènes tirées du film intitulé :  » La Matrice  » (Warner Brothers, 1999). Je vous conseille de le visionner, de même que le film de John Carpenter  » They Live  » (Alive Films, 1988),  » The Arrival 1  » (Steelworks Films, 1988) et  » V :The Final Battle  » (Warner Brothers Television, 1984 et Warner Home Video, 1995).

Le défi

Don Juan dit ceci à Carlos Castenada :

» Nous sommes en présence d’un prédateur venu du fin fond du cosmos qui gouverne notre existence. Les êtres humains sont ses prisonniers. Le prédateur est notre maître et seigneur. Il a fait de nous des êtres dociles, avachis. Qui cherche à élever une protestation voit son désir supprimé. Qui cherche à faire preuve d’indépendance se voit rappeler dans le rang. Jusqu’à présent, j’ai tourné autour du pot, je n’ai fait qu’insinuer que quelque chose nous retenait prisonniers. Certes nous sommes prisonniers !

» Les sorciers de l’ancienne civilisation mexicaine n’y voyaient qu’un matériau énergétique. Ils nous ont pris en pâture et nous enserrent de leurs griffes pour exprimer le jus dont ils tirent leur subsistance. Au même titre que nous enfermons les volailles dans des cages à poules, les prédateurs nous enferment dans des cages à humains, des humaneros. Ainsi, leur garde-manger est toujours plein. «

Sur ce, Carlos répond :

– Non ! C’est absurde don Juan. Ce que vous dites est monstrueux. Ce ne peut être la vérité ! Ni au sujet des sorciers, ni des hommes.

– Pourquoi pas ? , répondit don Juan avec calme. Parce que cette idée soulève votre colère ? Vous ignorez encore bien des choses. Je fais appel à votre esprit d’analyse. Songez un instant et dites-moi comment vous expliqueriez les contradictions entre l’intelligence de l’homme de génie et la stupidité de ses convictions ou de ses comportements contradictoires. Les sorciers croient que les prédateurs nous ont livré nos systèmes de croyances, les idées que nous nous faisons du Bien et du Mal, nos moeurs. Ils ont décidé de nos attentes et de nos espoirs, de nos rêves de réussite et de nos échecs. Ils nous ont donné la convoitise, la cupidité et la lâcheté. Les prédateurs ont fait de nous des êtres complaisants, banals, égotistes.

– Mais comment font-ils, don Juan ? , demanda Carlos encore plus choqué par les propos de son interlocuteur. Nous murmurent-ils des choses à l’oreille pendant que nous dormons ?

– Non, rien de cela n’est nécessaire. Ils sont beaucoup plus efficaces et mieux organisés que cela. Afin de s’assurer de notre faiblesse et de notre obéissance, les prédateurs ont engagé une manoeuvre prodigieuse du point de vue d’un stratège militaire et affligeante du point de vue de ceux qui en font l’objet. Ils nous ont imprimé leur volonté. Vous m’avez bien entendu. Les prédateurs nous ont donné leur schème de pensée, de sorte que leur esprit est devenu le nôtre. L’esprit des prédateurs est baroque, contradictoire, morose, empreint de la crainte d’être découvert à tout instant.

– Je sais que, même si vous n’avez jamais souffert de la faim, vous êtes angoissé à l’idée d’être privé d’aliments. Cette angoisse n’est rien d’autre que celle des prédateurs qui craignent de voir leur manoeuvre découverte et d’être ainsi privés de nourriture. Ils insinuent en notre esprit, lequel est en réalité le leur, tout ce qui peut leur être utile. Ils s’assurent ainsi d’une certaine sécurité qui agit comme un frein sur leur propre peur.

– Les sorciers de l’ancienne civilisation mexicaine ne s’entendaient pas sur le moment où les prédateurs firent leur apparition sur Terre. Ils croyaient que l’Homme avait d’abord dû être libre, doté d’un esprit pénétrant et perspicace, pareillement aux êtres qui peuplent désormais les légendes anciennes. Puis tout semble disparaître et nous nous trouvons en présence d’un homme sous sédation. L’ennemi en présence n’est pas qu’un simple prédateur ; il est très intelligent et bien organisé. Il procède méthodiquement pour nous rendre amorphes. L’Homme, l’être appelé à un grand destin, n’a plus rien de magique. Il n’est qu’une pièce de viande à l’étal de ses bouchers.

– L’Homme n’a plus de rêve, sinon celui d’un animal élevé pour sa chair, des plus banals, conventionnels, imbéciles.

Castenada, 1998

Le complot

Il y a de cela plusieurs millénaires, avant même la soi-disant préhistoire, le Pacifique était le théâtre d’une civilisation très évoluée qui occupait un continent que nous appelons la Lémurie ou Mû. Les Lémuriens et d’autres peuples furent également à l’origine d’une autre grande civilisation, dans l’Atlantique cette fois, où se trouvait un continent que nous appelons l’Atlantide.

Les connaissances qui favorisèrent l’émergence des telles civilisations, qui permirent l’érection d’imposantes structures telles que la Grande Pyramide et de nombreux sites sacrés partout sur Terre, venaient des étoiles ou, plus précisément d’extraterrestres de différentes provenances.

Quelques-uns avaient l’allure de grands blonds aux yeux bleus alors que d’autres étaient du type reptilien. Ces êtres, mais ils n’étaient pas seuls, vinrent ici en partance des constellations d’Orion, d’Andromède, de la Lyre, du Dragon et du Bouvier, de même que de plusieurs étoiles des Pléiades, de Sirius, Véga, Zêta Réticuli, Arcturus et Aldébaran. Les aborigènes de l’Australie, les tribus africaines, les Babyloniens et les Amérindiens du Sud sont quelques-uns des peuples dont les légendes fondatrices font état d’un lien avec ces étoiles.

Les reptiliens forment une race quasi humanoïde de grande taille, aux yeux de serpent et à la peau d’écaille ; ils sont apparentés aux extraterrestres à la peau grisâtre et aux yeux noirs surdimensionnés qui font désormais figures de référence. Ces diverses factions rivales se livraient souvent bataille pour assurer leur suprématie dans ce que nous désignons comme le combat des Titans.

Ces êtres issus de civilisations techniquement avancées étaient considérés comme des dieux par les humains qui voyaient dans leurs prouesses technologiques rien moins que des miracles.

À propos, ceux qui ne peuvent concevoir qu’une forme de vie intelligente puisse prendre une apparence reptilienne devraient réfléchir aux paroles du cosmologiste Carl Sagan :  

» Dans l’univers, on compte davantage d’associations d’ADN (de formes physiques) possibles que d’atomes. « 

Sachant cela, et compte tenu de l’étonnante diversité des espèces reptiliennes présentes sur Terre, il serait étonnant qu’il ne s’en trouve aucune qui soit du type humanoïde et intelligent.

Ces dieux se reproduisirent entre eux et avec les peuples primitifs de la Terre. De telles unions font l’objet de nombreux récits antédiluviens. Les fils des dieux s’unirent aux femmes terrestres pour donner vie à une race hybride, dite Néfilim, ainsi qu’en parle la Genèse de l’Ancien Testament.

L’hybridation la plus importante se produisit entre les reptiliens et les grands blonds aux yeux bleus de type nordique, tous d’origine extraterrestre, et une alliance fut forgée entre leurs différentes factions.

De cette hybridation une nouvelle race vit le jour, que nous appelons la race aryenne et en qui les Nazis voyaient une race supérieure. Les Aryens sont nés de la fusion entre l’ADN (le code génétique qui décide des caractéristiques physiques) des nordiques et des reptiliens, jusqu’à former des lignées royales à qui on confia le pouvoir pendant plusieurs millénaires avant le commencement de l’Histoire officielle.

Ces reines et ces rois clamaient haut et fort leur droit divin de régner en raison de leur ascendance. Les représentants de ces familles royales en place en Égypte, à Sumer et dans la vallée de l’Indus avaient la peau blanche et les yeux souvent bleus et pourtant, ceux qui connaissaient leur nature hybride, les présentaient comme des rois dragons ou des rois serpents.

La Lémurie fut détruite par un cataclysme qui frappa la Terre il y a peut-être 12 000 ans de cela. L’Atlantide sombra ensuite, par phases successives au fil des millénaires suivants. Les différentes versions de l’histoire du grand déluge racontent cet anéantissement.

Lorsque les bouleversements géologiques sonnèrent le glas de l’Atlantide, les dieux et leurs lignées royales migrèrent au Proche et au Moyen-Orient et fondèrent un empire à Sumer, entre les rives du Tigre et de l’Euphrate (aujourd’hui en Irak). C’était autour de l’an 4000 avant notre ère.

Selon l’histoire officielle, Sumer marqua le début de la civilisation humaine mais, en réalité, il s’agissait d’un recommencement après la destruction de l’Atlantide. Les extraterrestres continuèrent de s’unir aux humains et les représentants de l’hybride entre les reptiliens et les nordiques continuèrent d’occuper des postes de pouvoir et de régner sur les peuples de Sumer, de l’Égypte, de Babylone, dans la vallée de l’Indus et plus loin encore à mesure que l’empire sumérien prit de l’expansion.

D’autres régions du globe virent le même type d’union, notamment en Chine et en Amériques, mais les hybrides extraterrestres occupaient surtout le Moyen-Orient à cette époque. Ces hybrides étaient dominés par les reptiliens.

Au fil des siècles, ces peuples débordèrent le cadre du Proche et du Moyen-Orient pour peupler l’Europe ; c’est alors que les lignées royales de Sumer et de l’Égypte prirent le sceptre et la couronne en Bretagne, en Irlande et sur le continent européen, en particulier en France et en Allemagne. Où qu’ils se trouvaient, les aristocrates s’unissaient et se reproduisaient entre eux jusqu’à en faire une règle d’or. Les familles régnantes font encore de même de nos jours car on cherche à perpétuer un code génétique particulier qui peut vite disparaître si on se reproduit avec des éléments extérieurs au cercle d’hybrides.

Dans les temps anciens, Babylone et Sumer étaient le siège des sociétés secrètes par le truchement desquelles les hybrides manipulaient l’humanité.

Par la suite, leur siège s’est déplacé à Rome où on vit l’avènement de l’Empire romain, le fondement de l’Église catholique romaine ou du christianisme institutionnalisé. Après la chute de l’Empire romain, le siège de leur pouvoir se déplaça vers le Nord de l’Europe, plus précisément à Amsterdam. C’est alors que les Hollandais commençaient à consolider leur empire par l’entremise de la Compagnie des Indes néerlandaises et de leur implantation en Afrique du Sud.

En 1688, Guillaume d’Orange, digne représentant de la lignée hybride, envahit la terre des Angles à partir des Pays-Bas ; un an plus tard, il montait sur le trône de l’Angleterre sous le nom de Guillaume III. Le roi Guillaume régna conjointement avec la reine Marie jusqu’à la mort de cette dernière en 1694, après quoi il ne partagea plus la couronne. Dès lors, la société secrète qui manipulait tout ce temps depuis les coulisses – les Illuminati – décida d’installer à Londres le coeur de ses opérations. Le monde assista ensuite à l’avènement du grand Empire britannique.

L’expansion de l’Empire britannique et des autres empires d’Europe aux quatre coins du monde permit l’implantation de la lignée des Néfilims sur chaque continent, notamment en Amérique du Nord. Après l’effritement des empires qui a marqué le XXe siècle, on a pu croire que les Amériques, l’Afrique et l’Australie avaient trouvé leur indépendance.

Plutôt, les Néfilims et les Illuminati n’ont fait que troquer une mainmise manifeste contre une mainmise secrète plus efficace. Alors qu’en apparence les empires rétrocédaient leurs droits aux élus des différents pays, notamment au Canada et aux États-Unis, il y laissèrent des représentants des lignées royales et des sociétés secrètes par le truchement desquelles ils agissent. Ils continuent depuis ce temps à contrôler les événements qui surviennent dans leurs anciennes colonies.

Cette opération s’inscrit dans le cadre d’un projet à long terme qui vise à centraliser le contrôle de la planète par la mise en place d’un gouvernement mondial, d’une banque centrale, d’une monnaie unique, d’une seule armée et d’individus marqués de microcircuits intégrés qui les reliera à un ordinateur central. Voilà la structure de gouvernement que l’on nous prépare !

Les gens qui contrôlent le monde et nos existences aujourd’hui appartiennent aux mêmes lignées que ceux qui régnaient jadis sur la Lémurie, l’Atlantide, à Sumer, en Égypte, à Babylone, qui étaient à la tête de l’Empire romain, de l’Empire britannique et des autres empires européens.

Ce sont les présidents des États-Unis, les premiers ministres, les grands banquiers, les chevaliers d’industrie, les barons des médias et les figures de l’ombre qui contrôlent l’appareil militaire. Nous sommes gouvernés depuis des milliers d’années par les Néfilims, cette race hybride extra ou intraterrestre, et nous nous trouvons à un moment charnière de leur projet dont le but semble de plus en plus apparent.

Le moment est venu pour nous, gens du peuple, de mettre un terme à cette dictature invisible ou de nous retrouver, dans un proche avenir, dans un État totalitaire et fasciste.

Voilà en gros comment les choses sont survenues. À présent, entrons dans les détails !

Chapitre 1 

La prison où nous naissons

 » Nul n’est plus esclave que celui qui croit à tort être libre. « – Goethe

Pour qu’une poignée d’individus puisse diriger et contrôler les masses, quelques structures doivent être en place. Ces structures sont les mêmes qu’il s’agisse de manipuler un particulier, une famille, une tribu, une ville, un pays, un continent ou une planète.

En premier lieu, il faut établir des normes, définir le Bien et le Mal, distinguer le possible de l’impossible, le fou du sage, la mère et la putain. La plupart des gens respectent les normes sans sourciller en raison de l’esprit grégaire qui prévaut depuis des milliers d’années. En deuxième lieu, il faut rendre la vie impossible à ceux qui transgressent les normes imposées. Le truc le plus efficace pour ce faire est de rendre hors la loi celui qui veut être différent.

Ainsi, celui qui danse au son d’un autre violon, qui exprime un point de vue divergent, qui vit autrement que ses voisins devient vite le mouton noir du troupeau. Déjà que le troupeau est conditionné à considérer les normes comme la réalité, son arrogance et son ignorance feront le reste et ridiculiseront ou condamneront celui qui dérange. L’opinion d’autrui exerce sur ce dernier une pression pour l’inciter à rentrer dans le rang et sert une mise en garde aux brebis qui songeraient à s’égarer. Un proverbe japonais s’énonce à peu près comme suit : Ne sois pas le clou qui dépasse car il est le premier à recevoir un coup de marteau.

La crainte de l’opinion forge une situation idéale pour que les masses se disciplinent d’elles-mêmes et marchent droit. Chacun des moutons devient le chien berger du troupeau, comme si les compagnons de cellule d’un prisonnier qui tente de s’évader cherchaient à le retenir. Devant une telle situation nous serions tous d’accord pour dire que les prisonniers sont insensés. Les humains agissent de la sorte les uns envers les autres en exigeant de tous qu’ils se conforment aux normes auxquelles chacun obéit aveuglément. Voici un bel exemple de fascisme psychologique !

Un gendarme de la pensée conformiste est posté dans chaque maison. L’esprit de ces agents non rémunérés est si bien conditionné qu’ils ignorent leur fonction.  » Je n’agis que dans l’intérêt de mes enfants « , les entend-on affirmer. Pourtant, ils ne font que ce qu’on les a programmés à croire comme tel, de même qu’à croire qu’eux seuls ont raison. Je me souviens avoir débattu avec le Grand Rabbin du Royaume-Uni sous les auspices du club de discussion Oxford Union et il n’admettait pas la différence entre l’éducation et l’endoctrinement. Il voyait la paille dans l’oeil de son voisin mais pas la poutre dans le sien.

Vous voyez chaque jour une pareille attitude chez les individus qui portent un uniforme et chez les gens du peuple qui gravissent les échelons du pouvoir sur leurs semblables. Cette attitude est drôlement résumée dans une satire de la chanson thème du parti travailliste britannique – The Red Flag – qui s’énonce ainsi :  » La classe ouvrière peut baiser mon derrière, je suis enfin devenu contremaître !  » Ces manoeuvres visent à diviser pour mieux régner et elles sont essentielles pour que le troupeau se discipline lui-même. Chacun contribue à ériger une prison psychologique, émotive et physique autour de ses semblables.

Les manipulateurs n’ont qu’à tirer les ficelles indiquées en temps opportun pour que leurs fantoches agissent comme bon leur semble. Ils y parviennent notamment en définissant le contenu pédagogique que goberont les étudiants et le contenu informatif des médias qu’ils possèdent. Ainsi, ils peuvent dicter au troupeau naïf et irréfléchi ce qu’il doit penser à propos de soi, d’autrui, de la vie, de l’histoire, des événements en cours.

Lorsque des normes sont en place dans une société, il n’est pas nécessaire de contrôler chaque journaliste, enquêteur ou fonctionnaire d’un gouvernement. Les médias et les institutions nationales acceptent la vérité qui correspond aux normes et couvrent de ridicule ou condamnent quiconque propose une autre vision de la réalité. Dès lors que vous contrôlez ce que l’on considère normal et possible, le système fonctionne pratiquement sans bavure.

Les Illuminati

L’élite dirigeante ne compte pas plus de treize familles au sommet de la pyramide sociale ; on lui doit ce système de contrôle dont les ramifications s’étendent par le biais de sociétés occultes. Ce réseau souterrain de sociétés qui desservent l’élite mondiale forment un ensemble que nous appelons les Illumitati (de l’italien  » éclairés « ), car ces gens sont éclairés de la connaissance qui est déniée au plus grand nombre.

Les Illuminati constituent un organisme qui, à la manière d’un cancer, parasite chaque organisation importante, c.-à-d. que toutes les principales sociétés occultes dirigent vers eux des recrues triées sur le volet afin qu’ils occupent des postes de pouvoir un peu partout sur l’échiquier international. Ils infestent tous les partis, toutes les chapelles, tous les pays. La majorité des francs-maçons ne progressent jamais au-delà des trois premiers degrés, les fameux degrés bleus. Ils ignorent la véritable raison d’être de leur association.

Même ceux qui parviennent au sommet de la hiérarchie, le trente-troisième degré du rite écossais, savent relativement peu de choses. Seuls une poignée d’individus issus d’une lignée particulière passent du sommet de la société occulte à laquelle ils appartiennent pour accéder à la sphère des Illuminati. Les autres ignorent tout de cette confrérie et de ceux qui la dirigent dans l’ombre.

Les lignées hybrides

Les Illuminati sont apparentés par un lien consanguin issu du croisement entre les reptiliens et les humains et les extraterrestres du type nordique. Ce croisement amorcé il y a plusieurs millénaires se perpétue encore aujourd’hui. Si vous ignoriez la chose, elle vous paraîtra inconcevable par rapport à la réalité que vous appréhendez. Mais en poursuivant la lecture de cet ouvrage vous verrez l’étendue des preuves à l’appui de cette histoire apparemment ridicule, qui explique en fait nombre de soi-disant mystères anciens et modernes. Tant de choses qui s’avèrent un jour réelles semblent d’abord impossibles et insensées !

Lorsque quelqu’un a dit que la Terre pouvait être ronde on l’a traité de cinglé sous prétexte que les habitants de sa surface inférieure chuteraient dans le vide. Les critiques rejetèrent cette idée, convaincus que la Terre devait être plate. Pourtant, si l’on tient compte de la loi de la gravité, ce qui était une idée saugrenue acquiert soudain de la crédibilité. Il en est de même de l’idée selon laquelle une race inhumaine contrôle et manipule l’humanité par l’intermédiaire de ses descendants hybrides, dont les lignées occupent des postes de pouvoir depuis la nuit des temps. Les preuves à l’appui sont manifestes, pour peu que l’on fasse preuve d’ouverture d’esprit !

Les Illuminati occupent les postes de chefs de partis politiques et de mandarins des gouvernements et, à ce titre, ils font voter les lois qui visent à maintenir les gens dans une servitude continue. Ces lois, sur lesquelles les populations n’ont aucun droit de regard, sont ensuite exécutées par les gens du peuple qui veillent à leur observation (soldats, policiers, agents de sécurité, etc.). Ces femmes et ces hommes ne sont en fait que les vestales au service du système. L’esprit d’initiative est vivement découragé, voire il nuit à la promotion. On les paye pour qu’ils fassent ce qu’on leur demande, exécuter les ordres et veiller au respect des lois décrétées par les représentants de l’élite. Mon père disait que les règles et les lois devaient guider la conduite des êtres intelligents et mériter l’obéissance aveugle des idiots.

Mais combien de représentants de la loi et de l’ordre jugent de chaque cas selon son mérite et appliquent les règlements de façon sensible ? Une faible fraction, qui s’attire généralement le mécontentement de ses supérieurs.

Les soldats tirent sans justification sur des enfants, des femmes et des hommes qui leur sont inconnus. Ils n’interrogent pas leurs supérieurs sur le motif d’un génocide qu’ils s’apprêtent à commettre. Ils obéissent aux ordres et ceux qui ordonnent ne font que transmettre les directives en provenance des treize familles hybrides qui orchestrent la mainmise totale sur la planète. Afin d’achever leur projet, il faut que soient en place un gouvernement mondial, une banque et une monnaie uniques, une armée internationale et que chaque individu soit marqué d’un microcircuit qui le lie à un ordinateur central. Une théorie ridicule, dites-vous ? Regardez bien autour de vous et voyez ce qui se produit en ce moment même !

Un parc à moutons

L’auto-surveillance du troupeau humain va au-delà des soldats et des hauts fonctionnaires. Elle repose sur les adultes qui imposent leurs réflexes conditionnés à leurs enfants et qui les poussent à se conformer à leurs normes religieuses, politiques, économiques et culturelles. Un exemple probant nous en est fourni par les mariages convenus dès la plus tendre enfance ou encore par les témoins de Jéhovah qui interdisent à leurs enfants de recevoir des transfusions de sang qui pourraient leur sauver la vie en se fondant sur les diktats contradictoires d’un livre qui n’est que pure fantaisie.

L’abêtissement du troupeau par l’érection d’une prison psychologique et émotive autour de l’humanité presque entière va bon train de minute en minute. Pour ce faire, on emploie des méthodes subtiles et d’autres qui le sont moins. Souvent les enfants de parents chrétiens, juifs, musulmans ou hindous n’acceptent pas tous les préceptes de leurs religions mais s’y conforment de peur de déplaire à l’autorité parentale. On table aussi sur la crainte généralisée de l’opinion d’autrui lorsqu’on émet un point de vue divergent ou que l’on vit autrement.

La crainte de ceux qui veulent agir différemment n’a rien à voir avec les Illuminati, car la majorité ignore leur existence. Ils craignent plutôt ce que leur mère ou leur père, leurs amis ou leurs collègues penseront d’eux, dont l’esprit a été conditionné pour s’accommoder du pacage. Ainsi, les moutons veillent et se surveillent eux-mêmes, faisant le jeu des représentants de l’élite qui gouvernent leur existence. Les manipulateurs et leurs fantoches ne sont pas suffisamment nombreux pour exercer un contrôle physique sur la population ; ils ont donc mis en place une structure sociale par laquelle les humains se contrôlent entre eux par la voie psychologique et émotive.

Lorsque le troupeau se gouverne docilement, on peut passer à la troisième phase de l’emprisonnement de la conscience. Il s’agit de définir des factions au sein du troupeau et de les élever l’une contre l’autre. Pour ce faire, on érige des systèmes de croyances différents (qui n’ont de différents que leurs noms) et l’on fait naître des conflits.

Ces systèmes de croyances sont les religions, les partis politiques, les théories économiques, les pays, les cultures et toutes les terminaisons en  » isme  » que vous pouvez concevoir. À l’intérieur du pâturage, on perçoit cette diversité comme des contraires alors qu’en réalité il s’agit d’une même chose. L’élite a donc fait naître une perception des contraires afin de favoriser les dissensions sur lesquelles elle fonde son pouvoir.

Quelle est la différence entre un évêque catholique, un rabbin juif, un iman musulman, un brahmane ou un bouddhiste qui impose ses convictions à autrui ? Il n’y en a aucune, sinon que son enseignement diffère quelque peu, voire très peu, de celui de ses confrères. En vérité, leur rôle consiste à endoctriner les gens et à leur inculquer qu’ils possèdent la vérité.

L’extrême gauche, dont Joseph Staline fut un digne représentant en Russie, a mis en place la centralisation du contrôle, la dictature militaire et le camps de concentration. À l’opposé, l’extrême droite, représentée par Adolf Hitler, a instauré la centralisation du contrôle, la dictature militaire et les camps de concentration.

Pourtant, ces prétendus opposés se sont livré une guerre sans merci. La seule différence entre l’Union soviétique et l’Occident pendant la guerre froide se trouve dans le fait que l’URSS était ouvertement contrôlée par quelques-uns alors que l’Occident était secrètement contrôlé par quelques-uns. Si l’on gravit les échelons de la pyramide, on se rend compte que ces quelques-uns sont ceux qui contrôlaient les deux camps. Une même force qui agit par l’intermédiaire de Wall Street et de la Cité de Londres a financé les adversaires en présence lors des deux Guerres mondiales et je suis en mesure de le prouver.

Récapitulons la manoeuvre frauduleuse.

D’abord, il faut corseter l’esprit humain dans un système de croyances sans souplesse et limiter la perception de la réalité, c.-à-d. contenir le troupeau à l’intérieur du pacage. Peu importe le contenu des croyances, pour peu qu’elles soient structurées, qu’elles découragent la liberté de pensée et l’ouverture d’esprit.

Le christianisme, le judaïsme, l’islam, l’hindouisme et les autres religions contribuent toutes à la servitude humaine en disant chacune détenir la vérité. Ensuite, il faut inciter ceux qui souscrivent à ces croyances fermes à les imposer aux autres et à gâter l’existence des anticonformistes. On fait naître des conflits entre les différents schèmes de croyances pour s’assurer de diviser et de régner. Alors que les masses s’entre-déchirent, elles ne voient pas les ficelles que tirent les Illuminati.

Les humains sont semblables à des mites qui tournent autour d’une flamme, magnétisés par leurs croyances religieuses, la marque de leur équipe de football, les rebondissements de leur feuilleton télévisé ou le prix de la bière ; ils ne voient pas que la flamme qui les attire est celle qui causera leur perte.

Des pyramides comme des poupées russes

Les Illuminati ont mis en place une structure pyramidale qui se ramifie à l’échelle internationale, laquelle leur permet de consolider leur mainmise sur le monde sans que trop d’individus en soient au courant. Les pyramides sont semblables à ces poupées russes qui s’emboîtent les unes les autres et dont la plus imposante les renferme toutes.

Désormais chaque organisation est dotée d’une structure pyramidale. Seuls ceux qui en occupent le sommet connaissent sa véritable raison d’être. À mesure que l’on descend les degrés de la pyramide organisationnelle, les serviteurs du système sont de plus en plus nombreux mais connaissent de moins en moins le projet qu’ils desservent. Chacun connaît ses fonctions quotidiennes mais ignore que sa tâche s’imbrique à d’autres activités qui ont cours en d’autres secteurs d’exploitation et qui forment un grand tout.

Chaque subalterne est tenu dans son cubicule et ne connaît que ce qui est nécessaire à sa tâche. Les pyramides plus modestes, par exemple les succursales bancaires, s’intègrent à d’autres plus imposantes, et ainsi de suite, jusqu’à former la grande pyramide qui abrite toutes les banques du monde. Il en est ainsi des transnationales, des partis politiques, des sociétés occultes, des empires médiatiques et de l’appareil militaire.

Si on s’approche du sommet, tous les transnationales, partis politiques, sociétés occultes, empires médiatiques et appareils militaires (p. ex. l’OTAN) sont contrôlés par les mêmes pyramides et ceux qui siègent à leurs sommets.

À la fin, il se trouve une grande pyramide qui les regroupe toutes et au sommet de laquelle on retrouve les purs-sangs parmi les Illuminati. Ils peuvent ainsi coordonner leurs politiques à travers les différentes sphères sociales, même celles qui sont en apparence ennemies. Voilà comment ils ont imposé la centralisation de pratiquement toutes les activités humaines, notamment les gouvernements, les finances, les entreprises, les médias et les armées. La chose n’est pas advenue d’elle-même ; elle est le fruit d’un calcul froid et méticuleux.

Jim Shaw, un ancien franc-maçon ayant appartenu au 33e degré, expose ce stratagème dans son ouvrage intitulé : The Deadly Deception1. Il y décrit la structure pyramidale de la franc-maçonnerie, fragmentée en compartiments en apparence non communiquants.

À la base de la structure on trouve les trois premiers degrés, dits degrés bleus, et la majorité des francs-maçons ne s’élèvent jamais au-delà, qu’ils appartiennent au rite écossais, lequel compte 33 degrés, ou au rite de York, lequel en compte 10. Même ceux qui atteignent le 33e degré de la franc-maçonnerie n’en connaissent pas tous les secrets, à moins d’appartenir à une lignée hybride.

Shaw a avoué son étonnement lorsqu’un franc-maçon du 33e degré lui a appris qu’on l’élevait à un degré supérieur et qu’on escorta le type jusqu’à la sortie du temple par une porte dissimulée. Il faut savoir qu’en principe il n’existe pas de degré supérieur au 33e, sauf que ce n’est pas le cas. Les niveaux supérieurs des sociétés occultes ne constituent que les sommets de leurs propres pyramides.

Elles se retrouvent à l’intérieur d’une pyramide plus grande qui regroupe toutes les sociétés occultes et elles orientent ceux de leurs initiés qui appartiennent aux lignées hybrides vers les degrés qu’occupent les Illuminati et qui, officiellement, n’existent pas. Même à cette stratosphère, les secrets et connaissances sont compartimentés.

Il existe donc à travers le monde un vaste réseau de sociétés occultes regroupant des millions d’adhérents qui estiment tous détenir des secrets alors que, en réalité, seule une poignée sait ce qui se passe vraiment et qui tient les ficelles.

Albert Pike, qui s’est éteint en 1891, fut l’une des figures prédominantes de la franc-maçonnerie internationale. Il occupait le rang de Grand Commandant souverain du Conseil suprême et de Pontife suprême de la franc-maçonnerie universelle. Dans son ouvrage intitulé : Morals And Dogma, rédigé à l’intention des francs-maçons élevés à des degrés supérieurs, il révéla que les initiés des degrés inférieurs sont bernés :

» Les degrés bleus forment l’abord ou le portique du temple. Quelques-uns des symboles sont présentés aux initiés mais, pour l’essentiel, ils sont intentionnellement bernés par de fausses interprétations. Ces révélations visent seulement à leur inculquer le sentiment qu’ils connaissent et comprennent notre structure… mais leur véritable signification est réservée aux adeptes, aux princes de la franc-maçonnerie2. «

Jim Shaw se rendit compte qu’il existe deux sortes de francs-maçons : le premier qui assiste aux rencontres et qui écoute sans fournir l’effort de comprendre le rituel, alors que le deuxième observe le rituel, lit et mémorise les mots sans comprendre leur véritable signification. Mais il en existe un troisième type : les rares qui connaissent la vérité, qui contrôlent la confrérie, qui savent sciemment à quoi servent les rites et les initiations. Shaw nous confirme également que les francs-maçons peuvent asseoir qui ils veulent aux postes de pouvoir. Il raconte comment le directeur de son service, lui-même franc-maçon, lui a conseillé de présenter sa candidature à un poste.

Shaw s’estimait peu qualifié pour occuper cette fonction et craignait de rater l’examen3. Il soumit sa candidature seulement pour satisfaire à l’empressement de son patron. Lorsqu’il se présenta à l’examen, il s’étonna de n’apercevoir que deux autres candidats à un poste qui normalement aurait dû être chaudement disputé. Il remit sa copie d’examen non sans avoir relevé la facilité des questions et la rapidité avec laquelle il y avait répondu. Par contre, ses deux confrères peinaient à la tâche et ne purent rendre leurs copies en respectant le délai convenu. Shaw obtint le poste. Pour quelle raison? Parce que son questionnaire n’était pas celui des deux autres. Lorsqu’il quitta la franc-maçonnerie, le contraire se produisit. Ses supérieurs se montrèrent moins indulgents.

Ce n’est là qu’un exemple des méthodes des Illuminati quand ils veulent s’assurer qu’un des leurs occupe une position qu’ils lui désignent. On s’étonne du petit nombre qu’il faut contrôler afin de dicter son ordre du jour à l’ensemble du système social; il suffit de maîtriser les décideurs et que ces derniers aient le pouvoir de désigner les candidats de leur choix aux postes d’importance.

Ainsi, il suffit de contrôler le chef de police qui décide d’une ligne de conduite et qui a le pouvoir de nommer les officiers et les directeurs des divers services de la police. Il met en place les politiques édictées par les Illuminati et choisit ses principaux subordonnés parmi les initiés de différentes sociétés occultes. À leur tour, ces derniers accordent les promotions aux candidats de leur choix dans leurs services respectifs; ils peuvent ainsi arrêter leur choix sur d’autres initiés pour occuper les postes sous leur autorité. Et ainsi de suite. Les gouvernements sont structurés sur ce modèle. Dès lors que vous contrôlez le numéro un d’une organisation, il peut la forger comme bon lui semble, c.-à-d. comme le veulent les Illuminati.

La psychologie des masses non critiques

Afin de percer à jour la manipulation qui s’opère à notre insu, il faut connaître deux techniques de manipulation des masses populaires. Ces deux techniques, de concert avec la peur, servent depuis des millénaires à faire progresser l’ordre du jour des Illuminati et demeurent leurs armes les plus efficaces. En premier lieu, on invente un problème qui entraîne une réaction pour lequel on doit vite trouver une solution.

Ainsi, nul n’ignore que si on propose ouvertement de restreindre les libertés civiles, si on déclenche une guerre ou si on centralise le pouvoir la population manifestera haut et fort sa désapprobation. Par contre, vous pouvez créer de toutes pièces un grave problème. Il peut s’agir d’une attaque terroriste, de l’effondrement d’une économie ou d’un gouvernement, d’une guerre entre deux pays, bref d’un problème pour lequel la population exigera une solution.

Ensuite, vous présentez dans les médias le problème ainsi que vous souhaitez qu’il soit perçu dans la population. Vous trouvez un bouc émissaire qui portera le blâme, un gogo comme Timothy McVeigh en Oklahoma, et vous décrivez les faits de sorte que la population réclame des mesures pour mettre un terme au problème. Ces mots sont doux à votre oreille car c’est exactement le but recherché et vous passez alors à la troisième phase, l’arnaque, qui consiste à proposer des solutions de rechange à un problème que vous avez vous-même créé. Ces solutions sont bien entendu axées sur la centralisation du pouvoir, le remerciement de hauts fonctionnaires ou de politiciens qui entravent vos manoeuvres et la suppression de libertés fondamentales. Grâce à cette technique, il est possible de manipuler la population qui vous réclamera d’agir ainsi alors que normalement elle s’y opposerait avec véhémence.

La bombe qui a détruit l’immeuble James P. Murrah à Oklahoma City en avril 1995 illustre parfaitement cette technique de manipulation. Dans un autre ouvrage ( And The Truth Shall Set You Free) je démontre comment McVeigh fut manipulé par des forces au-delà de sa compréhension et comment un accélérant laissé dans une fourgonnette n’aurait pas pu causer autant de dégâts4. Qu’est-ce qui a suivi autant de morts et de destruction?

Le Congrès étasunien approuva sans opposition des lois contre le terrorisme qui retirèrent au peuple des libertés fondamentales. Je ne partage aucunement les idées défendues par McVeigh et les soi-disant patriotes chrétiens, sauf lorsqu’ils cherchent à mettre en lumière l’ordre du jour des tenants de la mondialisation. Mais ce n’est pas mon propos ici. Je m’efforce de rétablir la vérité et les faits, quelle que soit l’idéologie des personnes en cause. J’en fais une question de justice.

Ceux qui s’étonnent de ce que McVeigh n’ait présenté aucune défense et qu’il ait demandé son exécution devraient lire le chapitre sur le contrôle psychologique. Les deux Guerres mondiales furent les meilleurs exemples de la stratégie problème, réaction, solution au XXe siècle. Elles modifièrent la face du monde, ainsi qu’il en est de toute guerre, et conduisirent à une forte centralisation du pouvoir. La Société des Nations et, par après, l’ONU furent mises en place par les Illuminati en vue de l’avènement d’un gouvernement mondial unique.

Les médias tiennent un rôle prépondérant dans la mise en scène des problèmes, réactions et solutions. À l’échelon des magnats des médias, des types tels que Conrad Black et le Groupe Hollinger savent ce qui se trame en coulisses et usent de leurs organes de presse pour promouvoir l’ordre du jour des Illuminati. Quelques-uns des rédacteurs en chef qu’ils désignent en connaissent un peu, de même que certains chroniqueurs. Mais la plupart des journalistes en ignorent tout.

Le rédacteur en chef peut toujours refuser de publier le moindre article à l’encontre des intérêts des Illuminati et, si un journaliste insiste pour creuser un dossier chaud, il se retrouve vite sans emploi. De toute manière, la majorité des articles publiés tirent leurs renseignements de sources officielles (donc des Illuminati).

Dans la foulée d’événements catastrophiques tels que l’effondrement des tours jumelles à Manhattan, où les reporters s’abreuvent-ils? Des sources officielles. Ils nous relaient ce que les éminences grises de la Maison Blanche et du Bureau fédéral d’enquête affirment.

Voilà comment les Illuminati transmettent à la population leur version des événements.

Les rapports officiels tapissent les premières pages des journaux et sont claironnés dans les bulletins radiophoniques et à la télé du monde entier. À force de répétition, ils deviennent la norme connue de tous. Au cours des semaines et des mois qui suivent l’événement, ceux que la vérité intéresse commencent leurs recherches.

À maintes reprises ils établissent que la version officielle était un tissu de mensonges. Mais où se trouvent leurs comptes rendus? On peut les lire dans des bulletins à faible tirage et les entendre à des stations de radio communautaires dont les cotes d’écoute sont une fraction de celles que contrôlent les Illuminati. Des années après que la fausseté de la version officielle ait été démontrée, cette dernière teinte encore l’esprit de la population.

Demandez à un passant dans une rue de Londres, de New York, de Montréal, de Sydney ou de Paris ce qui s’est passé à Oklahoma City, lors de la Deuxième Guerre mondiale ou au Kosovo et chacun vous racontera la version officielle car c’est la seule qu’il ait entendue.

La stratégie du marchepied est la consoeur des problèmes, réactions et solutions. Il s’agit de savoir où on veut mener les gens en bateau tout en n’ignorant pas que, si on leur confiait la destination, on soulèverait de nouveau une forte opposition. On doit donc se rendre au port peu à peu, chaque voyage présenté isolément, sans corrélation avec les autres.

C’est en quelque sorte le goutte à goutte de la centralisation globale.

Cette stratégie a admirablement réussi avec la constitution d’un super État fasciste que l’on appelle l’Union européenne. Si les politiques avaient proposé de centraliser l’Europe et d’y implanter une monnaie et des lois communes, ils auraient soulevé l’ire des populations. Les gens auraient objecté qu’ils avaient combattu Hitler pour empêcher la dictature de s’étendre à toute l’Europe et qu’il n’était pas question de recommencer. Afin de surmonter cette réticence, les Illuminati proposèrent une zone de libre-échange et suscitèrent des guerres entre nations dans le but de favoriser la coopération entre les pays européens.

Lorsque la zone de libre-échange fut en place, ils avaient en quelque sorte le pied sur le pas de la porte et il ne restait qu’à élargir ses pouvoirs jusqu’à ce qu’elle devienne la dictature politique et économique qu’elle est à présent. La même chose est survenue dans le cadre de la zone nord-atlantique de libre- échange, la zone nord-américaine de libre-échange et le Forum de coopération économique Asie-Pacifique, la zone de libre-échange de l’Asie et de l’Australie.

Il suffit de feuilleter les magazines et de regarder les journaux télévisés pour constater que les stratégies des problèmes, réactions et solutions et du marchepied sont mises en oeuvre à vaste échelle. Afin de percer ce stratagème, demandez-vous à qui profite votre acceptation de la version officielle des événements et votre approbation des solutions proposées. Immanquablement, la réponse sera une variation sur le thème suivant : quiconque souhaite centraliser le pouvoir et supprimer les libertés fondamentales.

La foi aveugle

Depuis des milliers d’années, la religion sert cette structure d’asservissement des êtres humains et je mettrai en lumière les événements historiques et actuels qui appuient mes dires. Pour l’instant, disons que les différentes religions ont mis en place des croyances et convictions fermes que nul ne peut remettre en question. Pour imposer ces convictions, elles ont eu recours à la peur, à l’endoctrinement, à l’isolement psychologique et au génocide des incroyants. Elles se sont combattu pour la domination de l’esprit humain et ont ainsi fourni aux Illuminati des tonnes d’occasions de diviser et de régner.

Ici, une question s’impose : qui sont venus en premier : les Illuminati ou les religions? Pareil véhicule de domination de l’esprit humain a-t-il surgi du néant ou a-t-il été inventé par les Illuminati pour faire progresser leur plan? Toutefois, la religion n’est pas le coeur de la conspiration, pas plus que le pouvoir financier; elle n’est qu’un élément d’un vaste ensemble conçu afin de convaincre les masses de s’enfermer elles-mêmes à l’intérieur d’une prison et de jeter la clef aux oubliettes.

Les Illuminatis sont présents dans tous les systèmes religieux, politiques, économiques, raciaux et culturels et animent les divers opposants aux débats. La raison en est simple : si on veut connaître l’issue d’une situation avant même qu’elle ne se produise, il suffit de contrôler tous les intervenants.

L’entraîneur d’une équipe de football ne peut décider de l’issue d’un match s’il ne contrôle qu’une équipe; par contre, s’il dirige les deux équipes, il peut décider de la marque finale avant le coup d’envoi. C’est ainsi que procèdent les Illuminati,. ces figures de l’ombre qui tirent les ficelles de notre destinée. Poursuivez la lecture de ce livre et les ficelles vous paraîtront évidentes!

Références
1 Jim Shaw, The Deadly Deception (Huntington House Inc., Lafayette, Louisiane, 1988), p. 103.
2 Morals and Dogma Of The Ancient And Accepted Scottish Rite Of Freemasonry, p. 189.
3 The Deadly Deception, pp. 65 et 66.
4 And The Truth Shall Set You Free, pp. 321 à 324.

« Les enfants de la matrice » – David Icke


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