Cas de conscience

Comment l’état profond oeuvre pour détruire le monde libre

L’administration Biden veut détruire le monde libre (par Guy Millière) et le retour de Trump..

Trois soldats américains ont été tués par un drone iranien sur une base située en Jordanie voici un peu plus d’une semaine. D’autres soldats américains ont été blessés. C’était la 165ème attaque sur une base américaine au Proche-Orient depuis le 7 octobre. Il y en aura d’autres, hélas. Il y en a d’ores et déjà eu d’autres.

La réaction de l’administration Biden a consisté à dire que le drone était iranien, mais que ceux qui l’ont actionné ne l’étaient pas, et que par conséquent l’Iran n’était pas impliqué. C’était, bien évidemment un mensonge. Tous les groupes terroristes agissant au Proche-Orient, qu’ils soient sunnites ou chiites, sont financés et armés par l’Iran, qui mène depuis plusieurs décennies une guerre par procuration en actionnant les groupes susdits.

L’administration Biden le sait, et elle laisse faire : pire encore, elle finance l’Iran (par des versements financiers directs, par le dégel d’argent gelé à l’étranger, par la levée de sanctions, levée permettant à l’Iran de gagner des milliards de dollars), et elle finance donc les groupes terroristes en question par l’intermédiaire de l’Iran.

Elle a lancé le 2 février dernier une riposte qui n’en était pas une.


Des bases de groupes terroristes financés par l’Iran ont été attaquées, mais les organisations terroristes avaient été prévenues à l’avance, car la liste des cibles avait été publiée deux jours plus tôt par le Pentagone, et il est quasiment certain que les tirs américains n’ont fait que des dégâts matériels.

Avoir fait procéder aux tirs par des avions venant des Etats-Unis était destiné à montrer qu’aucun avion venant d’une base américaine au Proche-Orient ou d’un porte avion américain n’était impliqué, et l’ensemble était un message adressé à l’Iran : l’administration Biden ne veut pas tuer des terroristes armés par l’Iran. Elle n’attaque pas l’Iran, et les bases américaines et les porte-avions américains présents dans la région ne sont pas impliqués dans les opérations et ne sont pas hostiles à l’Iran.

L’administration Biden poursuit la politique de Barack Obama, qui entendait faire de l’Iran la puissance hégémonique de la région.

L’Iran, oui, a financé et armé les terroristes du Hamas qui ont perpétré le massacre atroce du 7 octobre et la prise d’otage qui a accompagné le massacre et l’a fait, oui encore, avec de l’argent obtenu grâce à l’administration Biden.


L’Iran, oui, a financé et armé le Hezbollah qui tient le Liban et lance des missiles contre Israël, et le financement du Hezbollah par l’Iran, interrompu sous Trump, a repris par le biais de l’argent obtenu grâce à l’administration Biden.

L’Iran, oui, finance et arme le Djihad Islamique qui tue des Juifs en Judée-Samarie, et le fait la encore par le biais de l’argent obtenu grâce à l’administration Biden, et l’Iran finance et arme les milices Houthi, qui tiennent la moitié du Yémen et le fait, encore et toujours, par le biais de l’argent obtenu grâce à l’administration Biden.

L’Iran finance et arme de multiples autres groupes islamiques agissant en Syrie, en Irak, en Jordanie et le fait grâce au même argent.

A Gaza, l’administration Biden ne veut pas que le Hamas soit totalement détruit, c’est logique en ce contexte, et de plus en plus clair et flagrant.

Elle exerce des pressions intenses sur le gouvernement israélien qui a dû renoncer à mener dans le Sud de la bande de Gaza des opérations de bombardement semblables à celles qui ont été menées dans le Nord de la bande de Gaza, et le nombre des soldats israéliens tués a monté, car les opérations sont devenues très difficiles et très périlleuses. L’armée israélienne avance et progresse malgré tout.

Binyamin Netanyahou continue à montrer qu’il est un grand homme d’Etat, et fait preuve d’une fermeté exemplaire, mais il sait que si les Etats-Unis décidaient de cesser d’envoyer bombes et missiles à Israël, la guerre s’arrêterait, et il fait au mieux avec une situation très difficile: dès maintenant l’administration Biden ne livre plus à Israël certaines armes (les bombes anti-bunker) et certaines munitions.

Binyamin Netanyahou a dit et répète qu’Israël ira jusqu’au bout de la destruction du Hamas, et il ne change pas de discours, mais l’administration Biden s’efforce maintenant d’obtenir la fin des combats, et tente de négocier et d’imposer à Israël un accord douteux par lequel Israël cesserait le combat pour plusieurs semaines, libérerait des milliers de terroristes assoiffés de sang juif et ferait cela en échange de la libération des otages censés être encore vivants, sans savoir s’ils sont effectivement encore vivants (sur 130 otages restant, l’armée israélienne estime que 30, au moins, sont morts). Netanyahou s’efforce de refuser cet accord douteux.

L’administration Biden s’emploie aussi très activement à déstabiliser le gouvernement Netanyahou en tentant de s’appuyer sur des généraux et sur des politiciens israéliens de gauche (Yair Lapid, Ehud Barak) aux fins de faire tomber Binyamin Netanyahou, d’obtenir un gouvernement israélien qui accepte que l’Autorité Palestinienne vienne gérer la bande de Gaza après la guerre : et dans un contexte où le Hamas ne serait pas entièrement détruit, cela signifierait que le Hamas prendrait vite l’ascendant au sein de l’Autorité Palestinienne, ce qui voudrait dire en clair que la bande de Gaza redeviendrait vite une entité terroriste vouée à la destruction d’Israël et que l’Autorité Palestinienne en Judée-Samarie passerait aussi sous contrôle du Hamas.

L’administration Biden ose présenter la “solution à deux Etats”, donc la création de l’Etat terroriste qui résulterait de ses plans comme la solution pour la paix dans la région ! Elle prend des sanctions contre des Juifs israéliens vivant en Judée-Samarie et les accuse de violences contre les arabes alors que la situation réelle est l’inverse : des arabes vivant en Judée-Samarie agressent des juifs, les tuent parfois, et des juifs se défendent contre les agressions.

Tout cela est abject, et il serait aisé de penser que l’administration Biden veut la mort d’Israël et espère trouver des dirigeants israéliens assez stupides pour accepter.

Mais la situation régionale est bien plus grave.

Le Hezbollah au nord d’Israël pourrait accentuer ses tirs. Il ne le fera sans doute pas, car l’Iran l’utilise comme une menace qui lui sert à dissuader Israël d’attaquer les bases nucléaires iraniennes en Iran. Mais le Hezbollah a néanmoins la possibilité de le faire.

Et Israël, tout en tenant des propos dissuasifs au Hezbollah, retient ses coups, car tout comme l’administration Biden ne veut pas que le Hamas soit détruit, elle ne veut pas que le Hezbollah soit détruit, et elle exerce aussi des pressions sur le gouvernement israélien pour qu’Israël continue à retenir ses coups.

La situation est plus grave aussi parce que les milices Houthi rendent la navigation impossible dans la mer Rouge, ce qui empêche l’utilisation du canal de Suez, par lequel passe un tiers du trafic mondial de cargos porteurs de conteneurs et de navires pétroliers. Les bateaux doivent désormais contourner l’Afrique par le cap de Bonne Espérance, ce qui rend le transport de ce qu’ils transportent bien plus coûteux, et aura des conséquences sur les prix en Europe, qui s’ajouteront aux conséquences de l’agression russe contre l’Ukraine.

La navigation impossible dans la mer Rouge a aussi des conséquences pour Israël, car le port d’Eilat, au bout du golfe d’Aqaba, qui donne sur la mer Rouge, est directement touché.

La pseudo-riposte américaine du 2 février n’y changera rien, non, car c’est une pseudo-riposte.

L’Iran peut provoquer une crise économique mondiale, et l’administration Biden ne fait rien pour éviter cela.

Elle poursuit la politique de Barack Obama, disais-je, et elle veut faire de l’Iran la puissance hégémonique de la région.

L’Iran ayant un accord stratégique avec la Chine, derrière l’Iran, c’est la Chine qui avance et entend assurer son emprise sur la région.

En ayant donné à l’Ukraine les moyens de contenir l’offensive russe, sans lui donner les moyens de gagner, l’administration Biden a affaibli la Russie, ce qui fait aussi le jeu de la Chine.

Et elle a accepté sans mot dire que l’Iran contribue à l’effort de guerre russe, mais aussi à ce que des armes chinoises arrivent en Russie par l’intermédiaire de la Corée du Nord, à laquelle la Russie donne des moyens militaires sophistiqués.

Non seulement l’administration Biden n’a pas donné à l’Ukraine les moyens de gagner, mais elle ne lui a donné que partiellement les moyens de se défendre, et les destructions en Ukraine sont immenses. L’Ukraine aura du mal à se relever et l’Europe va avoir sur son flanc Est un pays ravagé, qu’elle devra aider, ce qui ne sera pas sans conséquences économiques et financières pour l’Europe.

En ayant laissé la guerre contre l’Ukraine être déclarée par Poutine, l’administration Biden a profondément déstabilisé l’Europe, en parallèle à la déstabilisation d’Israël et du Proche-Orient, et la déstabilisation de l’Europe n’est pas près de s’achever.

En ayant fait preuve de faiblesse face à la Chine, l’administration Biden a laissé la Chine menacer Taïwan, ce qui nuit à la navigation en mer de Chine, et s’ajoute à la navigation rendue impossible dans la mer Rouge.

L’administration Biden a aussi laissé la Chine construire une base sur l’ile de Cuba, à cent vingt kilomètres des côtes américaines, et elle a laissé aussi le Venezuela nouer des liens plus étroits avec la Chine, l’Iran et la Russie : elle aide même le Venezuela en lui achetant du pétrole dont les Etats-Unis n’auraient pas besoin si l’administration Biden n’avait pas limité la production de pétrole aux Etats-Unis.

Le remplacement de Jair Bolsonaro au Brésil par Luis Inacio Lula da Silva, facilité par l’administration Biden qui voulait le retour au pouvoir de Lula, fait que les ports brésiliens sont désormais ouverts aux bateaux de guerre chinois et russes.

L’administration Biden voudrait détruire la puissance américaine dans le monde qu’elle ne pourrait mieux s’y prendre pour parvenir à ses fins.

L’administration Biden voudrait détériorer le monde occidental, qu’on appelait au temps de la guerre froide le monde libre qu’elle ne pourrait mieux s’y prendre pour parvenir à ses fins, là encore.

En moins de quatre ans, elle a créé des tensions sur tous les continents, créé les conditions pour que deux guerres se déclenchent, placé Israël dans une situation très difficile, et fait se rapprocher la planète d’une guerre mondiale.

Antony Blinken a dit voici peu que le Proche-Orient n’avait jamais été dans une situation si délétère depuis 1973. Il a oublié de dire que c’était par sa faute et par la faute de l’administration Biden. Il a oublié de dire aussi que c’est le monde entier qui n’a jamais été dans une situation aussi dangereuse depuis plus de quatre décennies, et que c’est par sa faute et par celle de l’administration Biden.

Je pourrais ajouter au sombre tableau la débâcle en Afghanistan, entièrement provoquée par l’administration Biden, et souligner qu’elle a permis à Poutine et à l’Iran de voir que Biden avait la consistance et la droiture d’une serpillère sale. Je pourrais rappeler que Biden est le politicien le plus corrompu de l’histoire des Etats-Unis et que les preuves des fraudes perpétrées en novembre 2020 s’accumulent.

Si j’ajoutais que l’administration Biden a autorisé l’invasion des Etats-Unis par plus de huit millions d’immigrants illégaux parmi lesquels des Musulmans dont certains sont soupçonnés d’activités terroristes et des Chinois par milliers qui sont tous en âge de combattre, le tableau serait presque complet.

En dehors de cela, on vous dit à la télévision française que Biden est un très bon président et que Trump est une menace pour la démocratie…

Faut-il le rappeler aux praticiens de l’amnésie volontaire ? Sous Trump, l’Iran, et par conséquent le Hamas, le Djihad Islamique et les milices Houthi étaient asphyxiés, la Russie occupait la Crimée, mais n’avait pas déclaré la guerre à l’Ukraine, la Chine avait cessé de menacer Taïwan, la dictature nord-coréenne était endiguée, Israël était en paix et le Proche-Orient tout entier avançait vers la paix grâce aux accords d’Abraham.

Trump respectait scrupuleusement les institutions américaines que l’administration Biden ne cesse de piétiner.

Mais on vous dit à la télévision française que Biden est un très bon président et que Trump est une menace pour la démocratie. Est-ce du journalisme ou de la propagande? J’aurais tendance à répondre: de la propagande. A moins d’être endoctriné, on ne peut ignorer la réalité à ce point.

Guy Millière pour Dreuz.info.

LE RETOUR DE TRUMP

Trump remporte le caucus du Nevada avec 98%.

«Nous avions dit que nous serions satisfaits de tout résultat supérieur à 80 % ce soir. Nous sommes à 98 % !» s’est-il exclamé.

À la demande de Dana White, présidente de l’UFC, il a réalisé avec eux une interview qui a été consultée 22 millions de fois. En un clin d’œil, M. Trump est passé d’une attitude triomphante à une attitude étonnamment sombre.

«Je veux juste dire que nous avons vécu une période incroyable pour notre pays. Pour le monde. Le monde n’a pas connu une telle situation depuis de très nombreuses années. Si l’on considère l’attaque contre Israël ou l’attaque contre l’Ukraine par la Russie, je sais que cela n’aurait jamais eu lieu [sous ma présidence].

L’attaque israélienne n’aurait jamais eu lieu. L’inflation n’aurait jamais eu lieu. Le monde serait bien différent aujourd’hui. Et nous allons nous assurer que nous le récupérerons rapidement, et que nous le rendrons très, très fort. Mais… [ce qui se passe] est tellement triste à voir. Tous les morts dont vous avez été témoins avec les combats entre l’Ukraine et la Russie.

Encore une fois, ce qui s’est passé en Israël. Tous ces morts, toutes ces destructions de villes et de lieux qui sont des lieux anciens, des bâtiments anciens qui sont abattus, on ne pourra jamais les remplacer. Et toutes ces personnes qui sont mortes, et c’est le plus important, cela n’aurait jamais eu lieu. Mais nous allons changer cela.

Nous allons changer les choses. Nous allons revenir à la normale.

Nous ne pouvons pas continuer comme ça.

Le monde explose, notre pays se porte très mal, nous sommes la risée du monde entier. Nous étions respectés comme jamais auparavant, il y a seulement trois ans. Nous sommes maintenant la risée du monde entier, nous ne sommes plus respectés, même pas un tout petit peu.»

Donald Trump a une nouvelle fois promis de ramener le monde à la normale, en se recentrant sur l’Amérique d’abord : “Et ce sera la paix par la force.”


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