Interview de Emery Smith par David Wilcock pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 10 épisode 11
David Wilcock : Bienvenue sur « Divulgation Cosmique ». Je suis votre hôte, David Wilcock, et nous sommes ici avec notre invité spécial, Emery Smith, pour poursuivre notre fascinante discussion sur les collègues [extraterrestres] avec lesquels il a réellement interagi en tant qu’êtres vivants dans les installations souterraines. Emery, bienvenue.
Emery Smith : Merci, Dave. Excité d’être ici.
David : Quel a été le tout premier extraterrestre que vous avez vu sur ces bases, comme la première fois que vous avez vu un être vivant qui n’était pas humain comme nous ?
Emery : C’est les Tall White (les Grands Blancs).
David : Ah, d’accord.
Emery : Oui, absolument.
David : Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur cette première rencontre? Parce que, évidemment, je pense que la toute première fois que vous voyez un être vivant qui n’est clairement pas l’un des nôtres, ça doit être un moment historique absolu dans toute votre vie.
Emery : En fait, indirectement, en les voyant de loin, et en les voyant à travers différentes fenêtres et différents programmes, puis en lisant à leur sujet, j’avais une très bonne compréhension de ce qui se passait bien avant même de pouvoir les voir, en faisant des recherches sur les programmes que j’avais le droit de voir.
David : Oh.
Emery : Donc ils vous introduisent le sujet en vous faisant regarder des vidéos, et lire des livres et des trucs dans leur base de données qui sont en rapport avec le travail passé avec ces êtres et ces créatures.
David : Ouvrons donc cette discussion sur le Grand Blanc, parce qu’il y a eu une certaine confusion, et plus précisément, par exemple, en ce qui concerne certaines divergences entre le dénonciateur nommé Charles Hall, et ce qu’il appelait Grands Blancs, dont les yeux ressemblent à ceux des Gris, mais avec une teinte bleutée.
Nous avons Pete Peterson qui a décrit son expérience avec les Grands Blancs, et il a dit que cela ne signifie pas vraiment un type en particulier. Il s’agit simplement d’une classification basée sur leur apparence.
Emery : Correct.
David : Et Corey Goode a ses propres expériences avec les Anshars, qui semblent beaucoup plus humains, mais à mesure qu’ils vieillissent, ils finissent par devenir plus grands.
Comment est un Grand Blanc, pour vous ? Donnez-nous juste une description de ce à quoi ils ressemblent, ainsi que tout autre détail d’identification physique spécifique pour commencer.
Emery : Bien sûr. Ils font plus de 2 mètres de haut. Ils ont un petit visage, un peu plus petit que le nôtre. Ils sont très minces au niveau des bras – très ectomorphes, dirais-je.
Ils bougent d’une manière fluide, qui ressemble à une danse. Donc c’est un peu comme ça : quand ils bougent, leurs articulations bougent, et leurs membres sont flexibles, pas comme les nôtres qui sont vraiment rigides.
Ils ont aussi une compréhension très profonde de tous nos systèmes de croyances, et ils sont très compatissants et très intelligents.
Et je les ai vus de loin, probablement six à sept mois avant d’être vraiment à côté de quelques-uns d’entre eux au cours d’un projet.
David : Donc, si j’ai bien compris, alors, le visage serait principalement comme le nôtre, mais juste plus petit ?
Emery : Plus allongé.
Vous savez, je déteste avoir recours aux films, mais dans la saga Star Wars, il y a un groupe de grands êtres blancs qui faisaient des clones de l’un des soldats là-bas, et ils dirigeaient cette planète, et ils avaient un magnifique visage ovale vraiment mince, avec des yeux vraiment beaux qui occupaient une grande partie du visage.
Leurs yeux [aux Grands Blancs] étaient donc au moins deux à trois fois plus grands que nos propres yeux, et leur nez était presque inexistant – très petit, très fin, un peu comme un nez asiatique – avec juste de très petites narines et de belles lèvres et une jolie petite bouche.
David : Leurs yeux sont donc un trait caractéristique.
Emery : Oui.
David : Mais ils ressembleraient presque à ceux d’un personnage de dessin animé, dans le sens où il semblent toujours humain…
Emery : C’est vrai.
David : …mais ils sont beaucoup plus grands.
Emery : Exactement. Leurs yeux sont de forme ovale, et ils sont décalés d’environ 20°, donc ils sont comme ça.
Les nôtres sont de cette façon [horizontale], mais les leurs ne sont décalés que d’un cheveu, donc ça vient de cette façon, parce que les ovales…
David : Donc plus comme un look russe ou scandinave, alors ?
Emery : Correct.
David : D’accord.
Emery : Et quand je parle des « Grands Blancs », je ne parle pas de ces grands blonds aux yeux bleus de Scandinavie dont on parle beaucoup dans la culture pop.
David : Comme les soi-disant « Nordiques ».
Emery : Exact, les Nordiques.
Je veux dire, leur peau est juste blanche comme du frêne, blanc cendré. C’est si blanc qu’en fait, leur peau émet de la lumière et reflète la lumière. C’est un très beau type de peau. Il y a comme une sorte de lustre. Mais une peau très blanche, avec de très longs doigts et des pieds normaux, comme les nôtres.
David : Sont-ils chauves ?
Emery : Oui.
David : D’accord.
Emery : Ils sont imberbes. Je n’ai jamais vu de cheveux sur aucun d’entre eux.
David : Vraiment ?
Emery : Ils portent des vêtements et des uniformes comme nous, habituellement des vêtements moulants.
Ils ont un système d’organes internes très complexe qui est capable de vivre sur presque n’importe quelle planète ou n’importe quelle atmosphère. Ils peuvent donc respirer beaucoup de différents types de produits chimiques gazeux et de différents types de gaz qui tueraient normalement l’un d’entre nous. Et ils ont une très petite poitrine en forme de V.
David : Donc ça ne ressemble pas du tout à un Gris.
Emery : Non.
David : Ce serait comme une personne chauve, comme nous, avec la peau blanche, mais avec un visage plus maigre qui est juste très grand.
Emery : Ouais. C’est vrai.
David : Une des choses que Pete a décrites à propos de ces êtres était qu’ils auraient une baguette. Avez-vous déjà remarqué qu’ils portaient une baguette ou tout autre type d’outils ?
Emery : Je ne les ai jamais vus avec une baguette, mais ils portaient ces bracelets spéciaux et ces colliers spéciaux. Et je ne sais pas si cela a quelque chose à voir avec leur système organique interne, mais je n’ai pas vraiment été débriefé. C’est tout ce qu’ils m’ont dit.
David : D’accord. Aviez-vous une idée de la fonction de ces bracelets ou colliers ?
Emery : Eh bien, ils avaient des lumières sur eux, et ces lumières étaient comme un ruban bleu autour du centre du collier. Disons donc que le collier avait environ 2,5 cm d’épaisseur – pardon, je veux dire, de largeur –, très mince, et au milieu de ce collier, à environ 6 mm, il y avait une bande d’un quart de pouce qui en faisait le tour. Et cette lumière tournait autour de cette pièce centrale bleue, et elle était toujours allumée, et elle coïncidait toujours avec les bracelets qu’ils portaient.
David : Ils étaient en phase ?
Emery : Les lumières, oui, elles tournaient de manière synchronisée.
David : Alors, avez-vous déjà eu un sens intuitif, ou avez-vous essayé de deviner à quoi cela pourrait servir ?
Emery : Je pense que cela a quelque chose à voir avec… peut-être, quand ils voyagent à différents endroits, cela aide à introduire certains nutriments, produits chimiques, minéraux et vitamines dans leur corps d’une manière ou d’une autre. Je pense qu’il s’agit d’une façon ou d’une autre de maintenir leur tension et de les maintenir énergisés.
David : La version des Grands Blancs dont parlait Pete, qui n’est peut-être pas la même, il a dit qu’ils ont vraiment du mal à s’approcher des humains comme nous, que c’est presque un désordre psychique pour eux. Les avez-vous observés dans une certaine mesure en voulant rester à distance des humains ordinaires de la Terre ?
Emery : Non. Pas ces Grands Blancs, mais, oui, il y a eu d’autres Hybrides blancs qui sont ultra-sensibles à nos champs d’énergie, parce qu’ils captent toute l’énergie cellulaire que nous avons.
Ce n’est pas comme si nous étions tous synchronisés avec cette autre race blanche d’ETs, et je pense que cela a à voir avec… .. Nous avons beaucoup de bactéries – de bonnes et de mauvaises bactéries – et de virus sur nous, et qu’on dégage tous cette impulsion spéciale d’énergie, et c’est écrasant pour eux. Et ils peuvent tomber malades en étant en présence d’un humain.
David : C’est ce que j’ai entendu dire.
Emery : Je pense donc que c’est à cela qu’il fait référence.
David : Décrivez-moi la première fois que vous avez rencontré un Grand Blanc. C’était la première fois que vous étiez face à face avec une entité non terrestre.
Emery : Oui. Ils ont été amenés à plusieurs reprises, travaillant sur des humains décédés pour des raisons inconnues – je ne sais pas pourquoi – inconnues.
David : Des humains de la Terre ?
Emery : Oui, des humains de la Terre.
David : D’accord.
Emery : Mais il est évident qu’ils étaient très préoccupés à ce propos, et on les faisait venir pour travailler avec l’équipe. Et j’en ai eu deux, une fois, dans la même pièce où je travaillais à prélever des échantillons de quelqu’un.
David : A-t-il été facile de faire la différence entre les hommes et les femmes ?
Emery : Ah, oui. Il y avait des traits faciaux plus féminins… plus minces, et les yeux étaient un peu moins grands, et les sourcils aussi. Du moins, c’est pas des sourcils, mais vous pouvez voir qu’il y a une teinte d’un sourcil, mais pas les poils. C’était comme si le pigment était différent au-dessus des yeux, un peu blanc cassé, je dirais. Vous pouviez le voir pour ces deux raisons, avec les traits du visage. Les corps étaient à peu près identiques. Et je ne les ai jamais vus se promener. Ils portaient toujours des vêtements ou quelque chose comme ça.
David : Et à quoi ressemblaient ces vêtements ?
Emery : C’était toujours une sorte de vêtement moulant, comme en Lycra. Ils portaient toujours des gants, tout le temps. Donc, ces vêtements couvraient à peu près tout le corps, sauf le cou et le visage.
David : Je suis curieux de savoir quelle était leur forme de communication. Ont-ils parlé avec leur bouche ?
Emery : Ils sont très télépathes. Ils peuvent parler parfaitement l’anglais et d’autres langues – toutes les langues en fait – mais vous n’avez pas à le faire parce qu’ils ne feront que vous regarder. Et ils disent : « Quand on vous regarde, répondez par un même regard, s’il vous plaît », parce que c’est ce truc des yeux qu’ils font.
Quand vous voyez leurs yeux et vos yeux, il y a comme un lien, où c’est comme le …. peu importe comment ça marche, tout ce qu’ils pensent est téléchargé en vous, et ils sont très réceptifs à vous aussi. Ils savent tout sur vous une fois que vous les rencontrez.
David : Donc, si vous aviez une pensée sans amour ou un jugement sur la façon dont ils ont l’air… parce que je suis sûr que cela arrive parfois.
Emery : Ça arrive, c’est sûr.
David : Que se passerait-il ?
Emery : Eh bien… Ils ne réagissent pas à cela, parce qu’ils savent qu’il faut parfois un peu de temps pour que les gens s’y habituent parce qu’ils sont différents, et la même chose, je pense, nous arriverait si nous étions jetés dans leur monde. On devrait être prêts, sans ego, et accepter que, peut-être, on ne nous aime pas à cause de notre physique, ou parce qu’on tout ce que vous pensez en ce moment, ce qui est OK. Quel est le problème ? Et après ?
David : Donc, pourriez-vous être un peu plus précis sur le moment exact où vous avez établi le premier contact visuel avec un être non terrestre. Où étiez-vous ? Comment était-ce la première fois que vous l’avez regardé dans les yeux ?
Emery : On mettait nos combinaisons pour aller dans une salle d’opération. Et leurs combinaisons sont très différentes des nôtres, bien sûr. Les leurs sont adaptées pour leur corps. Et j’ai remarqué, alors que les techniciens les aidaient à s’habiller et à fermer hermétiquement leur combinaison, le mouvement fluide qu’ils avaient, qui passait dans la combinaison. C’était très fluide, et à la table d’opération, je les aidais avec certains instruments, et ils se déplaçaient de façon si fluide, et ainsi de suite…. mais c’est vraiment rapide. Ils bougent vite, mais c’est juste comme une danse. C’est vraiment intéressant.
Mais ne pensez pas que c’était très lent, c’était la fluidité de leurs corps… comme je disais, leurs os sont très flexibles, pas comme les nôtres. Mais ils ont les cinq doigts et les deux mains. Les doigts sont juste plus longs, et les paumes sont plus carrées, pas rondes comme les nôtres. Et ce sont là certaines des caractéristiques que je connaissais.
Et je me souviens les avoir regardés, sans même rien dire, et c’était comme un salut. Juste quand on s’apprêtait à rentrer, et nous nous sommes regardés, et juste le mot « salut » m’est venu à l’esprit. Ce n’était pas une voix. C’était juste le mot « Salutations ». Et je me souviens, dans mon esprit, les regarder et dire la même chose dans mon esprit, et ils ont souri. Ils ont les mêmes caractéristiques faciales. Leurs yeux montent et descendent. Leur nez peut bouger, et ils ont des muscles faciaux.
David : Pourraient-ils projeter des choses dans votre esprit, comme des couleurs, des symboles, des images visuelles de lieux ?
Emery : Absolument. Ils ont même un moyen, s’ils veulent vous enseigner quelque chose que vous ne connaissez pas, de télécharger cela dans votre cerveau – dans votre conscience – en quelques secondes. Vous pourriez donc apprendre rapidement quelque chose qu’ils font sur la table en étant juste en face d’eux.
David : Quand vous travailliez avec eux sur ces autopsies, vous avez mentionné qu’ils étaient parfois préoccupés par les humains d’ici qui étaient morts de façon étrange. Dans quelles autres circonstances ont-ils été appelés ?
Emery : Pour des cas très difficiles où ils ne sauraient pas pourquoi cette extraterrestre ou cet humain est mort.
David : « Ils » signifiant les gens de la base.
Emery : Les gens de la base leur donnaient, probablement, les cas les plus difficiles.
David : Aux Grands Blancs ?
Emery : Oui, exactement, aux Grands Blancs. Et parfois, on ne pouvait pas entrer dans ces salles avec ce type de patients, mais on faisait partie de l’équipe.
Vous devez comprendre que, même si vous n’êtes pas dans la pièce, vous pouvez quand même travailler à l’extérieur de la pièce en observant et en apportant du matériel et tout ça.
David : Pouvez-vous vous rappeler un exemple spécifique d’une autopsie qui n’était pas celle d’une personne de la Terre et qui impliquait la participation d’un Grand Blanc, et nous dire quel type d’être c’était et pourquoi c’était si difficile à résoudre ?
Emery : Eh bien, c’est encore une fois en rapport avec des produits chimiques. Nous avons des êtres qui arrivent – d’autres Hybrides blancs qui ont l’air plus petits. Ils sont à peu près de notre taille, mais ils sont très, très blancs, et ils ont des yeux d’un bleu très clair.
Ils ont toujours des cheveux blancs ou blonds, et ils ont des oreilles, contrairement aux Grands Blancs qui n’ont pas vraiment d’oreilles, mais les Blancs hybrides humains, comme je les appelle, ont en fait des oreilles, et ils nous ressemblent un peu. Et leurs dents sont très différentes. Leurs dents sont rondes. Elles sont comme en demi-lunes, pas carrées comme les nôtres.
David : Wow !
Emery : Et c’est bizarre. Mais on ne voit pas trop leurs dents. Et nous travaillions sur ce corps qui avait été apporté et qui avait ces…. cela ressemblait à des taches d’injection brûlées partout sur son torse. Et il y avait environ six petits trous en descendant jusqu’au nombril.
Et on aurait dit que c’était une sorte d’arme qui les avaient brûlés dans la peau, mais au milieu de ces brûlures circulaires, il y avait trois points qui formaient un triangle, et si vous les reliiez entre eux, cela ferait un triangle parfait.
David : D’accord.
Emery : Et ils essayaient de déterminer quel type d’arme avait tué cet Hybride blanc, et pourquoi et où cela s’était produit. Ils peuvent en fait s’attacher au cerveau d’un être mort et télécharger ses informations dans leur tête, et ils peuvent découvrir comment cela s’est produit, où cela s’est-il passé, qui est responsable, et avoir toute l’histoire en quelques minutes.
David : Wow ! Quelle a été la conclusion ? Étiez-vous au courant de la conclusion sur la façon dont il est mort ?
Emery : Non, je n’étais pas au courant, mais ils savaient ce qui s’était passé, et ils avaient l’air très tristes à ce sujet. On pouvait voir la souffrance sur leur visage.
David : Quand vous voyez un film comme « Men In Black », qu’en pensez-vous, avec Will Smith et ces agents qui travaillent dans des installations souterraines avec tous ces extraterrestres autour ? Quel était votre sentiment quand vous avez vu ce film ?
Emery : Je ne suis pas vraiment un grand fan de ça. Je n’aime pas quand Hollywood se moque des extraterrestres comme un sorte de jeu ou une sorte de menace horrible.
David : C’est vrai.
Emery : Et je n’ai pas du tout résonné avec ce film. Mais il y a beaucoup de films, et de dessins animés, où les extraterrestres sont très bien décrits, comme celui que vous et moi avons vu récemment, appelé…. était-ce « Valérian » ?
David : Oui, « Valérian ».
Emery : Oui, et ces ETs ressemblaient exactement à ces Grands Blancs.
David : Wow !
Emery : Et je me souviens de…. N’y avait-il pas là une partie où les Nations Unies d’extraterrestres se réunissaient, et il y en avait de toutes sortes ?
David : C’est exact – au tout début.
Emery : Oui, c’était une description très précise des nombreux types d’extraterrestres qui existent et qui doivent apporter leur propre environnement. Il y avait un poisson ou quelque chose comme ça. Il avait un aquarium sur la tête.
David : C’est exact.
Emery : Et, bien sûr, c’est plutôt drôle, mais c’est aussi vrai. On parle d’extraterrestres portant des choses qui viennent de leur planète pour garder l’énergie correcte, et aussi ils pourraient avoir besoin d’un casque spécial juste pour leur tête pour soutenir leur vie.
C’était donc un très bon film. J’ai été impressionné par les scénaristes et les animateurs qui ont fait cela.
David : Maintenant, Corey Goode, quand il a eu sa première expérience sur la Lune, de nos jours, il dit avoir rencontré un type d’humanoïde aviaire que personne dans le programme spatial n’avait apparemment jamais vu auparavant. C’était l’Avien Bleu dont on a déjà parlé. Je sais que vous avez vu l’image.
Emery : Oui, j’ai vu cette image.
David : Alors, avez-vous déjà vu des humanoïdes aviaires vous-même, comme ces Aviens bleus, ou d’autres types similaires ?
Emery : Oui, similaire à ça, mais pas spécifiquement comme ça. Ils paraissaient très humains, avec de très petites plumes et de grands pores cutanés, mais la plupart d’entre eux avaient l’air plus humain qu’oiseau.
Mais ils avaient ces attributs de certaines choses, comme s’ils n’avaient pas de nez. Ils avaient un petit bec, mais le bec avait des dents. Et ils n’avaient pas le genre de tête que vous verriez…. Ce n’était pas comme une tête d’oiseau. Et les yeux étaient plats, tout comme les nôtres, mais ils pouvaient voir parfaitement droit de cette façon, au lieu de… un oiseau voit probablement plus l’extérieur.
Donc, comme je l’ai dit, plus humain que n’importe quoi d’autre, mais ils avaient de très petites plumes d’ailes…. comme de petits rabats de peau sous les bras, et beaucoup de plumes dans le dos, mais pas trop sur le visage et pas du tout sur la poitrine.
David : Est-ce que certains d’entre eux avait des couleurs tropicales comme un toucan, comment étaient-ils ?
Emery : Oui. Il y en avait des turquoises avec un magnifique dégradé violet, blanc et turquoise, ça et là, partout sur le corps. Donc la tête et le cou pouvaient être bleus, et ils se dégradaient vers le blanc, puis vers un léger violet en descendant vers les pieds. Mais ils avaient des pieds comme les nôtres, mais c’était, vous savez…
David : Ils ne ressemblaient pas à des pattes d’oiseau ?
Emery : Non, pas du tout. Mais comme je l’ai dit, la seule chose qui les trahissait était les traits du visage et les plumes, et cette peau très écailleuse – une peau très poreuse.
David : Eh bien, c’est un peu ridicule, mais pourrait-on les comparer à « Howard le canard » ?
Emery : Non ! Ha, ha, ha. Pas comme ça.
David : Parce que c’est un bec qui dépasse vraiment.
Emery : Oui, c’est un grand bec de canard.
David : Oui.
Emery : Mais non, je n’ai jamais rien vu de tel grand bec, sauf chez les ptérodactyles.
David : Des êtres ptérodactyles, c’est inquiétant.
Emery : Cela fait probablement peur à la plupart des gens parce qu’il a les attributs des ailes d’un dragon, avec les mains, mais il a des jambes comme nous – des jambes très minces, un peu comme le peuple fourmi.
Et ils ont de très petites ailes qui sont attachées comme une chauve-souris frugivore. Les bras font partie des ailes.
Et ils ont toujours un appareil sur eux. Et celui-ci portait un dispositif cylindrique dans ses bras, comme ceci, avec sa griffe autour.
Et cet être ptérodactyle avait une vraie griffe. Il avait un long bec pointu qui remontait jusque derrière, celui qui a ce… cette structure osseuse qui remonte jusque arrière.
Et ils communiquaient grâce à une série de sons forts et aigus, pas comme un hibou, pas comme des piaillements, mais juste par une tonalité aiguë.
David : Avez-vous déjà vu l’un de ces êtres ptérodactyles lorsque vous étiez dans les bases souterraines ?
Emery : Oui.
David : Vraiment ?
Emery : Oui. Dans les niveaux très profonds, les plus bas de ces bases, on nous a informés qu’ils étaient là. Et ils avaient à voir avec un genre de conscience, et je dirais une sorte de religion, mais ce n’est pas le cas. C’est une étude sur une sorte d’histoire longue et oubliée.
Et ils sont envoyés… Ce sont eux qui reconstituent le puzzle, ces êtres, et ils peuvent faire bouger les choses avec leur esprit. Ils ont des énergies télékinésiques, et ils peuvent déplacer de petites choses dans les pièces. Et il peut y avoir de un à quatre de ces êtres qui regardent quelque chose et déplacent les choses dans ces « labos d’idées » , comme ils les appellent.
David : Pourquoi restaient-ils au plus bas de la base ?
Emery : Je crois que c’est à cause de leur apparence, parce qu’ils ressemblent à une sorte de dragon volant. Et je pense aussi que c’est parce qu’ils ne réussissent pas bien à côtoyer beaucoup d’autres extraterrestres, pour une raison quelconque.
Ils semblent avoir besoin de beaucoup d’espace lorsqu’ils se déplacent. Il y a donc des zones où ils ne peuvent tout simplement pas franchir une porte car ils sont corpulents, et juste en tournant la tête, ils pourraient… Ces choses peuvent être… Juste leur tête pourrait mesurer 90 à 120 cm…
David : Wow !
Emery : …et avec leur tête, ils pourraient renverser beaucoup de choses. Il y a donc un endroit spécial pour eux, en bas, où ils ont le droit de faire certains programmes sur lesquels je n’ai aucune information. Je sais juste que ce sont des penseurs. Ce sont les « résolveurs d’énigmes », comme ils les appellent.
David : Je veux vous soumettre une chose que j’ai entendue de la bouche d’autres initiés. Quelques personnes m’ont dit que certains groupes d’ETs étaient apparemment inquiets à l’idée qu’une vie reptilienne et sensible sur Terre devienne vraiment dominante et agressive à l’égard d’autres espèces.
Et le cataclysme qui a frappé la Terre il y a 65 millions d’années était apparemment destiné à les anéantir. Et c’est à ce moment-là que la Lune, qui visiblement est une voiture usagée, d’après William Tompkins, aurait été garée près de la Terre pour créer un climat saisonnier qui permettrait à la vie des mammifères plutôt qu’à la vie des reptiles de devenir dominante.
Je me demande si vous avez déjà entendu parler de ce scénario de la catastrophe des dinosaures comme étant un événement planifié pour éliminer les reptiliens pensants?
Emery : J’ai entendu parler d’un « événement » intentionnel pour détruire la Terre, parce que les Reptiliens n’y étaient plus autorisés, à cause des êtres de la Terre Intérieure, et ça remonte aussi à l’Atlantide et à la Lémurie et ainsi de suite, quand il y avait une sorte de guerre, où ils étaient utilisés par ces Reptiliens, les Dracos, ou peu importe comment vous les appelez.
Et… c’est ce que j’ai lu dans certains livres d’histoire là-bas, mais je ne sais pas à quel point c’est exact parce que ce n’était pas écrit dans le document. C’était comme si quelqu’un vous racontait ce qui s’était passé à l’époque.
Et il y a eu des découvertes archéologiques au Vatican de cette époque qui décrivent les êtres Reptiliens détruisant des Aquafariens et d’autres êtres de cette époque.
Je pense donc que c’est une raison plus que valable de faire le lien et de dire : « Oui, je suis plutôt d’accord avec ça ».
David : Je suis curieux de savoir si vous avez déjà vu quelque chose qui ressemblerait au Yeti ou au Bigfoot pendant que vous travailliez dans ces installations, parce que certaines personnes ont signalé ce genre de choses.
Emery : Oui, je veux dire, j’ai vécu une expérience personnelle avec le Bigfoot, et les singes skunk, et les Yetis, et tous les différents types de… Je me souviens qu’à l’adolescence, vers l’âge de 16 ans, il y avait un gros être blanc de style Chewbacca, de 2,50 m à 3 m de hauteur, et je campais en Floride, dans le sud, près des Everglades.
Et il était probablement à environ 140 mètres de distance. Il était loin, mais à terrain découvert. C’était à l’aube. Et je l’ai vu marcher le long de la clôture. Et il était 1,50 m plus grand que les poteaux de clôture, qui mesuraient 1,20 m de haut.
Et la foulée de cette chose faisait plus de 1,80 m. Et je me suis littéralement arrêté sur place et j’ai regardé cette chose marcher là-bas jusqu’au bout. Et quand j’y retourne pour vérifier les dates, maintenant qu’il y a ces choses en ligne – vous pouvez chercher quand ces extraterrestres ont été vus –, j’ai remarqué que dans la région où j’étais, cet être a été vu de très nombreuses fois par beaucoup de gens, et cela a été une grande confirmation pour moi.
Ce fut une encore plus grande confirmation pour moi quand j’ai commencé à travailler dans les laboratoires et ai vu ces êtres.
Ces êtres sont ici depuis très longtemps. Ils collaborent avec les êtres de la Terre Intérieure. Ils sont ici pour collecter et rassembler des données et de l’ADN de toutes les espèces vivantes, des plantes, de l’eau, des animaux dans l’eau, des poissons et tout le reste.
Et ils répertorient tout ça et les mettent dans une sorte de coffre quelque part afin de préserver ce qu’est vraiment la Terre – une sorte de musée de la Terre, quelque part. Et c’est pour ça qu’on ne peut jamais trop filmer ces types, parce qu’ils ont la capacité de se téléporter eux-mêmes à volonté.
David : Vraiment ?
Emery : Oui. Et ils peuvent être très mystérieux et partir de quelque part très rapidement.
David : Eh bien, je veux juste dire ceci : Il est étonnant que nous n’ayons pas une meilleure compréhension de la réalité de Bigfoot, compte tenu des milliers et des milliers de témoins oculaires, des traces de pas, des cas très bizarres de dommages matériels, où des marques d’ongles sont apparues sur des véhicules, et d’autres choses du genre. Pourquoi pensez-vous que nous avons tant de mal à accepter ces témoignages relatifs au Bigfoot ?
Emery : Eh bien, vous savez, ce sont de très gros animaux. Je ne les considère pas comme très humains, je dirais. Mais ils ont une conscience et ils ont un travail à faire. Et ce sont probablement les extraterrestres les moins délicats que je connaisse.
Je veux dire qu’on peut les lâcher sur une planète sans rien, pour rassembler ces éléments, les cataloguer et les stocker quelque part, et puis, c’est comme dans le film « Predator » où ils reviennent chasser les gens et ensuite reprendre tous leurs crânes. Imaginez donc ce type venir juste arracher quelques lavandes et marguerites. Ha, ha, ha.
David : Donc ils ne font rien de violent ?
Emery : Non.
David : D’accord.
Emery : Non, ils n’y sont pas autorisés. Il leur est en fait interdit de faire du mal à n’importe quel type de créature vivante.
David : Wow !
Emery : Ils peuvent donc prendre vos cheveux, mais pas votre tête.
David : Donc, ce que vous décrivez ici semble être un être assez intelligent. Ont-ils des compétences en communication ? Pourraient-ils parler, ou ont-ils un don télépathique ?
Emery : Oui, ce sont les autres qui utilisent leurs cordes vocales pour la voix, et ils peuvent aussi faire comme les éléphants qui ont la capacité d’envoyer ces gros coups de patte dans le sol, et ces choses peuvent être entendues à des kilomètres et des kilomètres de distance par un autre éléphant.
Ils ont donc cette capacité, et c’est pourquoi les gens entendent ces cris vraiment bizarres. Ils entendent ces bruits sourds très étranges. Les gens disent habituellement que c’est quelqu’un qui frappe sur un arbre ou quelque chose, vous savez, mais ce n’est pas vraiment ça. Et ils peuvent aussi communiquer de cette façon si, disons, ils ont mal au ventre et qu’ils ne peuvent pas utiliser leur diaphragme pour faire ces bruits.
David : Il semble y avoir différents types de Bigfoot. Et puisque nous n’avons plus de temps maintenant, je veux simplement compléter le tout avec ceci : pensez-vous qu’il pourrait y en avoir qui ne sont pas nécessairement sur cette mission et qui sont moins intelligents, plus primitifs et plus dangereux ?
Emery : J’ai lu quelques documents dans mes projets classifiés et compartimentés qui indiquaient que s’ils tombent malades ou s’il leur arrive quelque chose, ils ne peuvent pas utiliser leurs capacités de téléportation, et ils se perdent ou sont abandonnés sur de nombreuses planètes, et ils doivent y rester indéfiniment. Et ce sont ceux perdus qui se cachent…
Mais ils sont très adaptables et ils aiment travailler seuls. Ce sont des extraterrestres très solitaires qui ne s’accoupleraient qu’une fois dans leur vie.
David : S’ils pouvaient se téléporter jusqu’à leur lieu d’origine, où cela se trouverait-il ? Savez-vous quelque chose sur leurs origines ?
Emery : Non, je ne sais rien de leurs origines, mais je sais qu’ils ont une façon instinctive de tracer les portails sur la Terre, comme les portails naturels sur la Terre, et non les portails artificiels, qu’ils savent où aller, et ils peuvent parcourir de grandes distances pour le faire. Mais ils ne passeront jamais par une ville, car ils n’ont pas le droit d’interagir avec les êtres de n’importe quelle planète.
David : Dernière question, très vite : vous les avez vus dans les bases souterraines ? Y avait-il des failles leur permettant de travailler avec nous dans ces installations classifiées ?
Emery : Je n’en ai vu que morts.
David : Oh, vraiment ? Donc ils ne travaillent pas dans ces bases souterraines avec nous ?
Emery : Ils ont dit… Il y a des rumeurs indiquant que si. Et j’ai vu de loin des trucs qui y ressemblaient. Et il y a des listes les indiquant sur la base, mais je n’ai pas travaillé physiquement avec l’un d’entre eux.
David : Ok, cool. Eh bien, Emery, c’est vraiment fascinant. Je tiens à vous remercier d’être venus nous donner toutes ces informations formidables.
Emery : Merci à vous, Dave.
David : C’était « Divulgation Cosmique », avec notre invité, Emery Smith.
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