Secrets révélés

Antigravité, Plan Astral et Distorsion temporelle

L’annulation de la masse et de l’inertie… ou « antigravité » selon l’Holodynamique Quantique

L’annulation de la masse et de l’inertie d’un corps, ou antigravité, est l’annulation de la pression d’onde des oscillations élastoniques du « vide » sur ce corps.

Nous savons maintenant qu’à une exclusion près, l’inertie du milieu gazeux, les élastons du « vide » se comportent comme les molécules d’un gaz parfait.

Une analogie presque parfaite s’impose donc entre l’aérodynamique (qui relève de la mécanique des fluides) et ce qu’il convient d’appeler « l’élastodynamique » ou la dynamique du « vide ». Il existe principalement deux solutions pour réduire la pression d’un gaz autour d’un corps.


La première, l’effet Magnus, consiste à mettre ce corps en rotation. Dans un gaz au repos, cette rotation accélère les molécules d’air à la surface du corps et génère un gradient de pression dans ce gaz. Le volume de gaz soumis à ce gradient, la couche limite, s’organise en plusieurs strates de molécules de vitesse et de pression variable.

En simplifiant à l’extrême, les molécules proches de la surface du corps étant les plus rapides sont moins compressées que les molécules plus éloignées de cette surface, donc plus lentes. Cette dépression des molécules les plus rapides est due à la loi de conservation de l’énergie qui impose une relation constante entre vitesse et pression pour conserver l’énergie totale du système.

Une couche de « vide », ou tout au moins de moindre pression, est ainsi créée autour d’un corps axisymétrique (un cylindre ou une sphère par exemple) en rotation. Plus le corps tourne vite, plus la pression diminue dans la couche limite. Il s’agit donc d’une méthode de dépression dynamique.

La deuxième solution est une méthode de dépression « statique ». Il est possible de faire osciller les molécules d’un gaz, à une fréquence choisie, à l’aide d’un oscillateur électromagnétique (« ondes radio » ou lumière) ou mécanique (ondes « sonores »).


Pour bien comprendre le principe, imaginons qu’au lieu d’un gaz, nous fassions osciller des molécules d’eau à la surface d’un étang. Notre oscillateur est, par exemple, un piston frappant régulièrement et verticalement la surface de l’étang. Chaque impact crée un « rond dans l’eau » ou vague circulaire en expansion.

La succession à intervalles réguliers des impacts de la source (le piston) crée une succession de vagues concentriques (de « ronds ») dont la distance (la longueur d’onde), suivant le rayon, séparant le sommet de deux vagues est toujours la même. Cette distance matérialise l’intervalle de temps séparant deux impacts (impulsions) du piston dans l’eau.

Plaçons maintenant un deuxième piston à quelque distance du premier et faisons lui frapper l’eau aux mêmes instants que le premier. Dans l’espace entre les deux sources, les vagues de la deuxième source se superposent, aux points d’intersection, avec les vagues générées par la première source. Deux vagues superposées se fondent alors en une vague plus haute aux points d’intersection.

Cet effet est nommé phase additive de deux ondes. Notons qu’entre les deux sources, les vagues se propageant suivant des directions opposées, annulent leur mouvement et s’immobilisent en formant une onde stationnaire (appelée aussi onde scalaire).

Hors de l’espace borné par les deux sources, les ondes, quoiqu’en phase, restent propagatives. Ceci nous laisse entrevoir la richesse mais aussi la complexité de la mécanique ondulatoire.

Supposant que les pistons heurtent l’eau une fois par seconde, décalons d’une demi seconde l’instant d’impact d’un des pistons par rapport à l’autre. Les vagues d’une des sources sont décalées d’une demi longueur d’onde par rapport aux vagues de l’autre source.

Aux points d’intersection, les sommets des vagues d’une source se superposent alors aux creux des vagues de l’autre source. Creux de vague et sommet de vague s’annulent alors en leur point d’intersection, laissant place à cet endroit à une zone d’eau plate, calme et sans vagues.

On dit alors de ces ondes (les vagues des deux sources) qu’elles sont en phase soustractive. Cette surface plate (sans vagues) est une « tranche » d’un volume (ou d’une surface courbe) de dépression ou de vide dans un fluide. Bien entendu, seule la surface d’intersection équidistante des deux sources aura la pression la plus faible, les autres surfaces d’intersection ayant une pression croissante à l’approche de leurs sources.

Pour annuler la masse et l’inertie d’un corps, il suffit donc de créer autour de celui-ci une surface ou un volume de dépression des élastons du « vide » par un procédé analogue à l’une des deux méthodes précédemment décrites.

Le seuil de masse et d’inertie nulle est atteint lorsque la fréquence des élastons, dans le volume dépressionnaire entourant le corps, a suffisamment baissé.

Cela revient à augmenter la longueur d’onde des élastons à une longueur d’onde égale au plus grand diamètre (ou à la plus grande longueur) du corps dont on veut annuler la masse et l’inertie.

Si l’on opte pour une technique dynamique de dépression du « vide », on mettra en rotation un champ « magnétique » dont la fréquence de rotation (nombre de tours par seconde) sera un sous multiple de la fréquence de résonance des élastons dans le champ.

L’effet pourra être amplifié en mettant en rotation deux champs « magnétiques » superposés et tournant en sens inverse (contra rotatifs).

Ce dernier procédé, en plus d’être plus efficace, présente l’avantage de supprimer le couple de rotation du champ. Il est aussi possible de générer une dépression élastonique hybride, c’est à dire à la fois dynamique et statique.

Si les deux champs « magnétiques » et contra rotatifs ne tournent pas à la même vitesse (n’ont pas la même fréquence) ils génèrent entre les deux champs superposés un champ d’ondes stationnaires (une fréquence de battement) dû à la rupture par torsion des champs.

Si les fréquences d’ondes dynamiques des champs tournants et la fréquence du champ de torsion stationnaire sont accordées en phase soustractive avec les élastons entourant le corps, on aura un système antigravitationnel encore plus performant.

Ce champ statique, créé entre deux champs tournants, est appelé zone de « rupture de champ magnétique » ou « Magnetic Field Disruption » (MFD).

Les champs magnétiques tournants peuvent être générés de plusieurs façons. La plus simple consiste à faire tourner un champ « électrostatique » en mettant en rotation mécanique le condensateur générant cette charge « électrostatique ». Une variante consiste à créer la charge « électrostatique » dans une tornade gazeuse en rotation.

Une technique plus complexe consiste à faire tourner mécaniquement un puissant électro-aimant « classique » (à bobinage). Une variante plus élégante consiste à mettre en rotation une tornade de vapeur de mercure. Si l’on induit un courant électrique dans le mercure, avec des ondes radio (photons de basse fréquence), la tornade devient un puissant électroaimant tournant. Enfin, on peut mettre en rotation un ou plusieurs aimants permanents conducteurs.

Si l’on opte pour une technique statique de dépression du « vide », on fera osciller des élastons en phase soustractive (oscillation photonique) dans une cavité résonnante accordée. Ces oscillations photoniques pouvant être de basse fréquence, ondes radio, ou de haute fréquence, lumière visible ou rayons X et Gamma. La cavité résonante pouvant être « virtuelle » ou « réelle » (matérielle).

Une cavité virtuelle est crée par deux antennes (ou tout autre source photonique accordée) dont les faisceaux d’onde convergent en un point distant quelconque. La modulation des antennes est telle que leurs ondes créent un volume d’ondes en phase soustractive, accordées à la fréquence élastonique locale, au point de convergence.

Un volume d’antigravité est créé en ce point, tout corps s’y trouvant perdant sa masse et son inertie. Le point de convergence des sources (des antennes) peut être déplacé à souhait, permettant de déplacer un corps à distance dans un « faisceau antigravitationnel ».

Une cavité réelle est créée en entourant un corps d’une double coque réfléchissante, de forme quelconque à condition d’être toujours courbe (par exemple une sphère, un cylindre ou une lentille) et d’espacement constant. L’espace entre la coque intérieure et la coque extérieure forme une cavité résonnante dont les coques sont les miroirs.

Les deux sources oscillantes (antennes ou sources de lumière cohérente) sont placées en deux points opposés (par exemple au sommet et en bas de la cavité). Les deux sources créent ainsi un champ d’ondes stationnaires accordées, en phase soustractive, à la fréquence locale des élastons.

Il est aussi possible de n’utiliser qu’une seule source, en seul point de la cavité, les ondes se superposant naturellement en se rencontrant après avoir fait le tour de la cavité formant guide d’onde. Un léger décalage cyclique de la fréquence de la source permettant de contrôler le déphasage d’une demi longueur d’onde.

Les procédés de dépression élastonique précédemment décrits, dynamiques et statiques, annulent la masse et l’inertie mais n’assurent pas la propulsion.

Pour créer un ou plusieurs vecteurs de poussée il faut supprimer localement la dépression des élastons autour du véhicule. Cela peut être fait en émettant un faisceau local d’ondes en phase additive dans le champ de dépression élastonique (ou à l’extérieur). Ces ondes se propagent dans une direction opposée à la direction de propulsion souhaitée. Il s’agit d’une méthode dynamique de surpression élastonique.

On peut aussi utiliser un condensateur électrostatique (condensateur « plat » ou sphère « Van De Graaf » par exemple) qui créera un champ local de surpression élastonique. Il s’agira alors d’une méthode statique de surpression élastonique.

Un minimum de trois sources (placées sous le véhicule) est nécessaire pour orienter et propulser le véhicule sur tous les axes. Bien entendu un grand nombre de géométries différentes sont envisageables pour un véhicule antigravitationnel mais elles reposent toutes sur les principes que nous venons d’exposer.

Si un volume de dépression du vide (champ antigravitationnel) est créé (autour d’un corps) près d’une masse, par exemple la Terre, le champ et la terre forment une cavité résonante.

Les phases additives apparaissant entre la surface du champ de dépression élastonique et le sol créent un volume de surpression des élastons à cet endroit. Cela entraîne de complexes phénomènes d’ionisation des atomes de l’air et d’importantes émissions « électromagnétiques ».

Cela a aussi pour effet de repousser le corps en antigravité si ce dernier ne compense pas cette surpression en étendant son champ de dépression élastonique jusqu’au sol.

La cavité résonante véhicule-sol variant en permanence avec l’altitude, la vitesse et les régimes ondulatoires du champ antigravitationnel du véhicule, cela montre l’extrême complexité de pilotage d’un véhicule antigravitationnel.

Il est à noter que le régime de pression élastonique existant autour du véhicule (par exemple entre le véhicule et le sol) induit une distorsion de l’espace temps.

Si une personne se trouve dans le champ de dépression du « vide » d’un véhicule, le temps s’écoulera plus lentement pour elle que pour un observateur hors du champ.

En sortant du champ, cette personne verra sa montre retarder par rapport à celle d’un observateur extérieur au champ. Cette personne aura vécu une expérience de temps manquant (« missing time »).

A l’inverse, si le sujet se trouve dans une zone de surpression élastonique, existant autour du champ antigravitationnel, il vivra une expérience de temps accéléré.

Il aura par exemple passé vingt minutes dans le champ, alors que pour un observateur extérieur il n’y aura séjourné que quelques secondes.

Les gradients de pression élastonique autour du véhicule agissent un peu comme les lentilles gravitationnelles à l’échelle cosmologique. Selon la vitesse et l’intensité de formation d’un champ élastonique dépressionnaire, le véhicule pourra devenir flou, transparent ou même rapetisser jusqu’à disparaître en un point. Des processus inverses pouvant se produire.

S’il faut un apport d’énergie pour amorcer le champ de dépression du « vide », aucun apport d’énergie n’est nécessaire ensuite.

En effet, les élastons, à la pression nominale du « vide » local entourant le champ dépressionnaire, tendent à « remplir » en permanence le volume de dépression élastonique du champ antigravitationnel.

Ceci crée un flux d’énergie, sous forme d’oscillations élastoniques, qui alimente par induction le système de génération du champ antigravitationnel. Ce flux d’énergie étant toujours égale à l’énergie dépensée pour créer le champ dépressionnaire, plus on augmente la dépression plus celle-ci « pompe » d’énergie dans le « vide » environnant.

Ceci a aussi pour conséquence que plus nous accélérons, plus les élastons, en pression croissante, restituent leur énergie à notre champ antigravitationnel. Ce dernier étant en dépression croissante en amont du véhicule et en surpression croissante en aval.

Ce gradient dépressionnaire, croissant avec la vitesse et l’accélération, empêche toute formation d’onde de choc à la vitesse de la lumière et nous permet de la dépasser sans violer la constante « c ».

Cette vitesse supra-luminique est aussi appelée vitesse tachyonique.

Nous avons franchit le mur de Planck, lui-même limite de la vitesse de la lumière et de la contraction de Lorentz, en remplaçant une pression élastonique croissant avec l’accélération par une dépression croissante.

Notre vitesse, sans être infinie, tend vers l’infini et le temps dans le véhicule est tellement contracté que le voyage paraît instantané.

Contrairement à ce qui se produirait si la masse et l’inertie n’étaient pas annulées, le temps ne se dilate pas dans le vaisseau, comme le décrit justement la relativité générale, mais au contraire se contracte, comme le prédit déjà la théorie des tachyons.

Malheureusement, la vitesse tachyonique nous impose un déplacement rectiligne et interdit toute perception du monde « physique » extérieur, c’est à dire des quanta d’espace temps dont l’impulsion fondamentale est à la longueur de Planck.

Pour ne pas nous désintégrer sur un obstacle, nous sommes obligés de voyager par bonds tachyoniques limités, après nous être assurés qu’aucun obstacle d’une masse supérieure à celle du véhicule ne se trouve sur le trajet.

Si la masse d’un obstacle est inférieure à celle du véhicule, notre champ antigravitationnel l’écartera instantanément. Donc, même à vitesse tachyonique, un voyage interstellaire peut prendre plusieurs mois ou années.

Au delà du mur de Planck

Les « quanta » d’espace-temps dont les impulsions fondamentales sont plus courtes que la longueur de Planck répondent aux mêmes lois que les « quanta » spatio-temporels à la longueur de Planck. Ils s’organisent aussi en élastons, atomions et atomes, conformément à la loi de constance des jauges.

Leurs longueurs d’impulsion fondamentale n’existant qu’en des intervalles logarithmiques définis, ils forment autant d’univers interpénétrés, n’interagissant que faiblement entre eux à travers des harmoniques de leurs fréquences.

L’entropie décroît avec le raccourcissement de l’impulsion fondamentale.

Les univers existant « en dessous » de la limite de Planck sont donc beaucoup plus négentropiques que notre univers « physique ».

Cela signifie que, vus de notre univers « physique », les systèmes organisés de ces univers nous semblent quasiment éternels.

L’univers parallèle dont l’intervalle logarithmique est le plus proche du nôtre, interagit le plus avec l’atomion « k » de l’atome d’hydrogène qui, ayant la fréquence d’oscillation la plus élevée dans notre univers, résonnera le plus avec les harmoniques les plus basses de l’univers « voisin ».

Cet univers parallèle le plus « proche » du nôtre est précisément ce que les traditions qualifient empiriquement de « plan astral », « limbes », « royaume des morts » ou « au-delà » selon les cultures.

Nous percevons subjectivement la frontière entre cet univers et notre univers « physique », qui est la limite de Planck, sous forme de sensation d’une limite entre le monde extérieur incluant notre corps et ce que nous ressentons comme notre monde intérieur.

Toute émergence dans notre univers physique de matière ou d’énergie de cet univers parallèle passera préalablement par une inversion de flèche temporelle de cette matière ou énergie.

En émergeant dans notre univers cette matière ou cette énergie, de par sa nature plus négentropique, refroidira notre environnement à l’inverse des énergies de notre univers. Ce phénomène, totalement incompris de la « physique » actuelle, se manifeste dans de nombreux phénomènes « paranormaux » ainsi que dans les « apparitions » de « fantômes ».

Plus la longueur d’impulsion fondamentale commensurant un univers est courte, plus sa vitesse de la lumière propre et sa densité d’information est élevée.

Nous observons tous ces univers parallèles en nous-mêmes sous la forme du corps « mental » (source des pensées, du psychisme), du corps « causal » (source des intentions, de la personnalité) ou de la conscience (composée du couple dual Moi-Soi).

La conscience appartenant à l’univers dont la vitesse de la lumière tend vers l’infini, donc l’espace et le temps aussi (vers l’infiniment petit). Sa vitesse fondamentale tendant vers l’infini, la conscience (c’est à dire le vrai « nous-même ») est éternelle.

Conclusion

Quoique l’holodynamique quantique en soit encore à son stade préliminaire, certaines de ses propositions sont déjà vérifiées par la mesure et l’expérience.

Ce noyau irréfutable de la théorie inclut l’élasticité comme interaction unique, les élastons et les atomions ainsi que la nature de la gravitation.

Le mécanisme d’apparition de la matière proposé nous semble le plus pertinent mais n’exclue pas d’autres descriptions.

De même, notre description d’un univers infini, qui nous paraît la plus pertinente au stade actuel de la théorie, n’exclue pas absolument la contre hypothèse d’un univers fini entouré d’une unique enveloppe ou bulle de confinement des quanta d’espace-temps.


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