Conscience

A tout cercle, il faut un centre

Le Maître Deunov nous parle géométrie, en particulier du cercle, cette ligne courbe dont tous les points sont équidistants d’un centre et des lignes droites que sont le rayon et le diamètre du cercle.

« Rayons, diamètre, cercle sont constitués par des points en nombre infini. Tous les rayons d’un cercle se rejoignent en son centre ou sortent de lui. Tous les diamètres se croisant en ce centre unique sont des lignes droites d’égale longueur.

Supposez que l’une de ces lignes s’allonge ou se raccourcisse, aussitôt la figure se modifie, son harmonie parfaite disparaît. Et si certaines de ces lignes ne passent plus par le centre, elles ne manqueront pas de se heurter dans leurs cours.

C’est l’image de la vie des hommes.


Pour qu’ils ne se heurtent pas entre eux, il faut qu’ils aient le même idéal et cet idéal commun ne peut être que d’aimer Dieu, de se perfectionner.

En se dirigeant tous vers ce but magnifique, ils marcheront ensemble et ce but, cet idéal, étant situé à l’infini, ils marcheront parallèlement, sans jamais se heurter. Car en réalité, les rayons du cercle qui représentent les hommes, sont parallèles.

Quand ils ont le même idéal, ils cheminent ensemble à la manière des rails d’une voie ferrée qui vous semblent se confondre en un point unique du lointain horizon mais qui, en fait, sont parallèles.

L’idéal, le centre commun se trouve à l’infini.


Jésus l’a donné à ses disciples: « Soyez parfaits comme votre Père Céleste est parfait ».

Voilà l’objectif vers lequel les hommes doivent se diriger. Sans idéal commun, il ne peut y avoir harmonie. Pour qu’elle s’établisse, les hommes doivent s’unir, tous, le regard fixé sur cette idée primordiale: aimer Dieu. Grâce à cette idée, tous s’aimeront parce qu’ils auront un centre commun à l’instar des rayons du cercle. Aucun ne voudra être plus long ou plus court que ses compagnons.

A tout cercle il faut un centre. A l’organisme, il faut une tête qui fasse centre alors que les membres et les organes forment la périphérie.

Le serpent lové sur lui-même avec la tête dressée au centre du cercle qu’il forme est une représentation de cette vérité.

Le chiffre 9 ressemble à un serpent qui commence à se dérouler, à se développer. Il symbolise le début du développement du cercle.

16 septembre 1942 – Peter DEUNOV


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