Harald Malmgren est un scientifique, diplomate, écrivain et conseiller du président John Kennedy. À l’automne 2024, l’homme a donné une interview de 4 heures, où il a raconté beaucoup de choses intéressantes.
Dès le début du rapport, Harald, 89 ans, a averti qu’il lui restait très peu de temps à vivre et qu’il était inutile de cacher quoi que ce soit.
Il a en outre déclaré :
« Ce que je vous dis peut être choquant, mais beaucoup ont compris depuis longtemps que le monde dans lequel nous vivons est complètement différent de ce que nous sommes « autorisés » à voir. »
Ce que voulait dire exactement l’Américain deviendra clair à la fin de la publication.
Malmgren a expliqué comment il a réussi à accéder à des archives secrètes pendant l’administration Kennedy. John voulait les déclassifier et également divulguer de nombreux secrets du Pentagone et de la CIA à la nation américaine.
Son objectif et son rêve le plus important étaient la transparence entre l’État et la société.
Malheureusement, il n’a pas pu le faire, et Harald croit et déclare que ce n’était pas « impossible », mais « interdit » :
Par qui exactement ? Je ne peux pas citer de noms.
John était constamment et fréquemment critiqué par les services de renseignement et l’armée pour son ouverture d’esprit et son désir de révéler tous les secrets à son peuple. J’ai 89 ans, et si je n’avais pas lu de mes propres yeux les documents des archives spéciales ou des archives d’État, j’aurais perçu bien des choses de manière totalement différente.
Par exemple, l’incident de Roswell.
Demandez aux Américains modernes ce qu’ils savent à ce sujet ? Dans 70 % des cas, ils répondront « rien ». 20 % diront : « Le ballon météo s’est écrasé. » Et seulement 10 % vous parleront du vaisseau spatial écrasé. Et tu sais quoi ? Cette minorité aura raison, mais sera ridiculisée par la majorité. Et pourquoi tout ça ? Parce que la vérité est cachée.
Selon Harald, un engin s’est écrasé à Roswell. Trois des quatre pilotes sont morts ; un a été sauvé. Par la suite, il apprit de manière autonome et en peu de temps, grâce à ses capacités, la langue des terriens (l’anglais) et entra en contact complet :
« Voyez-vous, leur civilisation n’est pas sujette à des vices tels que la tromperie. Les agents du renseignement ont expliqué au survivant qu’ils avaient besoin d’armes pour détruire des cibles spatiales, comme les astéroïdes menaçant la Terre.
Au total, trois installations de ce type ont été créées aux États-Unis : dans le Montana, le Nevada et le Nouveau-Mexique.
Le problème était que personne n’allait les utiliser contre les astéroïdes. Cette arme permettait de détruire d’autres OVNI. En 1960, deux installations sont détruites.
L’emplacement de ce dernier a été modifié, mais je n’ai pas pu trouver de documentation à ce sujet. »
Malmgren a affirmé que les services secrets et l’armée étaient en collusion contre le gouvernement.
Cela ne s’est pas exprimé dans une confrontation ouverte, car tout le monde comprenait les conséquences qu’une révolution entraînerait dans un État aussi vaste et doté d’un potentiel militaire énorme. Cependant, ces deux départements (la CIA et le Pentagone), contrairement au décret de John Kennedy, ne lui rendaient pas compte, mais résolvaient indépendamment divers problèmes, notamment ceux liés à des phénomènes inexpliqués :
« Il existe un document dans l’installation de stockage spéciale de la CIA, selon lequel l’armée américaine a recruté des physiciens européens et américains pour conquérir la téléportation quantique, créer des armes antigravité, générer de l’énergie éthérique et bien plus encore.
Ces développements étaient censés permettre de vaincre l’URSS et d’entrer dans l’espace en utilisant des moteurs qui seraient radicalement différents même des moteurs modernes.
Lorsque John Kennedy a appris cela et a ordonné une enquête sur la provenance des fonds destinés à des projets coûteux, il s’est avéré que la CIA et le Pentagone disposaient d’un soi-disant budget fantôme.
Son montant dépassait, par exemple, toutes les dépenses sociales du pays. Le président était furieux et a ordonné que son discours à la nation, révélant la plupart des secrets, ait lieu beaucoup plus tôt que prévu initialement.
Revenant au sujet des systèmes de frappe d’astéroïdes, Harald a noté que plusieurs appareils d’origine inconnue ont été abattus avec leur aide. Le but de leur destruction était clair et compréhensible : les Américains voulaient obtenir des informations sur les alliages et les matériaux utilisés, car leurs caractéristiques physiques étaient extrêmement différentes de celles de leurs homologues terrestres, pour le mieux.
Et pourtant, l’interview mettait l’accent sur le triste sort de John Kennedy :
« John était un romantique. Il s’est forgé une image utopique de l’avenir de l’Amérique, où rien ne serait caché à la société. Peu avant sa mort, M. Le Président s’est également disputé avec de hauts responsables de la NASA à propos de son idée, car il s’est avéré qu’ils étaient directement impliqués dans des développements secrets pour l’armée. »
Est-ce que vous comprenez ? L’homme qui a essayé de présenter au monde la vérité que chaque habitant de notre planète mérite s’est avéré avoir un grand nombre d’ennemis. Je n’ai aucune preuve directe, mais je pense que n’importe laquelle de ces agences aurait pu vouloir neutraliser John avant qu’il ne fasse quelque chose de global et d’irréversible.
À la fin, Harald revient sur le sujet des civilisations extraterrestres.
Selon lui, il aurait réussi à accéder aux archives secrètes de la CIA juste avant la mort de Kennedy :
Quelques jours avant la tragédie nationale, les dirigeants du Pentagone et de la CIA sont venus voir John. Contre toute attente, ils ont accepté l’initiative du président et ont autorisé ses représentants, dont je faisais partie, à visiter les archives des départements. À l’époque, l’entourage de Kennedy était encouragé par les accords conclus.
Je suis allé au siège de la CIA, où certains documents avaient déjà été préparés pour moi. Parmi eux, on trouve par exemple le document dit « EBE ».
Littéralement : « Accord de coopération avec des êtres biologiques extraterrestres. »
Comme vous le comprenez, les archives de telles organisations ne peuvent pas contenir de documents humoristiques. Je suis fermement convaincu que la pratique du silence que John Kennedy a tant essayé de mettre fin continue aujourd’hui. De plus, des dizaines d’opportunités sont apparues pour censurer l’information et la cacher ou la remplacer.
Quelques jours après cette interview, la page de Harald Malmgren a été supprimée de Wikipédia. Cependant, après l’intervention du chef du service, il a été rétabli.
En février de cette année (2025), l’ancien conseiller de Kennedy est décédé et sa vidéo de quatre heures a été retirée de la section anglophone d’Internet et remplacée par une version de 16 minutes dans laquelle il discute exclusivement de politique.
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