Holistique

Toute maladie commence d’abord par l’âme

Les maladies auto-immunes sont des créations du corps lui-même qui tente de lutter contre sa propre misère.

Notre corps est un don divin, c’est une création parfaite pleine de sagesse et d’amour, c’est une miniature de l’univers tout entier. Hippocrate disait que toute maladie commence d’abord dans l’âme et se termine ensuite dans le corps. Et avant de décider quel traitement suivre pour le corps, il faut d’abord avoir guéri la blessure de l’âme.

Nos cellules fonctionnent avec intelligence et spiritualité où tout est enregistré, tout ce que nous sommes, tout ce que nous avons, toute la singularité de notre être y réside. Lorsque nous prenons conscience de cela, nous pouvons faire d’énormes changements, d’abord dans notre santé mais aussi dans toute la réalité dans laquelle nous vivons. Le corps humain a besoin d’exercice physique, d’une alimentation adéquate pour tous, de désintoxication, de contact thérapeutique avec la nature et surtout d’amour.

Tout nous est offert en abondance lorsque nous choisissons les soins naturels et sommes conscients de ce que nous mangeons, la terre fournit tous les biens pour guérir le corps.


L’âme organise le corps

Il est tragique aujourd’hui que nous ne connaissions même pas l’énorme pouvoir de notre état mental et des pensées qui en découlent, ni comment exactement tout cela fonctionne et affecte notre corps. Ce n’est que ces dernières années que la médecine moderne a commencé à étudier et à accepter l’effet des pensées sur notre santé.

Il est désormais prouvé que selon le type de nos pensées, notre cerveau réalise des synapses similaires, envoyant les messages-commandes appropriés à nos cellules. Par exemple, chez une personne constamment malheureuse ou déprimée, le corps est en constante défense, attaquant ainsi ses propres cellules. Les maladies dites auto-immunes sont des créations du corps lui-même qui tente de lutter contre sa misère.

Ne sachant pas jusqu’à présent pourquoi cela se produisait, ils l’attribuaient à des facteurs héréditaires ou au stress. Bien entendu, ce qui est « hérité » du parent malade, c’est son problème mental qu’il peut très facilement « déposer » chez son enfant.

Les enfants sont toujours une cible facile pour les parents en difficulté. Parce qu’ils sont toujours ouverts à eux et ont une confiance totale en eux, de sorte qu’il se décharge sur eux de tous ses problèmes psychologiques, de ses insécurités et de son malheur, ce qui fait que les enfants développent exactement le même schéma. Et nous appelons cela l’hérédité.


L’autre grand responsable, le stress, nous affecte négativement en provoquant une sécrétion excessive de cortisol dans le cerveau, entraînant un sentiment permanent d’insécurité et la conviction que rien n’ira bien.

Et bien sûr, cela ne durera pas tant que nous mettrons nous-mêmes en œuvre immédiatement la création humaine destructrice, que nous appelons « la loi de Murphy ». Cependant, pour qu’une maladie se manifeste, auto-immune ou non, il faut un solide bagage.

Habituellement, les personnes qui développent des maladies chroniques portent des traumatismes mentaux très graves dont souvent (mais pas toujours) elles ne se souviennent même pas. Ils existent dans le subconscient alors que l’esprit conscient a bloqué cette mémoire. La cause de la maladie peut également être un choc émotionnel très fort ou une émotion intensément négative et, dans ces cas, la maladie apparaît immédiatement.

Toute pensée négative fait chuter la charge biomagnétique-électrique de la cellule en dessous de 50 millivolts, avec un optimal de 85 à 100. Si cela reste ainsi, certains jours, cela devient une maladie, tandis que si cela dure longtemps à cause de sentiments négatifs continus et des pensées et une humeur négatives, cela se transforme en une maladie chronique.

Aujourd’hui, il existe des groupes dans les grandes universités du monde qui étudient toute cette partie. Et quiconque consulte des revues médicales réputées à l’étranger trouve des résultats publiés qui le prouvent.

Que nous créons toutes les maladies, parce que d’une manière ou d’une autre, nous devons nous débarrasser de toute cette négativité que nous portons en nous. Nous somatisons donc le problème et en faisons une maladie.

Ce qui est positif et très prometteur, c’est que commencent lentement à émerger de jeunes médecins à l’esprit ouvert (car c’est une condition préalable pour échapper au dogmatisme médical) qui traitent désormais le patient de manière holistique en combinant la médecine classique et les thérapies alternatives.

Aujourd’hui, de nombreux hôpitaux en Allemagne disposent officiellement de thérapeutes du son qui pratiquent la méthode Peter Hess avec d’excellents résultats chez les personnes souffrant d’accidents vasculaires cérébraux, de sclérose en plaques, de problèmes musculo-squelettiques, de paralysie cérébrale et bien d’autres encore. Plusieurs autres hôpitaux permettent à des psychologues et thérapeutes énergétiques de venir appliquer leurs techniques aux patients au sein de l’établissement.

On oserait faire un pas en avant et dire que c’est à nous de ne plus tomber malade, à condition de voir la vérité dans les yeux sans se cacher derrière nos doigts.

Quoi que nous créions, nous pouvons aussi le suspendre

Cela peut paraître compliqué, mais c’est en réalité simple et grandiose. Ceux qui l’ont fait ne sont pas des surhumains, ce sont des gens ordinaires qui ont consciemment décidé de ne plus se sentir et de ne plus être malades.

Le monde commence à changer et à comprendre que pour qu’il y ait une humanité sans maladie, une approche holistique du problème est nécessaire, et non un traitement unilatéral.

Comme le disait Hippocrate, la guérison s’adresse d’abord à l’âme, puis au corps.


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