Première étoile à droite et tout droit jusqu’au matin !
Demeurons bien dans l’oeil du cyclone, Voyageur entre les Mondes, sinon ça risque de secouer.
Centrons-nous dans cette partie que nous avons de meilleure : notre coeur. Ce grand voyage, nous l’avons tellement rêvé qu’il s’est matérialisé !
La tempête spatio-temporelle fait rage tout autour de nous et nous reconduit à la maison.
Toi et moi sommes les enfants perdus du Pays imaginaires ! On nous a envoyés ici-bas, saupoudrés de poussière de fée, pour que ce monde n’oublie pas la magie des étoiles. Nous sommes nés étrangers dans nos familles, étrangers dans nos pays, avec pour seuls bagages une réserve de rêves inépuisables « qui ne servent à rien, juste des chimères » !
A rien ? Des chimères ?… vraiment ?
Ces rêves, ces visions, ces espaces lumineux quand nous fermons les yeux sont le pouvoir magique dont nous sommes les héritiers, et nous l’avons conservé hermétique aux moqueries, aux découragements, à l’oppression et aux menaces.
Il faut vraiment être d’ailleurs et avoir un coeur en or de fée pour supporter la pression de l’ancien monde. Rends-toi à l’évidence, Voyageur interdimensionnel, tu es spécial… et tu accomplis ta mission de Lumière.
Le tourbillon du changement est inéluctable à présent ! Te voilà en cours de nettoyage des dernières croyances négatives, des superstitions et des peurs qui sabotent et freinent ton merveilleux pouvoir d’imagination créatrice.
Ce que tu commences à comprendre, c’est que cette Lumière n’est pas simplement à conserver comme on le ferait dans la réserve d’un musée ou d’une bibliothèque : à l’abri des regards, prenant l’ombre et la poussière… Tu n’es pas un conservateur de lumière mais un diffuseur, un communicateur, un transmetteur de lumière…
Montre-toi ! Montre-nous la magie naturelle qui t’habite !
Quelle serait la raison d’être de ce fabuleux joyau, sinon ?
Veux-tu faire le choix, en conscience, de sortir ta Lumière de l’ombre ?
C’est notre seul moyen de reconnaissance à tous… Starseeds, Anges et Elémentaires incarnés, Mages et Magiciennes de la Nouvelle Terre, Artisans de Paix, Passeurs, Guérisseurs… Peu importe le nom, l’apparence ou les dons pour nous qui voyageons entre les Mondes pour l’Unité !
Veux-tu faire le choix d’ancrer ta lumière dans la matière ?
De la communiquer, l’écrire, la chanter, la peindre, la danser, de créer ta propre structure, soigner, aider…
Nous sommes des enfants perdus libres, Voyageur entre les Mondes !
Contre vents et marées, nous avons conservé nos rêves dans l’espace sacré du coeur avec un reste de poussière de fée. La tête aussi dure que la pierre nous n’avons pas voulu oublier la Lumière, nous avons laissé notre canal ouvert et le moment est venu d’accueillir le Pays imaginaire sur la Terre.
N’hésite pas à nous montrer le fruit des souvenirs, des expériences et des idées que tu rapportes de tes voyages entre les Mondes. Nous avons besoin de ces partages et de ces concrétisations !
Le mot-clé sera « IMAGINATION »
Voici la traduction de « Lost boy » de Ruth B.
Il fut un temps où j’étais seul, sans chez moi et nulle part où aller. Mon unique ami était l’homme de la Lune même si, parfois, il désertait aussi. Mais une nuit, comme je fermais les yeux, J’ai vu une ombre planer très haut. Il est venu à moi avec un beau sourire, m’a dit qu’il voulait me parler un moment : « Peter Pan. C’est ainsi qu’on m’appelle. Je te promets que tu ne seras plus jamais seul ! » Et depuis ce jour…
Je suis un enfant perdu du Pays imaginaire, le plus souvent au côté de Peter Pan. Et quand on s’ennuie, on joue dans les bois, le Capitaine Crochet sur nos pas. « Fuis, fuis, enfant perdu, me disent-les autres, loin de toute cette réalité. » Le Pays imaginaire c’est chez nous pour les enfants perdus comme moi, et les enfants perdus comme moi sont libres.
Il m’a saupoudré de poussière de fée et m’a dit de croire, de croire en lui et de croire en moi. On s’est envolés dans une nuée verte vers notre belle destinée. Tandis que nous planions au-dessus de cette ville qui ne m’a jamais aimé, j’ai réalisé que j’avais enfin trouvé une famille. Bientôt nous atteignîmes le Pays imaginaire, paisiblement, mes pieds ont touché le sable, et depuis ce jour…
Je suis un enfant perdu du Pays imaginaire, le plus souvent au côté de Peter Pan.
Et quand on s’ennuie, on joue dans les bois, Le Capitaine Crochet sur nos pas. « Fuis, fuis, enfant perdu, me disent-les autres, loin de toute cette réalité. » Le Pays imaginaire c’est chez nous pour les enfants perdus comme moi, et les enfants perdus comme moi sont libres.
Peter Pan, Clochette, Wendy Darling, et même Crochet, vous êtes mon histoire préférée. Pays imaginaire, je t’aime tant, tu es mon home sweet home… Je suis un enfant perdu pour toujours, enfin !
Et pour toujours, je dirai… Je suis un enfant perdu du Pays imaginaire…
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