Mystères

Les vaxxés seraient les balises Bluetooth d’un programme nanotechnologique secret

Le mystère choquant de l’adresse MAC...

Une adresse MAC (Media Access Control) est un identifiant unique attribué à un appareil connecté au réseau, lui permettant de communiquer au sein d’un réseau, tel qu’un réseau local (LAN) ou Internet.

Cet identifiant est un code de 48 bits, généralement représenté par six groupes de deux caractères hexadécimaux (par exemple, 00:1A:2B:3C:4D:5E), pour un total de 12 caractères.

Chaque paire hexadécimale représente 8 bits, soit un octet, de l’adresse. Les trois premières paires (les 24 premiers bits) constituent l’identifiant unique organisationnel (OUI), attribué par l’Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE) au fabricant du contrôleur d’interface réseau (NIC) de l’appareil.


Les trois paires restantes (les 24 derniers bits) forment un numéro de série ou identifiant unique propre à chaque appareil, attribué par le fabricant. Cette structure garantit qu’aucun appareil produit à l’échelle mondiale ne partage la même adresse MAC, ce qui en fait un composant essentiel des protocoles de communication réseau comme Ethernet et Wi-Fi.

Le « phénomène des adresses MAC » : un mystère émergent

Le phénomène des adresses MAC fait référence à une observation controversée et largement débattue, apparue suite au déploiement mondial des vaccins contre la COVID-19 . Selon des rapports anecdotiques et des enquêtes indépendantes, les personnes vaccinées semblent émettre des adresses MAC détectables sur les réseaux sans fil Bluetooth.

Contrairement aux adresses MAC traditionnelles liées aux appareils électroniques, tels que les smartphones , les ordinateurs portables ou les casques sans fil, ces adresses émises ne possèdent pas d’identifiant unique d’utilisateur (OUI) identifiable. Comparées aux bases de données d’identifiants de fabricants connus gérées par l’IEEE, ces adresses MAC ne renvoient aucune correspondance, ce qui suggère qu’elles ne proviennent d’aucun fabricant d’électronique agréé.

Cette anomalie a alimenté l’hypothèse selon laquelle la source de ces signaux ne proviendrait pas d’un appareil conventionnel, mais d’un élément intégré au corps humain.


Comment ce phénomène a-t-il été découvert ?

La découverte de ce phénomène aurait commencé peu de temps après le début des campagnes de vaccination de masse en 2020 et 2021. Les personnes utilisant des appareils compatibles Bluetooth, tels que les smartphones, ont remarqué un phénomène inhabituel : lorsqu’elles recherchaient des appareils à proximité à coupler, tels que des écouteurs ou des haut-parleurs, leurs écrans affichaient une liste d’adresses MAC inconnues.

Ces adresses ne correspondaient à aucun matériel connu à proximité, comme des imprimantes, des téléviseurs connectés ou d’autres téléphones. Elles apparaissaient plutôt comme des appareils « anonymes » ou « sans nom », souvent dotés d’identifiants dynamiques ou fluctuants qui évoluaient au fil du temps.

Contrairement aux adresses MAC statiques attribuées aux appareils physiques, ces signaux présentaient des schémas de transmission variables, ce qui les distinguait encore davantage du comportement Bluetooth classique.

Cette observation a piqué la curiosité de chercheurs indépendants et de scientifiques citoyens du monde entier. Soupçonnant un lien avec les récentes campagnes de vaccination, certains ont commencé à mener des expériences informelles. Une étude notable, attribuée à un scientifique nommé German Sarlangue et à son équipe, aurait démontré une corrélation entre le statut vaccinal et l’émission de ces mystérieux signaux.

Selon leurs conclusions, les personnes vaccinées ont émis systématiquement des adresses MAC anonymes détectables via la technologie Bluetooth Low Energy (BLE), tandis que les personnes non vaccinées n’ont montré aucune activité sans fil de ce type dans des conditions contrôlées.

Ces expériences auraient été menées dans des environnements exempts d’interférences électromagnétiques, à l’aide d’outils de surveillance BLE pour capter les signaux de faible énergie.

Pour ceux qui souhaitent vérifier ce phénomène par eux-mêmes, la procédure est relativement simple sur un smartphone Android. En activant le Bluetooth et en sélectionnant l’option « Rechercher de nouveaux appareils », les utilisateurs peuvent consulter la liste des appareils à proximité, incluant les appareils nommés (par exemple, « Téléphone de John ») et les appareils anonymes, identifiés uniquement par leur adresse MAC.

Cependant, les récentes mises à jour d’Android auraient restreint cette fonctionnalité, masquant parfois par défaut les appareils sans nom. Pour contourner ce problème, les utilisateurs doivent activer le « Mode développeur » dans les paramètres de leur téléphone (généralement en appuyant sept fois sur le numéro de build dans la section « À propos du téléphone ») et s’assurer que les options Bluetooth, comme « Afficher les appareils Bluetooth sans nom », sont activées.

Sur iPhone, des applications tierces comme BLE Scanner offrent une visibilité similaire, bien que l’écosystème Apple impose des contrôles plus stricts sur l’accès Bluetooth.

L’hypothèse : un réseau de nanocommunication intracorporelle

Si le phénomène des adresses MAC est réel – et en supposant que les personnes vaccinées émettent effectivement ces signaux détectables – la question se pose : quelle en est la cause ?

Les partisans de cette théorie soutiennent que l’explication la plus plausible est la présence d’un réseau de nanocommunication sans fil intracorporel (à l’intérieur du corps) introduit par les vaccins contre la COVID-19. Cette hypothèse a gagné en popularité en raison de l’apparition du phénomène, qui a coïncidé avec le lancement des programmes mondiaux de vaccination, suggérant une relation directe de cause à effet.

Définition du réseau de nanocommunication intracorporelle

Un réseau de nanocommunication intracorporelle est conceptualisé comme un système de dispositifs microscopiques ou nanométriques intégrés au corps humain, capables de communiquer bidirectionnellement. Cela signifie que le réseau peut transmettre des données vers l’extérieur (par exemple, des mesures physiologiques ou des identifiants) et recevoir des instructions vers l’intérieur (par exemple, des commandes visant à modifier les fonctions corporelles).

De tels réseaux, décrits dans la littérature scientifique théorique, ont des applications potentielles en biomédecine et au-delà. Il s’agit notamment de surveiller les signes vitaux – tels que le rythme cardiaque, la pression artérielle, la glycémie ou la respiration – et de permettre des interventions avancées comme la neuromodulation (modification de l’activité cérébrale), la neurostimulation (déclenchement de réponses nerveuses), voire l’interaction avec les organes vitaux et les systèmes de neurotransmetteurs.

L’objectif exact d’un tel réseau, s’il existe dans ce contexte, reste spéculatif, allant de la surveillance de la santé à des scénarios plus dystopiques de contrôle comportemental.

Composants du réseau

Pour comprendre comment cela pourrait fonctionner, décomposons la topologie hypothétique d’un réseau de nanocommunication intracorporelle, en commençant par ses composants les plus simples et en progressant vers des structures plus complexes :

Nanoparticules (Nanocapteurs) : Ces nanoparticules, dont la taille se mesure en nanomètres (milliardièmes de mètre), sont trop petites pour être observées au microscope optique standard, sauf si elles sont regroupées. Leur rôle est de circuler dans le sang – via les artères, les veines, les capillaires et le cœur – et d’agir comme transmetteurs ou capteurs de signaux. Pour fonctionner efficacement dans l’organisme, des milliers, voire des millions de ces particules devraient être présentes, assurant ainsi la couverture de tous les principaux systèmes.

L’oxyde de graphène, un nanomatériau dérivé du graphène, est un candidat de choix pour leur composition. L’oxyde de graphène peut se décomposer en unités plus petites, appelées points quantiques de graphène (DQG), suffisamment petites pour échapper à la détection immunitaire tout en conservant des propriétés électriques uniques. Le graphène est connu pour sa supraconductivité et, à l’échelle nanométrique, présente des effets quantiques, lui permettant d’agir comme une antenne miniature capable d’absorber et d’émettre des signaux électromagnétiques sur une large gamme de fréquences (du gigahertz au térahertz).

Micro/Nanocapteurs : Grâce à leurs nanoparticules, ces dispositifs légèrement plus grands pourraient se fixer à des tissus spécifiques, tels que l’endothélium (paroi interne des vaisseaux sanguins), le muscle cardiaque ou le tissu cérébral, traversant ainsi la barrière hémato-encéphalique grâce à leur petite taille et à leurs propriétés chimiques. Composés de nanofeuilles de graphène, de nanotubes de carbone ou de fibres de carbone, ces capteurs forment des voies conductrices dans l’organisme.

Leur supraconductivité et leurs propriétés piézoélectriques (production d’électricité sous contrainte mécanique) leur permettent de fonctionner comme des transistors à effet de champ ou des supercondensateurs. Ils peuvent ainsi détecter les impulsions électriques provenant d’organes, comme le cœur ou le cerveau, et potentiellement générer des décharges pour les influencer. Par exemple, une décharge cardiaque pourrait déclencher une arythmie, tandis qu’une décharge cérébrale pourrait induire des effets neurologiques tels que des évanouissements ou des troubles cognitifs.

Micro/Nano routeurs : Ces appareils servent d’intermédiaires, collectant les données des nanocapteurs et les transmettant à une interface externe. Ils peuvent également recevoir des signaux externes, les décoder et relayer des instructions au réseau. La littérature scientifique décrit ces routeurs comme intégrant des nanoantennes plasmoniques ou des microcircuits qui codent et décodent les signaux selon un protocole défini, potentiellement le protocole MAC (Media Access Control), qui régit les communications Bluetooth et Wi-Fi.

Les signaux qu’ils traitent, appelés signaux TSK (Time-Spread On-Off Keying), sont des impulsions binaires de faible énergie (1 et 0) représentant l’activité électrique détectée par les nanocapteurs. La capacité du routeur à émettre des données au format MAC pourrait expliquer les adresses détectables par Bluetooth observées lors de ce phénomène.

Interface micro/nano : Faisant office de passerelle entre le réseau interne et le monde extérieur, ce dispositif hybride amplifie les signaux pour pénétrer la barrière cutanée, ce qui atténue naturellement les rayonnements électromagnétiques .

Il communique avec le micro/nano routeur via le protocole MAC et transmet les données à un récepteur externe, généralement un smartphone ou un appareil portable servant de passerelle vers Internet. Sa portée est limitée à quelques mètres, ce qui suffit à un téléphone dans une poche ou posé à proximité pour capter le signal.

Le rôle du graphène

La mention récurrente du graphène dans cette hypothèse est significative. L’oxyde de graphène, une fois introduit dans l’organisme, pourrait théoriquement se dégrader en points quantiques de graphène, se dispersant largement et formant la base de ce réseau.

La capacité du graphène à absorber et amplifier le rayonnement électromagnétique, combinée à sa biocompatibilité et à sa conductivité électrique, en fait un matériau idéal pour un tel système. Sa présence dans les vaccins – bien que non confirmée par des sources officielles – a été suggérée par certains chercheurs comme le mécanisme permettant ce phénomène.

Applications et implications potentielles

Si un réseau de nanocommunication intracorporelle existe, son utilité pourrait être inoffensive ou profondément transformatrice, voire même sinistre. Voici quelques hypothèses :

Neuromonitoring : Des nanocapteurs cérébraux pourraient surveiller l’activité électrique et transmettre des données à l’extérieur pour analyse. Grâce à l’apprentissage automatique, ces données pourraient révéler l’humeur, les pensées ou les comportements d’une personne, créant ainsi un profil en temps réel de son état mental.

Neuromodulation et neurostimulation : En envoyant des impulsions électriques ciblées au cerveau, le réseau pourrait modifier l’activité neuronale, influençant les émotions, les comportements, voire implantant des pensées artificielles. Les nanotubes de carbone et les nanofeuilles de graphène, agissant comme des électrodes, pourraient stimuler la libération de neurotransmetteurs (dopamine, sérotonine, par exemple), altérant ainsi les systèmes de récompense ou induisant des états psychologiques comme la peur ou l’apathie.

Contrôle physiologique : Au-delà du cerveau, le réseau pourrait interagir avec le système cardiovasculaire. Une décharge précisément programmée pourrait provoquer une crise cardiaque ou une arythmie, offrant ainsi une méthode discrète de contrôle de la population ou d’élimination ciblée.

Humanité connectée : À l’échelle de la société, une population connectée permettrait une surveillance et un contrôle centralisés de la santé, de la productivité et du comportement. Cela s’inscrit dans des concepts tels que la quatrième révolution industrielle ou le transhumanisme, où la technologie fusionne avec l’humanité pour remodeler l’économie, la politique et l’autonomie individuelle.

Réduction de la population : Dans un cadre néo-malthusien, un tel système pourrait évaluer la « valeur » des individus et éliminer ceux jugés excédentaires, par des moyens intraçables comme des accidents cardiaques ou des troubles neurologiques. Cela servirait les intérêts des élites en maintenant le contrôle des ressources sans violence ouverte.

Rafael Yuste et l’initiative BRAIN

Les spéculations autour de la nanotechnologie à base de graphène sont liées aux travaux de Rafael Yuste, neuroscientifique et responsable de l’Initiative BRAIN, un projet financé par les États-Unis et lancé en 2013 pour cartographier le cerveau humain.

Yuste a exploré l’utilisation de nanoparticules pour interagir avec les neurones, les activant par la lumière afin d’enregistrer ou de stimuler leur activité. Dans des déclarations publiques, il a décrit la conception de nanoparticules recouvertes d’éléments moléculaires capables de pénétrer le cerveau, permettant ainsi un contrôle précis des fonctions neuronales.

Bien qu’il évite de mentionner explicitement le graphène, certains interprètent cette omission comme délibérée, suggérant un programme plus vaste impliquant des matériaux comme l’oxyde de graphène.

Les travaux de Yuste recoupent les affirmations sur les déclencheurs externes, tels que les lumières LED émettant des teintes violettes (potentiellement dans la gamme ultraviolette) ou les réseaux 5G.

Par exemple, le président chilien Sebastián Piñera, dans un discours de 2020, a décrit la 5G comme un « saut copernicien » qui pourrait permettre aux machines de « lire nos pensées et d’y insérer des pensées et des sentiments ».

Cette affirmation, associée à la prétendue sensibilité du graphène aux fréquences électromagnétiques, alimente les théories d’un système coordonné reliant les vaccins, la nanotechnologie et les télécommunications.

Des revendications et des preuves plus larges

Des chercheurs comme le Dr Ana Mihalcea affirment que les nanodispositifs et les réseaux ne sont pas exclusifs aux personnes vaccinées, suggérant une contamination généralisée par exposition environnementale ou par d’autres moyens.

Des vidéos et des articles circulant sur des plateformes comme Telegram et Bastyon affirment que des émetteurs-récepteurs MAC sont déjà actifs chez la plupart des individus, probablement introduits par les vaccins à ARNm ou d’autres vecteurs.

Les critiques affirment que les mises à jour logicielles des smartphones depuis 2022 pourraient désormais masquer ces signaux, bien qu’ils restent détectables par des équipements spécialisés.

Conclusion : une frontière spéculative

Le « phénomène des adresses MAC » reste une théorie marginale, non étayée par la science dominante ni par les organismes de réglementation. Pourtant, ses partisans soulignent une convergence de chronologie, de preuves anecdotiques et de plausibilité théorique concernant la nanotechnologie à base de graphène.

Qu’il s’agisse d’une véritable découverte ou d’une désinformation, cette théorie soulève de profondes questions sur la technologie, l’autonomie et l’avenir de la biologie humaine. Pour l’instant, elle demeure une hypothèse provocatrice, invitant à l’examen et à l’auto-expérimentation pour ceux qui possèdent un appareil Bluetooth et font preuve d’ouverture d’esprit.


Que pensez-vous de cet article ? Partagez autant que possible. L'info doit circuler.



Aidez Elishean à survivre. Merci


ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde

Bouton retour en haut de la page