Cas de conscience

Les juges libèrent les violeurs, les assassins mais condamnent un chat

Une dame condamnée à 1 250 € d’amende parce que son chat traverse le jardin du voisin.

Tout d’abord, je n’aimerai pas être dans la peau du voisin qui porte plainte contre un chat ! Dans quel monde vit-on ?

D’un coté des gauchistes malades qui soutiennent le terrorisme et l’islamisme, votant contre la libération d’un écrivain des geôles de la dictature algérienne.

De l’autre, des citoyens lambda dont la haine est si puissante qu’ils s’en prennent à des animaux inoffensifs, sous couvert d’état de droit.


Le monde de ces gens mérite de disparaître, on ne peut pas continuer comme ça… S’il faut un déluge de feu pour arrêter ça, et bien soit !

Un fait divers qui en dit long sur la déchéance de cette justice française aujourd’hui :

Une habitante d’Agde, âgée de 64 ans, a été condamnée par le tribunal judiciaire de Béziers à verser 1 250 € à son voisin pour trouble de jouissance. En cause : son chat, Rémi, qui franchit régulièrement la clôture mitoyenne et perturberait la tranquillité du plaignant.

Un litige qui dure depuis trois ans

La décision est tombée le 17 janvier dernier, mais Dominique Valdès peine encore à y croire. Selon son avocate, le tribunal a retenu sa responsabilité et l’a condamnée à verser 450 € d’indemnisation à son voisin, ainsi que 800 € pour couvrir ses frais d’avocat.

À l’origine du conflit, Rémi, le chat de Dominique, qui a pris l’habitude de traverser le jardin du voisin, un espace autrefois inoccupé.


« Quand je suis arrivée, il n’y avait aucun mur entre nos terrains, juste un portillon. Mon chat a toujours emprunté ce passage pour aller dans la rue », explique-t-elle.

Des tensions croissantes et une condamnation inattendue

Avec l’arrivée du nouveau propriétaire, les tensions ont rapidement escaladé.

« J’ai reçu un jour un courrier d’avocat me réclamant 880 € sous prétexte que des traces de pattes avaient été retrouvées sur sa façade », raconte Dominique.

Une médiation avait pourtant donné raison à la propriétaire du chat, le plaignant n’ayant pas pu prouver que les marques venaient bien de Rémi.

Malgré cela, le tribunal a finalement tranché en faveur du voisin. Pire encore, Dominique est désormais soumise à une astreinte :

« Chaque fois que mon chat entrera sur son terrain, je devrai lui verser une somme en compensation ».

Un recours à l’étude

Pour Dominique et son avocate, cette décision est incompréhensible.

« Comment expliquer à un chat qu’il doit changer d’itinéraire ? C’est absurde ! », s’indigne-t-elle.

Son conseil, Maître Caroline Vergnolle, partage son avis :

« La motivation du tribunal, estimant que la simple présence du chat empêche le voisin de jouir paisiblement de son jardin, est hautement contestable ».

Une procédure en appel est actuellement à l’étude.

Source : Le Midi libre


Que pensez-vous de cet article ? Partagez autant que possible. L'info doit circuler.



Aidez Elishean à survivre. Merci


ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde

Bouton retour en haut de la page