Secrets révélés

La Terre Mère et ses 3 humanités – 3/3

Un corps sans âme est un cadavre, Un homme sans honneur est un homme mort. Axel Oxenstiern

VIII – De l’âme & de l’esprit

Gardons-nous de donner au corps la plus haute importance, ainsi que voudrait nous y encourager tant de publicités et de médias en tous genres. Il n’est qu’un véhicule… cependant fantastiquement doté de mémoires cellulaires qui enregistrent en permanence les événements émotionnels de la vie, tout particulièrement lorsqu’ils sont traumatiques. Elles sauvegardent automatiquement les expériences vécues et les connaissances transmises de génération en génération : elles constituent ainsi de véritables héritages.

Et, bien involontairement, nous transmettons à nos enfants ce que nos parents et grands-parents nous ont légué, enrichi de ce que nous avons nous-même vécu. Certains héritages étant fort lourds, cumulés et se démultipliant sans faille ni oubli, impossibles à “déprogrammer” sans un travail psychothérapeutique et ontologique approfondi.

Mais, dans ce travail d’ontothérapie, oserons-nous d’emblée considérer et accepter que nous puissions avoir des mémoires cellulaires non terriennes car véritablement extranéennes ; des existences vécues en d’autres mondes en des corps inconnus sur Terre, ou bien encore dans des mondes aux densités diverses et dans des véhicules transdimensionnels ?


Cela paraîtra plus qu’improbable à l’immense majorité de nos semblables, tant nos cultures et nos religions nous en éloignent. La simple logique nous le recommanderait cependant, et pour autant que nous puissions le concevoir ; et si nous le pouvons, il nous faudrait retrouver nos charges et figures traumatiques vécues – dont certaines sont immenses, voire littéralement abyssales (l’expérience de la “séparation” d’avec la Source Une d’Amour et de Lumière, notamment) ; ou bien encore l’expérience de la “chute” dans un niveau de conscience et d’humanité de plus en plus éloigné de cette Lumière et de cet Amour ; ou les guerres intergalactiques auxquelles nous avons participé et qui détruisirent des mondes et des peuples entiers, etc…

D’autant qu’il revient à chacun de devoir, qu’il le veuille ou non, expérimenter toutes les formes de vie en chaque niveau de densité de la Création. Chacun peut, s’il est suffisamment « aligné » dans ses différentes dimensions, retrouver en lui certains des traumatismes terribles vécus dans des corps que l’on dit animaux, mais encore végétaux ou minéraux (24). Peu le savent, hélas ! D’autant que, d’ordinaire, ce n’est point sur cette Terre que les thérapeutes « modernes » accordent leur attention aux pans immenses et occultés de nos mémoires traumatiques vécues en d’autres mondes – à moins qu’ils ne s’intéressent à l’esprit qui nous habite avant de s’intéresser aux mémoires de nos âmes.

a) De l’esprit

« Vide ton esprit de toi-même” Précepte bouddhiste

Il n’a aucune forme, n’est d’aucune substance, ne connaît aucun lieu, ne porte aucune charge qui ne soit celle du sens de nos intentions, c’est-à-dire des directions que nous donnons à nos existences à chacun de nos pas, consciemment ou inconsciemment.

Mais l’on peut par séduction, par « effet de résonance », par excitation de sa curiosité, par tromperie spirituelle, par commandements réitérés, par programmes implantés de façon subliminale, par force submergeante, convaincre un être qu’il peut ou doit s’engager dans telle ou telle direction, voie, action ou réaction… à l’unique condition : celle de pouvoir entendre la « voix » la plus subtile : celle de son esprit, et qu’il puisse s’interroger en vérité au plus intime de lui-même et non pas “traduire” ce qu’il vit et perçoit en fonction de ce que ses parents, éducateurs et semblables en humanité l’auront conditionné à croire ou à penser du monde, des autres et de « lui-même ».


Notons encore que certains programmes ont pu être inscrits génétiquement par implantation selon des processus divers de formatage des mémoires (25), afin de produire des esclaves serviles, limités dans leur curiosité, aptes essentiellement à suivre des directives, à révérer des maîtres, des éducateurs, des prêtres, des hommes de pouvoir, des idéologues ou quelque mentor que ce soit. Tels des « robots » méconnaissant leur dimension spirituelle.

L’esprit est-il qui nous sommes ?

Une première réponse serait affirmative, si nous considérons qu’il est originellement et ultimement la nature principielle de l’être que nous sommes. Au-delà de nos pensées, de nos idéaux, de nos croyances, de nos conditionnements culturels et religieux, innombrables, permanents et forcenés.

Nous pouvons donc, de ce fait, considérer que l’esprit est la « dimension » la plus élevée de l’être que nous sommes ; laquelle procède en vérité de nulle autre que ce qu’elle est de toute éternité. Sans identité formelle, sans appartenance, sans lieu ni temps, sans forme ni masse… mais quotidiennement obscurcie par les nuages amoncelés de nos croyances, conditionnements culturels familiaux ou sociaux, ou mémoires transgénérationnelles. L’esprit que nous sommes n’est d’aucun lieu, d’aucune appartenance, Sans cloisonnement autre que celui que nos conditionnements culturels, nos croyances et notre intellect voudraient lui apporter. Impondérable et illimité. Est-ce possible ? Si notre lecteur ne peut répondre par l’affirmative, cet écrit risque de lui être fort inconfortable, sinon inconcevable.

Sans limite qu’on puisse lui assigné l’Esprit que nous sommes, non localisable et inidentifiable, n’existe donc pas factuellement : il EST. Il est tout ce que nous sommes en tant qu’être, incarné ou non. Il est Un dans son universalité. Aussi pouvons-nous être directement reliés à tous ceux qui, alignés ontologiquement en esprit avec eux-mêmes, disposent d’une Âme reliée à de corps collectifs d’émanation ; ces âmes pouvant alors adombrer quelque forme de vie que ce soit, de quelque règne que ce puisse être, en fonction de ses dettes karmiques éventuelles, et surtout en fonction des aptitudes qu’il aura développées et auxquelles il pourra faire appel dans de nouvelles missions, incarnées ou non.

Alors pouvons-nous, libérés de nos limitations existentielles ou mémorielles, nous relier en esprit à tout ce qui EST ; et susceptibles d’endosser quelque forme ou véhicule d’une densité ou d’une espèce donnée. Toutes les options sont ouvertes quant aux connexions que nous pouvons établir, quant aux modes “d’être au monde” que nous pouvons découvrir ; quant aux perspectives que nous pouvons donner à nos existences au-delà de toute croyance et de tout formatage.

Mais ces acquisitions et évolutions ne pourront se faire à partir de « messages subtils » que nous pourrions recevoir, et auxquels nous donnerions forme selon nos croyances ou convictions intérieures, aussi élevées soient-elles. Car l’esprit ne se partage pas selon une forme langagière, animique ou biologique, mais uniquement dans l’accueil de ce qui est… au-delà de toute pensée, de tout mot, de toute donnée formelle, de toute croyance ou idéologie, de toute filiation. Seul l’esprit peut nous relier à l’Unité de qui nous sommes, au-delà de la diversité des corps que nous avons endossés, alourdis de mémoires transgénérationnelles.

L’esprit est tel qu’en lui-même, d’une nécessaire pureté, d’une totale « virginité ». Sans réserve ni limitation, il est. Sans lui, nos existences ne sont que songes creux peuplés de fantômes aimables ou repoussants. Sans l’esprit nous ne pouvons sonder notre âme ni entendre celle de qui que ce soit, ayant endossé (ou pas) un véhicule dans l’un des règnes qui peuplent la Création, en tout lieu et en toute dimension.

Mais quelques questions demeurent : qu’en est-il de la diversité des lignées « ontologiques » auxquelles nous avons pu appartenir ? Qu’en est-il de tous les « chemins qui mènent à Rome », c’est-à-dire des manières de se relier à ce qui Est UN, en qui nous sommes et dont nous procédons ? Qu’en est-il de ces entités plurielles et susceptibles d’être hybridées surgissant dans tous les domaines d’existence, ballottées au gré de leurs incarnations si bigarrées ? Qu’en est-il de ces “robes” que nous avons endossées ? Qu’en est-il de qui nous sommes au-delà de toute cette diversité d’appartenances que nous avons empruntées ?

Rien d’autre qu’un songe porté par les vents de nos existences ? Ici, là et puis ailleurs ! Mais alors, ce songe ne serait-il pas celui de nos âmes façonnées par les vents de toutes les humanités que nous avons revêtues, parmi lesquelles nous avons vécu, que nous avons rencontrées, avec lesquelles nous avons noué des liens que nous continuons d’entretenir ? Des communautés terrestres ? Extranéennes ? Humaines ? Animales ? Végétales ? Minérales ?… Est-ce l’Esprit qui les féconde ou l’esprit qui en est fécondé ? Ne serions-nous que des visions de Dieu ?

Quoi qu’il en soit, l’univers nous enveloppe, infiniment riche de toutes les formes de vies auxquelles nous sommes reliés, consciemment ou non, mais avec pour seule essence commune et unitaire, celle de l’Esprit. D’un esprit se revêtant, au gré des existences, de milliers de formes que ses filiations lui permettront de trouver au gré du « Déploiement du Chemin »(26) qui sera le sien, à nul autre pareil. A toutes les étapes du chemin, en des existences différentes menées en des temps et des mondes divers, cet esprit se revêtira des couleurs dont son âme viendra à se parer, aux nuances innombrables. Trempées dans les bains d’époques, d’espaces et de mondes sans nombre, au gré des lignées qu’il empruntera et qui le guideront d’enfers en paradis… à moins que ce ne soit le contraire !

b) De l’âme

Pour exprimer son âme, on n’a que son visage. Jean Cocteau

Sans souhaiter entrer dans quelque polémique que ce soit, il nous apparaît intéressant, dans le cadre de ce dossier consacré aux trois humanités de notre Terre-Mère, de mentionner les conceptions de Laura Knight-Jadczyk, nourries des thèses de Boris Mouravieff, qui distinguent deux types d’êtres humains selon des critères bien différents des nôtres.

Ainsi l’humanité serait, selon elle et B. Mouravieff, partagée en deux catégories :

1- Ceux qui seraient des « portails organiques » sans âmes et sans possibilité d’en développer une, car dotés littéralement d’une nature « mécanique » dans leurs rapports à l’existence. Ces « portails mécaniques » ne seraient pas dotées d’un « moi supérieur », mais connecté directement à une âme-groupe d’essence reptilienne (c’est nous qui soulignons). Ils seraient néanmoins susceptibles de mimer les activités de l’âme et souvent dotés d’un intellect particulièrement performant, voire acéré. Ils demeureraient en toute chose centrés sur le service à soi, désireux de s’imposer et de dominer… et fort étrangers au service aux autres.

2- Ceux, dotés d’une âme individuelle orientée dans le service aux autres, altruiste et respectueuse des êtres et de leurs environnements, ainsi que de toute forme de vie ; et attirés par une spiritualité au-delà de tous types de croyances ou de dogmes imposés, préférant la paix à la discorde et à la guerre, soucieux d’écoute et de compréhension…

Laura Knight-Jadczyk pose cette question d’importance : « Comment se fait-il qu’il y ait tant de conflits dans le monde, pourquoi tant de gens demeurent-ils divisés, chacun privilégiant la paix ou la guerre, le respect ou le manque de respect, la protection de l’environnement ou sa destruction, c’est à dire en résumé, une perspective purement matérielle au service de soi ou alors une approche spirituelle au service d’autrui ? Peut-être, nous approchons-nous de la réponse, car la vérité semblerait être qu’il n’y a pas, et qu’il n’y a jamais eu, un « nous » homogène (la race humaine) sur la planète. « Nous » ne sommes pas tous identiques ; « nous » ne voyons pas le monde de la même manière. « Nous » ne sommes pas simplement une race divisée ; nous sommes deux races différentes », écrit-elle.

Au premier abord, cette vision peut paraître quelque peu manichéenne, mais nous la retrouvons déjà posée par les auteurs gnostiques qui distinguaient ‘les mondes d’en dessus’ des ‘mondes d’en dessous’, et qui nous mettent en garde contre ceux qui n’ont eu pour généticiens que les Archontes (27) reptiliens, dont la carte maîtresse ne fut et ne demeure que la tromperie.

Leurs manuscrits retrouvés sur le site archéologique de Qumrân sont éloquents, qui nous invitent en ces termes : « Scrute le mystère de ce qui vient, étudie toutes les voies de vérité et observe attentivement toutes les racines de la perversion (28). Alors tu sauras ce qui est amer pour l’homme et doux pour une personne. » (29)

Nos âmes ont subi des hybridations en tous genres, et parfois ont été implantées de mémoires exogènes (ou amputées de certains souvenirs). Mais surtout, elles ont été forgées au travers d’expériences innombrables vécues en d’innombrables mondes depuis des temps immémoriaux. Nous avons d’abord appartenu à des Collectifs de Conscience des dimensions les plus élevées, et auxquels nous sommes toujours reliés (mais nous l’avons généralement oublié). Puis nous nous sommes progressivement individués au cours d’incarnations endossant des formes singulières d’existences, éthériennes puis matérielles, appartenant à divers règnes : minéral, végétal(30), animal ou humain… Aucun n’étant supérieure à une autre, quoi que voudraient nous laisser à entendre des convictions religieuses ou des théories évolutionnistes comme celles de Darwin qui ont fait florès et arrangé beaucoup de monde.

La richesse des expériences personnelles et collectives menées par une entité (qui que ce soit d’entre les humains) ayant sur ses parcours dans l’univers endossé des véhicules appartenant aux règnes minéraux, végétaux ou animaux, peut être infiniment plus vaste que les richesses très relatives, circonscrites et élémentaires, acquises par un écolier ou un étudiant au cours de ses années d’études, quasi uniquement verbales et mentales. Comment un animal sait-il que son maître, travaillant à des kilomètres de distance de son domicile, a pris le chemin du retour à son domicile?(31) « Wahouu, wahoouuu… » répondrait-il en remuant la queue, l’œil brillant. Et tant d’autres mystères appartenant à tous les règnes du vivant…

Mais, me direz-vous : nous avons perdu la mémoire de tout cela. Ce à quoi Édouard Herriot rétorquerait : « La culture, c’est ce qui reste dans l’esprit quand on a tout oublié ».

Notre âme est pétrie de tout ce dont notre être spirituel a fait l’expérience dans l’univers, et de toutes les mémoires des lignées génétiques que ces corps endossés ont acquises depuis des temps immémoriaux et dans des mondes en nombre inconcevable. Chaque âme est, de ce fait, d’une richesse sans pareil, eut-elle pour l’héberger le corps d’un cèdre du Liban ou celui d’un galet, roulé sans cesse par les ressacs sur une plage bretonne ou haïtienne…

D’une richesse inouïe faite de toutes les mémoires acquises sur Terre et en d’autres mondes, par nous ou nos parents biologiques, en tant qu’âmes incarnées ; mais une richesse également héritée de toutes les formes d’hybridations réalisées sur les corps de chair qui ont été revêtus par nous-même, par nos géniteurs, ou le corps de quelque entité dont nous avons reçu un organe, ou bien encore avec les gênes desquels nous avons été hybridés (bien souvent à notre insu si nous appartenons à la famille de ceux qui furent ou sont abductés). Aussi une vie incarnée est-elle si précieuse, et une âme plus encore.

Alors pouvons-nous comprendre que les mémoires relatives aux expériences menées par les êtres dans les mondes où ils se sont incarnés puissent s’ajouter à celles des corps d’autres entités avec lesquels des hybridations sont pratiqués. Nous pouvons alors parler d’hybridation des âmes… et de mémoires, de qualités et de travers également endossés, qui rehausseront nos âmes de couleurs aux nuances infinies.

D’où avons-nous hérité nos propensions à aimer, à haïr, à dominer, à détruire, à soigner, réparer ou construire, à faire des colères, à rechercher la paix plutôt que la guerre, l’harmonie plutôt la dissonance, à protéger la vie, à créer, inventer, embellir, être heureux ?…

De tous nos parcours sur les chemins de l’Uni-vers. Et si nous savons correctement activer et syntoniser nos champs merkabah (personnels, collectifs, multidimensionnels et multicosmiques), il nous devient possible d’accéder aux mémoires premières, et notamment à celle de notre émanation d’avec la Source Une de Tout ce qui Est ; c’est-à-dire nous remémorer ce que nous avons éprouvé comme émotions, pris comme orientation première pour notre chemin qui inaugura notre destinée. Comm-UN tout d’abord, puis se singularisant tout en réassemblant, au fil du ‘chemin’, des mémoires de toutes origines selon les filiations adoptées ou « imposées » par de supposés Maîtres du Karma.

D’un karma dont je pense qu’il ne procède que de la nécessité d’expérimenter toutes les voies pour enfin choisir, en conscience, celles qui nous permettront de revenir à l’Unité, dans l’accueil de tous les diversités, de tous les possibles, de toutes les voies de la Création… puis nous libérer de toutes nos mémoires et programmes (implants et auto-implants) une fois élucidés, c’est-à-dire libérés de toute nécessité d’être reconduits pour recouvrer des pans occultés de notre conscience.

Mais, pour cela, sachons urgemment recouvrer la conscience et le discernement relatifs à nos errances accumulées personnellement, collectivement et culturellement, aux origines et aux destinées multiples. Nous arrivons, dans l’histoire de notre Terre, à un moment où Celle-ci doit se défaire de toutes les errances accumulées par tous ceux qu’Elle a hébergés, indigènes ou étrangers venus d’autres mondes.

Car les guerres, si elles sont d’une terrible constance dans l’histoire et le développement de notre humanité, ne sont pas l’apanage des terriens. De terribles guerres se déroulèrent dans les autres dimensions autour de notre Terre (et se déroulent peut-être encore) opposant ceux qui, parmi les extranéens, veulent dominer et exploiter l’humanité pour piller les richesses de la Terre, et ceux qui se sont donné pour mission d’aider les terriens et leur planète à se libérer de leurs errances et de leurs aveuglements, trop souvent résultant de conditionnements et de manipulations des consciences.

Désirons-nous, humains de cette Terre aux origines planétaires et aux filiations si diverses, continuer de dominer nos semblables pour réduire leurs consciences et les rançonner(32) ou exploiter (seuls enjeux de la plupart des politiques menées par les gouvernements) ; ou bien nous libérer de nos mémoires et filiations pour vivre en harmonie avec nos environnements ?

Sans doute viendra le jour où des psycho-anthropologues s’intéresseront à l’étude des influences extranéennes sur nos civilisations et nos cultures, en rapport avec les différentes races qui peuplent cette Terre et qui portent, en leurs mémoires transgénérationnelles les plus lointaines, les empreintes si diverses des cultures et des civilisations d’autres mondes qui ont ensemencé le corps et l’âme de ses habitants ; lesquelles se traduisent en ce patchwork si varié et riche des peuples de la Terre.

Car, ainsi que nous le confirme Corey Goode, lors d’une interview menée par George Noory pour GAIAM TV : « Nous avons été génétiquement modifiés si souvent, que nous sommes vraiment uniques. Nos gènes ont été séparés, recollés, et de nouveau séparés si souvent que, maintenant, lorsqu’ils veulent continuer à le faire, notre génétique s’accroche presque à ce qu’ils tentent de séparer. […] Nous sommes vraiment uniques dans le fait que nous faisons partie d’une grande expérimentation qui va plus loin que la génétique, une expérimentation spirituelle de grande envergure ».

Serons-nous à la hauteur des bouleversements qui se préparent, et que nos consciences sont appelées à accueillir sur des fréquences (33) de plus en plus élevées ? De mois en mois celles-ci s’élèvent, et de plus en plus rapidement.

Épilogue

Qui a enseigné aux hommes le secret de l’écriture et des nombres ? Et la mesure du nombre des années ? Qui a enseigne les voies des jours et des mois ? Rouleau d’Emod

Le propos de cet article n’est pas de convaincre qui que ce soit, mais uniquement d’inviter les éventuels lecteurs intéressés à ouvrir leur conscience, à chaque instant de vie, envers toute chose susceptible de leur permettre de recouvrer les mémoires très personnelles qu’ils ont acquises dans leurs parcours de vies sans nombre, ainsi que les mémoires dont ils ont hérité par filiations directes ou hybridées.

Ce ne sont pas les anecdotes, les faits matériels, les corps endossés, les espaces habités et les temps traversés qui sont les plus importants. Ils ne sont que de l’ordre des « pierres blanches » semées sur les chemins du déploiement de notre être, nous permettant de faire retour à la Source Une et de Lui offrir à connaître sa Création dans toutes ses richesses et dans toutes ses dimensions : spirituelles, psychologiques, corporelles subtiles ou matérielles. Mais encore, Lui témoigner de la manière dont nous avons contribué à l’enrichir et embellir, en demeurant reliés aux plus hautes dimensions de l’être que nous somme.

Puissions-nous être de ceux-là, de tout notre être, de tout notre esprit et de toute notre âme !

NB – Les avancées les plus contemporaines dans le domaine de la biogénétique, et plus particulièrement de l’épigénétique (nous mettrons bientôt en ligne un article consacré à cette discipline qui est totalement en rapport avec l’esprit dans lequel ce dossier a été conduit), visent désormais à comprendre comment la génétique influe sur le comportement animal et humain, et plus particulièrement sur la cognition, les émotions ou affects, la personnalité et la santé mentale. Elles tendent à déterminer quelles modifications génétiques peuvent devenir héréditaires et ainsi être transmises de générations en générations, y compris les gènes dits ‘toxiques’ (evil genes). Combien nous ont-ils été transmis par des manipulations génétiques menées par les biologistes extranéens depuis des dizaines de millénaires ? Combien nos actuels généticiens très terriens, envisagent-ils d’inoculer de gènes toxiques à certaines populations ou groupes d’êtres humains (pour en faire des super-soldats par exemple, des zombies… ou des cadavres à brève échéance), et dont les comportements et autres traits génétiques seront légués aux générations futures ? !

Notes

1 – Selon la traduction de Zecharia Sitchin dans son livre « La 12e planète » (Louise Courteau Éditrice). Retour texte

2 – Comment pourrions-nous, sinon, expliquer ces découvertes archéologiques que nous présente Maurice Châtelain dans son ouvrage « Nos ancêtres venus du cosmos » (p. 146) : « On a retrouvé des objets en métal massif, des cubes, des sphères mais aussi des cylindres, manufacturés avec une précision parfaite, à plusieurs centaines de mètres sous terre, dans des blocs d’anthracite qui se sont formés à l’époque du Carbonifère, il y a plusieurs millions d’années ». Retour texte

3 – Mantis, Mantides ou Esticans, humanoïdes non terrestres aux allures d’insecte, réputés pour leur altruisme, leur intelligence, leur spiritualité et leur bienveillance, ils peuvent nous délivrer télépathiquement des enseignements spirituels. Vêtus de vêtements brillants, ils sont aussi surnommés « angels ». Ils font également partie des équipes de vaisseaux extranéens tels les vaisseaux-mère Pléïadiens. Ils ont plus particulièrement adopté des modes de vie intraterrestres, il y a des dizaines de milliers d’années sur notre planète et bien antérieurement à la venue des Annunakis. Ces derniers étant des humanoïdes reptiliens originaires du système solaire de Nibiru. Retour texte

4 – Cf. a définition complète dans le Lexique de notre site. Retour texte

5 – Dasein, terme allemand signifiant «être-là » dont la notion renvoie à la Daseinanalyse de Ludwig Binswanger) Retour texte

6 – cf. nos livres « Chemins de l’Aube » et « Déploiements du Chemin » aux Éditions i.E.R.O. Retour texte

7 – Encore dénommée EMI (expérience de mort imminente), soit en anglais : NDE (Near Death Experience). Retour texte

8 – Les Arcturiens, humanoïdes originaires d’Arcturus, à la peau bleue (semblable à celle de certaines déités Hindoues représentées sur des tankas), sont des thérapeutes dédiés au service et à la guérison. Retour texte

9 – Végans ou Végaliens, humains aux mœurs pacifiques et douces originaires de Véga de la Lyre, réfugiés des guerres ayant opposé certains peuples de Constellation de La Lyre, entretenant une étroite collaboration avec les Pléïadiens. Nombre d’entre eux appartiennent aux équipages des vaisseaux-mère Pléïadiens où l’on peut être soigné par eux. La couleur de leur peau est plus foncée que celle des Pléïadiens et leurs pommettes plus élevées. Retour texte

10 – Altimarians, humanoïdes originaires du Système de Bar nard et particulièrement compétents en matière de restauration de la qualité de nos environnements naturels. Retour texte

11 – Dals ou Grands Blancs : Race de belle apparence de type nordique, grands, capables de respirer notre atmosphère sans équipement spécial, venus de l’univers DAL qui est jumeau du nôtre (tel sa contrepartie d’anti-matière). Le physicien Jean Claude Petit a démontré la possibilité de l’existence “d’univers jumeaux énantiomorphes de matière/anti-matière à temps inversé”. Quant aux DALs, ils auraient découvert les Pléïadiens avant de découvrir notre Terre. Ils ont appris à coopérer et travailler avec ces derniers qui voyageaient déjà dans l’espace sans contrainte. Certaines colonies existent sur Terre. Notons encore que, selon Paul Hellyer (ex Ministre de la Défense Canadien), les États-unis travaillent en étroite collaboration avec les White Talls (Grands Blancs). Retour texte

12 – Ou « Maostikioan », plus communément appelés « Gris » (Grays pour les américains qui furent les premiers à les identifier et nommer, et Greys pour les anglais), « Petits Gris » (Short Grays) ou Grands (Tall Grays) sont des humanoïdes néo-sauriens dont il existe au moins 5 races différentes, aux origines planétaires diverses, mais appartenant toutes à la constellation du Réticule. Ils sont, de ce fait, identifiés sous l’appellation de Zetas Réticuliens, ou Zétains. Les Short Grays furent impliqués dans des accords avec l’administration Eisenhower (technologie aliène contre l’autorisation d’enlèvement de civils humains et une «expansion» de leur programme biologique (hybridations ?). Quant aux Tall Grays, ils continuent d’être impliqués dans des expériences génétiques, la création d’un être hybride humain/gray, ainsi que dans le contrôle de l’esprit humain, et les accords ‘diplomatiques’ avec le «gouvernement de l’ombre» dont ils semblent être des acteurs déterminants. Leur planète est moribonde et leur race en voie d’extinction… Mikel Salla considère que « les problèmes mondiaux que nous vivons sur Terre sont influencés par ces Grands Grays, les êtres humains génétiquement modifiés, ainsi que les humains de surveillance avec des implants posés par les Grays, pour l’obtention d’une population rendue passive grâce au contrôle hypnotique de l’esprit, l’influence sur les décideurs de haut niveau et l’infiltration des agences de sécurité nationales » ( A Report on the Motivations and Activities of Extraterrestrial Races), ainsi que l’influence déterminante des médias, audio-visuels notamment qui façonnent nos inconscients selon les orientations voulues. Retour texte

13 – Les fonctions organiques de la seule Entité Biologique Extranéenne (EBE) rescapée du crash de Roswell aux USA (1949), étaient basées sur la photosynthèse, sans organe de digestion ni d’excrétion, la peau semblant à du tissu végétal qui réalisait les processus chimiques et recyclait les déchets ; aussi transformaient-elles l’alimentation en énergie à la façon des plantes. Un botaniste, le Dr Mendoza fit ce qu’il put pour maintenir en vie cet EBE qui décéda en 1952 l Cf. Le jour après Roswell du Colonel Philip Corso. Retour texte

14- Éditions du Rocher – 2009. Retour texte

15 -Naine brune que l’on peut actuellement photographier car elle est de retour dans notre système solaire. Une page de notre site y est consacrée à l’adresse : http://www.etreconscience.com/naine-brune_nibiru_planetex_killshot.html. Retour texte

16 – Le remarquable site de procède en permanence à l’actualisation des données recueillies sur la naine brune Nibiru / Planète X, tant par les observatoires d’astronomie de différents continents que par les particuliers de tous pays. Retour texte

17 – Nous apprenons, par un témoignage bien difficile à récuser, que le Pape Joseph Ratzinger (Benoît XVI) participait à des rituels sataniques de torture et de sacrifices d’enfants <http://fr.sott.net/article/17584-Temoin-d-un-sacrifice-rituel-J-ai-vu-Joseph-Ratzinger-assassiner-une-petite-fille> !… et, aussi inconcevable que cela puisse paraître, l’actuel Pape François lui-même serait, comme son prédécesseur, poursuivi par cinq juges de la Cour Internationale de Justice de Droit Coutumier (ICLCJ) de Bruxelles pour les mêmes raisons : torture, viol et meurtre d’enfants attestés par plus de 48 témoins oculaires, pour des faits perpétrés en 2010 en tant que membres de la secte satanique dite du “ 9e Cercle”. Cette Cour Internationale, le 4 août 2013, déclara l’Église Catholique Romaine comme étant une Organisation Criminelle Transnationale : < http://www.onnouscachetout-la-suite.com/t866-Satanisme.htm> et : <http://alamoministries.com/French/Antichrist/Fr_Pope_Francis.pdf>). Une femme américaine qui fut victime de ces sévices inouïs nous livre son témoignage dans un ouvrage terrible décrivant de telles pratiques satanistes aux USA, celui de Cathy O’Brien & Mark Philips : “L’Amérique en pleine Trans E formation – Mind Kontrol” (Ed. Nouvelle Terre – 2012).Et en France, le 1er juillet 2005, le journaliste Poivre d’Arvor fit, au Journal de 20h, un reportage sur les sectes satanistes et les sacrifices d’enfants pratiqués par leurs membres (le nombre d’enfants disparus en France n’est pas comptabilisé ?!). D’autres témoins, notamment aux USA et tout particulièrement dans les pays dits “occidentaux”, attestent de telles horreurs pratiquées dans le cadre des rituels entrepris dans leurs temples par certaines sectes maçonniques et Illuminati. il suffit , pour en connaître le nombre et les noms recensés, de faire appel à un moteur de recherche sur Internet … Comprenons que ces pratiques sont celles de conservation de mémoires fort anciennes reliées à l’exercice d’un pouvoir, d’une puissance ou d’une domination d’un peuple méprisé de travailleurs esclaves corvéables à merci. Ces mémoires s’inscrivent non seulement dans des lignées de mémoires transgénérationnelles culturelles, familiales et individuelles, mais également dans nos mémoires collectives spécifiquement terriennes auxquelles chacun est relié en dépit de lui-même, quoi qu’il en soit. Retour texte

18 – Un groupe dénommé SAALM (Suprême Anunnaki Alliance de Lord Marduk), rend encore de nos jours hommage au seigneur Marduk, roi des Annunakis ! Pour nombre des sociétés secrètes « supérieures » il semblerait que leurs connaissances et rituels soient héritées des connaissances et pratiques des mages Égyptiens et Sumériens. Retour texte

19 – « Livre des morts des Anciens Égyptiens », ou « Livre pour sortir du jour ». Retour texte

20 – Pouvons-nous également évoquer à ce titre le très catholique « Opus Dei », stigmatisé par Dan Brown dans son livre “Da Vinci Code” ? Beaucoup d’opacité entoure cette société quasi secrète pour laquelle les mortifications corporelles quotidiennes sont pratiquées par leurs membres laïcs ou religieux ! Retour texte

21 – Elle fut la première naine blanche à être découverte, en 1862, par l’astronome Alvan Graham Clark. Retour texte

22 – Pour ce faire, leur objectif est notamment de localiser les individus dont la vibration est en résonance avec leur propre complexe vibratoire et de les manipuler. Ces individus (manipulés donc) deviennent “l’élite” qui nous gouverne aux plans mondiaux et nationaux (gouvernement de l’ombre/Illuminati) que le « Groupe d’Orion » (reptiliens Grays) manipule depuis la 4e densité. Retour texte

23 – Cette base est surnommée : « The dark side of the Moon ». Retour texte

24 – Mon dernier ouvrage : “Déploiement du Chemin”, est entièrement consacré à ces problématiques. Retour texte

25 – Il est de nombreuses méthodes (ou procédés) d’implantation d’une mémoire ou d’un programme (mais également de désimplantation ou d’effacement d’un mémoire). La douleur infligée (physique, morale ou affective) est le plus souvent utilisée. Il est également possible de faire appel des méthodes douces comme l’hypnose ; ou d’utiliser des implants cérébraux électroniques (Brain Chips) qui permettant de contrôler les mouvements, les émotions, ou l’humeur d’une personne par des signaux électriques à distance. Retour texte

26- Titre de mon dernier ouvrage. Retour texte

27 – Les Archontes (signifiant : ceux qui gouvernent et commandent selon l’étymologie grecque) auxquels nous nous référons, sont ceux présentés dans « L’Hypostase des archontes » qui est le quatrième traité du codex II de la Bibliothèque de Nag Hammadi. Il est précédé de L’Apocryphon de Jean, L’Évangile de Thomas et L’Évangile de Philippe, lequel est suivi de L’Écrit sans titre sur l’origine du monde et de l’Exégèse de l’âme. Ces Archontes sont assimilés aux Annunakis. Retour texte

28 – C’est nous qui soulignons. Retour texte

29 – Manuscrits de la Mer Morte (4Q416 Instruction 2 III, 12-14). Retour texte

30 – Cf. la vidéo remarquable de Stefano Mancuso & Ted Talks sur l’intelligence des plantes : « The roots of plants intelligence » https://www.youtube.com/watch?v=Aifwfldxfyq Retour texte

31 – Les travaux du biologiste Ruppert Sheldrake en témoignent d’abondance, tant pour les animaux que pour les végétaux (lesquels conserveront toujours la mémoire que vous les avez maltraités, blessés ou soignés). Retour texte

32 – Mais encore se nourrir de leurs énergies émotionnelles les plus intenses (peurs, épouvantes, hantises…) que nos médias excellent à entretenir via les journaux télévisés, films et autres divertissements, les plus susceptibles de réduire le champ de nos consciences en les polarisant sur tout ce qui peut contribuer à les obscurcir… Retour texte

33 – Nous faisons allusion à l’élévation de la fréquence de résonance de base de la Terre – son ” le pouls ” véritablement, qui est appelée du nom de son découvreur : la Résonance de Schumann (ou RS). Celle-ci ne cesse de croître et de façon spectaculaire alors que, pendant des décennies, sa moyenne était de 7.8 cycles par seconde. Considérée comme une constante, les communications militaires globales se sont calées sur cette dernière. Mais, alors que le champ magnétique de la terre diminue, elle a plus que doublé lors des premiers mois de l’année 2015, et ne cesse de croître à un rythme de plus en plus accéléré : à l’automne 2015, elle a dépassé 18 hertz en certaines régions… ce qui modifie considérablement les propriétés de la cavité électromagnétique de la Terre : celle précisément où nous vivons ! Fréquences que nos organismes physiques, constitués pour un cycle de 7,8 hertz, ont de plus en plus de difficultés à supporter. Aussi, nombre de personnes s’inquiètent-elles de fatigues croissantes, voire de maladies, qu’elles ne peuvent expliquer. Mais ces fréquences ne cesseront de croître afin que nous puissions accueillir les changements profonds que nos consciences sont appelées à vivre.

FIN

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