Mystères

La grande muraille blanche au fond de l’océan pourrait être le Saint Graal

Un mur gigantesque, de 3 kilomètres de haut sur 20 kilomètres de large. Un mur immense qui fait presque la moitié de la Terre !

On croit généralement que le culte du Saint Graal développé dans la Grande-Bretagne médiévale a des racines entièrement chrétiennes. Cependant, le culte du bol sacré et en même temps magique d’origine céleste est beaucoup plus ancien. C’est une idée iranienne et les motifs iraniens sont assez perceptibles dans le cycle arthurien.

En 2000, Scott Littleton et Linda Malcor publient à New York et à Londres un livre qui fait sensation « From Scythia to Camelot : Radical Reassessment of the Legends of King Arthur, the Knights of the Round Table and the Holy Grail ». Les auteurs ont exploré les parallèles entre les épopées légendaires sur un certain bol sacré des anciens Britanniques et les Narts, que les chercheurs font remonter aux anciens habitants des steppes de la mer Noire : les Scythes, les Sarmates et les Alains, et ont prouvé de manière convaincante le Scytho-Sarmate base de la plupart des principaux éléments du cycle arthurien.

Les échos des légendes iraniennes et scythes selon lesquelles un bol d’énergie – le Graal – a été donné à l’humanité pour maintenir la vie sont plutôt une image prononcée, une sorte de première image de toutes les théories du Graal.


Selon la compréhension, le Saint Graal – ou l’Arbre de Vie, ou la pierre blanche combustible – est ce cordon ombilical énergétique qui relie la Terre au Ciel.

Le Graal est bien un objet. Tout à fait tangible et matériel. Et les meilleurs esprits de tous les temps ont en effet été capturés par sa recherche. Beaucoup croyaient que le Saint Graal était le calice dans lequel le sang de Jésus coulait sur la croix. D’autres disent que c’est la coupe dans laquelle Jésus a bu – et a donné à boire aux disciples, la Coupe de la vie.

Mais en même temps, beaucoup – sinon tous – de ces grands esprits et aventuriers de tous les temps et les gens oublient que dans les légendes anciennes, nous parlons d’un objet miraculeux créé non par les mains des gens, mais de Dieu. C’est le Saint Graal que des générations de chercheurs ont recherché.

Il existe des théories selon lesquelles ce graal de pierre est le grand mur sous-marin – le mur d’Ephraïm.

Cette « ancienne structure de pierre », comme les scientifiques l’appellent à contrecœur, pourrait être la pierre angulaire de la Terre, et serait le Graal sacré, dont Dieu a parlé à Job, le consolant dans sa douleur.


Fragment du mur. © Google Earth.

Le Graal n’est pas forcément un bol que l’on peut cacher dans un sac et traîner quelque part. Il peut être trouvé – mais il ne peut pas être volé. Vous pouvez essayer de le cacher, mais vous ne pouvez pas cacher un tel poinçon dans un sac. En lui, dans ce Graal, dans cet Autel de pierre, comme une épée dans un fourreau de pierre, se trouve l’Épée du Mur. Une épée qui brisera tout, mais que personne ne pourra briser.

La voici, la véritable épée du dernier roi Arthur. À certains endroits, le bol, ces gaines de pierre, ont été détruits – mais l’épée n’a pas été enlevée. Nul ne peut le soulever, nul ne peut l’extraire d’une pierre, d’un fourreau de pierre, sauf l’élu, le Messie.

Extraire cette dernière épée signifie la révéler au peuple

A la fin des temps, comme indiqué dans le livre de l’Apocalypse, il sera si fort annoncé qu’il y a un Créateur qu’il sera comparé au cri assourdissant d’un ange du Ciel à tous :

«habitant sur la terre, et à toute nation, et tribu, et langue, et peuple; 7. Et il dit d’une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l’heure de son jugement est venue, et prosternez-vous devant celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d’eau. .” Apocalypse 14:6-7

Cela se produit lorsque les gens sont littéralement «adossés au mur» – lorsqu’ils ne peuvent plus cacher le Saint Graal blanc, non créé par la main humaine.

Fait intéressant, c’est le Grand Mur sous-marin qui remplit tous les critères associés aux légendes du Saint Graal. Le Graal, ou coupe sacrée, selon les légendes chrétiennes, était la coupe que Jésus-Christ donna aux disciples à boire lors de la Dernière Cène, et aussi la coupe dans laquelle était versée une partie du sang de Jésus-Christ suspendu à la croix.

Le fait est que le Grand Mur sous-marin est étroitement lié au symbolisme biblique de l’Autel en tant que bol sacré, sur lequel du vin sacrificiel était versé sur l’Autel du Sanctuaire au moins deux fois par jour, le matin et le soir, en lien avec l’Agneau sacrifié à la place de Isaac:

« Offrez un agneau le matin et apportez un autre agneau le soir. »

« Et sa libation sera d’un quart de hin pour chaque agneau ; dans un lieu saint tu verseras la boisson à l’Éternel en offrande.

« Offrez un autre agneau le soir, avec la même offrande de grain que le matin, et avec la même libation, offrez-le comme une agréable odeur au Seigneur. »

Ce sacrifice était offert sur l’autel, qui représentait symboliquement la pierre angulaire de la terre.

Le concept biblique de la première pierre du monde – Even hashtiya ou Rocher de la Fondation  – en tant que véritable longue pierre de fondation du monde, est symboliquement représenté par la pierre de l’autel du temple. C’est la pierre d’assise du Saint des saints des temples de Jérusalem. Lieu le plus saint du judaïsme vers lequel sont orientées les prières, il est identifié par le Midrash au site de la ligature d’Isaac et est considéré comme le point de jonction spirituelle entre les cieux et la terre.

Dans l’enseignement talmudique, la « Pierre de Fondement » refoule les eaux du Téhom. Si cette pierre était déplacée, les eaux emporteraient tout sur leur passage. On dit également que c’est par cette ouverture que ce sont déversées les eaux du Déluge.

Dans le livre juif du Zohar I.231, la première pierre du monde est décrite comme suit :

« Le monde n’a pas été créé jusqu’à ce qu’il ait pris une certaine pierre – une pierre appelée Eben Shetiya, la pierre de fondation du monde. Le Béni Saint (Dieu) l’a pris et l’a jeté dans l’abîme (mer), et il s’est installé de haut en bas, s’étendant à partir de ce point. C’est le centre du monde entier, et sur ce centre repose le Saint des Saints, comme il est écrit : ou qui en a posé la pierre angulaire? (Job 38:6). Sa pierre angulaire est, comme il est écrit : la pierre éprouvée, la pierre angulaire, le précieux (Ésaïe 28:16), ou d’une manière similaire : Il est devenu la tête du coin (Ps. 119:22).“

Venez et comprenez : Cette pierre a été créée à partir de l’eau, du feu et de l’air, se cristallisant à partir de chacun d’eux et devenant une seule pierre. Cette pierre se tient au-dessus de l’abîme ; parfois des eaux coulent de dessous, remplissant l’abîme. Cette pierre se dresse comme un symbole au centre du monde.“ Matt,

Le Zohar : Édition Pritzker, 3.396–7.

On peut également lire dans le Zohar, une légende selon laquelle une pierre de saphir est tombée du Trône Céleste pour atterrir en ce lieu d’espace infini : Jérusalem, le centre d’Israël et de l’univers.

Selon la Tradition Hébraïque, Jérusalem est considérée comme le Lieu de la Création du Monde et comme le Centre du Cercle Terrestre.

Mais certains diront que Jérusalem, dans laquelle se trouvait le Temple, est loin de l’endroit où passe la Grande Muraille Sous-marine. C’est juste. Mais Dieu a arrangé le monde de telle manière que partout où l’autel était placé, deux actions principales de Dieu étaient commémorées à cet endroit : la création du monde et le salut du monde en Jésus-Christ sur la croix.

Rappelons que déjà dans les premiers règlements sur l’autel, avant même la construction du sanctuaire et du temple, les patriarches avaient l’ordre d’offrir leurs sacrifices et de verser du vin, comme dans une coupe, sur des pierres non taillées. Fait intéressant, immédiatement après l’apparition des dix commandements de la loi de Dieu au peuple, le Seigneur rappelle à Moïse ce qu’il a dit à plusieurs reprises aux patriarches :

« Mais si tu me fais un autel de pierres, ne le bâtis pas de pierres taillées, car dès que tu poseras dessus ton herminette, tu les souilleras ». Exode 20

Faites attention au fait que les gens « ont posé leur herminette » sur la Grande Muraille sous-marine – de nombreux nids de poule, des traces de destruction artificielle en sont la preuve. Mais le noyau du Mur reste indestructible.

JERUSALEM au centre du monde

Le « Saint des Saints » du Temple de Jérusalem était construit sur ce Portail au centre du monde, le Mont Moryah. Aujourd’hui, ce Portail est amoindri par la technologie occulte de l’octogone. Ce n’est bien sûr pas un hasard…

Un jour, Fernand Crombette ouvre sa Bible sur le verset 12 du Psaume 73 de la Vulgate: « Cependant, Dieu, notre Roi, des avant les siècles, à opéré le salut au milieu de la terre ». Ce verset que tant de chrétiens durent lire sans y prêter une attention particulière, la Providence voulut que le savant s’y arrêtât. Une idée se présente à son esprit : « si la Bible dit vrai, Jérusalem est au centre du monde ! »

Il découvrit plus tard, pendant ses recherches, que le Rév. P. Placet, moine prémontré, avait écrit en 1668 un ouvrage intitulé « Où il est prouvé qu’avant le Déluge, il n’y avait point d’îles et que l’Amérique n’était point séparé du reste du monde ».

Il connaissait aussi la thèse de WEGENER sur la dérive des continents. Il se rend alors dans les bibliothèques (et vers la fin de son travail à l’université de Grenoble) pour disposer des cartes géologiques et bathymétriques nécessaires, et s’applique à reconstituer ce continent primitif que les géographes appellent aujourd’hui la PANGÉE.

L’idée géniale de F. Crombette fut de ne pas s’arrêter (après des essais infructueux) aux contours actuels des continents, variable avec le niveau des mers, mais de prendre en compte l’extrême bord du talus continental, à la côte -2000 m, là où le fond marin change brusquement de pente pour aller rejoindre, à -4000 mètres, le fond abyssal.

Idée géniale car les forages sous-marins confirment aujourd’hui, 60 ans plus tard, que le socle granitique continental, par dessous les sédiments marins, s’arrête bien en ce point.

Mais aussi idée inspirée par la Bible, car Fernand Crombette avait repris la thèse cosmogonique de Kant selon laquelle les « eaux d’en-haut », séparées par Dieu lors de la Création, formaient un anneau aqueux autour de la terre, anneau dont la chute progressive alimenta les 40 jours de grande pluie du Déluge.

Pangée

Ayant ainsi déterminé les hypothèses de son travail, Crombette reconstitue complètement (entre 1933 et 1945) le puzzle du continent primitif, avec les bancs et îles aujourd’hui dispersées sur le fond basaltique des mers, et le chemin exact parcouru par chacune des masses continentales. Et le résultat confond l’imagination: le continent unique avait reçu la forme régulière d’une fleur à huit pétales dont Jérusalem occupe le centre. (Lire l’article en entier)

Conclusion

Dans les Saintes Écritures, les autels étaient construits en pierres à divers endroits, mais ils pouvaient tous symboliser la Grande Muraille et étaient mystérieusement, mais d’une manière réelle, liés au Saint Graal de la Terre. Seuls le vin sacrificiel et l’eau sacrificielle ont été versés sur l’autel. Le chrétiens diront que c’est un avant-goût du sang et de l’eau qui sont sortis du côté transpercé de Jésus-Christ.

D’après ce qui a été dit ici, il devient clair que c’était l’autel qui servait de seule coupe sur laquelle le vin sacrificiel était versé, symbolisant le sang de l’Agneau qui sera pour les juifs le rappel du sacrifice d’Isaac et pour les chrétiens, celui de Jésus-Christ, qui est mort pour la création.

Des milliers de personnes recherchent le Saint Graal depuis près de deux mille ans – puisque c’est à la possession et à l’apparition de cette coupe que l’acquisition du royaume, du bonheur et de la foi était associée. Il est intéressant de noter que selon la plupart des légendes sur le Saint Graal, il ne sera dévoilé qu’à la fin des temps et c’est sa découverte qui conduira à de grands changements dans le monde – à l’avènement du « royaume du peuple du saints », comme le prophète Daniel l’a appelé.

Il est évident que ce Graal se trouve sur le Mont du Temple, à l’endroit du Saint des Saints, et qu’il reste de grandes choses à découvrir au sujet de ce portail cosmique, qui est actuellement mis en veilleuse, par la construction païenne octogonale du Dôme du Rocher…


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